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Luc Van den Brande

Luc Van den Brande, né le à Malines, est un homme politique belge, membre du CD&V. Marié et père de 3 enfants, il est docteur en droit et licencié en notariat de la Katholieke Universiteit Leuven. Il a été pendant sept années Ministre-président du gouvernement flamand.

Luc Van den Brande
Fonctions
Représentant à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (d)
Belgique
-
Suppléant de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
Belgique
-
Représentant à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (d)
Belgique
-
SĂ©nateur belge
-
Ministre flamand de l'Énergie
-
Ministre-président du gouvernement flamand
-
SĂ©nateur belge
-
Député flamand
Député
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Activités
Enfant
Barend Van den Brande (d)
Luc Van den Brande

Études

Carrière politique

Mandats parlementaires

  • DĂ©putĂ© de la Chambre des reprĂ©sentants de Belgique pour l’arrondissement de Malines (1977-1991)
  • Chef du groupe parlementaire CVP Ă  la Chambre (1985-1988)
  • Membre du Cultuurraad voor de Nederlandse Cultuurgemeenschap et du Conseil flamand (12.05.77-21.05.95)
  • SĂ©nateur fĂ©dĂ©ral pour l’arrondissement de Malines-Turnhout (1991-1995)
  • DĂ©putĂ© au Parlement flamand pour l’arrondissement de Malines-Turnhout (13.06.95-04.07.95) (16.07.99-
  • PrĂ©sident de la Commission pour les affaires Ă©trangères et europĂ©ennes (1999-2004)
  • DĂ©putĂ© au Parlement flamand pour la Province d’Anvers ( - )
  • SĂ©nateur de communautĂ© (13.10.1999-7.6.2009)
  • Membre du ComitĂ© consultatif fĂ©dĂ©ral sur les Affaires europĂ©ennes

Fonctions gouvernementales

  • Ministre fĂ©dĂ©ral de l’Emploi et du Travail (du au )
  • PrĂ©sident de l'exĂ©cutif flamand et ministre communautaire des affaires Ă©conomiques, des PME, de la politique scientifique et des relations extĂ©rieures (du 21 au )
  • Ministre-prĂ©sident de l'exĂ©cutif flamand et ministre communautaire des affaires Ă©conomiques, des PME, de la politique scientifique et des relations extĂ©rieures (du au )
  • Ministre-prĂ©sident du Gouvernement flamand et ministre flamand de la politique extĂ©rieure, des affaires europĂ©ennes et des sciences et technologies (du au )

Mandats et responsabilités européennes

Benelux

  • Chef du groupe parlementaire chrĂ©tien du Conseil interparlementaire consultatif de Benelux (2000- 2008)

Conseil de l’Europe

  • Membre effectif de l’AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l’Europe (depuis 2001);
  • Vice-prĂ©sident de l’AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l'Europe (2003-2004);
  • Chef du groupe parlementaire PPE/DC de l’AssemblĂ©e parlementaire (depuis 2005), et en cette qualitĂ© membre du Cabinet du PrĂ©sident, du Bureau et de la Commission permanente
  • Membre effectif de la Commission politique et de la Commission pour le respect des obligations et engagements des États membres (Commission de suivi);
  • Membre de diffĂ©rentes sous-commissions
  • Rapporteur en diverses occasions et Ă  plusieurs reprises, entre autres du suivi de la Turquie et de la FĂ©dĂ©ration de Russie
  • PrĂ©sident de missions d’observation des Ă©lections et de commissions ad-hoc
  • ReprĂ©sentant de l’AssemblĂ©e parlementaire au sein du ComitĂ© des Ministres pour la nĂ©gociation du MoU entre le Conseil et l’UE
  • PrĂ©sident du Conseil des Ă©lections dĂ©mocratiques de la Commission de Venise (Commission europĂ©enne pour la dĂ©mocratie par le droit)

Union de l’Europe occidentale

Divers

  • Professeur extraordinaire en Institutions politiques – Katholieke Universiteit Leuven (KU Leuven) (2000- 2005)
  • PrĂ©sident du Flanders Technology International
  • PrĂ©sident du Lemmensinstituut
  • PrĂ©sident de l'Internationale vriendenkring Anton van Wilderode
  • En , et alors qu'il Ă©tait prĂ©sident du conseil europĂ©en, il a Ĺ“uvrĂ© pour faire retirer de l'agenda du conseil le rapport du sĂ©nateur français Guy Lengagne (PS) intitulĂ© Les dangers du crĂ©ationnisme dans l'Ă©ducation[1] - [2]. Il fut l'une de 25 personnes sur 48 Ă  voter contre la rĂ©solution 1580, Ă©tablissant que le crĂ©ationnisme n'est pas une matière scientifique et donc ne doit pas ĂŞtre enseignĂ© au cours de sciences mais bien au cours de religion.

Intérêts politiques et sociaux

  • Politique gĂ©nĂ©rale, politique Ă©conomique, scientifique et technologique, rĂ©formes de l’État, politique extĂ©rieure et europĂ©enne

Distinctions

Notes et références

Lien externe

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