Servantes de Marie Réparatrices
Les Servantes de Marie Réparatrices (en latin : Congregationis Servarum Mariae Reparatricum) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et caritative de droit pontifical.
| Servantes de Marie Réparatrices | |
| Ordre de droit pontifical | |
|---|---|
| Approbation diocésaine | 31 mars 1903 par Mgr Polin  | 
| Approbation pontificale | 24 mars 1931 par Pie XI  | 
| Institut | congrégation religieuse | 
| Type | apostolique | 
| Spiritualité | servite | 
| Règle | règle de saint Augustin | 
| But | enseignement | 
| Structure et histoire | |
| Fondation | 12 juillet 1900 Vidor  | 
| Fondateur | Marie Élise Andreoli | 
| Abréviation | S.M.R. | 
| Rattaché à | Servites de Marie | 
| Site web | (it) site officiel | 
| Liste des ordres religieux | |
Histoire
En 1892, Marie Élise Andreoli et trois compagnes commencent à accueillir et à aider les orphelins de la ville. Le 9 juillet 1899, elles sont admises dans le Tiers-Ordre des Servites de Marie et font leur profession religieuse le 12 juillet 1900 à Vidor. Le 31 mars 1903, la congrégation est reconnue de droit diocésain sous le nom de Servantes de Marie par Mgr Polin, évêque d'Adria. Elles sont agrégées le 19 janvier 1910 à l'Ordre des Servites de Marie ; l'œuvre est transférée à Rovigo l'année suivante[1].
En 1911, Marie Dolores Inglese, fervente adepte de la réparation mariale, rentre dans l'institut et convainc la fondatrice d'adopter cette dévotion[2]. Le 8 décembre 1913, Mgr Pellizzo, évêque de Padoue, approuve leurs constitutions religieuses inspirées des Sœurs servantes de Marie et sous la règle de saint Augustin[1]. Il approuve également la réparation mariale et ajoute le titre de Réparatrices aux servantes de Marie[3].
L'institut reçoit le décret de louange le 24 mars 1931 ; il est définitivement approuvé par le Saint-Siège le 17 juin 1941[1].
Activités et diffusion
Les Servantes de Marie Réparatrices se consacrent à l'enseignement et à diverses activités selon les besoins où elles vivent.
Ils sont présentes en[4]:
- Europe : Albanie, Italie, Portugal.
 - Amérique : Argentine, Bolivie, Brésil, Pérou.
 - Afrique : CĂ´te d'Ivoire.
 
La maison-mère est à Rome.
En 2017, la congrégation comptait 309 sœurs dans 56 maisons[5].
Notes et références
- (it) Guerrino Pelliccia et Giancarlo Rocca, Dizionario degli Istituti di Perfezione, vol. VIII, Milan, Edizione Paoline, 1974-2003, p. 1367-1370
 - (it) « Suor Maria Dolores Inglese », sur http://servidimaria.net (consulté le )
 - (it) « Nell’80° di Madre Dolores », sur http://www.smr.it (consulté le )
 - (it) « Nel mundo », sur http://www.smr.it (consulté le )
 - (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, , 2329 p. (ISBN 978-88-209-9975-9 et 88-209-9975-7), p. 1647
 
Liens externes
- (it) site officiel