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RĂ©seau du Rupt-du-Puits

Avec plus de 17 kilomĂštres de galeries explorĂ©es et topographiĂ©es, le rĂ©seau du Rupt-du-Puits est le plus important rĂ©seau souterrain naturel du Bassin parisien. Mi-2016, en France, ce systĂšme est la 37e plus longue cavitĂ© naturelle et la 10e par la longueur de son siphon principal, d'un dĂ©veloppement noyĂ© de 1 770 mĂštres (longueur totale noyĂ©e par les siphons successifs : 2 950 mĂštres)[1].

RĂ©seau du Rupt-du-Puits
TĂȘte du puits artificiel d'accĂšs
au réseau du Rupt-du-Puits.
Localisation
Coordonnées
48° 44â€Č 49″ N, 5° 01â€Č 19″ E
Localisation
Vallée
Localité voisine
Caractéristiques
Type
Altitude de l'entrée
160 m (vasque du Rupt-du-Puits)
213 m (entrĂ©e de la BĂ©va)
Longueur connue
17,4 km (ensemble du rĂ©seau)
11,4 km (rĂ©seau aval exondĂ© du Rupt-du-Puits)
3,8 km (rĂ©seau amont exondĂ© de la BĂ©va)
Cours d'eau
Patrimonialité
Entrées contrÎlées
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Description

PremiÚre marmite de la « galerie des Marmites » dans le réseau du Rupt-du-Puits.

La riviĂšre souterraine du Rupt-du-Puits rĂ©surge de maniĂšre permanente au Rupt-de-Frainiau [alpha 1] situĂ© Ă  Beurey-sur-Saulx (Meuse). La vasque du Rupt-du-Puits, situĂ©e sur la mĂȘme commune sous un ouvrage maçonnĂ© d'une ligne de chemin de fer dĂ©saffectĂ©e, est un exutoire de crue : bien que toujours en eau, cette exsurgence ne coule qu'en pĂ©riode de crue et alimente alors la Saulx.

L'entrée naturelle historique du réseau du Rupt-du-Puits est le siphon aval situé au niveau de la vasque du Rupt-du-Puits[alpha 2]. Depuis 2003, le réseau du Rupt-du-Puits est relié par les siphons amont au gouffre de la Béva[2], situé sur le territoire de la commune de Trois-Fontaines dans la Marne. Le gouffre de la Béva[alpha 3] est donc une seconde entrée naturelle amont à la riviÚre souterraine du Rupt-du-Puits.

Le réseau non noyé se compose, en aval, d'une galerie principale, nommée collecteur A.S.P.R.P.[alpha 4] et de plusieurs affluents (affluent des Dents de requins, affluent des Meilleurs, affluent de la Grande cheminée, galerie du Silence, affluent des Marmites, affluent Bertrand Léger, etc.) et du gouffre de la Béva en amont.

Depuis 1975, le forage d'un puits artificiel de 0,85 m de diamĂštre, sur le territoire de la commune de Robert-Espagne, assure aux spĂ©lĂ©ologues non plongeurs un accĂšs Ă  la partie non noyĂ©e aval du rĂ©seau, sans passer par le siphon aval situĂ© Ă  la vasque du Rupt-du-Puits. Les galeries non noyĂ©es de cette partie du rĂ©seau s'achĂšvent sur des branches siphonantes.

Le forage artificiel de 48 mĂštres de verticale absolue du Rupt du Puits.

L'ensemble du réseau s'étend sous trois communes et deux départements de la région Grand Est.

Le dĂ©nivelĂ© total est de 53 m entre l'entrĂ©e de la BĂ©va (altitude : 213 m) et la vasque du Rupt-du-Puits (altitude : 160 m).

Histoire

Nacelle qui permit les premiÚres descentes dans le puits artificiel du réseau du Rupt-du-Puits.

En 1962, François Descaves (°1926 - †2006) publie un article[3] qu'il conclut en signalant l'Ă©mergence du Rupt-du-Puits comme intĂ©ressante Ă  plonger : « Enfin, Ă  Robert-Espagne, le Rupt-du-Puits (SD 3414) et le Rupt-de-Freiniau (SD 3410), mĂ©riteraient une tentative de plongĂ©e souterraine. » Cette communication attire, durant l'Ă©tĂ© 1966, Bertrand LĂ©ger (°1947 - †1984)[4], spĂ©lĂ©o-plongeur du Camping club de France (Paris), qui dĂ©sobstrue l'entrĂ©e du laminoir ennoyĂ© Ă  une profondeur de 7 mĂštres[5].

L'annĂ©e suivante, les explorations prennent leur essor avec une petite Ă©quipe composĂ©e de Bertrand LĂ©ger et Jacky Bourgin (°1951 - †2010)[6], Jean-Louis Camus, Patrice Lucion et GĂ©rard Paquin, du Groupe spĂ©lĂ©ologique de Fains-les-Sources (G.S.F.). Finalement, Camus et Paquin franchissent le siphon (prof. : −4 m ; dĂ©v. : 445 m) le . Le lendemain, Bourgin et Lucion explorent 1,7 kilomĂštre de galerie dans le rĂ©seau du Rupt-du-Puits et butent sur le siphon amont. Pendant les deux annĂ©es qui suivent, ces cinq spĂ©lĂ©o-plongeurs, accompagnĂ©s d'autres plongeurs comme Yves Aucant ou Jacques de Schryver, explorent et topographient le rĂ©seau (dĂ©v. : 10 650 mĂštres), ce qui en fait Ă  cette Ă©poque le plus grand rĂ©seau post-siphon connu du monde[7].

Devant le potentiel de cette ressource en eau, et grĂące Ă  la persĂ©vĂ©rance de François Descaves, hydrogĂ©ologue Ă  la direction dĂ©partementale de l'agriculture de la Meuse, un forage de sondage (prof. : 45 m ; diam. : 130 mm) est rĂ©alisĂ© Ă  l'extrĂ©mitĂ© du siphon aval en 1973. En 1975 ce forage est Ă©largi (diam. : 850 mm) afin de permettre Ă  des non-plongeurs de pĂ©nĂ©trer dans le rĂ©seau. Au dĂ©but, la descente s'effectuait Ă  l'aide d'une nacelle, descendue et remontĂ©e par une grue ; la nacelle est visible sur le terrain de la Maison lorraine de la spĂ©lĂ©ologie (M.L.S.). C'est le B.R.G.M. qui conduit l'expertise scientifique. Le rapport d'Henri Paloc (°1930 - †2021) se conclut par l'affirmation du peu d'intĂ©rĂȘt pour l'accĂšs Ă  l'eau ou pour une grotte touristique, mais prĂ©cise : « Il faut absolument confier la gestion de cet accĂšs aux spĂ©lĂ©os locaux pour qu'ils poursuivent les explorations du rĂ©seau. »

Les explorations et dĂ©couvertes se poursuivent alors et permettent de dĂ©couvrir de nouvelles galeries, portant le dĂ©veloppement total du rĂ©seau du Rupt-du-Puits Ă  11,4 kilomĂštres. ParallĂšlement aux explorations des spĂ©lĂ©ologues, les spĂ©lĂ©o-plongeurs GĂ©rard Ancerment, Jacky Bourgin et P. Lucion, fondateurs en 1973 de l'Association des spĂ©lĂ©o-plongeurs du Rupt-du-Puits (A.S.P.R.P.) Ă  la suite de la dissolution du G.S.F., se lancent dans le siphon amont qui, au bout d'une soixantaine de mĂštres, dĂ©bouche sur une nouvelle galerie puis dans un nouveau siphon explorĂ© sur 500 mĂštres en .

Entre 2000 et 2003, Michel Pauwels, spĂ©lĂ©o-plongeur belge, explore progressivement le siphon amont et relie physiquement le rĂ©seau du Rupt-du-Puits au gouffre de la BĂ©va, portant ainsi le dĂ©veloppement total de ce nouveau systĂšme Ă  environ 17,4 km[2].

C'est à la détermination de François Descaves, pÚre de la spéléologie meusienne et du Rupt-du-Puits, que sont dues les explorations du Rupt-du-Puits puis la réalisation du forage qui permet aujourd'hui un accÚs aisé à la partie aval de la riviÚre[8].

Karstologie

Les travaux de Stéphane Jaillet menés à la fin du XXe siÚcle ont permis de démontrer :

  • des phĂ©nomĂšnes d’érosion rĂ©gressive, par exemple au niveau de la « cascade »,
  • un phĂ©nomĂšne de capture du drain des Meilleurs par le collecteur principal du Rupt-du-Puits, dĂ» Ă  une Ă©rosion rĂ©gressive.

Archéologie - Paléontologie

De nombreux fossiles sont visibles dans le réseau du Rupt-du-Puits, notamment une quantité importante de dents de requins dans la galerie éponyme. De nombreuses piÚces sont visibles dans le musée privé de Jean-Luc Armanini à L'Isle-en-Rigault[9].

Plusieurs piĂšces d'origine prĂ©historique (Ă©clats Ă  talon facettĂ©, pointe moustĂ©rienne, racloir Ă  retouches bifaciales Ă  talon punctiforme) ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes dans les alluvions du rĂ©seau et proviennent d'un gisement de surface lessivĂ© par les eaux d'infiltration[10]. De mĂȘme du matĂ©riel osseux d'une faune relativement moderne (bƓuf, porc, Ăąne, chat, blaireau) a Ă©tĂ© retrouvĂ© dans le lit de la riviĂšre[11].

Biologie

Avec les crues, une faune importante est transportée dans le réseau, composée essentiellement de batraciens et de salamandres.

On trouve également une faune cavernicole terrestre composée de coléoptÚres (Pterostichus), collemboles (Folsomia, Onychiurus et Pseudosinella) et diplopodes (Tachypodoiulus niger)[12], et aquatique composée de Niphargus, notamment au fond de la galerie des Macaronis (Rupt-du-Puits) et dans le gouffre de la Béva, et Caecosphaeroma[13] - [14] - [15].

Conditions d'accĂšs

Le forage du Rupt-du-Puits[alpha 5] Ă©tant la propriĂ©tĂ© de l'Office national des forĂȘts, il est fermĂ© Ă  clef. Son accĂšs est possible grĂące Ă  une convention signĂ©e par la Ligue Grand Est de spĂ©lĂ©ologie avec l'O.N.F. qui garantit le libre accĂšs aux spĂ©lĂ©ologues licenciĂ©s[16]. La clĂ© est disponible pour tout spĂ©lĂ©ologue licenciĂ© dans une fĂ©dĂ©ration europĂ©enne Ă  la Maison lorraine de la spĂ©lĂ©ologie.

Sentier karstique du Rupt-du-Puits

Le sentier karstique du Rupt-du-Puits[17] se situe dans la forĂȘt domaniale de Jean d'Heurs, qui est le prolongement meusien du massif de Trois-Fontaines. Au niveau de sa richesse Ă©cologique, elle est rĂ©pertoriĂ©e en zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique et est contigĂŒe au site Natura 2000 de Trois-Fontaines.

Le départ du sentier s'effectue depuis la commune de Robert-Espagne, il se situe sur la route allant à Trois-Fontaines à la sortie du village de Robert-Espagne au lieu-dit Croix du Bois.

Bibliographie

  • Daniel AndrĂ©s et Baudoin Lismonde, « Le Rupt-du-Puits (Robert-Espagne, Meuse) », dans Bertrand LĂ©ger SpĂ©lĂ©onaute, Groupe spĂ©lĂ©o de la Tronche & ComitĂ© dĂ©partemental de spĂ©lĂ©ologie de l'IsĂšre, , 128 p. (ISBN 2-902670-36-2, lire en ligne), p. 37-40
  • Armanini J.-L. :
    • (1978) - « Gouffre de la BĂ©va », in : « DĂ©couvertes du G.S.R.E. en forĂȘt de Trois-Fontaines », SpĂ©lĂ©o L no 10 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 50-51
    • (1979) - « Un mystĂ©rieux cavernicole au Rupt du Puits », SpĂ©lĂ©o L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 20
    • (1988) - « Un Plesiosaurus au Rupt du Puits », L'Ă©cho des cavernes meusiennes no 1, ComitĂ© dĂ©partemental de spĂ©lĂ©ologie de la Meuse, Bar-le-Duc
    • (1988) - « ActivitĂ©s S.C.L.R. - ActivitĂ©s 1984-1985 : Rupt du Puits », SpĂ©lĂ©o L no 14 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 46
    • (1996) - « Vingt-cinq annĂ©es de recherches dans les forĂȘts domaniales de Jean d'Heurs et de Trois Fontaines », « Spelunca 5e sĂ©rie no 64 », sur F.F.S., Lyon (consultĂ© le ) (ISSN 0249-0544), FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 25-34
  • Armanini J.-L., Beaudoin J.-P., Depaquis J.-P., FrĂ©minet Y., Hayot É., Herbillon Cl., Jaillet St. et Robert N. (1994) - « Le Rupt du Puits » (p. 152-155) & « La riviĂšre souterraine de la BĂ©va » (p. 139,141-142), L'Ă©cho des cavernes meusiennes no 3 (ISSN 0996-6803), ComitĂ© dĂ©partemental de spĂ©lĂ©ologie de la Meuse, Bar-le-Duc
  • A.S.P.R.P. (1977) - « Le Rupt du Puits - Historique », SpĂ©lĂ©o L no 9 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 61-63 + plan en annexe
  • Body M., Devaux Fr., Gouilly J., Goullet M., Louis M. et Trognon R. (1974) - « Gouffre-grotte de la BĂ©va », dans : « Recherches et travaux 72-73 », SpĂ©lĂ© Eau Boue no 7, Association spĂ©lĂ©ologique de la Haute-Marne, Saint-Dizier, p. 19-20 + annexe (planche III)
  • Descaves Fr. (1967) - « SociĂ©tĂ© spĂ©lĂ©ologique de Robert-Espagne (Meuse) - PlongĂ©es souterraines au Rupt-du-Puits », Spelunca 4e sĂ©rie no 1, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 65-66
  • Descaves J.-P. (2016) - « Historique du forage du Rupt-du-Puits », « Le P'tit Usania no 214 », sur USAN, Nancy (consultĂ© le ) (ISSN 1292-5950), Union spĂ©lĂ©ologique de l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne, Nancy, p. 1-2
  • Devaux Fr. (1975) - « Rupt-du-Puits (rĂ©seau du) », in : « Inventaire souterraine Meuse », SpĂ©lĂ©o L no 7 (ISSN 0758-3974), ComitĂ© rĂ©gionale de spĂ©lĂ©ologie d'Alsace et de Lorraine, Nancy, p. 186-194
  • Devos A., Jaillet St., Gamez P. (1999) - « Structures tectoniques et contraintes de cheminement des eaux dans les aquifĂšres karstiques du barrois (Lorraine/Champagne, France) », Geodinamica Acta tome 12, no 3-4, Paris, p. 249-257
  • Douchet V. (1988) - « PlongĂ©es lorraines de Los Fouyants : gouffre du Rupt du Puits », SpĂ©lĂ©o L no 14 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 107
  • Frachon J.-Cl. & Aucant Y. (1973) - « Meuse : le Rupt-du-Puits », Spelunca 4e sĂ©rie no 2, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 54
  • Izouakane H. (1989) - Études prĂ©liminaires du rĂ©seau karstique du Rupt du Puits, MĂ©moire de DEA Option GĂ©ographie et amĂ©nagement de l'espace, gĂ©omorphologie sous la direction du professeur A. Weisrock, UniversitĂ© de Nancy 2, Nancy, 65 p.
  • Jaillet St. :
    • (1994) - Le karst de surface et d'infiltration du Rupt du Puits. Étude du milieu naturel pour la rĂ©alisation d'un sentier karstique, MĂ©moire de Licence gĂ©ographie, UniversitĂ© de Metz, 103 p.
    • (1995) - Le gĂ©osystĂšme karstique du Rupt du Puits : Ă©tude morphologique de l'exo- et de l'endokarst, MĂ©moire de MaĂźtrise gĂ©ographie, UniversitĂ© de Metz, 173 p.
    • (1996) - Dynamique des karsts couverts de bas plateaux : l'exemple du Rupt du Puits (Lorraine / Champagne, France), MĂ©moire de DEA gĂ©ographie, UniversitĂ© de Bordeaux III, 151 p.
    • (2000) - Un karst couvert de bas-plateau : le Barrois (Lorraine / Champagne, France). Structure - Fonctionnement - Évolution, ThĂšse doctorat gĂ©ographie, UniversitĂ© de Bordeaux III (dĂ©c. 2000), 2 vol., 712 p, en cours d'Ă©dition partielle dans Karstologia MĂ©moires no 12 (2005), prĂ©sentation en ligne=
  • Jaillet St. et Gamez P. (1995) - « Observations morphologiques sur le gĂ©osystĂšme karstique du Rupt-du-Puits (Meuse, Lorraine) », « Karstologia no 26 », sur PersĂ©e (consultĂ© le ), FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Lyon, p. 17-38
  • LĂ©ger B. :
    • (1973) - « PlongĂ©es souterraines dans l'est de la France - Meuse, Exsurgence du Rupt-du-Puits, Robert-Espagne », Spelunca 4e sĂ©rie no 1, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 18
    • (1973) - « Meuse : Exsurgence du Rupt-du-Puits, Beurey-sur-Saulx », Spelunca 4e sĂ©rie no 3, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 92
  • Pauwels M. (2008) - « Jonction Rupt du Puits – Gouffre de la BĂ©va (Robert-Espagne, Meuse) », SpĂ©lĂ©o L no 17 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Tomblaine, p. 39-50
  • SpĂ©lĂ©o-club de la Seine (1968) - « PlongĂ©es souterraines - Rupt-du-Puits », Spelunca 4e sĂ©rie no 2, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Paris, p. 17-18
  • PrĂ©vot Chr. (2017) - « Le rĂ©seau du Rupt-du-Puits », Spelunca 5e sĂ©rie no 147, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, Lyon, p. 4-5
  • (en)Jean-Jacques Delannoy, Christophe Gauchon, Fabien HoblĂ©a, StĂ©phane Jaillet, Richard Maire, Yves Perrette, Anne-Sophie Perroux, Estelle Ployon et Nathalie Vanara, « Le karst : des archives palĂ©ogĂ©ographiques aux indicateurs de l’environnement », GĂ©omorphologie : relief, processus, environnement, Paris, vol. 15, no 2,‎ , p. 86-87 (ISSN 1266-5304, lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Philippe Audra-Responsable d'Ă©dition et StĂ©phane Jaillet, Association française de karstologie, « Grottes et karts de France - Le systĂšme karstique du Rupt du Puits(Lorraine) », Karstologia MĂ©moires, Paris, Association française de karstologie, no 19,‎ , p. 160-161 (ISBN 978-2-95-042225-5)
  • SCAM :
    • (1979) - « Fouilles archĂ©ologiques au Rupt du Puits », SpĂ©lĂ©o L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 28-31
    • (1979) - « DĂ©tection au Rupt du Puits », SpĂ©lĂ©o L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine, Nancy, p. 44-47

Références

Notes

  1. le Rupt-de-Frainiau a pour coordonnĂ©es48° 45â€Č 02″ N, 5° 01â€Č 18″ E.
  2. la vasque du Rupt-du-Puits a pour coordonnĂ©es 48° 44â€Č 49″ N, 5° 01â€Č 19″ E.
  3. le gouffre de la BĂ©va a pour coordonnĂ©es 48° 43â€Č 02″ N, 5° 00â€Č 00″ E.
  4. Ce nom est donné en hommage aux spéléo-plongeurs de l'Association des spéléo-plongeurs du Rupt-du-Puits (A.S.P.R.P.) qui ont effectué l'exploration du réseau entre 1973 et 1976.
  5. le forage du Rupt-du-Puits a pour coordonnĂ©es 48° 44â€Č 40″ N, 5° 01â€Č 08″ E.

Références

  1. « Siphonométrie de France », sur http://www.plongeesout.com Plongée souterraine, (consulté le )
  2. Pauwels, M. (ESCM, Collectif du Rupt du Puits) (2008) - « Jonction Rupt du Puits - gouffre de la Béva (Robert-Espagne, Meuse) », Spéléo L no 17 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy
  3. Descaves, Fr. (1962) - « Répertoire des cavités de la région de Bar-le-Duc », Spelunca 4e série no 4, Comité national de spéléologie - Société spéléologique de France, Paris, p. 27-32
  4. Andrés, D. & Lismonde, B. (1995) - « Bertrand Léger - Spéléonaute », sur Comité départemental de spéléologie de l'IsÚre (consulté le ), C.D.S. de l'IsÚre, G. S. La Tronche, Grenoble, p. 10, 15, 16, 17, 18, 37-40, 118, 121
  5. Descaves, Fr. (1967) - « Société spéléologique de Robert-Espagne (Meuse) - Plongées souterraines au Rupt-du-Puits », Spelunca 4e série no 1, Fédération française de spéléologie, Paris, p. 65-66
  6. Prévot, D. (2010) - « In Memoriam : Jacky BOURGIN 1951-2010 », « Le P'tit Usania no 139 », sur USAN, Nancy (consulté le ) (ISSN 1292-5950), Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, Nancy, p. 5
  7. Prévot, D. (2001) - « TrentiÚme anniversaire du forage du Rupt-du-Puits », « Le P'tit Usania no 39 », sur USAN, Nancy (consulté le ) (ISSN 1292-5950), Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, Nancy, p. 5
  8. Prévot, D. (2006) - « in memoriam : François DESCAVES (1926-2006) », « Le P'tit Usania no 93 », sur USAN, Nancy (consulté le ) (ISSN 1292-5950), Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, Nancy, p. 4-5
  9. « Le musée de fossiles de Jean-Luc Armanini », sur Maison lorraine de la spéléologie (M.L.S.) (consulté le )
  10. SCAM, 1979, p. 28-30
  11. SCAM, 1979, p. 30-31
  12. Chauvin J. (1988) - « Une nouvelle espÚce de collembole dans des cavités lorraines », Spelunca mémoires no 14 (ISSN 0249-0544), F.F.S. - LISPEL - Universités de Metz et de Nancy - A.F.K., p. 57-58
  13. Gradot, O. (2016) - « Les sessions meusiennes du Rat et du Lynx – Volume 1 », « Le P'tit Usania no 220 », sur USAN, Nancy (consultĂ© le ) (ISSN 1292-5950), Union spĂ©lĂ©ologique de l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne, Nancy, p. 1-2
  14. Gradot, O. (2017) - « Les sessions meusiennes du Rat et du Lynx – Volume 2 », « Le P'tit Usania no 221 », sur USAN, Nancy (consultĂ© le ) (ISSN 1292-5950), Union spĂ©lĂ©ologique de l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne, Nancy, p. 1-2
  15. Hamon, B. (2017) - « La vie des stations de Niphargus : le point en janvier 2017 - Trois-Fontaines (51)-Lisle-en-Rigault (55) », « Scories Spécial Biospéologie no 477 », sur CPEPESC, Besançon (consulté le ), CPEPESC nationale, Besançon, p. 4
  16. O.N.F. / LISPEL, « Convention relative Ă  la pratique de la spĂ©lĂ©ologie en forĂȘt domaniale de Jeand'Heurs du 23 juin 2017 », sur LIGES, Tomblaine (consultĂ© le )
  17. « Un sentier karstique », sur site du GERSM (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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