Rue Boyer
La rue Boyer est une voie située dans le quartier du Père-Lachaise du 20e arrondissement de Paris, en France.
20e arrt Rue Boyer
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Situation | |||
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Arrondissement | 20e | ||
Quartier | Père-Lachaise | ||
DĂ©but | 42, rue de la Bidassoa | ||
Fin | 92, rue de MĂ©nilmontant | ||
Morphologie | |||
Longueur | 273 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Ancien nom | Rue du Pont-de-Turbigo Rue de Magenta Rue du Cantonnier-Sombret |
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GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 1247 | ||
DGI | 1240 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
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Origine du nom
Elle porte le nom du médecin Philippe Boyer (1802-1858) professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris et chirurgien à l'hôtel-Dieu de Paris[1] - [2]. Il est l'auteur, en 1836, du Traité pratique de la syphilis et du Traité des maladies chirurgicales et des opérations qui leur conviennent en 1844.
Philippe Boyer est le fils du baron Alexis Boyer (1757-1833), anatomiste, premier chirurgien de Napoléon Ier en 1805 et chirurgien de l’hôpital de la Charité de Paris.
Historique
Cette rue résulte de la réunion de :
- une voie classée dans la voirie de Paris par un décret du , entre les rues de Ménilmontant et Laurence-Savart, sous le nom de « rue du Pont-de-Turbigo », puis par celui de « rue de Magenta » avant de prendre celui de « rue Boyer » par un décret du ;
- une voie ouverte par un décret du , entre les rues de la Bidassoa et Laurence-Savart sous le nom de « rue du Cantonnier-Sombret[3] » avant qu'elle prenne quelque temps plus tard le nom de « rue Boyer ».
- Marchand de vin, rue Boyer, par Eugène Atget (1910).
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Nos 19-21 : La Bellevilloise.
- No 25 : La Maroquinerie.
- Au niveau du No 38, la formation d'un fontis engloutit sept personnes, le 27 juillet 1778[4].
- Maisons particulières.
- Immeubles de la fondation de Mme Jules Lebaudy.
Références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 237.
- « Philippe Boyer (1802-1858) », data.bnf.fr.
- La Revue hebdomadaire, oĂą il est question de Sombret.
- PH. Diffre et Ch. Pomerol, Paris et environs. Les roches, l’eau et les hommes, Paris, Masson Éditeur, , pages 66-67.
Annexes
Articles connexes
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