Luis Alberto Monge
Luis Alberto Monge Ălvarez (nĂ© le Ă Palmares de Alajuela, Province d'Alajuela â mort le Ă San JosĂ©), est un homme d'Ătat, a Ă©tĂ© le prĂ©sident du Costa Rica de 1982 Ă 1986.
Luis Alberto Monge | ||
Luis Alberto Monge en 1984. | ||
Fonctions | ||
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Président de la République du Costa Rica | ||
â (4 ans) |
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Ălection | ||
Vice-président | Alberto Fait Lizano Armando Aråuz Aguilar |
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Prédécesseur | Rodrigo Alberto Carazo Odio | |
Successeur | Ăscar Arias SĂĄnchez | |
Biographie | ||
Nom de naissance | Luis Alberto Monge Ălvarez | |
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Palmares de Alajuela (Costa Rica) | |
Date de décÚs | (à 90 ans) | |
Lieu de décÚs | San José (Costa Rica) | |
Nature du dĂ©cĂšs | ArrĂȘt cardiaque | |
Nationalité | Costaricienne | |
Parti politique | PLN | |
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Présidents du Costa Rica | ||
Biographie
Avant de devenir président en 1982, Luis Alberto Monge a servi comme ambassadeur en Israël et a été l'un des membres fondateurs du Parti de la libération nationale (PLN) en 1951. Il a également été élu député à 24 ans, faisant de lui un des plus jeunes membre du parlement.
Monge a hĂ©ritĂ© d'un pays pauvre et dĂ©semparĂ©. Les plus grands problĂšmes de sa prĂ©sidence ont Ă©tĂ© traitĂ©s: la crise Ă©conomique ingĂ©rable, la dette Ă©trangĂšre et la crise des Contras sandinistes impliquant le Nicaragua, les Ătats-Unis et la rĂ©gion frontaliĂšre du nord du Costa Rica.
Concernant la situation économique du pays, il a lancé des programmes austÚres de réduction des dépenses publiques, supprimé des taxes à l'exportation et à la production, réformé la loi monétaire, et contraint toutes les devises étrangÚres à passer par le systÚme bancaire national. Une grande partie de ses efforts ont porté leurs fruit, réduisant l'inflation et le chÎmage.
Durant le mandat de Monge, le Costa Rica se proclame en alignement avec toutes les « démocraties occidentales » et commença à travailler en étroite collaboration avec les gouvernements du Honduras, du Salvador et du Guatemala, tandis que ses relations avec le Nicaragua continuaient à se détériorer.
Peu de temps aprĂšs ĂȘtre devenu prĂ©sident, Monge a voyagĂ© en IsraĂ«l, oĂč, ignorant la RĂ©solution 478 du Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, il a hissĂ© le drapeau national sur les bĂątiments de l'ambassade du Costa Rica. Il a dĂ©fini son action comme « l'exercice de la souverainetĂ© ».