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Plan climat-air-Ă©nergie territorial

Un plan climat-air-Ă©nergie territorial (PCAET), remplace depuis le l'ancien plan climat-Ă©nergie territorial (PCET) en y intĂ©grant les enjeux de la qualitĂ© de l'air[1] en France. Obligatoire pour toute intercommunalitĂ© Ă  fiscalitĂ© propre (EPCI) de plus de 20 000 habitants, Ă  l’échelle de son territoire ; il dĂ©cline et met en Ĺ“uvre sur son territoire les objectifs internationaux, europĂ©ens et nationaux en matière de qualitĂ© de l'air, d'Ă©nergie et de climat. Pour cela il dĂ©finit des objectifs stratĂ©giques et opĂ©rationnels pour attĂ©nuer le changement climatique, le combattre efficacement et s'y adapter, dont en dĂ©veloppant les Ă©nergies renouvelables, en maĂ®trisant la consommation d'Ă©nergie, en rĂ©duisant les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre et la dĂ©pendance Ă©nergĂ©tique, tout en favorisant l'adaptation aux changements climatiques sur les court, moyen et long termes ; en cohĂ©rence avec les engagements internationaux de la France.

La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) a renforcé le rôle des collectivités territoriales dans la lutte contre le changement climatique, dont via les PCAET qui sont à la fois un projet de territoire et un outil d'animation de ce projet. Participatif, le PCAET est co-construit par les décideurs, les services des collectivités territoriales et les acteurs du territoire (collectivités, acteurs socio-économiques, associations, entreprises, universités, habitants…). Il vise une cohérence entre les actions du territoire, en passant au filtre « climat-énergie » toutes les décisions et politiques, pour passer d'initiatives éparses, engagées au coup par coup, à une politique climat-énergie cohérente, concertée et ambitieuse.

Il comporte généralement :

  • un Ă©tat des lieux (bilan carbone, empreinte Ă©nergĂ©tique, cadastre des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre (diffuses, mobiles, chroniques ou ponctuelles, voire accidentelles...) ;
  • un travail de prospective (tendances lourdes, phĂ©nomènes Ă©mergents) ;
  • des objectifs quantifiĂ©s dans le temps, basĂ©s au moins sur les objectifs nationaux et europĂ©ens (facteur 4 en 2050, « 3 Ă— 20 » pour 2020[2])
  • un volet attĂ©nuation et un volet adaptation ;
  • des indicateurs (gĂ©nĂ©ralement d'Ă©tat, pression et rĂ©ponse) de suivi et d'Ă©valuation Ă  l'Ă©chelle du territoire considĂ©rĂ© (national, rĂ©gional, municipal, etc.)

Le changement climatique Ă©tant global, avec des effets inĂ©galement rĂ©partis, le plan peut intĂ©grer un volet « solidaritĂ© Â» incluant des actions inter-rĂ©gionales et/ou de coopĂ©ration dĂ©centralisĂ©e.

Origine

Les politiques locales relatives à la maîtrise de la demande énergétique (MDE) ont considérablement augmenté à la suite des chocs pétroliers des années 1970[3]. Pour répondre (parmi d'autres actions) aux enjeux énergétiques et climatiques (deux enjeux fortement liés), les PCAET apparaissent pour la première fois en France dans le Plan Climat National de 2004, dont le chapitre 7, intitulé « Plans Climat Territoriaux et État exemplaire », engage les collectivités à élaborer au niveau local l'équivalent du Plan Climat National. Ils contribuent à décliner localement les engagements de l'ONU et le Paquet climat-énergie européen.

Une des 202 propositions[4] faite en 2010 par les groupes de travail sur l'adaptation au changement climatique est d'y ajouter une rubrique « adaptation ».

Cadre réglementaire

La loi Grenelle 2 (art. 75) rendait l'Ă©laboration de ces dĂ©marches obligatoire avant le pour les rĂ©gions, les dĂ©partements, les communautĂ©s urbaines, les communautĂ©s d'agglomĂ©ration ainsi que les communes et communautĂ©s de communes de plus de 50 000 habitants.

En 2015 (17 aout), la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte confie à la Région le rôle de cheffe de file pour la transition énergétique (et la biodiversité), ce qui impliquera notamment pour chaque Schéma régional d'aménagement, de développement durable et d'égalité des territoires (SRADDET) de comprendre un volet climat, air et énergie (en substitution des anciens Schémas régionaux Climat Air Énergie (SRCAE. Les régions élaborent aussi un Plan régional pour l'efficacité énergétique dans le domaine du bâtiment et un Plan régional de prévention et de gestion des déchets (PRPGD).
Cette loi rend obligatoire le PCAET pour la MĂ©tropole de Lyon et les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale de plus de 50 000 habitants. En 2018 ce seuil est abaissĂ© Ă  20 000 habitants. Chaque PCAET est soumis Ă  Ă©valuation environnementale [5] ; Pour aider les EPCI concernĂ©s (notamment ceux qui ne disposent pas de compĂ©tence en matière d'Ă©valuation environnementale) Ă  Ă©valuer leurs PCAET, le CEREMA a produit un « Cahier des charges type pour rĂ©aliser l'Ă©valuation environnementale des PCAET »[6].

Deux document cadrent leur Ă©laboration :

  • le dĂ©cret no 2016-849 du [7]
  • l'arrĂŞtĂ© du relatif au PCAET [8]

Le PCAET doit être évalué à mi-parcours.

Relations avec d'autres plans ou documents

Les relations sont d'ordre juridiques et, éventuellement, hiérarchiques avec d'autres plans ou documents. Le plan climat-air-énergie territorial (PCAET) :

Qui doit produire et adopter un PCAET ? et quand ?

La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte modifiant la loi Grenelle II ne mentionne plus que deux types de structures devant porter un PCAET. Ce sont :

Les autres structures de plus de 50 000 habitants (communes, rĂ©gions, dĂ©partements) ne sont plus dans l'obligation de mettre en place ce plan depuis la loi de transition Ă©nergĂ©tique[13]. Elles restent toutefois concernĂ©es par l'obligation de rĂ©aliser un bilan d'Ă©mission de gaz Ă  effet de serre.

Le plan climat-air-énergie territorial constitue dorénavant le « volet climat » du projet territorial de développement durable (PTDD) ou de l'Agenda 21 local que toute collectivité publique élaborerait[12].

La loi ne rend pas obligatoire la réalisation d'une telle démarche par les territoires de projet - pays, parcs naturels régionaux et ne vise donc pas la couverture de l'ensemble du territoire français par des PCET[14]. Cependant, de nombreux territoires se sont déjà engagés ou commencent à le faire, de manière volontaire, dans un PCET. La loi Grenelle II reconnaît par ailleurs cette possibilité dans son article 77.

Un décret et un arrêté relatifs au PCAET sont respectivement parus le et le , complétant les dispositions de la loi de transition énergétique (LTECV).

Contenu et modalités de construction

Le PCAET s'appuie sur un diagnostic du territoire, portant sur[15] :

  1. les émissions territoriales de gaz à effet de serre et les émissions de polluants de l’air ;
  2. les consommations énergétiques du territoire ;
  3. les réseaux de distribution d'énergie ;
  4. les Ă©nergies renouvelables sur le territoire ;
  5. la vulnérabilité du territoire aux effets du changement climatique.

La loi Grenelle II prévoit que l'élaboration du PCAET doit s'appuyer sur les bilans des émissions de gaz à effet de serre prévus par la loi[16].

Le PCAET comprend trois parties[12] - [15] :

  1. une stratégie ; la stratégie identifie les priorités que retient la collectivité concernée et les objectifs (stratégiques et opérationnels) qu’elle se donne pour trois cibles complémentaires à atteindre
    - atténuation du changement climatique, avec donc les moyens de « lutter efficacement contre le réchauffement climatique »,
    - adaptation au changement climatique ; restaurer et protéger la qualité de l'air ;
  2. un plan d'action ; afin notamment d'améliorer l'efficacité énergétique, d'augmenter la production d'énergie renouvelable et de réduire les effets des activités en termes d'émissions de gaz à effet de serre, conformément aux objectifs issus de la législation européenne relative à l'énergie et au climat ; ce plan d’actions porte sur tous les secteurs d’activité ; c'est l’outil opérationnel de coordination de la transition énergétique sur le territoire ;
  3. un dispositif de suivi et d'évaluation des résultats.

On distingue généralement trois champs d'action ou périmètres pour le PCAET :

  • Ă©chelle interne : ce qui relève directement de la responsabilitĂ© de la collectivitĂ© - patrimoine immobilier, flotte de vĂ©hicules, marchĂ©s publics...
  • Ă©chelle des politiques publiques ou compĂ©tences : ce que la collectivitĂ© peut influencer plus ou moins directement via les compĂ©tences qu'elle exerce (urbanisme, transports, gestion des dĂ©chets, habitat, etc.)
  • Ă©chelle d'animation territoriale - les volets sur lesquels la collectivitĂ© n'a pas de prise directe, mais sur lesquels elle peut influer par des actions de sensibilisation, de mobilisation et des mesures facilitatrices. Il s'agit lĂ  du plus gros gisement d'Ă©missions de gaz Ă  effet de serre du territoire[17].

La loi Grenelle II a adopté une définition de cette démarche plus restrictive que ce qui était l'usage avant publication de cette loi. En effet, le PCET, selon la loi, s'applique aux "champs de compétences respectifs" de chacune des collectivités qui élaborent une telle démarche. La loi ne prévoit donc pas que le PCET s'applique à l'échelle d'animation territoriale. Toutefois elle ne l'interdit pas, et de nombreuses collectivités s'engagent ou continuent de s'engager sur ce volet important.

Gouvernance

Gouvernance dans l'Ă©laboration du plan

Le PCAET peut être accompagné dans son élaboration par les services concernés de l'État (DREAL), le Conseil régional, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), (qui dispose d'un « centre de ressources pour les plans énergie climat territoriaux »[18]), l'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc), la Fédération Atmo France, etc.

Consultation

  • si le reprĂ©sentant de l'ensemble des organismes mentionnĂ©s Ă  l'article L. 411-2 du code de la construction et de l'habitation[19] propriĂ©taires ou gestionnaires de logements situĂ©s dans le territoire rĂ©gional en fait la demande, le projet de plan lui est soumis afin de recueillir son avis. Cet avis est rĂ©putĂ© favorable s'il n'a pas Ă©tĂ© rendu par Ă©crit dans un dĂ©lai de deux mois ;
  • le PCAET est rendu public ;
  • le PCAET est mis Ă  jour (au moins tous les six ans).
    • Les dĂ©partements intègrent ce plan dans le rapport sur la situation en matière de dĂ©veloppement durable prĂ©vu par l'article L. 3311-2 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales.
    • Les communautĂ©s urbaines, les communautĂ©s d'agglomĂ©ration et les communes ou communautĂ©s de communes de plus de 50 000 habitants l'intègrent dans le rapport prĂ©vu par l'article L. 2311-1-1 du mĂŞme code.
    • Un dĂ©cret en Conseil d'État dĂ©finit les modalitĂ©s d'application de la prĂ©sente section et peut dĂ©terminer, notamment, des mĂ©thodes de rĂ©fĂ©rence pour la rĂ©alisation des bilans prĂ©vus par l'article L. 229-25 du prĂ©sent code.
  • En cas de dĂ©claration de projet[20], sur l'intĂ©rĂŞt gĂ©nĂ©ral d'une action ou d'une opĂ©ration d'amĂ©nagement (au sens du code de l'urbanisme) ou de la rĂ©alisation d'un programme de construction qui pourrait influencer le PCET ; sauf cas particulier[21], si la dĂ©claration de projet est adoptĂ©e par l'État, « elle peut procĂ©der aux adaptations nĂ©cessaires » d'un certain nombre de plans et schĂ©ma, dont le plan climat-Ă©nergie territorial. Ces adaptations doivent respecter les « dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires applicables au contenu » de ce plan climat-Ă©nergie territorial. Les adaptations proposĂ©es sont alors prĂ©sentĂ©es dans le cadre des procĂ©dures prĂ©vues par les articles L. 122-15 et L. 123-16 du Code de l'urbanisme, auxquelles les autoritĂ©s ou services compĂ©tents pour Ă©laborer le PCET sont invitĂ©s Ă  participer. Si l'action, visĂ©e par la dĂ©claration peut avoir des « incidences notables sur l'environnement », alors « les dispositions nĂ©cessaires pour mettre en compatibilitĂ© les documents d'urbanisme ou pour adapter les règlements et servitudes mentionnĂ©s au deuxième alinĂ©a font l'objet d'une Ă©valuation environnementale, au sens de la directive 2001/42/CE du Parlement europĂ©en et du Conseil, du 27 juin 2001, relative Ă  l'Ă©valuation des incidences de certains plans et programmes sur l'environnement ». (Un dĂ©cret en Conseil d'État dĂ©termine les conditions d'application de cette procĂ©dure[20].)

Aide et conseil

  • Le PCAET doit notamment Ă©valuer le coĂ»t de l'inaction pour son territoire. Le Rapport Stern a cherchĂ© le premier Ă  mesurer le coĂ»t Ă©conomique des effets du changement climatique, concluant que ne pas agir coĂ»te plus cher que de financer des actions de prĂ©vention et d'adaptation (au niveau mondial, le coĂ»t de l’inaction serait, selon les territoires et scĂ©narios, de 5 % Ă  20 % du PIB mondial, contre 1 % pour celui de l’action).
    Diverses autres ressources peuvent aider des PCAET Ă  faire cette Ă©valuation[22] - [23] - [24] ;
  • Un « centre de ressources pour les plans Ă©nergie climat territoriaux »[18] a Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour les collectivitĂ©s territoriales et de tous et chacun par l'ADEME, comprenant un observatoire des PCET ; une mĂ©thode pour de construction et de mise en Ĺ“uvre d’un PCET ; des outils et dĂ©marches utiles et une offre de formations de l’ADEME.
  • Pour ce qui concerne l'air, les Associations agrĂ©Ă©es de surveillance de la qualitĂ© de l'air (AASQA)[25]
  • Pour agir plus en amont, le MEEM et l'ADEME ont publiĂ© en un guide pour les Ă©lus et agents de collectivitĂ©s, mais aussi pour les associations, universitaires, reprĂ©sentants de l’État ou des acteurs Ă©conomiques, bureaux d'Ă©tudes, etc. Il porte sur les Plans climat-air-Ă©nergie territoriaux (PCAET)[26], afin d'accompagner notamment les rĂ©ponses aux appels Ă  projet nationaux[27].
  • De nombreux territoires s'accordent Ă  dire que le PCAET est un outil idĂ©aliste et ne peut ĂŞtre financièrement appliquĂ© par les plus petites collectivitĂ©s. En effet, les phases de concertation montrent parfois un dĂ©calage entre la volontĂ© de l'administration et les rĂ©alitĂ©s de terrain comme pour les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre de l'agriculture, qui pour la plupart d'entre elles, sont incompressibles, notamment en ce qui concerne l'Ă©levage.

Notes et références

  1. DĂ©cret no 2016-849 du relatif au plan climat-air-Ă©nergie territorial.
    « Le plan climat-air-énergie territorial [...] est l'outil opérationnel de coordination de la transition énergétique sur le territoire »
    .
  2. L'Europe s'engage en France / Les 3x20, qu'est-ce que c'est ?.
  3. Sylvère Angot et Pauline Gabillet, « Pour une sociologie de la gouvernance politico-administrative locale des Plans climats énergie territoriaux », 1ères journées internationales de sociologie de l'énergie (Communication dans un congrès),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Rapport des groupes de travail nationaux, 2010/06/30 (PDF - 163 pages).
  5. cf article R122-17 du code de l’environnement.
  6. CEREMA (2019) Cahier des charges type pour réaliser l'évaluation environnementale des PCAET.
  7. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000032790960&categorieLien=id.
  8. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000032974938&categorieLien=id.
  9. Article L. 222-2 du code de l'environnement, modifié par l'article 68 (V) de la loi Grenelle II no 2010-788 du 12 juillet 2010.
  10. Article L. 4310-1 du code général des collectivités territoriales, créé par l'article 255 de la loi Grenelle II.
  11. Article L131-5 du code de l'urbanisme
  12. Article L. 229-26 du code de l'environnement, créé par l'article 75 de la loi Grenelle II no 2010-788 du 12 juillet 2010.
  13. « ÉLUS, L'essentiel à connaître sur les PCAET » (consulté le ).
  14. Les PCET dans le Grenelle, RAC-F.
  15. DREAL Pays de la Loire, « Plans climat air énergie territoriaux (PCAET) » (consulté le 29 octobre 2019).
  16. Article L. 229-25 du code de l'environnement.
  17. Kit d'information sur les Plans Climat-Énergie Territoriaux, RAC-F, avril 2010.
  18. Centre de ressources pour les plans Ă©nergie climat territoriaux.
  19. Article L. 411-2 du code de la construction et de l'habitation.
  20. Article L. 300-6 du code de l'urbanisme
  21. Les articles L. 122-15 et L. 123-16 ne sont plus applicables si « la déclaration de projet adoptée par l’État, un de ses établissements publics, un département ou une région a pour effet de porter atteinte à l'économie générale du projet d'aménagement et de développement durable du schéma de cohérence territoriale et, en l'absence de schéma de cohérence territoriale, du plan local d'urbanisme »
  22. Rapport sénatorial : Pollution de l'air, le coût de l'inaction. 2015.
  23. Kit pédagogique sur les changements climatiques, Réseau Action Climat France, 2015.
  24. [Les conséquences économiques du changement climatique], OCDE, 2016.
  25. Bergé, G. (2019). Les Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) au service des collectivités pour la reconquête de la qualité de l’air. In Annales des Mines-Responsabilite et environnement (No. 4, pp. 59-63). FFE. URL:http://www.annales.org/site/re/2019/re96/2019-10-14.pdf.
  26. Guide "Plans Climat-Air-Energie Territoriaux : comprendre, construire et mettre en œuvre", accompagné d'une mise à jour de la plaquette "[Élus, l'essentiel à connaître sur les Plans Climat-Air-Energie Territoriaux]" (enrichie de précisions sur l'évaluation environnementale des plans).
  27. Fabian Tubiana (2016) Le 26/09/2016 Deux appels à projets dans l'air ; Les pouvoirs publics proposent d'accompagner les collectivités et exploitations agricoles dans la réduction de leurs émissions polluante ; 3 dates butoir sont prévues pour les dépôts de dossier : 15/12/2016, 15/05/2017 ou 02/10/2017.

Voir aussi

LĂ©gislation

  • DĂ©cret n° 2016-849 du 28 juin 2016 relatif au plan climat-air-Ă©nergie territorial, JORF, (lire en ligne)

Bibliographie

Sabourin, E., Milhorance, C., Howland, F., Checchi, L., Biabiany, O., Blondel, O., ... & Le Coq, J. F. D1. 2: Cartographie des acteurs et instruments et intégration des concepts dans les politiques climatiques: Synthèse des études de cas.

Articles connexes

Liens externes

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