Place d'Estienne-d'Orves
La place d'Estienne-d'Orves est une voie située entre le quartier de la Chaussée-d'Antin et le quartier Saint-Georges du 9e arrondissement de Paris.
 9e arrt Place d'Estienne-d'Orves
    | |||
| |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 9e | ||
| Quartier | Chaussée-d'Antin Saint-Georges |
||
| DĂ©but | Rue de Londres, rue de Clichy, rue Morlot, rue de Cheverus, rue Blanche, rue Saint-Lazare | ||
| Fin | Rue Saint-Lazare et rue de Châteaudun | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 118 m | ||
| Largeur | 80 m | ||
| Historique | |||
| Création | Vers 1860 | ||
| DĂ©nomination | et | ||
| Ancien nom | Place de la Trinité | ||
| GĂ©ocodification | |||
| Ville de Paris | 3401 | ||
| DGI | 3374 | ||
| GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 9e arrondissement de Paris
| |||
 Images sur Wikimedia Commons |
|||
_-_2021-06-28_-_1.jpg.webp)
Situation et accès
La place d'Estienne-d'Orves est desservie par la ligne 
 
à la station Trinité - d'Estienne d'Orves, ainsi qu'à proximité par les lignes de bus RATP 80 99.
Origine du nom
Elle porte le nom du résistant français Honoré d'Estienne d'Orves (1901-1941)[1] fusillé par les Allemands au mont Valérien.
Historique
Cette place a été créée par décret du , en même temps que l'église de la Trinité, sous le nom de « place de la Trinité », a englobé en 1944 une partie des rues de Clichy et Blanche, qui la bordent. Elle prend le nom de « place d'Estienne-d'Orves » par arrêté du .
En 1994, l'étendue de la place est élargie au square d'Estienne-d'Orves (anciennement square de la Trinité).
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- L'église de la Trinité.
- Le square d'Estienne-d'Orves ou square de la Trinité.
- Le peintre Pierre-Auguste Renoir a peint Ă plusieurs reprises la place durant sa vie.
- Les immeubles du no 2 et du no 8 de la place sont, depuis 1977, classés aux monuments historiques[2] - [3].
- Intersection de la rue Saint-Lazare devenue place d'Estienne-d'Orves et 2-4, rue de la Chaussée-d'Antin : emplacement de la caserne du Mont-Blanc, également appelée « caserne Clichy », l'une des casernes des Gardes françaises.
Immeuble au no 2, inscrit MH.
Immeuble aux nos 7-8, classé MH.
Place de la Trinité par Pierre-Auguste Renoir (1875).
Notes, sources et références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p.?.
- Notice no PA00088982, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00088950, base Mérimée, ministère français de la Culture.