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The Legend of Zelda: A Link Between Worlds

The Legend of Zelda: A Link Between Worlds (ă‚Œăƒ«ăƒ€ăźäŒèȘŹ ç„žă€…ăźăƒˆăƒ©ă‚€ăƒ•ă‚©ăƒŒă‚č2, Zeruda no densetsu: Kamigami no Toraifƍsu tsĆ«, litt. « La lĂ©gende de Zelda : La Triforce des dieux 2 Â») est un jeu vidĂ©o d’action-aventure dĂ©veloppĂ© par Nintendo EAD et Ă©ditĂ© par Nintendo sur Nintendo 3DS, sorti en novembre 2013 en AmĂ©rique du Nord, Europe et Australie, puis en dĂ©cembre 2013 au Japon. Il est le dix-septiĂšme opus de la sĂ©rie The Legend of Zelda et prend place dans le mĂȘme univers que A Link to the Past et Ancient Stone Tablets.

The Legend of Zelda
A Link Between Worlds
Logo officiel de The Legend of Zelda: A Link Between Worlds.

DĂ©veloppeur
Éditeur
RĂ©alisateur
Hiromasa Shikata
Scénariste
Mari Shirakawa
Tatsuya Hishida
Compositeur
Ryo Nagamatsu
Producteur

DĂ©but du projet
Fin 2009
Date de sortie




Trame

Univers

A Link Between Worlds se dĂ©roule dans le mĂȘme monde que A Link to the Past, mais la topographie peut varier par endroit. Les donjons, bien qu'Ă©tant au mĂȘme endroit, sont diffĂ©rents[1]. Le jeu dispose d'un monde parallĂšle comme dans A Link to the Past[2], d'oĂč son nom, et chacun des mondes a sa propre Triforce. Ce monde parallĂšle se nomme Lorule et la princesse de ce royaume s'appelle Hilda[3]. Pour passer d'un monde Ă  l'autre, Link doit traverser des fissures prĂ©sentes dans certains murs[4].

Histoire

Le jeu se dĂ©roule longtemps aprĂšs A Link to the Past[1], aprĂšs les Ă©vĂšnements de Link's Awakening[5]. Link, jeune apprenti forgeron, doit rapporter Ă  un soldat son Ă©pĂ©e oubliĂ©e. ArrivĂ© au sanctuaire, il surprend le magicien Yuga[6] s'en prendre Ă  la prĂȘtresse CĂ©lĂšs et la transformer en tableau. Link dĂ©cide alors de s'approprier l'Ă©pĂ©e pour combattre Yuga mais en vain, ce dernier ayant pris la fuite et se dirigeant vers le chĂąteau de la Princesse Zelda. Par la suite, le sage Sahasrahla convainc Link de retrouver trois pierres afin de rĂ©cupĂ©rer l'Ă©pĂ©e de lĂ©gende et vaincre Yuga. Cependant, le magicien parvient Ă  transformer Link en peinture, ce dernier devenu alors prisonnier d'un mur de donjon. Heureusement, le mystĂ©rieux bracelet que l'Ă©tonnant coĂ©quipier Lavio lui a donnĂ© plus tĂŽt permet de conjurer ce sort et permet ainsi au jeune Link de se transformer en peinture et revenir Ă  son Ă©tat normal Ă  sa guise.

Une fois les trois pierres et l'Ă©pĂ©e de lĂ©gende rĂ©cupĂ©rĂ©es, Link affronte de nouveau Yuga, mais sans succĂšs, la Princesse Zelda ayant Ă©tĂ© transformĂ©e Ă  son tour en tableau. Link dĂ©couvre alors sur un mur du bureau de Zelda une faille particuliĂšre lui permettant d'atteindre un autre monde, celui de Lorule. Assistant alors Ă  la rĂ©surrection de Ganon puis Ă  sa fusion avec Yuga, il perd conscience Ă  la suite d'un coup de celui-ci. Alors que tout semble perdu, un autre personnage intervient : la princesse Hilda, souveraine de Lorule, qui entrave Yuga puis sauve Link en le tĂ©lĂ©portant hors du palais de Lorule. Elle entre alors en contact tĂ©lĂ©pathique avec Link, et lui indique que Yuga a emprisonnĂ© sept sages dans ses tableaux. Link se charge donc de parcourir les sept donjons de Lorule et de sauver les sages un par un, dans la forĂȘt de squelettes, le repaire des bandits, le palais des tĂ©nĂšbres, le palais des sables, le palais du marais, le rocher de la tortue, et le palais de glace.

Se prĂ©parant Ă  combattre, il entre dans le palais de Lorule, libĂ©rĂ© de son sceau par Hilda. AprĂšs avoir vaincu les quatre gardiens, il entre dans la salle du trĂŽne. LĂ , il voit Hilda contemplant le portrait de Zelda. Celle-ci se tourne alors vers Link et lui raconte l'histoire de son royaume, comment il existait autrefois une Triforce propre Ă  celui-ci, et qu'Ă  la suite de multiples conflits visant Ă  s'emparer de cette derniĂšre les ancĂȘtres de Hilda dĂ©cidĂšrent de dĂ©truire le Pouvoir, plongeant Lorule dans la dĂ©solation. Elle expose Ă  Link son but : acquĂ©rir la Triforce d'Hyrule, et de fait rĂ©vĂšle son vrai visage : elle libĂšre Yuga et s'empare de la Triforce de la sagesse contenue dans Zelda. Link ayant apparemment vaincu Yuga, elle demande Ă  ce dernier de lui transfĂ©rer la Triforce de la Force. Mais c'est Yuga qui absorbe Hilda et Link doit ainsi le vaincre une nouvelle fois. Ceci fait, Zelda redevient constituĂ©e de 3 dimensions. Mais Hilda se rĂ©veille et veut encore prendre la Triforce quand Lavio intervient, se rĂ©vĂ©lant ĂȘtre le HĂ©ros de Lorule ayant dĂ©sertĂ© de ce pays, et convainc Hilda qu'il vaut mieux renvoyer Link et Zelda dans leur monde par la faille jadis utilisĂ©e par Yuga avec la complicitĂ© d'Hilda. Link et Zelda Ă©tant revenus en Hyrule, et la Triforce Ă©tant complĂ©tĂ©e, ils la touchent et font ensemble le vƓu que la Triforce de Lorule soit recrĂ©Ă©e. Hilda les remercie alors de son royaume qui a retrouvĂ© son panache d'antan.

SystĂšme de jeu

Le jeu reprend le systÚme de jeu de base de la série The Legend of Zelda, avec des graphismes en 3D stéréoscopique. Le joueur contrÎle Link en vue de dessus et explore un environnement ouvert composé de différents villages et décors variés. Au cours de son aventure, Link utilise une épée et différents objets nécessaires à sa progression dans le monde ou les donjons du jeu. L'utilisation de certains objets s'effectue grùce à un compteur d'endurance qui remplace les compteurs individuels des objets comme les flÚches ou les bombes[7].

Contrairement aux anciens Ă©pisodes, les objets doivent ĂȘtre louĂ©s ou achetĂ©s Ă  l'aide de rubis dans la boutique de Lavio[8] - [9]. Ils peuvent ĂȘtre amĂ©liorĂ©s en trouvant les bĂ©bĂ©s de Big'ornette[6] - [10]. Les donjons peuvent donc s'effectuer dans l'ordre souhaitĂ© par le joueur[11].

Une des nouveautés est la transformation de Link en peinture le rendant capable de se déplacer sur les murs. Le joueur doit donc utiliser ce mécanisme pour explorer le monde sous un nouvel angle pour atteindre des lieux inaccessibles ou résoudre des énigmes. Le jeu propose également une fonctionnalité StreetPass consistant à différents défis à accomplir en affrontant un Link noir[12]. Le jeu propose également plusieurs mini-jeux comme un jeu de baseball[13] ou un autre d'esquive de poulets. Une fois le jeu terminé une premiÚre fois, un mode de difficulté supplémentaire est disponible[14].

DĂ©veloppement

AprÚs la sortie de Spirit Tracks fin 2009, une grande partie de l'équipe a pris part au développement de l'épisode Wii, Skyward Sword. Seuls Hiromasa Shikata et Shiro Mouri sous la supervision d'Eiji Aonuma ont commencé à trouver de nouvelles idées pour le futur jeu sur la future console portable de Nintendo, la Nintendo 3DS. C'est pendant la premiÚre année de réflexion que l'idée de transformer Link en peinture murale intervient[15] - [16]. Cette idée provient d'Ocarina of Time lorsque Link affronte Ganon se déplaçant à travers différents tableaux[17]. Un premier prototype est alors réalisé pour mieux concevoir ce qu'il est possible de faire avec ce nouveau systÚme, dans un angle de caméra de trois-quart et un Link cartoon comme dans Spirit Tracks. Alors que le prototype est réalisé, le développement du jeu est suspendu aux alentours d' afin d'aider aux développements des jeux du lancement de la Wii U[18].

En novembre 2011, aprĂšs la sortie de Skyward Sword, Eiji Aonuma annonce la crĂ©ation d’un nouvel Ă©pisode sur Nintendo 3DS en prĂ©cisant qu'il n’est ni une suite des prĂ©cĂ©dents jeux sortis sur DS, ni un remake comme Ocarina of Time 3D[19]. En attendant de pouvoir reprendre la mĂȘme Ă©quipe qu'auparavant, Aonuma fait appel Ă  Kentaro Tominaga, pour prendre la suite de Hiromasa Shikata, et un nouveau programmeur pour reprendre les travaux dĂ©jĂ  effectuĂ©s. Tominaga commence par rĂ©aliser plusieurs donjons Ă  partir de l'idĂ©e de peinture murale, mais ceux-ci ne plaisent pas Ă  Shigeru Miyamoto, qui suggĂšre Ă  l'Ă©quipe de se rapprocher du style de A Link to the Past. Trois choix s'offraient alors Ă  Nintendo : faire un remake de Majora's Mask, un remake ou une suite Ă  A Link to the Past, ou alors quelque chose d'inĂ©dit[20]. Aonuma dĂ©cide finalement de rajouter l'idĂ©e de la peinture murale sur la carte d’A Link to the Past avec une vue du dessus[21]. Le dĂ©veloppement du jeu commence alors rĂ©ellement aprĂšs que Miyamoto ait donnĂ© son accord, ce dernier souhaitant voir un remake de A Link to the Past ou un nouveau jeu inspirĂ© de celui-ci sur Nintendo 3DS[22].

Un des concepts forts sur le développement est le fait de repenser les conventions de la série. Les développeurs ont alors décidé de pouvoir parcourir le monde librement et effectuer les différents donjons du jeu dans l'ordre souhaité par le joueur, afin que celui-ci ne se retrouve bloqué. Cela passe alors par une nouvelle gestion des objets qui s'obtiennent habituellement dans les donjons. Ici, les objets sont disponibles dans une boutique en location ou à l'achat pour pouvoir explorer le monde librement[23]. Afin de rendre Link reconnaissable malgré la vue du dessus utilisée, les développeurs ont décidé d'incliner tous les éléments du jeu, Link compris[24]. Ensuite, ils se sont assurés dÚs le début du développement que le jeu tournerait à 60 images par seconde, afin de proposer une grande fluidité au jeu et une stabilité à la 3D stéréoscopique. Cela a également permis l'utilisation du stylet pour choisir et équiper les différents objets de Link, possible uniquement avec une fréquence élevée[25]. Un des donjons du jeu, la tour d'Héra, a été utilisé par l'équipe pour montrer les possibilités de ce Zelda, notamment la vision sur plusieurs niveaux en 3D stéréoscopique. Pour le design de Link dans le mur, l'équipe a réalisé plusieurs essais, en partant du Link en 3D de Spirit Tracks pour finalement aboutir sur la forme définitive, à savoir une forme de fresque[26].

Le jeu est officiellement dĂ©voilĂ© le lors d’un Nintendo Direct[27] - [28]. Il est intitulĂ© Triforce of the Gods 2 au Japon, montrant le lien avec A Link to the Past, celui-ci s'appelant Triforce of the Gods au Japon. À l'Ă©tranger, le jeu est nommĂ© A Link Between Worlds[29] car il ne s'agit plus de voyage dans le temps mais de voyage entre deux mondes, Hyrule et Lorule[23]. Le jeu est commercialisĂ© le en AmĂ©rique du Nord et en Europe[30] - [11], le en Australie et le au Japon.

Équipe de dĂ©veloppement

Eiji Aonuma est le producteur du jeu.
  • Producteurs : Eiji Aonuma, Shigeru Miyamoto, Takashi Tezuka
  • Producteur dĂ©lĂ©guĂ© : Satoru Iwata
  • RĂ©alisateur : Hiromasa Shikata
  • Directeurs de programme : Shiro Mouri, Kentaro Tominaga
  • Responsable de la conception : Koji Takahashi
  • Script : Tatsuya Hishida, Mari Shirakawa
  • Musique : Ryo Nagamatsu
  • Responsables du design : Koji Takahashi, Jun Takamura, Hiroshi Ueda, Satoko Okada[31]

Musique

La bande originale du jeu est composée et arrangée par Ryo Nagamatsu. Certains des morceaux sont des arrangements des originaux issus de A Link to the Past, du fait de la proximité entre les deux jeux[32]. Le jeu ne propose pas de musiques orchestrales comme dans Skyward Sword pour proposer une qualité de son optimale sur Nintendo 3DS[33].

La musique du chùteau de Lorule a pour base la version inversée de la musique du chùteau d'Hyrule provenant de A Link to the Past[34]. Le mode StreetPass propose deux versions remixées et réarrangés du thÚme du Temple de Zelda II: The Adventure of Link.

La bande son contenant 105 musiques du jeu est proposée en double disque sur le Club Nintendo en au Japon[35] et en en Europe[36].

Accueil

Critique

Aperçu des notes reçues
Presse papier
MĂ©dia Note
Edge (UK) 8/10[37]
Official Nintendo Magazine 94 %[38]
Presse numérique
MĂ©dia Note
Eurogamer (UK) 8/10[39]
Gamekult (FR) 8/10[40]
GameSpot (US) 9/10[41]
IGN (US) 9,4/10[42]
Jeuxvideo.com (FR) 17/20[43]
Agrégateurs de notes
MĂ©dia Note
Metacritic 91 %[44]
(81 critiques)

AprÚs avoir testé la version démo, le site Jeuxvideo.com qualifie le jeu comme étant « LE jeu de référence de la 3DS »[45].

Ventes

Au , Nintendo mentionne avoir Ă©coulĂ© Ă  2,51 millions d'exemplaires du jeu dans le monde, ce qui en fait le neuviĂšme jeu 3DS le plus vendu Ă  cette date[46].

En , il est annoncĂ© que le jeu cumule 1,09 million copies du jeu vendues aux États-Unis[47].

Notes et références

  1. « A Link Between Worlds n'est pas la suite directe de A Link to the Past », sur nintendo-master.com, .
  2. (en) « Exclusive: Zelda 3DS 'feels totally different,' needs to be played in 3D », sur reviews.cnet.com, .
  3. « Zelda 3DS : Découvrez Lorule et Hilda », sur Jeuxvideo.com, .
  4. (en) « New Art and Gameplay Revealed for ‘A Link Between Worlds’ », sur gamingtruth.com, .
  5. (en) « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds’ Place In The Zelda Timeline Detailed », sur siliconera.com, (consultĂ© le )
  6. (en) « NYCC: Zelda Producer Reveals New Princess, Lorule Kingdom, and Item Upgrades », sur IGN,
  7. « Defacing dungeons in The Legend of Zelda 3DS », sur Joystiq,
  8. « A Link Between Worlds : Aonuma nous parle de rubis et d'annualisation », sur p-nintendo.com,
  9. « Zelda - A Link Between Worlds : des artworks entre deux mondes », sur p-nintendo.com,
  10. « A Link Between Worlds : réponses d'Aonuma et images inédites », sur p-nintendo.com,
  11. « Date de sortie pour Zelda : A Link Between Worlds », sur Jeuxvideo.com,
  12. « Zelda - A Link Between Worlds : infos pour StreetPass et nouvelles images », sur p-nintendo.com,
  13. (en) « Zelda: A Link Between Worlds Has Link Batter Up For Some Baseball », sur siliconera.com, (consulté le )
  14. « Un nouveau mode de difficulté pour Zelda : A Link Between Worlds », sur Jeuxvideo.com,
  15. « Interview de Eiji Aonuma (Zelda) », sur Jeuxvideo.com,
  16. « Iwata demande 1. "On dirait un concept vieux d'une vingtaine d'années" », sur nintendo.fr (consulté le )
  17. « Zelda : Graffiti-Link inspiré par Ocarina of Time », sur Jeuxvideo.com,
  18. « Iwata demande 2. "Ne nous oubliez pas !" », sur nintendo.fr (consulté le )
  19. « Un nouveau Zelda en chantier sur 3DS », sur Gamekult, (consulté le )
  20. (en) « Zelda 3DS: It's Majora's Mask vs. Link to the Past », sur IGN,
  21. « Iwata demande 3. Une vue du dessus directe », sur nintendo.fr (consulté le )
  22. (en) « Miyamoto Teases New Link To The Past, F-Zero », sur http://www.cinemablend.com/,
  23. « Iwata demande 6. "Repenser les conventions" », sur nintendo.fr (consulté le )
  24. (en) « How Zelda: A Link Between Worlds’ Developers Had To Cheat The Camera », sur siliconera.com, (consultĂ© le )
  25. « 4. Du trÚs beau travail d'équipe », sur nintendo.fr (consulté le )
  26. « Iwata demande 5. "On peut faire ça ?" », sur nintendo.fr (consulté le )
  27. (fr + en) [vidĂ©o] PrĂ©sentation Nintendo 3DS Direct - 17.04.2013 sur YouTube
  28. « Un nouveau Zelda sur 3DS ! », sur Jeuxvideo.com, (consulté le )
  29. (en) « E3 2013: Zelda: Link To The Past 2 is A Link Between Worlds », sur IGN,
  30. (en) « Zelda: A Link Between Worlds and Mario Party: Island Tour hit 3DS Nov. 22 », sur Joystiq,
  31. (en) « Game Credits for The Legend of Zelda: A Link Between Worlds », sur MobyGames (consulté le )
  32. (en) « Aonuma discusses Zelda: A Link Between Worlds’ music », sur nintendoeverything.co, (consultĂ© le )
  33. (en) « Zelda: A Link Between Worlds team never considered using a live orchestra for the game’s music », sur nintendoeverything.com, (consultĂ© le )
  34. (en) « A Link Between Worlds Trailer Contains a Musical Easter Egg », sur escapistmagazine.com, (consulté le )
  35. (en) « Club Nintendo Japan to release A Link Between Worlds soundtrack », sur vgmonline.net, (consulté le )
  36. « La musique de Zelda : A Link Between Worlds sur le Club Nintendo », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  37. (en) « The Legend Of Zelda: A Link Between Worlds review », sur Edge, (consulté le )
  38. (en) Chandra Nair, « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds - 94% in ONM », sur officialnintendomagazine.co.uk, (consulté le )
  39. (en) Christian Donlan, « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds Review », sur Eurogamer, (consulté le )
  40. « The Legend of Zelda : A Link Between Worlds », sur Gamekult, (consulté le )
  41. (en) Martin Gaston, « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds Review », sur GameSpot, (consulté le )
  42. (en) Keza MacDonald, « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds Review », sur IGN, (consulté le )
  43. Romendil, « Test The Legend of Zelda : A Link Between Worlds », sur Jeuxvideo.com, (consulté le )
  44. (en) « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds », sur Metacritic (consulté le )
  45. « The Legend of Zelda : A Link Between Worlds preview », sur Jeuxvideo.com,
  46. (en) « Top Selling Softwares Sales Units », sur nintendo.co.jp (consulté le )
  47. Alex Wawro, « Pokemon beats Mario to most popular 3DS game », Gamasutra, UBM plc, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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