Passage Potier
Le passage Potier est une voie du 1er arrondissement de Paris, entre la rue de Montpensier Ă l'est et la rue de Richelieu Ă l'ouest. C'est un passage privĂ©, ouvert au public, fermĂ© tous les soirs Ă 19 heures et rouvert le matin Ă 7 heures 30. FermĂ© le dimanche et jours de fĂȘtes.
1er arrt Passage Potier
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Situation | |||
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Arrondissement | 1er | ||
Quartier | Palais-Royal | ||
DĂ©but | 23, rue de Montpensier | ||
Fin | 26, rue de Richelieu | ||
Morphologie | |||
Longueur | 16 m | ||
Largeur | 3 m | ||
Historique | |||
Ancien nom | Passage Beauvilliers | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 7733 | ||
DGI | 7761 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 1er arrondissement de Paris
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Situation et accĂšs
Le passage Potier est une voie privée du 1er arrondissement de Paris. Il débute au 23, rue de Montpensier et se termine au 26, rue de Richelieu, 16 m à l'ouest. Large de 3 m, il est perpendiculaire à ces deux voies. Il a été le premier passage à faire le lien entre la rue de Richelieu et la rue Montpensier pour donner ainsi accÚs aux Jardins du Palais Royal[1].
Celui-ci s'ouvre à ses extrémités par deux portes et traverse directement les immeubles. Le centre du passage est briÚvement situé à l'air libre, entre les immeubles qui l'entourent. Le niveau du sol de la rue de Richelieu étant plus élevé que celui de la rue Montpensier, le passage se termine au niveau de celle-ci par une dizaine de marches.
Créé en 1785, ce passage le premier qui fut ouvert, offre un accÚs commode vers les Jardins du Palais Royal grùce à l'entrée qui se situe en face, au niveau du 24 rue Montpensier [2].
C'est Louis Philippe d'Orléans commanditaire de l'édification de galeries commerçante autour du Palais Royal qui octroya cette faveur à l'immeuble du 26 rue de Richelieu[1] une bien maigre consolation pour ses résidents qui jusqu'alors jouissaient d'un accÚs direct aux jardins[2].
Le 26 rue de Richelieu point de départ du Passage Potier fut pendant les heures sombres de la révolution Française 1793-1804 appelé rue de la Loi 26 ou 1243[2] .
Des personnages célÚbres au XVIIIe et XIXe siÚcle l'ont marqué :Jean Baptiste Gaspard Bochart de Saron - l'astronome et Président du parlement de Paris, Rose Bertin - la "Ministre des modes" de Marie-Antoinette, Antoine Beauvillers - l'inventeur du 1er restaurant gastronomique ou bien le comédien Charles Gabriel Potier.
Les stations de métro les plus proches sont Pyramides (lignes 7 et 14), 350 m à l'ouest, et Palais-Royal (lignes 1 et 7), 290 m au sud.
Les stations de bus : Bibliothéque nationale ligne 29 croisement rue des Petits Champs et rue de Richelieu, ligne 39 Place André Malraux, ligne 27, 95, 21, 68 : place André Malraux ou début de l'avenue de l'Opéra
Origine du nom
Charles-Gabriel Potier (1774-1838) ancien capitaine des armées devenu le plus célÚbre des comédiens du début du XVIIIe siÚcle, se porta acquéreur de l'immeuble qui abrite le passage en 1823[3] - [4] selon le registre des impÎts conservé aux Archives de Paris et que tel que le relate l'historien Jacques Hillairet dans son ouvrage "la rue de Richelieu"[1]. Sa femme et ses enfants le conserveront juqu'en 1865.
C'est ainsi que le passage qui jusqu'alors s'était appelé Beauvillers du nom du créateur du premier restaurant gastronomique de France, fut rebaptisé Potier.
â Potier un grand comĂ©dien dans un petit genre, une rĂ©putation mĂ©ritĂ©e par un talent qui de son temps nâeut pas d'Ă©gal et dont aucun comĂ©dien nâa trouvĂ© de secret depuis lui â nous rapporte A.Jal dans son Dictionnaire Critique de Biographie et dâHistoire[5]
Ă la mort de Charles-Gabriel Potier les comĂ©diens se bousculĂšrent pour porter son cercueil au PĂšre Lachaise oĂč se trouve sa tombe.
Historique
C'est en 1645 que L'immeuble érigea sa premiÚre pierre sur des terres cédées par le Cardinal de Richelieu selon un acte notarié[6] daté du de l'achat[7]par Marie-Jeanne Bertin dßte Rose Bertin de la maison qui était dans la famille maternelle de Jean-Baptiste Gaspard Bochart de Saron. En effet, son grand pÚre Gaspard Brayer s'en était porté acquéreur dÚs 1798[6].
Jean Baptiste Gaspard Bochart de Saron naquit probablement dans cette maison le , l'acte de dĂ©cĂšs de son pĂšre Jean-Baptiste Bochart de Saron enregistrĂ© en la Paroisse de Saint-Denis, quinze mois aprĂšs la naissance de son fils, suggĂšre peut-ĂȘtre qu'il devait rĂ©sider avec son Ă©pouse Marie Anne Brayer, chez les parents de celle-ci.
Cet orphelin de pĂšre, un homme aussi modeste que prolifique, nommĂ© avocat Ă l'age de 18 ans, il fut non seulement un mathĂ©maticien Ă©mĂ©rite mais aussi chimiste, horloger et pardessus tout excellent astronome, c'est lui qui prouva par de savant calcul que l'astre Uranus dĂ©couvert par William Herschel en 1781, n'Ă©tait non point une comĂšte comme celui-ci le pensait mais bien une planĂšte il soumit ses calculs pour vĂ©rification Ă ses collĂšgues[8]. Il fabriqua un tĂ©lescope qui "se trouva supĂ©rieur Ă tous ceux qui avaient Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s Ă Paris dans les mĂȘmes dimensions, qu'il laissait Ă la disposition de M. Messier, de M. MĂ©chain, de M. Le Gentil, ses amis et ses confrĂšres" selon Jean-Dominique Cassini.
Il consacra avec passion sa fortune aux progrÚs de la Science. C'est ainsi que Laplace lui ayant soumis son ouvrage magistral sur La théorie du mouvement elliptique et du mouvement de la Terre, Bochart s'empressa de le faire généreusement imprimer à ses frais en 1784[8].
Ălu le , PrĂ©sident du Parlement de Paris, Jean-Baptiste Gaspard Bochart de Saron qui allait dĂ©sormais rĂ©sider au palais prĂ©sidentiel de la Chambre des DĂ©putĂ©s, dĂ©cida de se sĂ©parer de la maison qui avait appartenu Ă sa famille maternelle pendant 90 ans. En tant que reprĂ©sentant du Parlement, il fut guillotinĂ© en 1794 avec quatorze de ses collĂšgues.
Rose Bertin "la Ministre des Modes"[9] de la reine Marie Antoinette y installa ses ateliers de couture et sa boutique dans l'immeuble aprĂšs s'en ĂȘtre portĂ©e acquĂ©reur[10] - [7] - [11]. C'Ă©tait Ă quelques mois de la prise de la Bastille le , cela ne dĂ©couragea en rien cette crĂ©atrice Ă l'imagination dĂ©bordante couplĂ©e Ă une femme d'affaires aux talents remarquables, elle continua donc Ă habiller plus sobrement toutefois sa royale cliente, lui restant fidĂšle jusqu'Ă la fin, brulant ses livres de compte lors du son procĂšs afin de protĂ©ger au mieux l'Ă©pouse malheureuse de Louis XVI, s'asseyant ainsi sur les Ă©normes sommes que celle-ci restait Ă lui devoir. Cela n'Ă©tait peut-ĂȘtre qu'un donnĂ© pour un rendu, car il faut le bien reconnaĂźtre, sa bienfaitrice avait fait d'elle une femme riche, connue et reconnue par une grande partie de la noblesse europĂ©enne[12].
La cĂ©lĂ©britĂ© de la modiste qui dĂ©passait les frontiĂšres, lui permit, lors des heures sombres de la rĂ©volution française, de partir accompagnĂ©e de deux ouvriĂšres, en quĂȘte de futures commandes par de riches aristocrates Ă©trangĂšres, sĂ©journant pendant deux annĂ©es Ă Berlin, Saint-PĂ©tersbourg, Bruxelles ou encore Londres. Pour pallier son absence de France dĂšs [13], elle n'eut de cesse d'alimenter les fonds de ses ateliers et sa boutique du 26 rue de Richelieu, afin de subvenir aux besoins de la trentaine de sans-culotte qui y travaillait. De toute Ă©vidence, ce ne sont point les « cocardes nationales » qu'on y fabriquait qui auraient pu les nourrir, bien qu'il s'en fĂźt un assez grand commerce pendant cette annĂ©e 1790 et les suivantes, mais bien l'argent envoyĂ© par Rose qui permit Ă tout ce petit monde de subsister.
Ses envois en monnaie sonnante et trĂ©buchante furent une chance pour Rose, car ils lui permirent de se faire rayer de la liste des Ă©migrĂ©s et ainsi rĂ©cupĂ©rer ces biens, grĂące aux nombreux tĂ©moignages d'employĂ©s, de fournisseurs et de voisins, qui tĂ©moignĂšrent auprĂšs de la police d'Ă©migration que Marie-Jeanne Bertin dĂźte Rose Bertin n'avait eu de cesse d'envoyer de l'argent en France depuis l'Ă©tranger oĂč elle sĂ©journait pour raison de commerce[14] Bertin, Marie Jeanne dite Rose Bertin est rayĂ©e de la liste des biens Ă©migrĂ©s le .
Rose Bertin possédait encore une partie de la maison du 26 rue de Richelieu jusqu'à son décÚs, ainsi en témoigne son acte de succession, ainsi que dans le registre des impÎts fonciers[15].
Rose Bertin est le précurseur de grands couturiers comme Gabrielle Chanel, Christian Dior, Saint-Laurent, Pierre Cardin.
De nos jours, la mode investit toujours le passage Potier avec la boutique homme de Martin Margiela ou les ateliers de couture d'On aura tout Vu.
- Garchy
"... ce nom de Garchy est dans toutes les bouches. Danseurs, promeneurs, tout Paris en voiture, se hĂątent vers le glacier de la rue de la loi" (Rapsodie, quatriĂšme trimestre) "lĂ , câest une vie, une activitĂ©, une foule dans la grande salle! salle nue, sans draperie, sans peintures, sans bas-relief, mais Ă©lĂ©gante et haute. De grandes glaces encastrĂ©es dans des panneaux de bois orangĂ©, dâun beau vernis avec des chambranles bleu cĂ©leste, reflĂštent les galants costumes. Pendues au plafond, de belles lampes de cristal de roche versent une lumiĂšre tamisĂ©e. Autour des tables dâacajou, autour des chaises Ă©trusques, Garchy circule « trĂšs-important est trĂšs-civil; » dâun signe, il fait servir ses biscuits aux amandes du meilleur genre, et ses « divines glace qui jaunissent en abricot ou sâarrondissent en pĂȘche succulentes »".
Mais tout ceci prit un tournant pour le moins tragique, ainsi que le relate Edmond de Goncourt : "Un beau soir, une dizaine dâhommes vĂȘtus de houppelandes, coiffĂ©s de bonnets Ă poil, envahissent en armes les salles du glacier, disent au premier venu « Ta figure me dĂ©plaĂźt! » tirent leurs sabres, dĂ©pouillent les femmes de leurs montres, Ă©charpent les hommes, blessent un aide de camp dâAugereau, assomment un marquis de la Rochechouart, brisent tables, glaces, ... et volent lâargenterie. (DĂ©tail trĂšs-exacte du massacre qui a eu lieu Ă Paris, rue de la Loi, numĂ©ro 1243, division de la butte Desmoulins, chez le citoyen Garchy, limonadier glacier.)"[16]
Ce fut un événement dans Paris; le général Bonaparte envoya un de ses officiers dans la soirée pour constater les faits. (Détail trÚs exact du massacre qui a eu lieu la nuit derniÚre, Dans la séance de Cinq-Cents du lendemain (), le député Béraut, du RhÎne, proposa et fit adopter l'envoi d'un message au Directoire, pour l'inviter à rechercher[17].
à la suite de cet incident qui l'avait fortement secoué, Garchy cÚdera son négoce du Passage Potier (1243 rue de la Loi de 1791 à 1805), à Antoine Beauvillers.
Antoine Beauvillers signa avec Rose Bertin en 1798 le bail de location pour ouvrir un restaurant 26 rue de Richelieu.
"Ancien officier de bouche du Comte de Provence (futur Louis XVIII) attaché aux maisons royales et actuellement restaurateur, rue de Richelieu au 26, à la Grande Taverne de Londres" c'est ainsi qu'Antoine Beauvilliers se définissait en premiÚre de couverture de son livre "l'Art de Cuisiner" Tome 1 édité en 1814[18] - [19].
Ce cuisinier Ă©mĂ©rite, inventeur du soufflĂ© et du boeuf carottes[20], fut Ă lâorigine du premier restaurant gastronomique de France.
C'est en 1798 qu'il ouvrit au 26 rue de Richelieu son restaurant "La Grande Taverne de Londres".
Jean Anthelme Brillat-Savarin dans "La Physiologie du Goût" en parle en ces termes :
"Mais de tous ces héros de la gastronomie, nul n'a plus de droit à une notice biographique que Beauvillers...
...Le premier, il eut un salon élégant, des garçons bien mis, un caveau soigné et une cuisine supérieure...
Pendant les deux occupations de Paris, en 1814 et 1815, on voyait constamment des véhicules de toutes les nations garées rue de Richelieu; il connaissait tous les chefs des corps étrangers et avait fini par parler leurs langues...
...Son livre intitulé l'Art du Cuisinier jouit encore de toute l'estime qu'on lui accorda dans sa nouveauté, jusque là l'art n'avait point été traité avec autant d'exactitude et de méthode...
..Il avait une mémoire prodigieuse et accueillait aprÚs vingt ans qui n'avait mangé chez lui qu'une fois ou deux[21].
Le passage Potier s'appelait jusqu'en 1823 « passage Beauvilliers » en 1799[22].
L'immeuble en a gardĂ© sa trace. La tĂȘte sculptĂ©e d'Antoine Beauvillers orne le frontispice du porche du 26 rue de Richelieu.
NĂ© Ă Paris en 1773 Charles Gabriel Potier est issu dâune famille aisĂ©e de noblesse dâarme et de robe.
MalgrĂ© une santĂ© fragile, il fit ses Ă©tudes Ă lâĂ©cole militaire en tant quâorphelin de gentilhomme. AprĂšs avoir Ă©tĂ© enrĂŽlĂ© Ă lâĂąge de 19 ans en tant que capitaine âau siĂšge de Maastricht sous KlĂ©ber en 1797â. Une fois rentrĂ©, il sut bien vite que lâarmĂ©e nâĂ©tait pas sa tasse de thĂ©. AprĂšs de quelques courtes tergiversations, il se convainquit alors vers 1803 que le thĂ©Ăątre Ă©tait sa vĂ©ritable vocation.
Ă l'issue de quelques annĂ©es de galĂšre, en province comme Ă Paris, il vit sa rĂ©putation en tant quâacteur prendre son essor dĂšs 1810.
Grand, maigre, au profil coupé au couteau, Potier avait su mettre à profit ses défauts physique et les tourner à son avantage grùce à son grand talent.
Ses biographes sâaccorderont tous pour dire " Il a une sorte de naturel gracieux qui est le comble de lâart, il sait provoquĂ© les larmes et ses rires sans grimacer et communiquer au public le sourire de bon goĂ»t.â[5]
âJe me rappelle quâun soir Potier joua trois piĂšces, dans la premiĂšre il reprĂ©sentait un jeune homme âles conscritsâ dans la seconde, un homme fait, un sergent de troupes de ligne, et dans la derniĂšre un vieux militaire âle Centenaireâ, il nous paru vĂ©ritablement parfait.
Ă la fin du spectacle je rencontrais sur le pĂ©ristyle du thĂ©Ăątre, Talma le grand tragĂ©dien, lâartiste sublime me dit : quâen dites-vous? et il ajouta : ⊠je ne dois porter envie Ă personne, si je pouvais connaĂźtre la jalousie câest de ce coquin lĂ que je serai jaloux! âŠ[5] raportera ce compliment Ă Potier qui en fut tout Ă©mu.
â Potier un grand comĂ©dien dans un petit genre, une rĂ©putation mĂ©ritĂ©e par un talent qui de son temps nâeut pas d'Ă©gal et dont aucun comĂ©dien nâa trouvĂ© de secret depuis lui â[5]
Ă son dĂ©cĂšs les comĂ©diens se disputĂšrent lâhonneur de porter son cercueil au PĂšre Lachaise.
Bùtiments remarquables et lieux de mémoire
- Immeuble du XVIIe siÚcles formé de 4 corps de bùtiments avec passage privé au milieu occupé par des constructions légÚres.
- Sur le fronton du porche d'entrĂ©e du 26 rue de Richelieu on peut admirer la tĂȘte sculptĂ©e d'Antoine Beauvilliers.
Références
- Jacques Hillairet, La rue de Richelieu (lire en ligne), p. 26 rue de Richelieu
- Pendant les heures sombres de la révolution le 26 rue de Richelieu fut pendant quelques années débaptisé pour 1243 ou 26 rue de la Loi (1793-1805) Almanach du commerce
- Administration fiscale DQ8-223 Archives de Paris _ le 6 mars 1816 enregistrement de la Vente de la maison du 26 rue de Richelieu, par la succession Bertin Ă Henri Jean-Baptiste Martin qui sâen sĂ©para en 1822 au profit de Joseph hĂ©ron et Henriette Teissier, ces derniers cĂ©dĂšrent lâimmeuble Ă Charles Gabriel Potier artiste de boulevard et son Ă©pouse Blandin le 19 octobre 1823, au dĂ©cĂšs de Potier sa femme en hĂ©ritera et le conservera pour parti jusquâĂ son dĂ©cĂšs en 1866.
- Dq8-223_registre foncier Potier Succession Folio-26-27_003
- A. Jal, Dictionnaire Critique de Biographie et dâHistoire, Paris, Ăditeur Plon, , Potier
- Vente rue de Richelieu, Paris, 24 avril 1789 par Bochard de Saron Ă Marie Jeanne Bertin_ Archives Nationales de France MC_ET_LVII_593DSC05300
- Succession Bertin_ Archives Nationales MC et LXX 845 _LVII 445 _T//1604 http://www.archives-nationales.culture.gouv.fr/web/guest/faire-une-recherche
- L'ASTRONOME Revue Mensuelle d'Astronomie, Bulletin de la Société d'Astronomie de France, Paris, La société Astronomique de France, janvier 1936 - 50e année, P.249_250, Pages 249 à 251 Page 271
- Pierre Nouvion et Emile Liez, Un Ministre Des Modes Sous Louis XVI : Mademoiselle Bertin, Marchande de Modes de La Reine, 1747-1813
- Botin du Commerce, Botin du commerce de 1804 Ă 1814, Archives de Paris, Paris, B comme Bertin marchande de modes
- LâAlmanach du Commerce Archives de Paris, Le N° 26 rue de Richelieu, Paris mentionnĂ© 1807, Pendant les heures sombres de la rĂ©volution le 26 rue de Richelieu fut pendant quelques annĂ©es dĂ©baptisĂ© pour 1243 ou 26 rue de la Loi (1793-1805) Almanach du commerce http://www.archives.paris.fr/
- Emile Langlade, La Marchande de Modes de Marie-Antoinette : Rose Bertin
- Emile Langlade, Mademoiselle Bertin, marchande de mode de la reine, 1747-1813, Paris, Huygens
- Rapport Police immigration EP N°52 DĂ©pĂŽt 1422 F/7/5612,dossier 8 27 dĂ©cembre 1794 (27 nivĂŽse de lâan III de la RĂ©publique) http://www.archives-nationales.culture.gouv.fr/web/guest/faire-une-recherche
- Registre Foncier DQ8-223 Archives de Paris _ le 6 mars 1816 succession Marie Jeanne Bertin dĂźte Rose Bertin Folio-26-27_002 http://www.archives.paris.fr/
- Edmond et Jules de Goncourt, Histoire de la société française pendant le Directoire, 2e édition, Paris, 1855. (lire en ligne), p. 224 à 227
- Auguste Vitu, La Maison mortuaire de MoliĂšre, d'aprĂšs des documents inĂ©dits..., Paris, Ăditeur Alphonse Lemerre, 27 31 Passage Choiseul, Paris
- Antoine Beauvillers, L'ART DU CUISINIER, Paris, Pilet, (lire en ligne), p. 1ere de couverture
- Antoine Beauvillers, L'art du cuisinier, Paris, (lire en ligne)
- « Histoire à la Carte France Info », sur https://www.francetvinfo.fr/r
- Jean Anthelme Brillat Savarin, La Physiologie du Goût, Paris, (lire en ligne), chapitre 139 pages 201 - 202 - 203
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Ăditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re Ă©d. 1960), 1 476 p., 2 vol. [dĂ©tail des Ă©ditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 297