Louis de Gannes de Falaise
Louis-Joseph de Gannes, dit Louis, seigneur de Falaise (Buxeuil) et la Chancellerie (Poisay-le-Joli), dit le Chevalier de Falaise est né le à Buxeuil et décédé le à La Rochelle[1]. Il est un militaire français, ayant vécu en Acadie. Il est le fils de Louis de Gannes, sieur de Falaise et de la Chancellerie, et de Françoise LeBloy[1] - [2].
Naissance | |
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Décès |
(à 55 ans) La Rochelle |
Activité | |
Père |
Louis de Gannes, Seigneur Falaise de Gannes (d) |
Mère |
Françoise Lebloy (d) |
Fratrie |
François de Gannes de Falaise (d) |
Enfant |
Distinction |
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Biographie
En 1692, Louis de Gannes est lieutenant d'infanterie au Régiment de la Marine pour le service du roi et signe « Le Chevalier de Falaise », puis devient Chevalier de Saint-Louis le . Il a pour enfant Michel de Gannes de Falaise, qui naît en 1702.
Marié à Barbe Denys[3] en Nouvelle-France, Louis de Gannes aura une fille Louise ; pas d'enfant de son second mariage avec Louise Legardeur de Tilly ; et de son troisième mariage avec Marguerite Le Neuf de la Vallière, il aura 12 enfants[1]. Devenue veuve, l'Acadienne Marguerite Le Neuf de la Vallière devint propriétaire de la Chancellerie à Poisay-le-Joli aujourd'hui Les Ormes.
Références
- « Louis de Gannes de Falaise » dans Dictionnaire biographique du Canada, Université Laval/Université de Toronto, 2003–.
- Famille Louis-Joseph de Gannes sur le Répertoire des actes des émigrants français et étrangers établis au Québec des origines à 1865
- Contrairement aux autres sources, le Répertoire des actes des émigrants français et étrangers établis au Québec des origines à 1865 attribue ce mariage avec Barbe Denys à l'un de ses frères cadets, Louis-Joseph, baptisé en 1664. Toutefois, dès 1915, un historien note : « Il est difficile de mettre chacun à leur place les personnages canadiens qui ont porté le nom de Gannes de Falaise. On dirait que ceux qui ont eu à parler de cette famille se sont donné la main pour embrouiller davantage son histoire » dans A. Roy, « Le Bulletin Des Recherches Historiques », Volumes 21 à 22, extrait en ligne.