Rue de l'Abbé-Grégoire

Longue de 372 mètres, elle commence 73, rue de Sèvres et finit 90, rue de Vaugirard.

Le quartier est desservi par la ligne   à la station Vaneau, par la ligne   à la station Rennes et par les lignes de bus RATP 68 70 94.

L’abbé Grégoire.

Elle tient son nom actuel de l'abbé Henri Grégoire (1750-1831), évêque constitutionnel de Blois parce que cet abbé est mort dans une maison voisine au n^o 44 de la rue du Cherche-Midi[1] - [2].

La partie comprise entre la rue de Sèvres et la rue du Cherche-Midi, qui était appelée « rue Saint-Maur-Saint-Germain » et plus simplement « rue Saint-Maur », en mémoire d'un des principaux disciples de saint Benoît, a été ouverte à la suite d'une vente faite par l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés le 23 février 1644.

Elle a porté les noms de « passage du Manège » en 1816, « rue des Missions » en 1868 à cause de sa proximité avec le séminaire des Missions Étrangères[2].

• N^o 7 : sous-station Vanneau de la RATP, construite par l'architecte Paul Friesé.
• N^o 8, 10 et 12 : maison-mère des sœurs de l'Enfant Jésus dite aussi Dames de Saint-Maur, fondée en 1662 par le père Nicolas Barré[3].
• N^o 9 : le peintre et graveur Nicolas Toussaint Charlet y décède en 1845.
• N^o 17 : le médecin René-Théophile-Hyacinthe Laennec y vécut de 1825 à 1826 ; une plaque lui rend hommage.
• N^o 28 : école Grégoire-Ferrandi, construite par l'architecte Marcel Henri Albert Dastugue, en 1960.

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  N^o 7 : sous-station Vanneau.
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  N^o 12.

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  N^o 17 : plaque.
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  N^o 28 : école Ferrandi.

• Charles Lefeuve, Histoire de Paris, rue par rue, maison par maison, Paris, 1875.