Rue des Peupliers (Paris)
La rue des Peupliers est une voie du 13e arrondissement de Paris située dans le quartier de la Maison-Blanche.
13e arrt Rue des Peupliers
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Situation | |||
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Arrondissement | 13e | ||
Quartier | Maison-Blanche | ||
Début | 74, rue du Moulin-des-Prés | ||
Fin | Boulevard Kellermann | ||
Morphologie | |||
Longueur | 460 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Création | XVIIe siècle et 1864 | ||
DĂ©nomination | |||
Ancien nom | Chemin des Peupliers | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 7324 | ||
DGI | 7365 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 13e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue des Peupliers est directement desservie par les lignes de bus RATP 57 et Traverse Bièvre. Elle est desservie à proximité par la ligne   aux stations Tolbiac et Maison Blanche, la ligne de tramway  , ainsi que par les lignes de bus RATP 47 62 67.
Origine du nom
Elle porte ce nom car elle était à l'origine bordée de peupliers.
Historique
Ancien « chemin des Peupliers » sur la commune de Gentilly présent sur le plan de Roussel de 1730, la voie est annexée par la ville de Paris, en 1863, qui décide de réaliser le percement de la partie nord entre la rue du Moulin-des-Prés et un bras de la Bièvre[1] - [2].
Une partie de la voie délimite la ZAC Gare de Rungis
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- La rue, après avoir passé la place de l'Abbé-Georges-Hénocque, mène à la poterne des Peupliers où se trouve la dernière porte encore préservée de l'enceinte de Thiers.
- Elle longe l'ancien hôpital de la Croix-Rouge, devenu en 2006 l'hôpital privé des Peupliers.
- Elle passe sous la ligne de Petite Ceinture, ouverte au public en 2016 dans cette section Ă l'emplacement du jardin de la Poterne-des-Peupliers.
- Le pont de la Petite Ceinture accueillait, exactement dans l'axe de la rue, une des œuvres d'art contemporain installées en 2006 par la ville de Paris sur le parcours de la ligne de tramway   : Mirage de Bertrand Lavier. Il s'agissait de palmiers métalliques mobiles qui se levaient et s'abaissaient périodiquement, apparaissant ou disparaissant à la vue des passants comme un mirage dans le désert.