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Orbiting Geophysical Observatory

Orbiting Geophysical Observatory est une sĂ©rie de six satellites scientifiques amĂ©ricains de la NASA lancĂ©s entre 1964 et 1969 qui Ă©tudient l'atmosphère terrestre, la magnĂ©tosphère et le milieu interplanĂ©taire. Tous ces satellites d'une masse d'environ 500 Ă  600 kg utilisent la mĂŞme plate-forme mais emportent des instruments scientifiques diffĂ©rents.

Orbiting Geophysical Observatory
Description de cette image, également commentée ci-après
Une vue d'artiste du satellite OGO 1.
Données générales
Organisation Drapeau des États-Unis NASA / Goddard
Constructeur Drapeau des États-Unis TRW
Domaine Géomagnétisme
Statut Mission terminée
Lancement 1964 Ă  1969
Lanceur Atlas-Agena et Thor-Agena
Caractéristiques techniques
Masse au lancement 487 Ă  632 kg
Propulsion Chimique
Contrôle d'attitude Stabilisé sur 3 axes
Orbite
Orbite Orbite basse et haute

Contexte

Le satellite OGO 6 en cours d'assemblage.
Les essais de vibration du satellite OGO 6.

À la fin des années 1950 et au début des années 1960, le programme spatial américain connaît une expansion rapide au point que les satellites OGO, dont la conception débute en 1960, constituent la troisième génération de satellite alors que seulement 3 ans se sont écoulés depuis le lancement du premier satellite artificiel Spoutnik 1. De nombreuses découvertes sur l'environnement spatial tels que les ceintures de Van Allen, le vent solaire et la magnétosphère sont découverts par les tout premiers satellites comme Explorer 1, 3, 4 et 11, Vanguard 1, Pioneer 3 et Pioneer 4. Au début des années 1960, ces phénomènes sont étudiés de manière plus détaillés par une douzaine de satellites de deuxième génération caractérisés par une taille plus importante et capables d'emporter des instruments plus sophistiqués. Mais dès 1960, il devient évident que des expériences plus conclusives devront être menées par une troisième génération de satellites de taille plus importante capable d'emporter de nombreux instruments permettant d'examiner des phénomènes sous différents aspects et disposant d'une capacité élevée de transfert de données. Cette troisième génération baptisée Observatory (observatoire) pour souligner cette démarche. Les satellites Orbiting Geophysical Observatory constituent une des trois familles d'observatoires développés à cette époque avec les OSO (observatoires solaires) et les OAO (observatoires astronomiques)[1].

Le programme OGO est mis sur pied par le Centre de vol spatial Goddard de la NASA. La réalisation des satellites est confiée le à la société TRW et confirmée par un contrat passé le . Le lancement est confié à l'Armée de l'air américaine, la USAF. Celle-ci utilise deux types de lanceur : le lanceur Thor-LV3 Agena pour les satellites OGO placés en orbite polaire basse et le lanceur Atlas-Agena, plus puissante, pour ceux placés en orbite elliptique haute.

Objectifs

L'objectif scientifique du programme OGO est de mener une longue série d'expériences dans l'atmosphère terrestre, dans la magnétosphère et dans le milieu interplanétaire proche afin de mieux comprendre les relations entre la Terre et le Soleil et étudier la Terre en tant que planète. Sur le plan technique, il s'agit de mettre au point une plate-forme stabilisée sur 3 axes permettant d'emporter un grand nombre d'instruments scientifiques tout en permettant une intégration facile.

DĂ©roulement du programme

OGO 1

OGO 1 (OGO-A) est lancĂ© avec succès depuis la base de lancement de Cap Canaveral le et placĂ© sur une orbite initiale de 281 Ă— 149 385 km avec une inclinaison de 31,2°. Deux mâts porteurs d'expĂ©riences ne parviennent pas Ă  se dĂ©ployer correctement et l'une de ceux-ci masque le senseur d'horizon. En consĂ©quence, le satellite ne parvient pas Ă  maintenir une orientation fixe comme prĂ©vu. Les opĂ©rateurs dĂ©cident de stabiliser OGO 1 en le maintenant en rotation Ă  raison de 5 tours par minute. Les 20 instruments scientifiques fournissent nĂ©anmoins des donnĂ©es mais le volume est moindre que prĂ©vu pour certains d'entre eux. En , les scientifiques disposent de donnĂ©es acceptables pour 70 % de la rĂ©gion balayĂ©e par l'orbite. Au printemps et Ă  l'automne le nombre d'instruments actifs doit ĂŞtre rĂ©duit car le satellite dispose d'une quantitĂ© d'Ă©nergie limitĂ©e du fait de son mouvement de rotation. La mission de OGO 1 s'achève le [2]. Ce satellite revient volontairement sur terre, au niveau de l'OcĂ©an Pacifique, le samedi 29 aoĂ»t 2020. Il a survolĂ© les Ă®les de Moorea et de Tahiti, de la PolynĂ©sie française, vers 10 h 43, heure locale, Ă  environ 60-70 km d'altitude. Le phĂ©nomène lumineux et la dislocation du satellite Ă©taient visibles de Tahiti Ă  l'Ĺ“il nu. Le satellite a fini sa course Ă  environ 1500 km au sud de Tahiti.

OGO 2

OGO 2 (OGO-C) emporte une vingtaine d'expĂ©riences scientifiques avec l'objectif d'effectuer des observations des aurores polaires, de la luminescence atmosphĂ©rique, des particules Ă©nergisĂ©es, des variations affectant le champ magnĂ©tique et des propriĂ©tĂ©s de l'ionosphère. Ces observations doivent ĂŞtre effectuĂ©es en particulier dans les rĂ©gions surplombant les pĂ´les. Le satellite est placĂ© sur une orbite polaire basse (414 Ă— 1 510 km avec une inclinaison de 87,4°) le par un lanceur Thor-Agena D depuis la base de lancement de Vandenberg. Peu après le lancement, le système de contrĂ´le d'attitude Ă©puise le gaz dont il dispose pour contrĂ´ler l'orientation du satellite et le satellite entre en rotation lente. Cinq des expĂ©riences ne peuvent plus fonctionner dans ces conditions et six autres fournissent des rĂ©sultats dĂ©gradĂ©s. En , les deux accumulateurs tombent en panne et les observations se limitent en consĂ©quence aux portions Ă©clairĂ©es de l'orbite. En , il ne reste plus que 8 expĂ©riences opĂ©rationnelles dont seules 5 fournissent des rĂ©sultats non dĂ©gradĂ©s. Le , le satellite est mis en veille. Du fait des problèmes d'Ă©nergie, les donnĂ©es recueillies Ă  cette date ne portent que sur une pĂ©riode totale de 306 jours. Un instrument est brièvement rĂ©activĂ© durant deux semaines en fĂ©vrier 1968 puis les opĂ©rations sont dĂ©finitivement arrĂŞtĂ©es le [3].

OGO 3

OGO 3 (OGO-B) est lancĂ© le et placĂ© sur une orbite de 295 Ă— 122 219 km et 31° d'inclinaison. Les 21 expĂ©riences, formant le plus grand ensemble d'instruments scientifiques jamais placĂ© sur orbite, renvoient toutes des donnĂ©es de qualitĂ©. Les expĂ©riences sont en majoritĂ© identiques Ă  celles ayant volĂ© sur OGO 1. Elles comprennent 4 expĂ©riences pour l'Ă©tude du rayonnement cosmique, 4 consacrĂ©es au plasma, deux aux rayonnements piĂ©gĂ©s, deux au champ magnĂ©tique terrestre, une Ă  l'ionosphère, 3 Ă  l'Ă©tude du rayonnement optique et des Ă©missions radio et une aux micromĂ©tĂ©orites. L'instrument chargĂ© de dĂ©tecter les positons et les sursauts gamma, qui n'avait pas fonctionnĂ© Ă  bord de OGO 1, fournit dans une version modifiĂ©e des rĂ©sultats satisfaisants. Le satellite reste stabilisĂ© sur 3 axes durant 46 jours. Au bout de cette pĂ©riode, le , un dĂ©faillance d'un des Ă©quipements chargĂ© du contrĂ´le d'attitude oblige les opĂ©rateurs Ă  stabiliser le satellite en le mettant en rotation (pĂ©riode de rotation comprise entre 90 et 125 secondes). Ă€ partir de , la collecte de donnĂ©es ne peut plus se faire que sur 50 % de l'orbite. La collecte rĂ©gulière de donnĂ©es s'achève le et la mission s'achève le [2].

OGO 4

Le satellite OGO 4 (OGO-D) est lancĂ© le par un lanceur Thor-Agena D depuis la base de Vandenberg et placĂ© sur une orbite polaire de 416 Ă— 900 km avec une dĂ©clinaison de 86°. Les objectifs sont les mĂŞmes que ceux de OGO 2. Le satellite rencontre des problèmes avec le système de contrĂ´le d'attitude peu après le lancement mais parviennent Ă  corriger le problème et durant 18 mois le satellite est stabilisĂ© sur 3 axes. Ă€ mi , le système d'enregistrement sur bande magnĂ©tique tombe en panne et les opĂ©rateurs ne parviennent plus maintenir l'orientation du satellite. Celui-ci est mis en rotation pour le stabiliser autour de son axe vertical avec une lĂ©gère prĂ©cession et une pĂ©riode initiale de 202 secondes. Dans cette nouvelle configuration 7 des expĂ©riences sont arrĂŞtĂ©es car elles ne peuvent plus fournir des rĂ©sultats viables. Le , le satellite est mis en veille. Une expĂ©rience de rĂ©ception des ondes basse frĂ©quence est rĂ©activĂ©e Ă  plusieurs reprises en 1970 et 1971 puis les opĂ©rations sont dĂ©finitivement arrĂŞtĂ©es le [4].

OGO 5

Le cinquième observatoire OGO 5 (OGO-E) est lancĂ© le . Le satellite est consacrĂ© en prioritĂ© Ă  l'observation de la Terre. Il circule sur une orbite initiale de 272 Ă— 148 228 km avec une inclinaison de 31,1° qu'il parcourt en 3 796 minutes. Le système de contrĂ´le d'attitude est victime d'une dĂ©faillance le et le satellite est mis en veille le . Trois expĂ©riences sont rĂ©activĂ©es entre le 1er juin et le puis les opĂ©rations du satellite sont dĂ©finitivement arrĂŞtĂ©es le [2].

OGO 6

Le satellite OGO 6 (OGO-F) est lancĂ© le par un lanceur Thor-Agena D depuis la base de Vandenberg et placĂ© sur une orbite polaire de 413 Ă— 1 077 km avec une inclinaison de 82°. Le satellite embarque 26 expĂ©riences scientifiques dont l'objectif est d'observer les relations existant entre diffĂ©rentes caractĂ©ristiques de la haute atmosphère durant une pĂ©riode d'activitĂ© solaire Ă©levĂ©e. Le , une dĂ©faillance dans un panneau solaire entraĂ®ne la crĂ©ation d'un potentiel nĂ©gatif de 20 volts lorsque les panneaux solaires sont exposĂ©s au Soleil. Les rĂ©sultats de sept expĂ©riences sont affectĂ©s. En , une rangĂ©e de cellules photovoltaĂŻques tombent en panne sans consĂ©quence sensible. Un des deux enregistreurs Ă  bande magnĂ©tique est victime d'une dĂ©faillance en . En , Ă  la suite de la dĂ©gradation de la production d'Ă©nergie et des Ă©quipements seules 14 expĂ©riences scientifiques fonctionnent encore normalement tandis que 3 fonctionnent en partie et 9 sont arrĂŞtĂ©es. Fin , les problèmes de production d'Ă©nergie s'aggravent et le satellite est mis en veille. Une expĂ©rience radio dĂ©veloppĂ© par un laboratoire japonais est activĂ©e entre le et . Les opĂ©rations avec le satellite sont complètement arrĂŞtĂ©es le [5].

Historique des missions

Historique des lancements
Satellite Masse Orbite Date lancement Lanceur Fin de mission Identifiant Cospar RĂ©sultat
OGO 1 (A)487 kg282 km Ă— 149 385 km 37.10°Atlas-LV3 Agena B1964-054A
OGO 2 (C)520 kg415 km Ă— 1 517 km, 87.43°Thor-LV3 Agena D 1965-081A
OGO 3 (B)515 kg319 km Ă— 122 173 km, 31.39°Atlas-Agena B1966-049A
OGO 4 (D)562 kg411 km Ă— 903 km, 86.03°Thor-Agena D 1967-073A
OGO 5 (E)611 kg232 km Ă— 148 228 km, 31.13°Atlas-Agena D1968-014A
OGO 6 (F)632 kg397 km Ă— 1 089 km, 82.00°Thorad-Agena D 1969-051A

Caractéristiques techniques

Tous les satellites OGO sont construits autour d'une plate-forme commune de forme parallĂ©lĂ©pipĂ©dique (0,9 Ă— 0,9 Ă— 1,8 m). L'orientation du satellite est maintenue fixe dans l'espace (stabilisĂ©e sur 3 axes) de manière que l'une des faces longues (0,9 Ă— 1,8 m) pointe en permanence vers la Terre (cf schĂ©ma). Sur cette face ainsi que sur la face opposĂ©e une surface de 0,6 m2 est disponible pour des expĂ©riences scientifiques. Le système de contrĂ´le d'attitude a la charge Ă©galement de maintenir en permanence les panneaux solaires orientĂ©s perpendiculairement aux rayons solaires. Les rĂ©ceptacles cubiques SOEP (Solar Oriented Experiment Package) fixĂ©s aux extrĂ©mitĂ©s des panneaux solaires sur les deux faces permettent d'accueillir des expĂ©riences sur une surface de 0,1 m2. Ă€ une des extrĂ©mitĂ©s du corps du satellite deux ensembles d'expĂ©rience OPEP-1 (Orbital Plane Experiment Package) et OPEP-2 sont fixĂ©s sur un support orientable qui permet de les maintenir tournĂ©s en direction de l'axe de progression du satellite. Deux perches longues de 5,7 mètres (EP-5 et EP-6) et quatre longues de 1,8 mètre (EP-1 Ă  EP-4) accueillent Ă  leur extrĂ©mitĂ© des expĂ©riences scientifiques qui doivent ĂŞtre maintenues loin du corps du satellite pour satisfaire des contraintes de visibilitĂ© ou de sensibilitĂ©. Par ailleurs le satellite dispose de plusieurs antennes pour les tĂ©lĂ©communications, la plus visible Ă©tant une antenne Yagi orientable. Les expĂ©riences scientifiques peuvent disposer de leur propre antenne comme celle montrĂ©e sur le schĂ©ma qui partant de l'expĂ©rience SOEP-1 sur le panneau solaire s'allonge sur 9 mètres. Le satellite dispose de manière standard de douze appendices dĂ©ployĂ©s en orbite en deux sĂ©quences pour Ă©viter toute interfĂ©rence[6].

Le système de contrôle d'attitude repose sur des senseurs d'horizon, des propulseurs à gaz froid et des roues de réaction. Il permet de maintenir le satellite stabilisé sur 3 axes avec une précision de 2° par rapport à la verticale locale, de 5° par rapport à la direction du Soleil et de 5° par rapport à l'axe de progression. Le système de contrôle thermique utilise des persiennes, qui s'ouvrent et se ferment de manière à maintenir une température de 10 à 24 °C dans le corps du satellite, et des résistances thermiques pour les expériences scientifiques montées à l'extérieur. L'énergie électrique est fournie par des panneaux solaires qui produisent 550 watts dont 50 watts sont disponibles pour les expériences scientifiques. L'énergie est stockée dans deux batteries nickel cadmium de 28 volts. Le système de télécommunications assure le transfert des données avec un débit qui peut être compris entre 1 et 64 kilobits par seconde. Les données scientifiques peuvent être transmises en temps réel ou en différé. Dans ce dernier cas elles sont stockées provisoirement sur un des deux enregistreurs à bande magnétique dont la vitesse d'enregistrement est de 1 à 4 kilobits par seconde et la vitesse de lecture comprise est de 64 à 128 kilobits/s[7].

Le schéma d'un satellite OGO.

Instrumentation scientifique

RĂ©sultats scientifiques

Les objectifs et orbite des satellites du programme OGO.

En 1969 alors que 5 observatoires sont opérationnels plus de 300 papiers scientifiques utilisant les données collectées par les satellites OGO ont déjà été publiés. Parmi les résultats cités à cette époque figurent[8] :

  • La première observation des protons responsables du courant Ă©lectrique circulant autour de la Terre durant les tempĂŞtes magnĂ©tiques Ă  une distance de plusieurs rayons terrestres.
  • La première observation globale depuis un satellite du champ magnĂ©tique terrestre aboutissant Ă  la proposition d'une nouvelle modĂ©lisation.
  • L'identification sans ambiguĂŻtĂ© de l'influence du champ magnĂ©tique terrestre sur la population des ions.
  • La vĂ©rification de l'existence d'une frontière interne, la plasmapause, entourant la rĂ©gion du rayonnement piĂ©gĂ© de manière stable.
  • La première mise en Ă©vidence qu'une rĂ©gion peuplĂ©e d'Ă©lectrons Ă  faible Ă©nergie entoure complètement les rĂ©gions oĂą les rayonnements sont piĂ©gĂ©s.
  • La première observation d'aurores polaires de jour.
  • La première cartographie planĂ©taire de la distribution du phĂ©nomène de luminescence.
  • De nouvelles connaissances relatives Ă  la surface de choc (rĂ©gion oĂą le vent solaire rencontre la magnĂ©tosphère terrestre) en particulier les premières mesures des champs Ă©lectriques dans cette rĂ©gion.
  • La mise en Ă©vidence de l'instabilitĂ© des limites de la magnĂ©tosphère qui pourrait expliquer comment les particules solaires pĂ©nètrent dans la magnĂ©tosphère.
  • La première dĂ©tection de la propagation non canalisĂ©e d'ondes Ă  basse frĂ©quence.

À l'époque les retombées suivantes sont envisagées. Les observations réalisées conduisent à la résolution d'importantes questions dans le domaine de la physique de propagation des particules énergétiques et des ondes, en physique des plasmas ionisés et en photochimie. Les données sur l'ionosphère et les processus de propagation pourraient permettre d'améliorer les télécommunications longue distance. L'étude des phénomènes de physique des plasmas à grande échelle pourrait accélérer la mise au point des techniques de confinement des plasmas chauds. La compréhension de la chimie à l’œuvre dans l'atmosphère terrestre pourrait fournir les bases pour une compréhension de l'environnement des atmosphères planétaires et pourrait constituer un élément important pour l'établissement de modèles théoriques expliquant la formation et l'évolution des environnements planétaires[9].

Références

  1. OGO Programme Summary 1976, p. III-I
  2. (en) « OGO Series », sur NASA Goddard (consulté le )
  3. OGO Programme Summary 1976, p. IV-9
  4. OGO Programme Summary 1976, p. IV-24
  5. OGO Programme Summary 1976, p. IV-42
  6. OGO Programme Summary 1976, p. III-2 Ă  5
  7. OGO Programme Summary 1976, p. III-5 Ă  6
  8. Press Kit OGO F 1969, p. 4-5
  9. Press Kit OGO F 1969, p. 6

Bibliographie

Présentation à la presse des missions
  • (en) NASA, Press Kit OGO A, NASA, , 40 p. (lire en ligne)
    Présentation à la presse du satellite OGO-A.
  • (en) NASA, Press Kit OGO C, NASA, , 57 p. (lire en ligne)
    Présentation à la presse du satellite OGO-C.
  • (en) NASA, Press Kit OGO B, NASA, , 57 p. (lire en ligne)
    Présentation à la presse du satellite OGO-B.
  • (en) NASA, Press Kit OGO D, NASA, , 44 p. (lire en ligne)
    Présentation à la presse du satellite OGO-D.
  • (en) NASA, Press Kit OGO F, NASA, , 40 p. (lire en ligne)
    Présentation à la presse du satellite OGO-F.
Résultats scientifiques / Présentation du programme
  • (en) John E. Jackson et James I. Vette, OGO Programme Summary, NASA, , 330 p. (lire en ligne)
    Présentation du programme et des résultats.
  • (en) George H. Ludwig, « The orbiting geophysical observatories », NASA,‎ , p. 31-41 (lire en ligne)
    Présentation du programme en 1963.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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