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Simonne Ratel

Simonne Ratel[1], née le à Sin-le-Noble et morte le à Rueil-Malmaison, est une écrivaine, journaliste et résistante française, lauréate du prix Interallié en 1932.

Simonne Ratel
Description de cette image, également commentée ci-après
Simonne Ratel en 1932.
Naissance
Sin-le-Noble
Décès
Rueil-Malmaison
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture français

Å’uvres principales

Biographie

Simonne Ratel est chroniqueuse pour le journal Comœdia dès 1926, ainsi que pour Nouvelles littéraires. En 1930, elle reçoit le prix Minerva pour son roman Trois parmi les autres. Pour ses chroniques, qui seront publiées en recueil en 1930, elle côtoie le tout Paris littéraire, notamment Jean Giraudoux et Jean Cocteau.

En 1932, elle reçoit le prix Interallié pour La Maison des Bories et en 1933 elle est membre du jury du prix Jeunesse de littérature avec notamment Marcelle Tinayre. En 1934, toujours collaboratrice à Comœdia, elle perd son père, Camille Ratel[2].

Durant la Deuxième Guerre mondiale, elle est résistante dans le réseau Mithridate[3]. Elle loge alors avec sa mère et son frère à Rueil-Malmaison et au démantèlement du réseau sa mère voyant venir les Allemands, la fait fuir par l’arrière de la maison. Simonne prévient Marianne Monestier et l'incite à se cacher[4].

Simonne Ratel est aussi auteur de plusieurs livres pour enfants.

Å’uvre

Notes et références

  1. Parfois orthographié Simone Ratel
  2. Comœdia, 26 janvier 1934.
  3. Patricia Sorel, Plon : Le Sens de l'histoire (1833-1962), Presses universitaires de Rennes, 2018, (ISBN 9782753555884), p. 213.
  4. Marianne Monestier, Elles étaient cent et mille... : Femmes dans la Résistance, éditions Fayard, 1972, (ISBN 9782706212635), p. 59.
  5. lire en ligne sur Wikisource
  6. lire en ligne sur Wikisource

Liens externes

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