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Nouvelles introuvables

Nouvelles introuvables est un recueil de nouvelles de Georges Simenon paru en 1991.

Nouvelles introuvables
Auteur Georges Simenon
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Genre Recueil de nouvelles policières
Éditeur Presses de la Cité / Omnibus
Collection Tout Simenon, tomes 18 et 22
Lieu de parution Paris
Date de parution 1991

Le recueil paraît initialement dans le tome 18 de Tout Simenon en décembre 1991 aux Presses de la Cité / Omnibus et dans le tome 22 de Tout Simenon en avril 1992 aux Presses de la Cité / Omnibus.

Ce recueil est en fait une compilation de textes parus dans différents journaux entre 1930 et 1934 pour le premier tome puis entre 1936 et 1941 pour le second. Dans l’édition Tout Simenon, L’Affaire du canal faisait partie de cet ensemble des Nouvelles introuvables, mais ayant été écrites à l’origine pour faire partie des 13 Énigmes, l'éditeur a choisi de la faire figurer dans ce recueil-là.

Liste des nouvelles du recueil

1930-1934

  • Le Yacht et la Panthère[1]
    • Dans un bouge de Batavia, Jean Viaud gagne successivement aux dĂ©s une panthère, un yacht et un chapeau. Mais la panthère s’est Ă©chappĂ©e, et le yacht, mal amarrĂ©, s’est Ă©chouĂ© contre un cargo.
  • Sing-Sing ou La maison des trois marches[2]
    • Il est surnommĂ© Sing-Sing car il y a fait quatre ans de prison. Il Ă©tait parti avec son bateau transporter de l’opium aux États-Unis, pour pouvoir acheter la maison dans laquelle il s’installerait avec Fanny. Mais Leduc, jaloux, l’a dĂ©noncĂ© Ă  la douane amĂ©ricaine. Leduc a peur de Sing-Sing maintenant libĂ©rĂ©, essaie de le tuer, mais n’atteint qu’un passant. Sing-Sing, pour se venger, le force Ă  lui tirer dessus devant tĂ©moin. Leduc aussi, fera de la prison.
  • Mademoiselle Augustine[3]
    • Mademoiselle Augustine, la vieille fille qui habitait sous les combles, est morte d’une congestion. Mais je ne suis pas triste. Au contraire je suis gai car sa première visite a Ă©tĂ© pour moi. Elle m’a dit : « Enfin, c’est fait ! », et j’aurais voulu l’étreindre d’un Ă©treinte divine.
  • Moss et Hoch[4]
    • Ils se rencontrent sans le sou Ă  Paris. Elle prĂ©tend ĂŞtre la fille d’un gros commerçant de Lille, il raconte que son père est un armateur de Bordeaux. Tous deux disent avoir fui l’avenir qui leur Ă©tait rĂ©servĂ©. Quand ils se marient, ils reprennent le magasin de cordages de Bordeaux, et laissent Ă  son père Ă  elle  le commerce de vieux vĂŞtements et de reconnaissances du Mont-de-PiĂ©tĂ©.
  • L’As de l’arrestation[5]
    • Ted Brown, cĂ©lèbre bandit amĂ©ricain qui porte toujours sur lui une charge de dynamite, est Ă  Paris. L’inspecteur Sancette n’est pas dupe : celui qui se fait passer pour lui, un petit malfrat sans importance, s’est dessinĂ© une balafre sur la joue pour lui ressembler, mais du mauvais cĂ´té…

1936-1941

  • L’Oranger des Ă®les Marquises[6]
    • Le père PlouĂ© est missionnaire depuis plus de vingt ans sur une Ă®le du Pacifique. Pour la première fois l’évĂŞque va lui rendre visite. Tout est prĂŞt : l’église est dĂ©corĂ©e de fleurs, une cantate a Ă©tĂ© composĂ©e, la procession a Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©e. Mais l’évĂŞque trouve tout de mauvais goĂ»t, prĂ©texte la tempĂŞte pour partir plus tĂ´t que prĂ©vu, après avoir fait abattre dans la nuit l’oranger que le père Pouet a rĂ©ussi Ă  faire pousser après des annĂ©es d’efforts, parce qu’une branche battait contre la maison et l’empĂŞchait de dormir.
  • Monsieur Mimosa[7]
    • Monsieur Mimosa est le seul habitant du quartier Ă  ne rien dire quand les gosses cassent ses vitres avec leur ballon. Alors quand la police, qui le soupçonne d’être un faux-monnayeur, monte un guet-apens en attendant son retour, ils trouvent un moyen discret de la prĂ©venir, quitte Ă  prendre une rossĂ©e le soir en rentrant.
  • Les Trois Messieurs du consortium[8]
    • Ils sont trois, qui jouent Ă  la belote avec le docteur. L’un, dans son cinĂ©ma derrière son cafĂ©, « fait » dans les films de gangsters. L’autre dans les films sĂ©rieux – mais il faudrait couper – et le troisième dans les films Ă  titre allĂ©chant avec affiches sensationnelles. C’est quand mĂŞme eux, en fin de compte, le cinĂ©ma.
  • L’homme qui mitraillait les rats[9]
    • Il est au fin fond de la brousse. Il ne rĂ©agit d’abord pas quand le premier blanc depuis des lustres arrime sa pirogue devant lui. Puis il raconte : il a Ă©tĂ© embauchĂ© pour trouver de l’or, il en a trouvĂ© un peu, mais si peu par rapport Ă  ce que prĂ©tendent ses commanditaires en Europe. Alors ils l’empĂŞchent de rentrer, ou mĂŞme d’aller Ă  la ville. Il lui reste Ă  fabriquer des pièges pour tuer les rats qui envahissent sa cahute la nuit. S’est-il suicidĂ©, ou bien... ?
  • La TĂŞte de Joseph[10]
    • Un bar tropical au petit matin. Le patron met ses habits du dimanche. Le Baron a encore dĂ©pensĂ© plus qu’il a gagnĂ© au bridge pendant la nuit. FĂ©lix ramène des touristes qu’il a pĂŞchĂ©s sur un bateau. Après leur avoir fait dĂ©guster de l’authentique chicha, il leur propose une tĂŞte, celle du frère du Baron, parti un jour dans la jungle, et rĂ©duite par des Jivaros. Ils en donneront 400 dollars. Il faut discuter longuement avant de se les rĂ©partir, et de recommencer l’opĂ©ration la prochaine fois.
  • Little Samuel Ă  Tahiti[11]
    • Little Samuel s’est offert un yacht parce que Big Samuel en a achetĂ© un. Comme l’autre s’embarque pour les Antilles, il part pour Tahiti, mais rien ne l’intĂ©resse, sauf jouer au vingt-en-un dans le fumoir avec ses deux amis d’enfance, en racontant des blagues et en mangeant de la saucisse. Il ne veut mĂŞme pas accoster Ă  Tahiti et reste au milieu du lagon. Pendant que le yacht se ravitaille en eau, voyant les indigènes pĂŞcher en cercle, il dĂ©cide – pour une fois – de les observer de plus près. Mais tombĂ© sur les coraux, il se blesse gravement et meurt après une amputation de la jambe.
  • Le Vieux Couple de Cherbourg[12]
    • Leur fils leur a Ă©crit dans leur village du fin fond de l’Albanie. Il leur demande de se rendre Ă  Cherbourg et de l’attendre au dĂ©barquement du Transatlantique. Alors ils vendent leur maison, leurs chèvres, et partent pour un long voyage pendant lequel ils comprennent de moins en moins ce qu’on leur dit au fur et Ă  mesure qu’ils s’éloignent de chez eux. Ă€ Cherbourg, ils se retrouvent dans un hĂ´tel, sans pouvoir toucher le chèque que leur avait envoyĂ© leur fils. On les regarde de plus en plus soupçonneusement. Car les paquebots arrivent, mais ne dĂ©barquent personne pour eux. Sauf un jour, enfin, oĂą ils voient leur fils sur le pont. Mais il est aussitĂ´t arrĂŞtĂ© par la police : il serait le chef d’une bande de trafiquants d’opium.
  • La RĂ©volte du Canari[13]
    • Il les dĂ©teste tous, le Canari, que l’on surnomme ainsi Ă  cause de la couleur de ses cheveux. Il dĂ©teste son père, qui n’a pas voulu lui acheter un vĂ©lo au prĂ©texte qu’il n’en avait pas Ă  son âge ; il dĂ©teste sa mère, qui se lamente qu’il va mal tourner ; il dĂ©teste sa sĹ“ur, qui prend un malin plaisir Ă  le faire punir ; il dĂ©teste son patron Ă  la banque, qui ne veut pas qu’il vienne travailler avec une casquette Ă  carreaux. Alors il se saoule, vole le rĂ©volver de son père, tire sur un agent de police sans l’atteindre,  et s’enfuit. Il pourra ainsi faire sa vie, tandis que sa sĹ“ur, elle,  tournera mal.
  • Le Châle de Marie Dudon[14]
    • Par la fenĂŞtre, Marie Dudon surprend Mathilde Cassieux Ă  rajouter de la poudre aux mĂ©dicaments de son très vieux et très riche mari. Quand elle voit le mĂ©decin des morts dans la maison, elle comprend. Le lendemain, simplement vĂŞtue de on châle, car son mari l’a empĂŞchĂ©e de mettre son manteau pour aller chez des gens qu’ils ne connaissent pas, elle se rend chez les Cassieux pour tenter de faire comprendre Ă  Mathilde que si elle pouvait les aider Ă  obtenir une maison… Mathilde ne rĂ©pond rien mais, tout catholique qu’elle soit, fait incinĂ©rer son mari. Il n’y a plus de preuve.
  • Le Destin de Monsieur Saft[15]
    • Trois mĂ©decins ont annoncĂ© Ă  M. Saft qu’il n’en a plus que pour quelques mois. Alors il retourne s’installer dans la pension qu’il habitait dans sa jeunesse, demandant la mĂŞme mansarde. Il se met dans les jambes de tout le monde pour ne pas rester seul, rend de plus en plus de menus services, et finit par Ă©pouser la patronne. Quelques annĂ©es plus tard, au retour de son enterrement, il glisse, et passe sous un tram. Ainsi, il n’est pas mort comme un homme qui…
  • Les Cent Mille Francs de « P’tite Madame Â»[16]
    • Ă€ seize ans, P’tite Madame a Ă©tĂ© tĂ©moin d’un meurtre dans une voiture : trois truands ont tuĂ© leur associĂ© qui ne partageait pas correctement Ă  leur goĂ»t. Elle a surtout ramassĂ© une enveloppe contenant cent mille francs, qui avait Ă©tĂ© lancĂ©e par la fenĂŞtre. N’osant les porter Ă  la police, n’osant s’en servir, elle les garde cachĂ©s, mĂŞme quand celui qu’elle a Ă©pousĂ© ne gagne pas assez pour subvenir Ă  leurs besoins. Elle le pousse Ă  prendre un deuxième travail, mais quand elle rĂ©alise que son futur patron n’est autre que l’un des trois assassins, elle cherche un intermĂ©diaire pour que les cent mille francs soient rendus anonymement. C’est lui qui en rapporte ce rĂ©cit.
  • L’Aventurier au parapluie[17]
    • Bob Framboise hante les bars des Champs-ÉlysĂ©es. HĂ©ritier d’un fabricant de liqueurs, il s’ennuie et ne rĂ©siste pas quand ses copains lui lancent des dĂ©fis. De fil en aiguille, il se retrouve Ă  prendre des leçons de pilotage, Ă  acheter un avion Ă  crĂ©dit, et Ă  entreprendre un raid vers Tahiti.  Quand il casse l’avion en Nouvelle-ZĂ©lande, son père refuse de continuer Ă  payer. Il lui faut donc accepter un emploi de conducteur sur le port[18]. Mais un jour il se lance dans la fabrication des liqueurs familiales, qui ont un grand succès. S’il a de nouveau de l’argent, il n’a plus de temps pour aller Ă  Tahiti, et d’ailleurs, pour quoi faire ?
  • La Cabane Ă  Flipke[19]
    • Au cafĂ© tenu par Peeters dĂ©barque un soir une jeune fille qui ne parle que le hongrois. C’est sa nièce, la fille de son frère, parti Ă  l’aventure trente-six ans plus tĂ´t, et dont il n’a plus de nouvelles depuis une carte postale il y a dix-sept ans, sauf le perroquet qu’il lui a fait parvenir du Cap. Elle apporte de l’argent, de somptueux cadeaux, mais nulle lettre de son père. Y-a-t-il un rapport avec le vieillard qui vient de s’installer dans une vieille cabane du polder, semble servir de guetteur aux contrebandiers et ne tarde pas Ă  mourir ?

Bibliographie

  • J.B. Baronian, Simenon conteur et nouvelliste, Traces n°1, UniversitĂ© de Liège, 1989 (ISBN 978-2-87562-182-5)
  • Collectif, Le nouvelliste et le conteur, Cahiers Simenon n° 6, Les Amis de Georges Simenon, 1993

Article connexe

Notes et références

  1. Prépublication dans l’hebdomadaire Ric et Rac n° 53 du 15 mars 1930, sous le pseudonyme de Georges Sim. Éditions : Tout Simenon, tome 18, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06103-3) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  2. Prépublication dans l’hebdomadaire Vu n° 158 du 25 mars 1931. Éditions : Tout Simenon, tome 18, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06103-3) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  3. Prépublication dans La Jeune France littéraire, n° 5, décembre 1932. Éditions : Tout Simenon, tome 18, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06103-3) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  4. Prépublication dans Aujourd’hui n° 3 du 14 décembre 1933. Éditions : Tout Simenon, tome 18, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06103-3) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  5. Prépublication dans Benjamin n° 266 du 13 décembre 1934. Éditions : Tout Simenon, tome 18, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06103-3) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  6. Prépublication dans Marianne n° 192 du 5 février 1936. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  7. Prépublication dans Paris-Soir Dimanche du 24 janvier 1937. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  8. Prépublication dans le bimestriel Le Point (Colmar), n° 15, de juin 1938 avec une photo d’Alfred Betz. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  9. Version remaniée de Celui qui se battait avec les rats ou la plus banale des histoires, parue dans La Mauvaise étoile. Prépublication dans Match, n° 15 du 13 octobre 1938 avec deux dessins d’Ergès. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 1, 1929-1938, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10750-2)
  10. Prépublication dans Gringoire, 26 octobre 1939. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  11. Prépublication dans Gringoire, 23 novembre 1939. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  12. Prépublication dans Gringoire, 16 mai 1940. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  13. Prépublication dans Gringoire, 25 juillet 1940. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  14. Prépublication dans Gringoire, 10 octobre 1940. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  15. Prépublication dans Gringoire, 21 novembre 1940. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  16. Prépublication dans Notre Cœur, 27 décembre 1940 et 3 janvier 1941. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  17. Version remaniĂ©e de L’Aventurier syndiquĂ©, nouvelle parue dans La Mauvaise Ă©toile. PrĂ©publication dans Tout et Tout, 22 fĂ©vrier 1941. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
  18. Une anecdote similaire figure dans la nouvelle L'aventurier syndiqué, figurant dans le recueil La Mauvaise étoile, ainsi que dans le roman Au bout du rouleau
  19. Prépublication dans Tout et Tout, 19 avril 1941. Éditions : Tout Simenon, tome 22, Omnibus, 2003 (ISBN 978-2-258-06107-1) et Nouvelles secrètes et policières, tome 2, 1938-1953, Omnibus, 2014 (ISBN 978-2-258-10751-9)
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