Rue Georges-Berger
La rue Georges-Berger est une voie située dans le quartier de la Plaine-de-Monceaux du 17e arrondissement de Paris.
17e arrt Rue Georges-Berger
| |||
| |||
Situation | |||
---|---|---|---|
Arrondissement | 17e | ||
Quartier | Plaine-de-Monceaux | ||
DĂ©but | 2, place de la RĂ©publique-Dominicaine | ||
Fin | 131, boulevard Malesherbes et place du Général-Catroux | ||
Morphologie | |||
Longueur | 155 m | ||
Largeur | 20 m | ||
Historique | |||
Création | 1867 | ||
DĂ©nomination | |||
Ancien nom | rue Legendre | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 4075 | ||
DGI | 4119 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
| |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue Georges-Berger est desservie par la ligne   à la station Monceau, ainsi que par les lignes de bus RATP 30 94.
Origine du nom
Georges Berger.
Elle porte le nom de l'ingénieur et député Georges Berger (1834-1910)[1].
Historique
Cette rue, ouverte par décret du , est un ancien tronçon de la rue Legendre qu'elle terminait à l'ouest.
Détachée de la rue Legendre, elle prend sa dénomination par arrêté du , approuvé par décret du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- La rue débouche sur le parc Monceau.
- No 4 : le peintre Robert Falcucci y vécut.
- No 6 : consulat général du Portugal à Paris.
- No 10 : immeuble construit en 1905-1906 par l’architecte Jacques Hermant[2].
- No 11 bis : hôtel particulier construit vers 1900[2]. Siège de la nonciature apostolique en France de 1897 à 1903[3] - [4].
- No 12 : hôtel particulier de style néo-Renaissance[2].
- No 11 bis et ter.
- No 11 ter.
Notes et références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 583.
- Protections patrimoniales, 17e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 223 à 432.
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de minuit, troisième édition, 1963, supplément, 1972, « Rue Legendre », p. 82.
- Gilles Ferragu et Hervé Yannou, « Une nonciature sans nonce : Mgr Montagnini en France, sa mission et son expulsion (1904-1906) », Mélanges de l'école française de Rome, 2007, 119-1, pp. 109-120.
Article connexe
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.