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Templiers en Écosse

L'installation des Templiers en Écosse remonte à la rencontre en 1128 entre David Ier d'Écosse et Hugues de Payns, le fondateur de l'ordre, qui voit le roi octroyer la terre de Balantrodoch (en) (ou Balantrodach) à celui-ci, soit une année avant le concile de Troyes qui officialise la création de l'ordre du Temple. Cette première possession de l'ordre hors de terre sainte est située dans le Lothian.

Cette commanderie devient le siège de l'ordre en Écosse et prend le nom de Temple (en).

En 1189, Alan fitz Walter (1140-1204), le deuxième Lord High Steward d'Écosse devint bienfaiteur de l'ordre, et participa fortement à son expansion à travers l'Écosse. Il accompagna peut-être Richard Cœur de Lion lors de la troisième croisade, et serait revenu en Écosse en 1191[1].

La bulle Ad Providam de Clément V, qui ordonne la confiscation de tous les biens de l'ordre et leur dévolution aux Hospitaliers, n'est pas totalement appliquée, en particulier depuis que Robert Ier d'Écosse a été excommunié, il n'obéit plus au Pape. En 1312, les Templiers furent absous en Angleterre et en Écosse par Édouard Ier d'Angleterre, et réconciliés dans l'Église[2].

Baillie d'Écosse

L'Écosse ne constituait pas une province de l'ordre mais une baillie dépendante de la province d'Angleterre avec comme commanderie principale celle de Balantrodoch[3]. Les maîtres de la baillie d'Écosse étaient subordonnés au maître de la province d'Angleterre[4] et participaient, au même titre que ceux d'Irlande[5], au chapitre provincial annuel.

Il n'y a que deux commanderies qui soient attestées en Écosse et leurs commandeurs respectifs sont les seuls templiers qui furent arrêtés dans ce royaume en . Walter de Clifton, alors commandeur de Balantrodoch ainsi que William Middleton, commandeur de Maryculter dont le procès se tient à Holyrood[6]. Mais d'autres possessions sont également connues notamment par une charte de confirmation émanant d'Alexandre II d'Écosse en 1236[7] et par des actes relatifs aux deux commanderies citées précédemment :


Commandeurs de Balantrodoch Période Observations
fr. Robert1160[11]
fr. Ranulph Corbet1174-1199[11](la) : Magister in terra regis Scottorum de domo Templi
fr. Hugues de Conyersc. 1233[11]
fr. Roger de Akiney1278-1290[11]
fr. Brian de Jay1286-1292[11]
fr. John de Sautre1296[11]
fr. John de Husflete1304-1306[11]
fr. Walter de Clifton1306-1309[11]
Liens vers les listes régionales correspondantes

La charte d'Alexandre II laissant penser qu'il possédaient au moins une maison dans chacun des bourgs royaux d'Écosse à cette période[12] et un document datant de 1296 montre que le maître de la baillie d'Écosse (Magister Militiae Templi in Scotia) était alors en possession de nombreuses terres dans les Sheriffdoms (en) (bourgs médiévaux) suivants[13] - [14] - [N 1]:

L'année 1296 marque le début de la première guerre d'indépendance de l'Écosse, période qui selon certains historiens explique l'affaiblissement des templiers en Écosse et le peu d'hommes et de biens attestés au moment du procès de l'ordre du Temple.

Le procès de l'ordre en Écosse

Lors du procès de l'ordre du Temple en Écosse, seuls les deux Templiers qui avaient été arrêtés en 1308 furent interrogés[18]: Walter de Clifton et Guillaume de Middelton indiquèrent qu'ils étaient les seuls à porter l'habit de l'Ordre dans ce royaume et qu'ils n'avaient jamais assisté à la réception d'un nouveau frère dans une des commanderies d'Écosse[19]. La première guerre d'indépendance débutée en 1296 et pendant laquelle les templiers prirent fait et cause pour le royaume d'Angleterre, en est peut-être la cause[20]. Les interrogatoires se déroulèrent à l'abbaye de Holyrood[21]. Certains auteurs mentionnent deux autres templiers qui auraient été en Écosse à cette période et qui se seraient enfuis[22] - [N 6] : John de Husflete et Thomas Totti, dont l'on retrouve la trace dans les rapports des interrogatoires en Angleterre ; cependant, les dernières publications sur ce sujet n'en font pas état[N 7].

Les Templiers en Écosse après 1312 ?

En Écosse, l'ordre de Clément V de confisquer tous les biens des Templiers n'est pas totalement appliqué, en particulier après l'excommunication de Robert Ier d'Écosse en 1318. Dès 1310, ils sont absous en Angleterre et en Écosse par Édouard II d'Angleterre, et réconciliés dans l'Église[24].

Différentes thèses voient alors le jour sur le devenir des Templiers après 1312, car, ayant été absous en Écosse, ils auraient pu y fonder un nouvel ordre similaire à l'ordre du Christ au Portugal. Mais aucun document (charte, acte, etc.) ne mentionne les Templiers à partir de cette date, ce qui permet aux historiens, comme L.D. Cooper, d'affirmer que les Templiers ont repris une vie conventuelle au sein d'établissements religieux.

Survivance des Templiers

Aucune preuve historique ne permet d'affirmer la survivance de l'ordre du Temple en Écosse. La rumeur dit que Mr William de Lamberton (évêque de St Andrews) aurait accordé en 1311 sa protection aux Templiers, mais la chose est incertaine, d'autant plus qu'à cette époque Guillaume de Lamberton avait juré fidélité au Roi Anglais Edouard II, et agissait en tant que diplomate Anglais.

La thèse selon laquelle de nombreuses traces templières auraient été laissées en Écosse après 1312, dans le cimetière de Kilmartin par exemple, dans le village de Kilmory (en), ou encore dans la Rosslyn Chapel bâtie en 1440[25], est infirmée par les historiens actuels[26]. Les tombes du cimetière de Kilmartin étant ouvragées, elles ne correspondent pas aux "standards" des sépultures de l'ordre, et ont été depuis identifiées comme celles de Croisés de retour de Palestine ou des croisades baltes, quant à la Chapelle de Rosslyn, elle fut édifiée en 1440, soit plus de cent ans après leur disparition, anachronisme flagrant.

L'existence d'un « ordre de Saint-Jean et du Temple » (hospitaliers et templiers réunis) en Écosse est également supposée, mais non avérée. L'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem semble disparaître réellement d'Écosse en 1563, à la suite de la réforme écossaise et après la conversion de James Sandilands (en), son dernier précepteur, à l'anglicanisme[27]. Ce dernier obtint en contrepartie le titre de comte de Torpichen (en) dès 1564[28] (1er du nom).

La bataille de Bannockburn

En 1314, des chevaliers Templiers auraient aidé Robert Bruce à remporter la bataille de Bannockburn contre les Anglais, mais leur présence au sein de cette bataille est controversée. En récompense Robert Bruce les auraient protégés en les intégrant à un nouvel ordre secret. L'hypothèse d'une participation des templiers à cette bataille figure dans un ouvrage de Baigent et Leigh[25], mais ces deux auteurs ne sont pas des historiens. Elle est également abordée dans un ouvrage d'Evelyn Lord, The Knights Templar in Britain[29]. Le professeur Robert L.D. Cooper, documents à l’appui, démonte cependant cette hypothèse, qui aurait en partie nourri le roman Da Vinci Code[30] - [31] et qui aurait été inventée par les francs-maçons d'Écosse en 1843[32]. C'est également l'opinion des historiens médiévistes qui se sont penchés en 2010 sur ce sujet[26].

Lien avec la franc-maçonnerie écossaise

Le lien parfois évoqué entre Templiers et francs-maçons[33] prend un sens particulier en Écosse, et serait même visible au sein de la Rosslyn Chapel, si l'on en croit certaines études faites sur les liens entre l'Ordre du Temple et la famille Sinclair d'une part, et entre la franc-maçonnerie spéculative et Sir William puis ses descendants, d'autre part, nommés Grands Maîtres maçons de pères en fils dès 1441, par le roi Jacques II d'Écosse[34]... ce qui est hautement improbable car Jacques II avait 11 ans à l'époque et était prisonnier de William Crichton, il ne fut libéré qu'en 1443. Selon un opuscule édité par la Grande Loge d’Écosse en 2000, la connexion entre les maçons opératifs et les Saint-Clair de Roslin aurait commencé aux environs de 1601, quand les maçons d'Écosse ont officiellement reconnu William, comte de Roslin, comme étant leur "patron et protecteur". Ce fait est connu par la "Première Charte des Saint-Clair"[N 8]. Vers 1628, les maçons écossais ont renouvelé leur reconnaissance envers le fils du comte, également nommé William, et cette "Seconde Charte des St-Clair" est similaire[N 9].


Ces hypothèses sont cependant vivement contestées par l'historien écossais Robert Cooper dans un ouvrage paru en 2011[35].

Mais c'est surtout la Stricte Observance templière du baron von Hund (1722-1776) qui, à partir de 1750, va populariser l'idée au sein de la franc-maçonnerie[36]. Une nouvelle légende prend forme, en partie basée sur la Deuxième Section, en partie remodelée[37] :

« Après la catastrophe, le Grand Maître provincial d'Auvergne, Pierre d'Aumont, s'enfuit avec deux commandeurs et cinq chevaliers. Pour n'être pas reconnus, ils se déguisèrent en ouvriers maçons et se réfugièrent dans une île écossaise où ils trouvèrent le grand commandeur Georges de Harris et plusieurs autres frères, avec lesquels ils résolurent de continuer l'Ordre. Le jour de la Saint-Jean 1313, ils tinrent un chapitre dans lequel Aumont, premier du nom, fut nommé Grand Maître. Pour se soustraire aux persécutions, ils empruntèrent des symboles pris dans l'art de la maçonnerie et se dénommèrent Francs-Maçons. [...] En 1631, le Grand Maître du Temple transporta son siège à Aberdeen et par la suite l'Ordre se répandit, sous le voile de la Franc-maçonnerie, en Italie, en Allemagne, en Espagne et ailleurs »

Cette légende permettrait de relier les Templiers avec les origines écossaises de la franc-maçonnerie. La branche française, le Rite écossais rectifié, est fondée en 1778 à Lyon par Jean-Baptiste Willermoz, qui reprend la légende dans le discours inaugural des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte[38].

Le caractère historique de la filiation templière fut cependant rejeté lors du Convent de Wilhelmsbad en 1782, pour devenir "symbolique" et "spirituel" au sein du Rite écossais rectifié.

A noter que Pierre d'Aumont a bel et bien existé, mis a part qu'il avait 3 ans en 1313.... et ne fut jamais Grand Maitre provincial d'Auvergne, mais juste Un seigneur d'Auvergne. Quant à Georges de Harris, ce franc-maçon fut anobli en 1765 et le titre crée pour lui (il n'y a pas DE Harris avant lui), c'était un proche de Von Hund, Georges Harris, son père était vicaire de Brasted, dans le Kent.

Bibliographie

  • (en) Robert Aitken, « The knights templars in Scotland », The scottish review, vol. 32, (lire en ligne)
  • (en) Ian Borthwick Cowan, P. H. R. Mackay et Alan Macquarrie, The Knights of St John of Jerusalem in Scotland, vol. 19, Scottish History Society, , 277 p. (présentation en ligne)
    Inventaire des anciennes possessions de l'ordre dévolues aux hospitaliers
  • (en) John Edwards, « The Templars in Scotland in the Thirteenth Century », The scottish historical review, vol. 5, , p. 13-25 (lire en ligne)
  • (en) Evelyn Lord, The Knights Templar in Britain, Pearson Education, (1re éd. 2001), 348 p. (ISBN 978-0-582-47287-7 et 978-1-4058-0163-8, lire en ligne), p. 185-200
  • (en) James Maidment, Templaria : papers relative to the history, privileges, and possessions of the Scotish Knights Templar, and their successors the Knights of Saint John., Édimbourg, (OCLC 78621913)
  • (en) James Murray Mackinlay, « The Templars », dans Influence of the pre-reformation church on Scottish place-names, William Blackwood and sons, (lire en ligne), p. 351-363
  • (en) Helen J. Nicholson, « The Trial in Scotland: Mixed Reactions », dans The Knights Templar on Trial : The Trial of the Templars in the British Isles, 1308-11, The History Press, , 288 p. (ISBN 978-0-7509-4681-0, présentation en ligne), p. 132-144
  • (en) Helen J. Nicholson, The Proceedings Against the Templars in the British Isles : the translation, vol. 2, Ashgate Publishing, Ltd., , 653 p. (ISBN 978-1-4094-3652-2, présentation en ligne), p. 382-395
  • (en) John Walker, « The templars are everywhere : An examination of the myths behind templar survival after 1307 », dans Jochen Burgtorf,Paul Crawford,Helen J. Nicholson, The Debate on the Trial of the Templars, 1307-1314, Ashgate Publishing Ltd., , 399 p. (lire en ligne), p. 347-357
  • Concernant les légendes attribuées aux templiers :
    • Robert L.D. Cooper (trad. de l'anglais par Jean-Claude Genoud-Prachex, préf. Jean Solis), Rosslyn, splendeurs, mythes, réalités, Valence d'Albigeois, Éditions de La Hutte, , 432 p. (ISBN 978-2-916123-47-9, présentation en ligne)
    • (en) Mark Oxbrow, Ian Robertson et Caroline Davies, Rosslyn and the Grail, Mainstream Publishing, , 352 p. (ISBN 978-1-84596-115-2, présentation en ligne)
  • Au sujet de la bataille de Bannockburn en particulier :
    • (en) Geoffrey Wallis Steuart Barrow, « Bannockburn », dans Robert Bruce and the Community of the Realm of Scotland, Edinburgh University Press, , 531 p. (ISBN 978-0-7486-2022-7, lire en ligne), p. 266-303
    • David Hume, Histoire d'Angleterre. tome 2, édition de 1839, p. 172 (gallica).
    • Walter Scott, Histoire d’Écosse racontée par un grand-père à son petit-fils, traduction de M. Defauconpret, tome I, Paris, Furne, 1832. p. 99 (gallica).

Notes

  1. Ce document cite également les sheriffdoms (en) où l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem possédait des terres[14].
  2. On trouve parfois Walter de Huntercombe désigné comme shérif d'Édimbourg[15] cette année-là mais il fut nommé gouverneur (en) du château d'Edimbourg par Édouard Ier d'Angleterre. John de Sautre (John de Soltra) alors maître des templiers d'Écosse figurant dans les magistrats de cette ville présents lorsque le roi d'Angleterre obtint la soumission d'Édimbourg le 28 août 1296[16].
  3. À priori il ne s'agit pas de Clackmannan dont la graphie à cette époque était « Clatmanan »[17].
  4. Bourg médiéval disparu qui se trouvait dans cet ancien comté (Kincardineshire), au Nord-Est de Fettercairn.
  5. toponyme non identifié.
  6. Alan Macquarrie cite comme référence les interrogatoires réalisés en Écosse et publiés par James Maidment (en)[23]. Le document cité en référence est l'interrogatoire de William de Middleton, précepteur de Maryculter dans lequel ces deux noms apparaissent comme témoins lorsque celui-ci fut reçu dans l'ordre. Il indique que ceux-ci étaient des fugitifs mais ne précise pas d'où ils se sont enfuis.
  7. cf. Nicholson 2009 et Nicholson 2011 où ne figure pas cette assertion.
  8. Charte accordée par les Maçons de l'Écosse à William Sinclair of Roslin - 1601 - Laurentius Robertson, notaire public et pourvu de la charge de mandats spéciaux à la charge.
  9. Ces deux chartes sont la propriété de la Grande Loge d'Écosse et sont conservés dans la Bibliothèque du Freemasons' Hall, 96 George Street, Edinburgh.

Références

  1. (en) Alan Macquarrie, Scotland and the Crusades, 1095-1560, J. Donald Publishers, (1re éd. 1985), 154 p. (présentation en ligne), p. 29-30
  2. "The stone puzzle of Rosslyn Chapel", Philip Coppens, éditions Frontier Publishing & Adventures Unlimited Press
  3. Lord 2004, p. 185-186
  4. Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1), p. 148
  5. (en) Herbert Wood, « The Templars in Ireland », dans Proceedings of the Royal Irish Academy. Section C: Archaeology, Celtic Studies, History, Linguistics, Literature, vol. 26, Royal Irish Academy, (lire en ligne), p. 336
  6. Nicholson 2009, p. 142
  7. Cowan, Mackay et Macquarrie 1983, p. 43
  8. Macquarrie 1997, p. 131
  9. Cowan, Mackay et Macquarrie 1983, p. xviii-xxi
  10. Cowan, Mackay et Macquarrie 1983, p. 46
  11. Lord 2004, p. 188
  12. (en) Evelyn Lord, The Templar's Curse, Pearson Education, , 200 p. (présentation en ligne), p. 106
  13. (en) William Borthwick, An Inquiry Into the Origin and Limitations of the Feudal Dignities of Scotland, (lire en ligne), p. 29-33
  14. (la) Fœdera, conventiones, literæ, et cujuscunque generis acta publica, inter reges Angliæ et alios quosvis imperatores, reges, pontifices, principes, vel communitates, ab ineunte sæculo duodecimo, viz. ab anno 1101, ad nostra usque tempore habita aut tractata, A. & J. Churchill, (lire en ligne), p. 724
  15. (en) « Appendix: Sheriffs of the shire of Edinburgh », dans Extracts from the Records of the Burgh of Edinburgh, 1403-1528, (lire en ligne), p. 295-298
  16. (en) James Grant, Memorials of the castle of Edinburgh, (lire en ligne), p. 29
  17. (en) Miscellany of the Scottish History Society, vol. VI, (lire en ligne), p. 341
  18. Nicholson 2011, p. 472
  19. Nicholson 2011, p. 387
  20. Demurger 2008, p. 372-373
  21. Nicholson 2011, p. 128 (note 32)
  22. (en) Alan Denis Macquarrie, The impact of the crusading movement in Scotland, vol. 2, , [PDF] (lire en ligne), p. 278, 281.
  23. (en) James Maidment, « Processus Factus Contra Templarios in Scotia (1309) », dans The Spottiswoode Miscellany : A Collection of Original Papers and Tracts, vol. 2, (lire en ligne), p. 11
  24. The stone puzzle of Rosslyn Chapel, Philip Coppens, éditions Frontier Publishing & Adventures Unlimited Press
  25. (en) Michael Baigent et Richard Leigh, The Temple And The Lodge, Random House, (1re éd. 1989), 416 p. (ISBN 978-1-4481-8341-8), paru également en français : Michael Baigent et Richard Leigh (trad. de l'anglais par Corine Derblum), Des templiers aux francs-maçons, Paris, J'ai lu, , 381 p. (ISBN 978-2-290-01007-5)
  26. Walker 2010, p. 351-352
  27. (en) George Archibald Campbell, The Knights Templars : their rise and fall, Kessinger, (1re éd. 1937), 356 p. (ISBN 978-0-7661-5658-6), p. 335
  28. (en) Edmund Lodge, The Genealogy of the Existing British Peerage and Baronetage, Hurst and Blackett, , 870 p. (lire en ligne), p. 541
  29. (en) Evelyn Lord, The Knights Templar in Britain, Pearson Education, (1re éd. 2001), 348 p. (ISBN 978-0-582-47287-7 et 978-1-4058-0163-8, présentation en ligne), p. 199-200
  30. (en) L.D. Cooper, « The Knights Templar in Scotland. The Creation of a Myth », Ars Quatuor Coronatorum, vol. 115, no D, , p. 1-54
  31. Cooper 2011
  32. (en) Michael Haag, Templars : History and Myth : : From Solomon's Temple to the Freemasons, Profile Books, , 299 p. (ISBN 978-1-84765-251-5, lire en ligne), p. 267-270,
    ouvrage traduit en Français par C. Billon: Michael Haag, Les Templiers : fausses légendes et histoire vraie, Ixelles Editions, , 384 p. (ISBN 978-2-87515-184-1) consulter en ligne
  33. (en) Christopher Knight et Robert Lomas, The Hiram Keys : Pharaohs, Freemasonry, and the Discovery of the Secret Scrolls of Jesus, Fair Winds Press, , 2e éd. (1re éd. 1996), 400 p. (ISBN 978-1-931412-75-9, lire en ligne)
  34. (en) A Brief History of Lodge Mother Kilwinning No. 0, by S.R. TAILBY, Kilwinning, June 1944 - consultée le 03/08/2012
  35. Cooper 2011
  36. Jean-Pierre Bayard, Symbolisme maçonnique traditionnel, vol. 2, Edimaf,
  37. Cité par Paul Arnold, La Rose Croix et ses rapports avec la franc-maçonnerie,G.-P. Maisonneuve & Larose, 1970, p. 237 - texte complet dans Claude-Antoine Thory Acta latomorum ou Chronologie de l'histoire de la franche-maçonnerie française et étrangère, Dufart, 1815, tome 1, p. 329
  38. dans Jean-Marie Ragon, Orthodoxie maçonnique : suivie de la Maçonnerie occulte, et de l'initiation hermétique Dentu, 1853, p. 251

Voir aussi

Généralités sur les Templiers

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