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PĂ©riode Renoir

La pĂ©riode Renoir ou pĂ©riode « de plein soleil Â» est une pĂ©riode de la production picturale de RenĂ© Magritte au cours de laquelle le peintre belge utilise de 1943 Ă  1947 la technique impressionniste d'Auguste Renoir.

DĂ©nominations

La pĂ©riode que l'on nomme « Renoir Â» est qualifiĂ©e aussi d'« impressionniste Â» (voire de « nĂ©o-impressionniste Â»[1].

Le « surrĂ©alisme en plein soleil Â» est cependant l'appellation que RenĂ© Magritte donne en 1946, trois annĂ©es après avoir adoptĂ© sa nouvelle manière, Ă  son idĂ©e de l'avenir du surrĂ©alisme[2]. Il Ă©voque ainsi sa « peinture de plein soleil Â» dans une lettre du 25 mars 1947 Ă  Louis Scutenaire[3] qui utilisera lui-mĂŞme l'expression « pĂ©riode de plein soleil Â»[4]. L'expression « Ă©poque Plein Soleil Â» est Ă©galement employĂ©e[5]. Dans une lettre Ă  AndrĂ© Breton du 24 juin 1946 Magritte utilise Ă©galement l'expression « pĂ©riode solaire Â»[6].

Le surréalisme en plein soleil est le titre choisi pour une exposition en 2021 à Paris des œuvres de Magritte et de Renoir au musée de l'Orangerie.

Historique

Dès mai 1941, RenĂ© Magritte Ă©crit Ă  Paul Ă‰luard : « (…) le beau cĂ´tĂ© de la vie serait le domaine que j’explorerais. J’entends par lĂ  tout l’attirail traditionnel des choses charmantes, les femmes, les fleurs, les oiseaux, les arbres, l’atmosphère de bonheur. Etc (…) c’est un charme assez puissant qui remplace maintenant dans mes tableaux la poĂ©sie inquiĂ©tante que je m’étais Ă©vertuĂ© jadis Ă  atteindre. Â»[7].

« En feuilletant un ouvrage sur l'impressionnisme Magritte est conquis par l'idĂ©e de reprĂ©senter une baigneuse de Renoir en montrant chaque partie de son corps sous une couleur diffĂ©rente, le bras gauche est peint en vert, le bras droit et la tĂŞte en rouge tandis qu'au torse violet sont attachĂ©s une jambe bleue et une jambe jaune Â»[8]. La description correspond parfaitement Ă  la peinture Ă  laquelle Magritte donne le titre La Moisson du legs « Irène Scutenaire-Hamoir » au musĂ©e de Bruxelles .

« Au sujet de l'emploi dans les images de la technique impressionniste, il est lĂ©gitime de l'employer car elle est le meilleur moyen que nous connaissions pour conduire la poĂ©sie en plein soleil Â» Ă©crit Magritte Ă  Marcel MariĂ«n le 15 aoĂ»t 1946[9]. « Nous avons choisi le plaisir par rĂ©action contre des annĂ©es d'ennuyeuses terreurs Â» Ă©crit-il la mĂŞme annĂ©e dans son Manifeste de l'amentalisme, remplaçant bientĂ´t, dans un projet de tract, le terme, sur la suggestion de Paul NougĂ© , par l'expression « le SurrĂ©alisme en plein soleil Â»[10]. Les prises de position qu'y prend Magritte entraĂ®nent l'incomprĂ©hension d'AndrĂ© Breton et la rupture entre les surrĂ©alistes belges et parisiens. Une Ă©preuve lui en ayant Ă©tĂ© communiquĂ©e, Breton rĂ©pond par tĂ©lĂ©gramme : « Votre dialectique et votre SurrĂ©alisme en plein soleil sont cousus de fil blanc ». Magritte et NougĂ© lui rĂ©torquent par la mĂŞme voie : « Mille regrets. Le fil blanc est sur votre bobine »[11].

Magritte reste fidèle Ă  ce style « solaire Â» jusqu’en 1947 ou 1948 et produit une cinquantaine de tableaux, autant de gouaches, un nombre considĂ©rable de dessins (et des illustrations pour des ouvrages de Sade, Georges Bataille, Paul Éluard et LautrĂ©amont. Cependant, « la Grande Guerre finie, l'opposition de la grâce au fracas des armes a cessĂ© d'ĂŞtre utile, donc de mise » Ă©crit Scutenaire[12] et Magritte abandonne la technique impressionniste.

Certaines des peintures de la « pĂ©riode Renoir Â», notamment L'Intelligence (1946) ou Le Lyrisme (1947) relèvent « du pastiche et de la parodie Â»[13] et dans leur « cocasserie fĂ©roce Â»[14] prĂ©figurent les Ĺ“uvres, en 1948, de la « pĂ©riode vache Â» du peintre.

Quelques Ĺ“uvres de la « pĂ©riode Renoir Â»

  • La Moisson, 1943[15].
  • L'Incendie, 1943[16].
  • Le Premier jour, 1943[17] - [3].
  • L'Univers interdit, 1943[18] - [19].
  • La Magie noire, 1943[20] - [21].
  • La Leçon d'anatomie, 1943[22].
  • L'OcĂ©an, 1943[23].
  • La Gorgone, 1943[24].
  • Le Sourire, 1943[25].
  • Les Heureux prĂ©sages, 1944[26].
  • La Vie heureuse, 1944[27].
  • L'Eclair, 1944[28].
  • Le TraitĂ© des sensations , 1944.
  • Alice au pays des merveilles, 1945[29].
  • L'Ile au trĂ©sor, 1945[30].
  • Le RĂŞve, 1945[31].
  • Le viol, 1945[32].
  • La Bonne fortune, 1945 [33].
  • Le Brasier, 1945 ou 1946[34].
  • Le Plaisir, 1946[35].
  • L'Age du plaisir, 1946[36].
  • L'Intelligence, 1946[37].
  • Le Lyrisme, 1947[38] - [39].

Expositions

La première exposition, semi-clandestine en situation d'occupation par l'armĂ©e allemande, des peintures de la « pĂ©riode Renoir Â» a lieu Ă  Bruxelles les 11 et 17 juillet 1943 dans la galerie que Lou Cosyn a ouverte en 1942 au 5 a rue de la Madeleine avec le soutien de Camille Goemans (qu'elle Ă©pousera par la suite)[40]. Magritte y avait invitĂ© « ses amis » le 10 juillet[41] - [1].

D'autres expositions seront présentées à la galerie Dietrich de Bruxelles en janvier 1944, avec une préface de Paul Nougé qui signe Paul Lecharentais[42], puis en novembre 1946 avec une nouvelle préface de Nougé, et à la Société royale des beaux-arts de Verviers en janvier 1947.

Ă€ partir des annĂ©es 1960 des peintures de la « pĂ©riode Renoir Â» figurent dans les principales rĂ©trospectives du peintre[43].

Après la mort de Louis Scutenaire en 1987 et celle d'Irène Hamoir en 1994 (dont Tom Gutt est l'exécuteur testamentaire) le legs « Irène Scutenaire-Hamoir » au musée de Bruxelles y est exposé. Il comporte plus d’une vingtaine de peintures, une vingtaine de gouaches, une quarantaine de dessins de Magritte. Parmi elles figurent plusieurs œuvres de la « période Renoir », dont La Moisson et Le Sourire[44].

L'exposition Magritte Renoir, Le surréalisme en plein soleil rassemble en 2021 à Paris des œovres des deux peintres au musée de l'Orangerie.

RĂ©ception

Pour Camille Goemans, Magritte est « celui par qui le scandale arrive... Â» : par deux fois, par sa « pĂ©riode Renoir Â» puis par sa « Peinture vache Â», il devait « scandaliser son public Â»[45]. Pour la première, sa nouvelle manière solaire, Ă©crit-il en 1956, « il n'est pas inutile d'insister sur le fait qu'il l'adopta pendant la guerre. Il nous faut lui rendre grâce, me semble-t-il, de nous avoir mis, Ă  cette Ă©poque, devant des images le plus souvent pleines de charme, de celles qui peuvent ranimer le dĂ©sir de vivre et qui Ă©taient des fenĂŞtres ouvertes sur un monde de lumière dont l'obscuritĂ© prĂ©sente pouvait nous faire douter qu'il existât Â»[46].

« C'est Ă  proprement parler un dĂ©fi : Ă  partir d'images de joie, obtenir l'effet bouleversant rĂ©servĂ© jusque-lĂ  aux images terribles Â» Ă©crit Scutenaire[45]. L'accueil de cet « Ă©clair dans le noir de l'Ă©poque » fut des plus « frais ». Devant « les filles nues et versicolores, les aras, les paradisiers, les colibris, les bois au plein de l'Ă©tĂ©, les roses d'Ispahan », « les chalands n'y ont rien compris, les amis ont hochĂ© une tĂŞte pleine de doute »[12].

Éléments de bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : Sources utilisées pour la rédaction de l’article

  • RenĂ© Magritte, Manifestes et autres Ă©crits, avertissement de Marcel MariĂ«n, Les Lèvres Nues, Bruxelles, 1972, 192 p..
  • Patrick Waldberg, RenĂ© Magritte, suivi d'une bibliographie gĂ©nĂ©rale par AndrĂ© Blavier, Bruxelles, AndrĂ© de Rache Ă©diteur, 1965, 358 p. [sur la « pĂ©riode Renoir » et la « pĂ©riode vache », p. 221 et 222]. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Suzi Gablik, Magritte, Cosmos monographies, Bruxelles, 1978 (traduction de l’anglais, Thames and Hudson, Londres, 1970, 218 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • RenĂ© Magritte, Manifestes et autres Ă©crits, avertissement de Marcel MariĂ«n, Les Lèvres Nues, Bruxelles, 1972, 192 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Louis Scutenaire, Avec Magritte, Bruxelles, Lebeer-Hossmann, , 180 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Louis Scutenaire, Avec Magritte : rĂ©Ă©dition augmentĂ©e d'un texte Ă©crit par Louis Scutenaire en 1978, Bruxelles, L'Atelier contemporain, , 192 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Harry Torczyner, Magritte. Le vĂ©ritable art de peindre, Draeger/Le Soleil Noir, Paris, 1978, 144 p..
  • RĂ©trospective Magritte, textes de Louis Scutenaire, Jean Clair et David Sylvester, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, MusĂ©e National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, 300 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • RenĂ© Magritte, Écrits complets, Ă©dition Ă©tablie et annotĂ©e par AndrĂ© Blavier, Flammarion, Paris, 1979, 766 p. (ISBN 208064128X). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Marcel MariĂ«n, L'activitĂ© surrĂ©aliste en Belgique (1924-1950), Bruxelles, Lebeer-Hossmann, 1979]. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • RenĂ© Magritte et le SurrĂ©alisme belge, textes de Elle et Lui [Irène Hamoir et Louis Scutenaire], Marcel MariĂ«n, Marc Dachy et Philippe Robert-Jones, Bruxelles, MusĂ©e royaux des Beaux-Arts de Belgique, 1982, 322 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Harry Torczyner, RenĂ© Magritte, signes et images, Paris, Draeger/Vilo, 1988, 272 p. [« L'Ă©poque Renoir » y est Ă©voquĂ©e p. 186-190, cinq peintures sont reproduites]. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Camille Goemans, Marcel MariĂ«n et Philippe Junod, RenĂ© Magritte, Lausanne, fondation de l’Hermitage, , 236 p.. [sur la « pĂ©riode Renoir », p.187-190]. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • RenĂ© Magritte, Köln, Taschen, , 222 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • RenĂ© Magritte, la pĂ©riode « vache », « Les pieds dans le plat » avec Louis Scutenaire, Marseille, MusĂ©e Cantini, 1992, 168 p. (ISBN 2711825914). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Irène, Scut, Magritte & C°, Bruxelles, MusĂ©es royaux des beaux-arts de Belgique, 1996, 558 p.. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Michel Draguet, Magritte, folio biographies, Gallimard, 2014.
  • Magritte Renoir, Le surrĂ©alisme en plein soleil, musĂ©e de l'Orangerie, Paris, RĂ©union des musĂ©es nationaux, 2021, 176 p.. (ISBN 2711878651)


Notes et références

  1. Meuris 1990, p. 173.
  2. René Magritte, la période « vache », « Les pieds dans le plat » avec Louis Scutenaire, Marseille, Musée Cantini, 1992, p. 25
  3. Meuris 1990, p. 176.
  4. « RenĂ© Magritte comme je l'ai connu », dans Le Soir, Bruxelles, 7 dĂ©cembre 1978. Repris dans Avec Magritte, nouvelle Ă©dition augmentĂ©e, L'Atelier contemporain, 2021 ; Camille Goemans, « Magritte un ĂŞtre vivant Â» dans RenĂ© Magritte, Fondation de l'Hermitage, Lausanne, 1987, p. 20
  5. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, p. 188
  6. Harry Torczyner, René Magritte, signes et images Paris, Draeger/vilo, 1988, p. 187
  7. Magritte Renoir, Le surréalisme en plein soleil, musée de l'Orangerie, mai-juillet 2021, Paris, Réunion des musées nationaux
  8. Marcel MariĂ«n, « Avertissement Â», dans RenĂ© Magritte, Manifestes et autres Ă©crits , Les Lèvres nues, Bruxelles, 1972, p. 13. CitĂ© dans RenĂ© Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, p. 187.
  9. dans La Destination, un livre de lettres, Les Lèvres nues, 1977, p. 219. Cité dans René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, p. 187. Les textes de Magritte des années 1946 et 1947 concernant le surréalisme en plein soleil sont réunis par Marcel Mariën dans René Magritte, Manifestes et autres écrits, Les Lèvres nues, Bruxelles, 1972, pp. 35-93.
  10. Le Surréalisme en plein soleil. L'expérience continue, Manifeste n° 1, octobre 1946, Bruxelles, Le Miroir infidèle, signé par Joë Bousquet, René Magritte, Marcel Mariën, Jacques Michel, Paul Nougé, Louis Scutenaire et Jacques Wergifosse. Selon André Blavier le tract ne subsiste qu'en épreuves, l'édition ayant été abandonnée. Il est reproduit dans Patrick Waldberg, René Magritte, suivi d'une bibliographie générale par André Blavier, Bruxelles, André de Rache éditeur, 1965, p. 301. Cf aussi René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, p. 187.
  11. Patrick Waldberg, René Magritte, suivi d'une bibliographie générale par André Blavier, Bruxelles, André de Rache éditeur, 1965, p. 223.
  12. Scutenaire 2021, p. 133-134.
  13. Bernard Blistène, dans René Magritte, la période « vache », « Les pieds dans le plat » avec Louis Scutenaire, Marseille, Musée Cantini, 1992, p. 16
  14. David Sylvester et Sarah Whithfiekd, « Rira bien qui rira le dernier... Â», dans RenĂ© Magritte, la pĂ©riode « vache », « Les pieds dans le plat » avec Louis Scutenaire, Marseille, MusĂ©e Cantini, 1992, p. 26
  15. « Réné Magritte- La Moisson », sur fine-arts-museum.be.
  16. Meuris 1990, p. 175.
  17. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 53.
  18. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 50.
  19. Meuris 1990, p. 179.
  20. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 51
  21. « Réné Magritte- La Magie Noire », sur fine-arts-museum.be.
  22. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 52
  23. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 129
  24. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 130
  25. « Réné Magritte- Le Sourire », sur fine-arts-museum.be.
  26. Meuris 1990, p. 177.
  27. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 131
  28. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 132
  29. Meuris 1990, p. 172.
  30. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 58
  31. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 56
  32. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 133
  33. « Réné Magritte- La Bonne Fortune », sur fine-arts-museum.be.
  34. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 134
  35. René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, n° 59
  36. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 135)
  37. « Réné Magritte- L'Intelligence », sur fine-arts-museum.be.
  38. Rétrospective Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978, et Paris, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, 1979, n° 146
  39. « Réné Magritte- Le Lyrisme », sur fine-arts-museum.be.
  40. Michel Draguet, Magritte, folio biographies, Gallimard, 2014, p. 285
  41. Marcel Mariën, L'activité surréaliste en Belgique (1924-1950), Bruxelles, Lebeer-Hossmann, 1979, reproduction de l'invitation de Magritte pour ses amis, p. 332; René Magritte, fondation de l’Hermitage, Lausanne, 1987, p. 187.
  42. L'exposition sera violemment attaquée par Marc Eemans (Michel Draguet, Magritte, folio biographies, Gallimard, 2014, p. 294-295.
  43. Trois d'entre elles, L'Intelligence, L'Océan et Le Somnambule sont reproduites en noir et blanc p. 13, 181 et 200 dans Patrick Waldberg, René Magritte, suivi d'une bibliographie générale par André Blavier, Bruxelles, André de Rache éditeur, 1965.
  44. Irène, Scut, Magritte & C°, Bruxelles, Musées royaux des beaux-arts de Belgique, 1996
  45. Goemans et Mariën 1987, p. 20.
  46. Goemans et Mariën 1987, p. 21.

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Lien externe

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