AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Police royale malaisienne

La police royale malaisienne (en malais : Polis Diraja Malaysia) (PDRM), est une branche des forces de sécurité de la Malaisie. Cette organisation centralisée a plusieurs rÎles, qui vont de la régulation du trafic routier au contre-espionnage. Son quartier général est situé à Bukit Aman à Kuala Lumpur. Cette police est dirigée par un inspecteur-général (IGP).

Police royale malaisienne
Logo de l'organisation
Situation
Création 1963
Type Police nationale
SiĂšge Drapeau de la Malaisie Kuala Lumpur
Organisation
Effectifs classifié
inspecteur-général de la police Abdul Hamid Bador
SiĂšge de la police Ă  Bukit Aman, Kuala Lumpur.

Dans ses fonctions quotidiennes, la PDRM est assistée par des agents supplémentaires, des volontaires de la police, de la police de réserve, des auxiliaires, des cadets, et des fonctionnaires. L'association des anciens de la police et de l'armée de la Malasie est la plus importante association d'anciens policiers et militaires.

La PDRM coopÚre avec les polices de tous les pays, particuliÚrement avec celles des quatre voisins les plus proches, la police nationale indonésienne, la police royale thaïlandaise, la police royale de Brunei et la police de la république de Singapour.

La PDRM a été reconnue comme ayant dépassé en 2005 et en 2006 les normes internationales de résolution des cas criminels (20 %), avec un résultat de 36,89 %.

Histoire

Les agents spéciaux de la police pendant la Parade du jour de l'indépendance malaisienne.

La police malaisienne existe depuis la conquĂȘte de Malacca par la marine Portugaise le , aprĂšs laquelle l'institution du Temenggung, c'est-Ă -dire des « Guerriers royaux », a Ă©tĂ© supprimĂ©e.

Les devoirs policiers sont tenus par les soldats portugais. Vers 1511, Malacca devient une sociĂ©tĂ© cosmopolite. Les Portugais mettent en place l'administration « Kapitan ». Le , la domination portugaise prend fin avec la conquĂȘte de Malacca par les NĂ©erlandais soutenus par plusieurs soldats du Johor ; les Portugais Ă©taient alors en guerre avec la province d'Aceh. Les NĂ©erlandais gouvernent Malacca en utilisant le systĂšme militaire « Kapitan » mis en place par les Portugais. Des policiers connus sous le nom de « Burgher Guards » ont Ă©tĂ© recrutĂ©s, l'augmentation du nombre d'immigrĂ©s europĂ©ens rendant nĂ©cessaire la mise sur pied de forces de police. Les officiers des Burgher Guards sont essentiellement des NĂ©erlandais rĂ©sidant Ă  Malacca. Leurs subordonnĂ©s sont des autochtones. Responsables au Conseil de Justice, ses membres sont choisis parmi les NĂ©erlandais dans Malacca. D'autres policiers sont nommĂ©s par les hauts responsables de Malacca mais toujours sous commandement nĂ©erlandais.

Supplétifs de la Senoi Praaq, issus de la population aborigÚne des Senoi et chargés de la lutte contre la guérilla communiste (photo prise en 1953)

L'organisation moderne de la police malaisienne date du lors de la signature de la Charte de Justice Ă  Penang. La plupart des officiers Ă©taient alors d'origine britannique. Plus tard cette organisation fut dĂ©veloppĂ©e dans les Établissements des dĂ©troits et Ă  d'autres États malais, principalement les États malais fĂ©dĂ©rĂ©s. En ce temps-lĂ , l'organisation de la police est limitĂ©e Ă  leurs États respectifs. Ce n'est qu'aprĂšs la Seconde Guerre mondiale qu'une organisation simple et centralisĂ©e de la police a Ă©tĂ© Ă©tablie et connue comme la Civil Affairs Police Force (CAPF). Cette organisation a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en Malaisie pour exĂ©cuter des fonctions de police et fut d'abord dirigĂ©e par H.B. Longworthy. Les colonies Britanniques durent prendre en main la gestion des forces de police aprĂšs que l'anarchie se fut rĂ©pandue dans le pays Ă  travers les idĂ©es japonaises. La rĂ©bellion du Parti communiste fut un des problĂšmes auquel les policiers durent faire face. Lors des confrontations entre la Malaisie et l'IndonĂ©sie de 1963 Ă  1965, la police ainsi que les forces militaires luttĂšrent contre les infiltrations des forces indonĂ©siennes dans les États du Johor et Sabah.

Presque un an aprÚs le jour de l'indépendance, à savoir le , Tunku Abdul Rahman accorde le titre « Royal » à la Police Malaisienne. En 1963, la fusion des trois polices est à l'origine de la Police Royale Malaisienne.

Insignes

Symbole de la police

Le drapeau et l'insigne de la Police malaisienne Royale ont un fond bleu symbolisant la population malaisienne. Au centre du drapeau se trouve le symbole de la Police Royale Malaisienne en argent ou blanc. Ce symbole de la police comprend un kriss et une machette qui se croisent. On peut voir au-dessus de ce symbole une tĂȘte de tigre entourĂ©e par une fleur de paddy, surplombant un rouleau oĂč est inscrit Polis Diraja Malaysia. Les caractĂšres arabes se situant dans la couronne signifient respectivement Allah Ă  droite et Mahomet Ă  gauche.

Lune et Ă©toile

La lune et l'Ă©toile symbolisent l'islam, la religion officielle de ce pays.

Kriss et épée Ilang

Le kriss est un symbole important de la culture malaise. C’est l'arme qu’utilisaient les guerriers malais dans le passĂ©. La traditionnelle machette, Ilang ou Klewang, symbolise les États de Sarawak et Sabah, Ă  l’est de la Malaisie et l’esprit hĂ©roĂŻque des nombreuses tribus que sont par exemple les Dayak, les Dusun, les Bajau et les Kadazans.

TĂȘte de tigre

La tĂȘte de tigre symbolise le courage, la force et l’esprit de la PDRM. Auparavant, du (aprĂšs la formation de la Malaisie) jusqu’au , la PDRM utilisait une tĂȘte de lion, symbole de courage. Elle est depuis remplacĂ©e par la tĂȘte de tigre sur ordre du gouvernement malaisien.

Fleur de Paddy

La fleur de paddy fait référence au paddy et au riz, aliments de base des Malaisiens qui sont des symboles de la prospérité nationale.

Devise

La devise de la PDRM reflĂšte l’esprit dâ€˜Ă©quipe et la dĂ©termination.

Sang Saka Biru

Le Sang Saka Biru

Le drapeau de la PDRM est appelĂ© Bleu PerpĂ©tuel ou Sang Saka Biru. Chaque couleur a sa propre signification et le drapeau symbolise la fiertĂ© et l’intĂ©gritĂ©.

Organisations de la PDRM

À part 2 dĂ©partements impliquĂ©s dans l'administration, Ă  savoir le DĂ©partement d'Administration et le DĂ©partement de Logistique, la PDRM a 5 dĂ©partements engagĂ©s dans la lutte contre le crime : la Division d’Investigation Criminelle, la Division Criminelle d’Investigation des Narcotiques, le DĂ©partement de SĂ©curitĂ© IntĂ©rieur et de l'Ordre Public (KDN / KA), la Branche SpĂ©ciale et le DĂ©partement d'EnquĂȘte sur les Crimes Commerciaux. Chacun de ces dĂ©partements sont dirigĂ©s par des directeurs ayant pour grade Commissionnaire de police (Équivalent de l’armĂ©e Ă  des GĂ©nĂ©raux Trois Étoiles ou des Lieutenants GĂ©nĂ©raux).

DĂ©partement de gestion

Le département de gestion est appelé, avec la routine, Affaires administratives et de direction du PDRM. Ce département est aussi le centre névralgique de la PDRM et agit comme la plateforme des services d'appui pour le reste de la force.

Fonction
  • Le Service / La DĂ©signation
    • Il inclut : le Recrutement, le Service des Enregistrements de l'Administration, les Confirmations, les Promotions, les Transferts, les Salaires et les Allocations et les Retraites.
  • L'Administration GĂ©nĂ©rale et la Politique Publique
    • Elle inclut : l'Administration GĂ©nĂ©rale, la Recherche et le DĂ©veloppement, des Affaires Civiles, l’Assistance sociale, le Sport et PERKEP (Persatuan Keluarga Polis ou l'Association des Familles de la Police, des activitĂ©s gĂ©nĂ©ralement sociales pour les familles des policiers)
  • La Formation
    • Elle inclut : les Cours de Base, le Cours de DĂ©veloppement, ComplĂ©ment d’Études et Cours de RĂ©adaptation
  • La Discipline
    • Elle inclut : le contrĂŽle des Termes de RĂ©fĂ©rence / le filtrage, les enquĂȘtes / l’action / le conseil.
Les recrues de la Police Royale Malaisienne encadrées par les officiers de police lors de l'entrainement au tir avec une mitraillette HK MP5 à PULAPOL Kuala Lumpur, Malaisie.
Branche
  • Administrations
  • Assistance Sociale
  • Formation
  • Recherche et DĂ©veloppement
  • Services / DĂ©signation
  • Affaires publiques
  • Relations publiques
  • Consommation
  • CĂ©rĂ©monies
  • Commandant de camp
  • Le Conseil Sportif de la PDRM

DĂ©partement de la logistique

Le Département de la logistique a pour rÎle de fournir plusieurs équipements nécessaires à la PDRM.

VĂ©hicule de Police dans les grottes de Batu, Selangor.
Fonctions
  1. Exploiter le budget d'exploitation et le développement de la PDRM
  2. Planifier, gérer, exploiter et maintenir la communication, la technologie de l'information, le transport et les armes
  3. Gérer des projets et entretenir les bùtiments et les propriétés
  4. Gérer le chiffre d'affaires et les provisions d'équipements généraux / la technologie de la PDRM
  5. GĂ©rer les actifs de la PDRM
Branches
  1. la Branche de Naziran / Administration
  2. la Branche des Communications
  3. la Branche des Technologies de l'information
  4. la Branche des transports
  5. la branche des finances
  6. Chiffre d'affaires Technique
  7. la Branche des Armes
  8. Chiffre d'affaires Général
  9. Part de la construction
  10. la Disposition / la RĂ©serve / la VĂ©rification / la Perte sĂšche

Division d'EnquĂȘtes criminelles

Ce dĂ©partement s’occupe de l’enquĂȘte, l'arrestation et l’accusation de crimes durs (meurtre, vol, viol
) et de petits crimes (vol, cambriolage
). Ce dĂ©partement est Ă©galement spĂ©cialisĂ© dans le jeu, le vice et les sociĂ©tĂ©s secrĂštes (triades).

Fonctions
  1. EnquĂȘter et fonctions des dĂ©tectives
  2. ArrĂȘter et poursuivre les contrevenants
  3. Faire appliquer les lois liées au jeu d'argent, le péché et à la triade
Branches
  • D1 - La Division Administrative
  • D2 - L'Enregistrement de Casier judiciaire
  • D3 - Les Affaires internes
  • D4 - Les Statistiques
  • D5 - L'accusation / la Loi
  • D6 - La Division de l'Assistance Technique
  • D7 - La Triade / le Jeu / le PĂ©chĂ©
  • D8 - L'Investigaton / la Planification
  • D9 - La Division des EnquĂȘtes SpĂ©ciales
  • D10 - La Division mĂ©dico-lĂ©gale
  • D11 - La Division des EnquĂȘtes Sexuelles
  • D12 - La Division des bureaux Interpol

La Division d'EnquĂȘtes criminelles est dirigĂ©e par un Commissionnaire de La police (le PC).

Division d'Investigation Criminelle des Stupéfiants

La fonction de ce DĂ©partement est de lutter contre les stupĂ©fiants en mettant en application la loi pour arrĂȘter et rĂ©duire l'offre et la demande de stupĂ©fiants.

Fonctions
  1. Mettre en application les lois sur l'abus de drogues et le trafic de drogues
  2. Recueillir, Ă©tudier, Ă©valuer et diffuser les informations sur les drogues
  3. EnquĂȘter sur l'activitĂ© des distributeurs et les rĂ©seaux impliquĂ©s dans le trafic de drogues
  4. Combattre toute personne impliquée dans le trafic de drogues, chimistes permettant de recueillir la substance active compris
  5. La mise en place des programmes de prévention de la toxicomanie
  6. L'Ă©change de renseignements avec les agences nationales et internationales
  7. Enregistrer et faire des statistiques sur la distribution de drogues et autres activités liées à la drogue
  8. Surveiller l'activité des anciens contrevenants ou des anciens membres qui étaient impliqués dans le trafic de drogue
  9. Former les officiers membres du DĂ©partement des narcotiques localement ou Ă  l'Ă©tranger
  10. Assister aux réunions, séminaires concernant les drogues au niveau local ou international
Branches
  1. Divisions Spéciales d'Investigation
  2. Coordinateur / relations internationales
  3. Division Administrative
  4. Division de la DĂ©tention
  5. Fouille
  6. Interrogatoire
  7. Expert / Assistance Technique
  8. Rapports / Statistique
  9. Enregistrement
  10. Division de Logistique
  11. Personnel d'AĂ©roport

La Division d'Investigation Criminelle des Stupéfiants est dirigée par un Commissionnaire de Police (PC).

Département de Sécurité Intérieure et Ordre Public

Généralement, ce département a pour rÎle de s'assurer de la sécurité publique et de la tranquillité des administrés. Ce département inclut sebahagain grand de l'opération PDRM de la circulation de contrÎle pour fouiller et sauver l'opération.

Ce département coopÚre aussi complÚtement avec des agences autres. Par exemple avec les Forces armées malaisiennes et l'Armée / la Marine coopÚrent et font des patrouilles maritimes pour prévenir les activités de piratage et l'invasion les frontiÚres nationales. Sauf cela, le design aide aussi à Transporter le MinistÚre et le MinistÚre d'Entreprises Public dans la mise en vigueur d'acte de La circulation.

Les branches principales sous ce département sont :

Général Operations Force

L'Escadron de la police de la Jungle pendant la parade. Auparavant il était appelé Force paramilitaire de terrain, il est une force d'opérations générales. Il a été impliqué dans les opérations contre le terrorisme communiste indonésien et l'activité de guérilla durant les conflits entre la Malaisie et l'Indonésie.

La Force de Police de Terrain (PFF) est organisĂ©e en bataillons, Ă©tait une des unitĂ©s paramilitaires de la Police Royale Malaise. La force, aussi connue en tant que Jungle Squad (Pasukan Polis Hutan (PPH) en malais) opĂ©rait aux abords de la jungle contre toute forme d’insurrection durant l’urgence Malais, les confrontations IndonĂ©sie-Malaisie et les insurrections Communistes postĂ©rieures de guĂ©rillero le long de la frontiĂšre malaise-thaĂŻe et dans les jungles de Sabah et Sarawak. Quand le Parti communiste Malais (MCP) et l'Organisation Communiste Clandestine (CCO) ont finalement renoncĂ© Ă  la lutte armĂ©e en 1989 et 1990, la PFF a perdu son rĂŽle. Elle a Ă©tĂ© rĂ©organisĂ©e comme la Force des OpĂ©rations GĂ©nĂ©rales (GOF). La GOF a 19 bataillons et le 19e est un Bataillon SpĂ©cial appelĂ© pour fournir la sĂ©curitĂ© aux VIP.

Quand il fut Ă©tabli en 1948, le PFF avait 19 bataillons dont deux bataillons Ă©taient composĂ©s d’indigĂšnes. Ces bataillons sont connus sous le nom de bataillons Senoi Praaq. Un bataillon Ă©tait un Bataillon SpĂ©cial de SĂ©curitĂ©.

Les policiers chinois de la Jungle Squad ou actuellement de la Force Générale des Opérations sont équipés de la mitraillette de Sterling L2A3. Les 19 bataillons sont organisés en cinq équipes, chacune dirigée par un Commissaire de police. La brigade du Nord et celle de Sabah ont chacune 4 bataillons, la Brigade Centrale : 5 bataillons et la Brigade du Sud-Est et celle de Sarawak : 3 bataillons chacun.

Tout a commencĂ© en 1948, quand le Parti communiste Malais a assassinĂ© trois fermiers europĂ©ens Ă  Sungai Siput, Perak et a aussi assassinĂ© les trois dirigeants de Kuomintang (l’aile droite du Parti communiste chinois). Sir Edouard Gent a dĂ©clarĂ© l’état d'urgence le dans toutes les FĂ©dĂ©rations de la Malaisie, Ă  commencer avec Perak le et Johore le . Pour traiter avec la rĂ©bellion et pourchasser les terroristes Communistes dans la jungle, une Ă©quipe de militaires, l'Ă©quipe postĂ©e fut formĂ©e en 1948 et elle a pris le nom de Flying Squad puis renommĂ©e Jungle Squad, avec pour principale mission de combattre les Communistes. La premiĂšre unitĂ© de la Jungle Squad a Ă©tĂ© Ă©tablie Ă  Sik, Kedah en 1949. Les centres de formation ont Ă©tĂ© ouverts Ă  Sungai Buluh, Selangor et Ă  Dusun Tua, Hulu Langat, Selangor connu comme le Centre de formation SpĂ©cial des Forces terrestres (Field Force Special Training Centre -SLPPH). En 1964, le SLPPH a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© Ă  Kroh, Perak Ă  Kentonmen, Ulu Kinta, Perak. AprĂšs le changement de nom de la Force d'OpĂ©rations GĂ©nĂ©rale ou Pasukan Gerakan Arm en 1997, le SLPPH est connu en tant que Sekolah Latihan Pasukan Gerakan Arm (le Centre de formation de Force d'OpĂ©rations GĂ©nĂ©rales, SLPGA). Jusqu'ici, il y a deux bataillons Senoi Praaq spĂ©cialisĂ©s dans la recherche et le sauvetage des opĂ©rations. AprĂšs que la VAT 69 eut Ă©tĂ© absorbĂ©e dans Pasukan Gerakan Khas, avec la force de police antiterroriste et l'UnitĂ© d'Action SpĂ©ciale (UTK - l'UnitĂ© Tindakan Khas), un peloton spĂ©cial du PGA, le Peloton de Tigre fut crĂ©Ă©.

Unités de Contre-terrorisme de La police

Quand les menaces de terrorisme global augmentent, Ă  la suite des attentats du aux États-Unis, suivies de plusieurs sĂ©ries de bombardements sur Bali et Jakarta, en IndonĂ©sie ainsi qu'en Malaisie, le RMP a formĂ© 2 corps antiterroristes. Ces 2 forces d'Ă©lites sont le Pasukan Gerakan Khas et UnitĂ© Gempur Marin (UNGERIN).

Pasukan Gerakan Khas
Surveiller la force contre-terroriste Pasukan Gerakan Khas pendant les Quarts Proches Combat l'exercice Ă  tuer de maison dans Bukit Aman, Kuala Lumpur.

Pasukan Gerakan Khas est une force d’élite majeure de la Police malaise Royale, composĂ©e de VTA 69 et de l'UnitĂ© d'Actions SpĂ©ciales (UTK). Cette Ă©quipe a d'abord fusionnĂ©e en 1997 et est connue comme les BĂ©rets bordeaux. Cependant, cette intĂ©gration n'a pas durĂ©, en 2003 il y a eu sĂ©paration. La VTA 69 prit alors des BĂ©rets Bruns Sablonneux, en l’honneur de la 22e Special Air Service(SAS). Cependant, les deux unitĂ©s servent sous Pasukan Gerakan Khas et sous le commandement d'un Senior Assistant Commissioner II.

Cette Ă©quipe spĂ©ciale de police antiterroriste est aussi impliquĂ©e dans quelques opĂ©rations en Malaisie, y compris les opĂ©rations militaires avec le 22e RĂ©giment de Commando malais Grup Gerak Khas contre l'organisation Al-Ma'unah formĂ©e dans Bukit Jenalik, Sauk, Perak. Cette Ă©quipe a aussi servi sous les Nations unies au Timor oriental et dans la recherche et l'opĂ©ration de secours de 700 officiers et membres de la Police nationale indonĂ©sienne BRIMOB (lbrigade mobile) qui s'est perdue et a Ă©tĂ© prise au piĂšge pendant le tsunami dans la province indonĂ©sienne de Aceh, fin 2005. Cette Ă©quipe a aussi coopĂ©rĂ© avec la Division d'EnquĂȘte criminelle contre les crimes dangereux, ainsi, le PGK a avec succĂšs traquĂ© le tristement cĂ©lĂšbre (le cĂ©lĂšbre) ' Gang M16 ' qui comprenait plusieurs criminels ethniques chinois, dont le chef du groupe ex-militaire de Singapour et chef du Gang 13 (Mat Komando), comme d'autres opĂ©rations. Le slogan de la VAT 69 est WARISAN DARAH PERWIRA (En français : LE SANG DU HÉROS), tandis que pour l'UTK c'est TANGKAS BANTERAS GANAS (ce qui signifie : LE PROFESSIONNALISME TUE LE TERRORISME).

Unité Gempur Marin
Un UNGERIN de police anti- terreur sur la Communauté surveillant le spectacle du 23 mai, au Muar dans Johore, Malaisie.

L’UnitĂ© Gempur Marin (UNGERIN) (En français : L'UnitĂ© Marine de Combat) a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 2006 et a Ă©tĂ© entiĂšrement opĂ©rationnelle Ă  la fin 2007. Elle se nommait alors l'UnitĂ© Selam Tempur en raison du besoin urgent de supprimer les attaques de pirates dans le secteur cĂŽtier de DĂ©troits Malacca et celui du sud de la Mer de Sud, la Chine, la Mer qui inlassablement avaient lieu et ce malgrĂ© les efforts entrepris pour surmonter le problĂšme. Les membres ont reçu une formation spĂ©ciale par les États-Unis quand il s’est avĂ©rĂ© qu’il devait y avoir la constitution d’une unitĂ© spĂ©ciale pour sĂ©curiser les eaux nationales et proches. La formation de cette unitĂ© dĂ©pend de la Branche de la Police qui est basĂ©e dans la Base Maritime Ă  Kampung Aceh, Sitiawan, Perak et Lahad Datu, Sabah. Elle a un rĂŽle majeur dans le traitement de menaces de pirates, le vol qualifiĂ©, l'enlĂšvement et le dĂ©tournement de bateaux et des attaques terroristes dans des eaux nationales. Les 30 membres d'UNGERIN sont formĂ©s par des instructeurs de la US Navy SEALs et le Garde-cĂŽte amĂ©ricain dans Langkawi et Kota Kinabalu et sont armĂ©s d'armes spĂ©ciales, comme Glock 19, la MP5-Navy et le Colt M4A1 (Ă©ventuellement soutenu par les États-Unis) et utilisent la tactique anti-terroriste maritime employĂ©e par les unitĂ©s des commandos de la Marine des États-Unis. Pour la restructuration de l'unitĂ©, le nom d'UST a Ă©tĂ© changĂ© en UnitĂ© Gempur Marin ou UNGERIN en 2008. Son but est d'avoir 200 opĂ©rateurs de rĂ©serve avec UNGERIN.

Dans la premiĂšre phase, la force spĂ©ciale forte de 30 personnes doit suivre une formation dans le Langkawi et Kota Kinabalu, donnĂ©e par des instructeurs de la US Navy SEALs. En plus de la formation de plongĂ©e de base, ils seront formĂ©s avec d'autres formations de base, y compris des guerres tactiques, l'habiletĂ© au tir, le tir de prĂ©cision, le dĂ©minage, l'action directe, le sabotage, le contre-terrorisme et la collecte d'information et une formation d'auxiliaire mĂ©dical, avec les missions spĂ©ciales qui sont normalement prĂ©parĂ©es par des forces spĂ©ciales. [3]

Unité fédérale de réserve (FRU)

Les unités de police d'émeute de FRU ont été placées aux divers lieux autour de Kuala Lumpur. Une unité était sur le service actif au Masjid Negara.

L'UnitĂ© de police anti-Ă©meutes FRU est situĂ©e en plusieurs endroits autour de Kuala Lumpur. Une UnitĂ© Ă©tait en activitĂ© au Masjid Negara. L'UnitĂ© FĂ©dĂ©rale de RĂ©serve (en malais : Pasukan Simpanan Persekutuan), connue aussi sous l'acronyme FRU. La FRU est formĂ©e d'Ă©quipes qui sont chargĂ©es de disperser les Ă©meutes ou les rassemblements illĂ©gaux en Malaisie. FondĂ©e le , il n'y avait alors que 3 troupes dans le premier Ă©tablissement. La FRU est Ă©galement impliquĂ©e dans d'importantes Ă©meutes comme l'Ă©meute raciale survenue le ou encore a participĂ© Ă  l'opĂ©ration de capture d'Ibrahim Lybia lors de l'Incident de Memali dans Baling, Kedah qui s'est terminĂ©e avec 16 morts dont Ibrahim Lybia et 3 agents de police.

Lors des opĂ©rations de sauvetage en cas d’inondation, d’incendie en campagne, de dĂ©raillement de train, de glissement de terrain, de crash d’avion
; pour sauver des vies, prĂ©venir le vol et l'infiltration du secteur impliquĂ©, lutter contre le crime en aidant le Chef de Police du District dans le secteur oĂč il y a une nette hausse de la frĂ©quence du taux de crime ou de la criminalitĂ©, Les opĂ©rations massives, comme l’encerclement et la dĂ©couverte, l’éradication et l’arrestation de groupes extrĂ©mistes ou de gangsters, la patrouille intensive et le respect du Couvre-feu. La FRU dirigĂ©e par un Commandant assistĂ© par un Commandant Adjoint, ceux-ci ont en charge le maintien de l'ordre public. Ils sont aidĂ©s de quelques Officiers du Personnel et de l’adhĂ©sion de la population reprĂ©sentant le quartier de Commandement. Chacune des FRU est dirigĂ©e par un Commanding Officer. Toutes les troupes FRU, par un Officier de Troupe. Le centre de formation de la FRU est prĂ©sidĂ© par un Commandant. Via son unitĂ©, le centre de formation de la FRU, a toute approbation pour aider l'administration et est reconnue en tant que groupe du quartier gĂ©nĂ©ral.

La FRU fut rĂ©compensĂ©e par l’attribution de fanions en 1971 et en 1997. Le roi de la Malaisie donne ces fanions en rĂ©compense pour service rendu Ă  des Ɠuvres de bienfaisance et au service de la FRU pour l’établissement d’une unitĂ© pour maintenir l’ordre public national. Pendant les cĂ©rĂ©monies officielles oĂč la FRU en tant que corps ou dĂ©tachement; comme la Garde d'Honneur, la Mess Night de la FRU ou la parade en lien avec les Anniversaires de la Police et les Anniversaires de la FRU, la banniĂšre de la FRU peut ĂȘtre remise et utilisĂ©e lors de parade portĂ©e par un dirigeant avec l'approbation de l’IGP, le Directeur du KDN'S ou le Commandant de la FRU.

Systùme de mise en Ɠuvre du C4-i

Le personnel de Patrouille de Police contrÎlant sur la résidence de propriété de VIP. La patrouille de police unité mobile est une partie du C4-i SystÚme d'Implémentation

Le personnel de Patrouille de la Police contrĂŽle la rĂ©sidence de propriĂ©tĂ© de VIP. L'unitĂ© mobile de patrouille de police fait partie du SystĂšme de Mise en Ɠuvre C4-i (Command, Control, Communications, Computer-Integrated). L'unitĂ© est basĂ©e au Centre de ContrĂŽle de la Police dans tous les contingents de police en Malaisie. Cette unitĂ© est assignĂ©e Ă  la patrouille dans la ville et la banlieue. Cette unitĂ© a Ă©tĂ© d'abord Ă©tablie dans Bukit Aman et Kuala Lumpur est le premier contingent Ă  mettre en Ɠuvre ce systĂšme. Cette unitĂ© est Ă©quipĂ©e du systĂšme de surveillance en circuit fermĂ© qui est installĂ© dans diffĂ©rents lieux en ville et contrĂŽlĂ© par le Centre de ContrĂŽle du Contingent et chaque voiture de police est aussi Ă©quipĂ©e du systĂšme C4-i connectĂ© Ă  un ordinateur portable. Le C-4i joue aussi un rĂŽle dans la formation Rakan des policiers en 2006 pour favoriser des liens avec la communautĂ© civile. Depuis lors, le taux de criminalitĂ© dans des villes majeures a diminuĂ© et a donnĂ© de bons rĂ©sultats sur le C4-i et la mise en Ɠuvre de policiers Rakan.

Branche spéciale

Ce département rassemble toute information liée à la sécurité nationale à la fois aux niveaux national ou international. Ainsi son rÎle est d'intercepter toute activité subversive qui pourrait menacer la stabilité nationale, qu'elle soit fomentée par des groupes extrémistes ou de simples individus. Ce département est également chargé de l'obtention tout comme le traitement, l'évaluation et la répartition de l'information vers d'autres départements et organisations. Ce département est divisé en plusieurs branches : renseignements techniques, renseignements sociaux, renseignements extérieurs, renseignements politiques, renseignements économiques et renseignements liés à la sécurité.

La Branche Spéciale est dirigée par un Commissionnaire de Police (CP).

DĂ©partement d'enquĂȘte de crimes commerciaux

La fonction principale de ce département est l'investigation, l'arrestation et la poursuite des contrevenants en col blanc impliqués dans la fraude, l'abus de confiance, la cybercriminalité, la contrefaçon...

Le DĂ©partement d'EnquĂȘte de Crimes Commerciaux est dirigĂ© par un Commissaire de Police (CP).

Objectif

L'objectif de la division est doublé par la direction supérieure, à savoir :

  • Éradiquer le crime commercial sous toutes ses formes.
  • Mener les enquĂȘtes et produire l'enquĂȘte avec la qualitĂ© dans le but de poursuivre le contrevenant dans la cour de justice conformĂ©ment aux lois.
  • Recueillir le maximum de donnĂ©es sur l'offense de crime commercial, pouvant aider dans l'achĂšvement de l'enquĂȘte.
  • Garantir l'enquĂȘte par l'utilisation de toute l'expertise et de ressources humaines additionnelles nĂ©cessaires

Armements et Ă©quipement

Le policier malais dispose normalement d'armes de poing et d'armes longue portée pour les situations difficiles.

ModÚle Nature/Service concernés Origine
Beretta 92 Pistolet Drapeau de l'Italie Italie
Beretta Px4 Storm Pistolet Drapeau de l'Italie Italie
Browning GP Pistolet Drapeau de la Belgique Belgique
Glock 19 Pistolet Drapeau de l'Autriche Autriche
HK USP Pistolet/RMP Est Malaisie (Compact mm), PGK (Tactical mm) Drapeau de l'Allemagne Allemagne
SIG Sauer P226 Pistolet Drapeau de la Suisse Suisse
Smith & Wesson M&P Revolver Drapeau des États-Unis États-Unis
Walther P99 Nouveau PA de la RMP Drapeau de l'Allemagne Allemagne
MP5A2/A3/A4/A5/Navy Pistolet-mitrailleur (A2/A3/A4), PGK/UNGERIN (A5/Navy) Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Remington 870 Fusil à pompe Drapeau des États-Unis États-Unis
Benelli M3 Super 90 Fusil Ă  pompe/PGK Drapeau de l'Italie Italie
Colt M4A11 Fusil d'assaut des PGK/UNGERIN Drapeau des États-Unis États-Unis
Colt M16A1 Fusil d'assaut normal de la RMP Drapeau des États-Unis États-Unis
HK416 Fusil d'assaut/PGK Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Heckler & Koch G36C Fusil d'assaut/VAT 69 PGK Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Heckler & Koch PSG-1 Fusil de précision des PGK/UNGERIN Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Accuracy International L96A1 Fusil de précision des PGK/UNGERIN Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Remington 700 Fusil de prĂ©cision Drapeau des États-Unis États-Unis

1 les M4A1 remplaçant progressivement les M16 sont fournies par SME Ordnance[1]

Récentes opérations

Braquage à main armée de Al-Mau'nah

Le , , 21 membres du groupe Al-Mau'nah visitent l'avant-poste et le camp du rĂ©giment Bn 304 Askar Wataniah au prexte d'une inspection surprise et confisquent les armes des soldats tout comme celles du dĂ©pĂŽt d'armes. Ils embarquent une grande quantitĂ© d'armes et de munitions, dont 97 fusils d'assaut M16, quatre GPMGS, cinq lanceurs de grenade, 9 095 cartouches de 5,56 millimĂštres et 60 cartouches de 40 millimĂštres. Plus tard, le groupe se trouva acculĂ© dans le village de Sauk au Perak et face Ă  l’armĂ©e malaise et aux forces royales de police. Les forces spĂ©ciales malaises jettent une mĂšche lente sur Bukit Jenalik. Matthew anak Medan du 21e commando est tuĂ© par le groupe et se voit honorĂ© de Pahlawan Gagah Berani[2]. Le dirigeant du groupe et ses membres se rendent au forces spĂ©ciales malaisiennes[3].

Les membres d'Al-Mau'nah sont poursuivis en justice pour « acte de guerre envers le Roi », puis sont le premier groupe reconnu coupable de telles charges en Malaisie. Mohamed Amin Mohamed Razali et ses deux lieutenants, Zahit Muslim et Jamaluddin Darus, sont condamnés à mort. Seize autres sont condamnés à l'emprisonnement à perpétuité. Un employé de la police, le detective korporal Sanghadevan est assassiné pendant l'incident[4] - [5].

Incident de Memali

L’incident de Memali a lieu dans le village Ă©loignĂ© de Memali, Baling dans l'État du Kedah le . Un dĂ©tachement spĂ©cial de 200 policiers sous les ordres du Premier ministre par intĂ©rim et du ministre de l’IntĂ©rieur Musa Hitam Ă©tend le siĂšge aux maisons du village de Memali. Les maisons Ă©taient occupĂ©es par une secte islamique d'environ 400 personnes menĂ©e par Ibrahim Mahmud alias Ibrahim Libya[6].

Incident de Bukit Kepong

L'incident de Bukit Kepong est une rencontre armĂ©e le entre la police et des membres du Parti communiste malais pendant la pĂ©riode prĂ©-indĂ©pendance. Ce conflit a eu lieu dans un secteur autour du poste de police de Bukit Kepong dans le Bukit Kepong (en), un poste en bois situĂ© sur les rives du fleuve Muar, Ă  environ 59 km de la ville de Muar au Johor.

Reprise Mas Selamat Kastari

Le terroriste Mas Selamat Kastari s'Ă©chappe de dĂ©tention Ă  Singapour en 2008 et est recapturĂ© par Bukit Aman et la police de Johore dans son sommeil dans une maison du village isolĂ©e de Skudai, Ă  25 km nord-ouest de Johor Bahru au Johor[7] - [8]. Il est trouvĂ© dans une maison sur pilotis de Tawakal, un petit village avec une population de moins de 100. À 6 heures, environ 30 policiers armĂ©s entourent la maison et ordonnent Ă  Mas Selamat de sortir[9]. Il est arrĂȘtĂ© avec deux autres personnes, Abdul Matin and Johar Hassan, Ă  la suite d'informations des services de renseignements indonĂ©siens et singapouriens[10].

Le le ministre de l’IntĂ©rieur Hishammuddin Hussein et l'inspecteur-gĂ©nĂ©ral de la police de Putrajaya Musa Hassan confirment l'arrestation de Mas Selamat selon l'acte de sĂ©curitĂ© interne[11]. Hishammuddin refuse des dĂ©tails, justifiant que c'est une affaire sensible qui implique les agences d'intelligence de Singapour, d'IndonĂ©sie et de Malaisie[11]. Musa dĂ©clare que l'arrestation a Ă©tĂ© rendue possible par la coopĂ©ration policiĂšre entre Singapour, l’IndonĂ©sie et la Malaisie[12] - [13].

Avis de recherches et Récompenses pécuniaires

Bien que les avis de recherche existent dĂ©jĂ , il y a un sentiment public que les avis de recherche pourraient participer plus largement Ă  la rĂ©solution et Ă  la dissuasion des crimes. À part ĂȘtre placĂ©s plus en Ă©vidence Ă  l'intĂ©rieur tout comme Ă  l'extĂ©rieur des commissariats, on pourrait les trouver dans tous les bureaux de poste, sur les arrĂȘts des bus, les terminus des taxis, les aires d'attente dans les aĂ©roports, Ă  l'extĂ©rieur des toilettes publiques, les hĂŽpitaux privĂ©s et publics, les cliniques, les Ă©coles privĂ©es et publiques, les entrĂ©es des parkings publics, les centres commerciaux, les tĂ©lĂ©phones publics...

Ceux-ci devraient ĂȘtre mis Ă  jour au moins sur une base trimestrielle. Des avis de recherche spĂ©ciaux, avec des dĂ©tails plus importants que ceux inscrits sur les affiches pourraient ĂȘtre donnĂ©s aux conducteurs de bus, les receveurs, les vendeurs de tickets de bus, les agents de voyage, le personnel des cabines de pĂ©age, les Ă©quipages des compagnies aĂ©riennes intĂ©rieures, du personnel de sĂ©curitĂ© des supermarchĂ©s, le personnel des stations services, le personnel des restaurants et des hĂŽtels, le personnel de cantine officiant dans la remise de boissons, la rĂ©ception des centres commerciaux et le personnel de sĂ©curitĂ©, le personnel des attractions publiques, les sociĂ©tĂ©s de surveillance privĂ©es... Ceux-ci pourraient agir comme des yeux supplĂ©mentaires et des oreilles pour la police. De plus grandes motivations financiĂšres devraient ĂȘtre annoncĂ©es pour ceux qui aideraient la police avec leurs enquĂȘtes.

Dans la culture populaire

Proposition de décentralisation et d'un bureau de police fédéral

À cause de la critique publique faisant part du manque de professionnalisme de la police (incidents, meurtres) et dans l'incapacitĂ© de repousser le crime, quelques propositions ont Ă©tĂ© avancĂ©es pour rĂ©former et restructurer la police royale de la Malaisie. Ainsi, il a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ© de rĂ©gionaliser la police comme le FBI tout en gardant une unitĂ© nationale. À Johor par exemple il pourrait y avoir une police propre Ă  l'État de Johor et dans Pahang il pourrait y avoir de police propre Ă  l'État de Pahang. La force de police dans le territoire fĂ©dĂ©ral de Labuan pourrait simplement ĂȘtre appelĂ©e « police de Labuan », tandis que la force de police dans la capitale pourrait ĂȘtre « police de ville de Kuala Lumpur ». Il devrait toujours exister une police, qui pourrait ĂȘtre celle de la route, pour laquelle les frontiĂšres d'Ă©tat ne seraient pas une frontiĂšre, de mĂȘme il pourrait y avoir des dispositions pour que la police d'Ă©tat ne tienne pas compte des frontiĂšres d'Ă©tat en cas de problĂšmes graves. Naturellement, il devrait toujours subsister un degrĂ© d'intĂ©gration et de coopĂ©ration entre chacune des forces de police d'Ă©tat. Une autre suggestion est que le mot « royal » soit abandonnĂ©. Non seulement parce que des membres des familles royales malaisiennes ne sont pas enclins Ă  ĂȘtre associĂ©s aux incompĂ©tences ou au manque de professionnalisme de quelques membres de la force de police mais aussi parce que l'adjectif ne rĂ©vĂšle pas un rĂŽle de la police, des fonctions et des responsabilitĂ©s de la police en Malaisie. La police est redevable envers le public plutĂŽt qu'envers les familles royales. La question la plus importante pourrait ĂȘtre le maintien de l'ordre au sein mĂȘme de la police et de cibler les personnes qui ternissent la police. Chaque force pourrait avoir un bureau des plaintes relatifs Ă  la police et un ComitĂ© de responsabilitĂ© avec les membres extĂ©rieurs (avocats, ex-avocats et ex-juges).

Notes et références

  1. « M4 carbine also used by Royal Malaysian Police, Malaysian Maritime Enforcement Agency and others », SME Ordnance Sdn Bhd (consulté le )
  2. (en) « Malaysian arms gang took hostages », sur BBC News, (consulté le ).
  3. (en) « Malaysian gunmen surrender », sur BBC News, (consulté le ).
  4. « Sauk incident », sur Utusan Malaysia, (consulté le )
  5. « Malaysian arms raid cult charged », sur BBC News, (consulté le )
  6. (en) Yusoff Kamaruzaman, « Islamic Radicalism in Malaysia: the Middle East connection », Université de Durham (consulté le )
  7. (en) « Singapore's JI leader Mas Selamat reportedly arrested in Malaysia », Channel NewsAsia, .
  8. (en) « Singapore terrorism suspect held », BBC News, (consulté le ).
  9. (en) Meera Vijayan, « Fugitive militant finds rustic retreat away from prying eyes », The Star,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  10. (en) Charles Lourders, « Fugitive Mas Selamat nabbed », The Star,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  11. (en) « We will ensure Mas Selamat does not escape », New Straits Times,‎ (lire en ligne).
  12. (en) Charles Lourders et Dharmender Singh, « Mas Selamat JI leader nabbed in Skudai », The Star, The Star (Malaisie),‎ (lire en ligne [archive du ], consultĂ© le ).
  13. (en) Leslie Lopez (Senior Regional Correspondent), « Mas Selamat captured », The Straits Times,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.