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Place Canclaux

La place Canclaux est une place de la ville de Nantes, dans le département français de la Loire-Atlantique, située dans le quartier Dervallières - Zola.

Place Canclaux
Image illustrative de l’article Place Canclaux
Vue du square au centre de la place, en direction de la rue Colonel-Desgrées-du-Lou et la chapelle des Franciscains
Situation
CoordonnĂ©es 47° 12′ 52″ nord, 1° 34′ 28″ ouest
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
Ville Nantes
Quartier(s) Dervallières - Zola
Morphologie
Type Place
GĂ©olocalisation sur la carte : Nantes
(Voir situation sur carte : Nantes)
Place Canclaux
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
(Voir situation sur carte : Pays de la Loire)
Place Canclaux
GĂ©olocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
(Voir situation sur carte : Loire-Atlantique)
Place Canclaux

Description

Elle se situe au cœur du quartier du même nom. Elle est le point d'intersection de la rue Colonel-Desgrées-du-Lou, de la rue de Gigant, de la rue Alfred-Riom, du boulevard Paul-Langevin, de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Richeux.

Le couvent des Franciscains occupe le côté nord de la place.

Un square clôturé, entouré d'une vingtaine de marronniers se trouve au centre de la place.

DĂ©nomination

Elle porte, depuis le , le nom du général Jean Baptiste Camille de Canclaux (1740-1817), qui défendit victorieusement Nantes face à l'Armée catholique et royale de Vendée lors de la guerre de Vendée. Auparavant, l'endroit a été appelé « place de Gigant[1] ».

Histoire

La place est modelée entre 1867 et 1876[1].

Architecture

Deux aubettes, destinés naguère à abriter les passagers en attente du tramway de l'ancienne ligne ouest, qui traversait alors le centre de la place, se trouvent dans le square central ; réalisées en béton en 1933, elles sont l'œuvre du sculpteur Camille Robida et de l'architecte de la ville Étienne Coutan ; elles se présentent sous la forme de deux cylindres superposés dont celui du bas, plus large, permettait aux usagers de s'asseoir, le tout étant surmonté d'un large disque protégeant les voyageurs des intempéries. La ligne de tramway est supprimée en 1958, mais les aubettes ont été laissées en place[2].

Références

  1. Pied 1906, p. 50.
  2. Olart 2009, p. 101.

Voir aussi

Bibliographie

  • Catherine Olart (photogr. Laurent Allenou), Nantes secret et insolite : les trĂ©sors cachĂ©s de la citĂ© des ducs, Paris, Les Beaux Jours/Compagnie parisienne du livre, , 176 p. (ISBN 978-2-35179-040-3), p. 100.

Articles connexes

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