Saint-Joseph-de-Coleraine

Son nom fait référence à Joseph Le Caron, patron de la Nouvelle-France, et à une ville et d'un port de l'Irlande du Nord[4].

Saint-Joseph-de-Coleraine possède cinq lacs, le Grand lac Saint-François, le Petit lac Saint-François, le lac Bisby, le lac Rond et le lac Caribou.

Le village de Vimy-Ridge est situé dans la municipalité de Saint-Joseph-de-Coleraine entre les monts King et Caribou. Il a été construit vers 1917 par la compagnie Bennett et Martin de Thetford Mines, en vue de l’exploitation des gisements d’amiante des environs. C’est en 1931 qu’intervint son rattachement à Saint-Joseph-de-Coleraine[5]. De nos jours, une quarantaine de résidences occupent le périmètre urbain de Vimy-Ridge.

Endroit de plein-air par excellence, les sentiers pédestres des 3 Monts et la réserve écologique de la Serpentine-de-Coleraine sont situés dans cette municipalité.

Les élections municipales se font en bloc pour le maire et les six conseillers[8].

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  Moulin et convoyeurs, mine Lac d'amiante
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  Puits d'exploitation, mine Montreal-Coleraine
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  Puits d'exploitation, mine Continental
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  Vue intérieure de la galerie, mine Woolsey Chrome
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  Vue générale de la tranchée d'exploitation, mine Bennett-Martin Chrome

À Saint-Joseph-de-Coleraine, l'église Saint-Joseph a été érigée entre 1959 et 1960[9]. L'architecte Roland Dupéré (1911-1975) a dessiné ses plans[10]. L'ancien presbytère est construit près de l'église[11]. Un croix de chemin est située à l'intersection des rues Bernier et Proulx.

À Vimy Ridge, l'église dite chapelle Notre-Dame-de-Vimy a été érigée en 1922[12].

L'activité minière a laissé plusieurs traces dans la région. Au moins dix mines ont été en opération sur le territoire de la municipalité, dont American Chrome[13], Bennett-Martin Chrome[14], Continental[15], Huard[16], Lac d'amiante[17], Montagne Caribou[18], Montreal-Coleraine[19], Reed-Bélanger[20], Windsor[21] et Woolsey Chrome[22].