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Jugement dernier (Fra Bartolomeo)

Baccio della Porta, plus connu sous le nom de Fra Bartolomeo, rĂ©alise son Jugement dernier entre 1499 et 1501 avec l’aide de son ami Mariotto Albertinelli. Cette peinture Ă  fresque est aujourd’hui conservĂ©e au MusĂ©e San Marco Ă  Florence et mesure 357 centimĂštres de large sur 374 centimĂštres de haut.

« Baccio Ă©tait aimĂ© Ă  Florence pour ses qualitĂ©s ; assidu au travail, naturellement aimable et bon, pĂ©nĂ©trĂ© par la crainte de Dieu, il aspirait Ă  vivre en paix et fuyait le vice ; assidu aux prĂȘches, il recherchait la compagnie des personnes instruites et sages. »[1]

Fra Bartolomeo, Jugement dernier, 1499-1501, fresque, 357x374, Musée San Marco, Florence

.

Histoire

Commande

Le , Baccio della Porta signe le contrat de commande de son Jugement dernier avec un riche notable florentin, Gerozzo Dini. De son vrai nom Gerozzo di Monna Vanna Dini, le commanditaire est chirurgien Ă  l’hĂŽpital Santa Maria Nuova de Florence. Cette Ɠuvre a pour vocation d’orner la tombe de sa dĂ©funte mĂšre, Monna Vanna degli Agli. Elle repose alors dans le cimetiĂšre de l’hĂŽpital Santa Maria Nuova, appelĂ© le cloĂźtre des Ossements.

Contexte de réalisation

Baccio della Porta commence son Ɠuvre en , et doit la terminer pour le mois d’aoĂ»t, de la mĂȘme annĂ©e. Toutefois, l’échelonnement des paiements montre que Baccio prit beaucoup de retard et qu’il Ă©tait sĂ»rement trop ambitieux de rĂ©clamer une telle commande en moins de six mois. Non seulement l’Ɠuvre ne fut pas terminĂ©e Ă  temps, mais Baccio abandonna dĂ©finitivement la rĂ©alisation de la fresque en . Effectivement l’artiste donnant plus d’importance Ă  la religion qu’à son art, il quitta Florence pour Prato le pour devenir frĂšre dominicain[2]. Il laissa les pinceaux ainsi que l’ensemble de ses dessins prĂ©paratoires Ă  son ami et assistant Mariotto Albertinelli. Fra Bartolomeo ayant dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ© la partie supĂ©rieure de son Jugement dernier, Albertinelli se devait d’achever la partie infĂ©rieure. Cependant, de nombreux dessins prĂ©paratoires ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s et l’ensemble de la composition Ă©tait dĂ©finie par Fra Bartolomeo, ne laissant Ă  Mariotto Albertinelli que l’exĂ©cution des figures[3]. Albertinelli prit cependant la libertĂ© d’ajouter, sur les parties latĂ©rales de la fresque, le commanditaire et sa mĂšre, agenouillĂ©s et priants.

Historique de conservation[4]

La fresque fut conservĂ©e dans le CloĂźtre des Ossements Ă  l’hĂŽpital Santa Maria Nuova jusqu’en 1657. Cependant, l’insalubritĂ© du cimetiĂšre porta prĂ©judice Ă  l’Ɠuvre qui fut trĂšs dĂ©gradĂ©e, principalement dans sa partie infĂ©rieure. A cause de cette forte dĂ©tĂ©rioration, elle est dĂ©placĂ©e en 1657 dans une cour adjacente au CloĂźtre des Ossements. C’est en 1871 que la fresque de Fra Bartolomeo est transfĂ©rĂ©e dans la galerie des Offices, oĂč elle reste jusqu’en 1900. Elle demeura ensuite Ă  la galerie de l’AcadĂ©mie entre 1900 et 1924 puis fut dĂ©finitivement transfĂ©rĂ©e au couvent San Marco, lieu oĂč elle est toujours conservĂ©e aujourd’hui.

Campagnes de restauration[4]

La premiĂšre restauration de l’Ɠuvre fut menĂ©e en 1628 par Matteo Roselli, dans la partie infĂ©rieure de la fresque. En 1657, le cloĂźtre des Ossements est abandonnĂ© et la fresque dĂ©tachĂ©e et dĂ©placĂ©e dans une petite cour adjacente. A ce moments lĂ , les deux parties latĂ©rales de la fresque figurant le commanditaire et sa dĂ©funte mĂšre sont perdues. Il n’en reste aujourd’hui que les dessins prĂ©paratoires. Ensuite ce n’est qu’en 1871 que Raffaello Bonaiuti rĂ©alise une seconde copie de la fresque, aujourd’hui conservĂ©e Ă  la Sopritendenza de Florence. Puis, entre 1986 et 1987 une grande campagne de restauration est menĂ©e sur l’Ɠuvre de Fra Bartolomeo, et le rĂ©sultat est inattendu.

Description

Identification des personnages[3]

Le Jugement dernier de Fra Bartolomeo comporte plus de 75 personnages.

Au centre, figure le Christ dans sa mandorle les bras ouverts, geste typique de l’iconographie du Jugement dernier. Il est entourĂ© de chĂ©rubins et de sĂ©raphins. Sous le Christ, les anges portent les attributs de la Passion. Il est entourĂ© des apĂŽtres et de la Vierge Marie, assis sur des bancs nuageux. Dans la partie infĂ©rieure, ce sont les Ă©lus et les damnĂ©s qui sont reprĂ©sentĂ©s en demi-cercle de part et d’autre de l’archange Saint Michel. Dans cette partie attribuĂ©e Ă  Mariotto Albertinelli, plusieurs portraits de grands personnages du XVe siĂšcle ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s (comme celui de Fra Angelico, entre autres
).

Deux prophĂštes de l’Ancien Testament figurent parmi les Ă©lus. En effet, Enoch et Élie figurent dans la partie infĂ©rieure de la fresque, tous deux vĂȘtus de grandes toges et de leurs longues barbes. L’un d’entre eux tient dans ses mains un livre.

L'eschatologie dans la fresque du Jugement dernier[5]

Le Jugement dernier de Fra Bartolomeo est fidĂšle Ă  la thĂ©ologie du Jour du Jugement. Le Jugement dernier correspond Ă  la seconde Parousie, soit la seconde venue de Dieu sur terre. Le terme Parousie vient du grec, Ï€Î±ÏÎżÏ…ÏƒÎŻÎ±, parousia signifiant « venue » ou « prĂ©sence ».

Lors de la premiĂšre Parousie, lorsque Dieu se fait homme par la naissance de JĂ©sus, ce dernier promet de revenir une seconde fois dans la Gloire. A plusieurs reprises, ce fait est mentionnĂ© dans la Bible, particuliĂšrement dans le Nouveau Testament principalement dans l’Évangile de saint Matthieu, chapitre 24, ainsi que dans les lettres aux HĂ©breux, chapitre 9.

29[...] Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus de clartĂ©, les Ă©toiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux trembleront. 30Alors le signe du Fils de l’Homme apparaĂźtra dans le ciel; alors tous les peuples de la terre se lamenteront, ils verront le Fils de l’Homme arriver sur les nuages du ciel avec beaucoup de puissance et de gloire. 31La grande trompette sonnera et il enverra ses anges aux quatre cĂŽtĂ©s de la terre; ils rassembleront ceux qu’il a choisis, d’un bout Ă  l’autre du monde. »

« 27Tout homme est destinĂ© Ă  mourir une seule fois, et aprĂšs cela Ă  ĂȘtre jugĂ© par Dieu. 28De mĂȘme, le Christ aussi a Ă©tĂ© offert en sacrifice une seule fois pour enlever le pĂ©chĂ© de beaucoup d’hommes. Il apparaĂźtra une seconde fois, non plus pour enlever le pĂ©chĂ© mais pour sauver ceux qui l’attendent. »

Dans le Jugement dernier de Fra Bartolomeo, la reprĂ©sentation du Christ est fidĂšle aux Écrits bibliques ainsi qu’à la thĂ©ologie chrĂ©tienne. En effet, si le Christ apparaĂźt en gloire le Jour du Jugement, c’est parce qu’il est restĂ© cachĂ© depuis sa premiĂšre venue sur terre. Entre les deux Parousies, le mystĂšre se dĂ©veloppe autour du Christ, car il ne s’expose pas physiquement au monde terrestre. Ainsi il apparaĂźt en Gloire, entourĂ© de nuages, fidĂšlement aux Écritures. Sur un trĂŽne, il est reprĂ©sentĂ© avec un nimbe dorĂ©, dont le coloris rayonne autour du Christ. Toute la composition de l’Ɠuvre a pour but de mettre en valeur le Christ, sa Toute-Puissance et sa venue dans la gloire. La reprĂ©sentation de la Vierge Marie, ainsi que des apĂŽtres sont des Ă©lĂ©ments essentiels dans le Jugement dernier. La prĂ©sence des apĂŽtres dans cette iconographie prend racine dans les Évangiles de saint Matthieu, chapitre 19, et de saint Jean, chapitre 22.

« 27Pierre alors lui dit Ă  part : VoilĂ , nous avons tout laissĂ© et nous t’avons suivi; qu’y aura-t-il donc pour nous ? 28JĂ©sus leur dit : Oui je vous le dis Ă  vous qui m’avez suivi : lors de la rĂ©gĂ©nĂ©ration, quand le Fils de l’Homme s’assoira sur son trĂŽne de gloire, vous vous assoirez vous aussi sur douze trĂŽnes pour juger les douze tribus d’IsraĂ«l. »

« 28Vous autres, vous ĂȘtes demeurĂ©s avec moi dans mes Ă©preuves; 29et moi je dispose pour vous d’un rĂšgne, comme mon PĂšre en a disposĂ© pour moi, 30pour que vous mangiez et buviez Ă  ma table, dans mon rĂšgne, et que vous vous asseyiez sur des trĂŽnes pour juger les douze tribus d’IsraĂ«l. »

Saint Michel prend Ă©galement un sens particulier dans le Jugement dernier. il est mentionnĂ© dans les Saintes Écritures, et plus particuliĂšrement dans l’Apocalypse de Saint Jean, chapitre 12 :

« 7Ç’a Ă©tĂ© une guerre dans le ciel. Michel et ses anges ont fait la guerre au dragon et le dragon et ses anges ont fait la guerre 8et n’ont pas Ă©tĂ© les plus forts, et on n’a plus trouvĂ© leur lieu dans le ciel. 9Il a Ă©tĂ© jetĂ© le grand dragon, l’antique serpent qu’on appelle le Diable et le Satan, lui qui Ă©gare tout le sĂ©jour, il a Ă©tĂ© jetĂ© sur la terre et ses anges ont Ă©tĂ© jetĂ©s avec lui. »

La grande spiritualitĂ© de Fra Bartolomeo est manifeste dans cette Ɠuvre. L’ensemble de la composition et des choix iconographiques faits par l’artiste participent Ă  faire de cette Ɠuvre un objet de rĂ©flexion. Ce Jugement dernier est une mise en image des textes bibliques, poussant ainsi Ă  la mĂ©ditation et Ă  la priĂšre.

Comparaisons

Nardo di Cione

Des comparaisons peuvent en effet ĂȘtre Ă©tablies entre les fresques de Nardo di Cione Ă  Santa Maria Novella Ă  Florence[6] et celle de Fra Bartolomeo. Toutes deux rĂ©alisĂ©es au sein de l’ordre des dominicains, elles prĂ©sentent quelques similitudes. En effet, Fra Bartolomeo s’en inspire tant dans l’expression de ses personnages que dans la composition globale.

Nardo di Cione, Jugement dernier, 1354-1357. Fresque, Chapelle Strozzi, église Santa Maria Novella, Florence (détail)

L’expressivitĂ© dans les figures de Nardo di Cione est trĂšs forte. Chaque personnage reprĂ©sentĂ© adopte sa propre attitude, traduisant clairement le rĂŽle qu’il doit occuper. Au sein des Ă©lus et des damnĂ©s, chaque visage traduit ce que le personnage ressent. Cette individualisation est due Ă  un contexte plus gĂ©nĂ©ral liĂ© Ă  la Renaissance et Ă  la singularisation de l’art et des individus[7]. Fra Bartolomeo reprend clairement cela. Bien qu’il ne dĂ©finisse pas socialement ses personnages, l’artiste individualise leurs Ă©motions. Chaque individu figurĂ©, qu’il soit Ă©lu, damnĂ©, ou assesseur, adopte son propre comportement.

Fra Angelico

Dans le Jugement dernier de Fra Bartolomeo prĂ©sente de nombreuses similitudes avec le Jugement dernier de Fra Angelico aujourd’hui conservĂ© au couvent San Marco. L’ensemble de ce Jugement dernier tend Ă  la mĂ©ditation sur le Jour du Jugement. Fra Angelico veut inciter Ă  la rĂ©flexion sur la douleur Ă  travers sa figuration de l’enfer. La composition, claire et directe, fait prendre conscience au fidĂšle que l’accĂšs au Royaume de Dieu se fait par la rĂ©demption et la priĂšre. Comme il a Ă©tĂ© Ă©noncĂ© prĂ©cĂ©demment, Fra Bartolomeo conserve cette intention dans son art. La puissance des prĂ©ceptes de l’ordre des dominicains est ainsi perceptible dans l’art de ces deux artistes.

Nombre d’autres Ă©lĂ©ments sont apparents dans les deux reprĂ©sentations du Jugement dernier. En effet, Fra Bartolomeo reprend l’iconographie des tombes ouvertes proposĂ©e par Fra Angelico.

Fra Angelico, Jugement dernier, 1435. Huile sur bois, 105x210cm. MusĂ©e San Marco, Florence  

Les tribunaux rĂ©partis de part et d’autre du Christ montrent Ă©galement de nombreuses similitudes. Bien que la composition soit plus resserrĂ©e dans l’Ɠuvre de Baccio della Porta, l’artiste garde les Ă©lĂ©ments essentiels de ce que Fra Angelico avait proposĂ©. Assis sur un nuage, les apĂŽtres interagissent entre eux et ne sont pas reprĂ©sentĂ©s au mĂȘme niveau que le Christ. Deux personnages se dĂ©marquent, la Vierge Ă  la droite du Christ et saint Jean-Baptiste sur sa gauche.

C’est de cette Ɠuvre que Fra Bartolomeo est le plus proche sur le plan iconographique et thĂ©ologique. Fra Angelico Ă©tait, lui aussi trĂšs pieux et en grande recherche de sagesse. Il transmet dans son Ɠuvre sa vision de la religion et les prĂ©ceptes de son ordre monastique. Ainsi, Fra Bartolomeo fait les mĂȘmes choix, en ajoutant une fonction thĂ©ologique et mĂ©ditative Ă  son Jugement dernier.

Raphaël, La Gloire de la Trinité, 1505. Fresque, San Severo, Pérouse Parte inférieure achevée par le Pérugin en 1520

Fra Bartolomeo et Raphaël

« RaphaĂ«l d’Urbin vint Ă  Florence afin d’y apprendre la peinture et il enseigna Ă  Fra Bartolomeo les rĂšgles de la perspective ; dĂ©sireux d’apprendre Ă  manier et Ă  fondre les couleurs comme le frĂšre dont les talents de coloriste lui plaisaient, il restait constamment avec lui. »[1]

Raphaël, La dispute du Saint Sacrement, 1509-1510. Fresque, 500x770 cm. Chambre de la Signature, Palais du Vatican

Selon Vasari, les deux artistes auraient entretenu une relation amicale et professionnelle de 1505 Ă  1506[1]. Naturellement, l’un et l’autre jouĂšrent un rĂŽle important dans leurs vies artistiques. Et plus particuliĂšrement, le Jugement dernier de Fra Bartolomeo joua un rĂŽle majeur dans certaines Ɠuvres de RaphaĂ«l. En effet, dans La Gloire de la TrinitĂ©, la composition rappelle celle que propose Fra Bartolomeo. La Gloire de la TrinitĂ© amorçait dĂ©jĂ  les prĂ©mices de ce que serai plus tard La Dispute du Saint Sacrement. Ici aussi, la composition globale de la fresque rappelle clairement celle du Jugement dernier de Fra Bartolomeo. Bien que les sujets reprĂ©sentĂ©s ne soient pas des Jugements derniers, RaphaĂ«l a fortement Ă©tĂ© imprĂ©gnĂ© de l’Ɠuvre de Fra Bartolomeo. De nombreuses similitudes sont perceptibles dans la composition, mais Ă©galement dans les positions des personnages.

Notes et références

  1. Giorgio Vasari, Les vies des meilleurs peintres, sculpteurs, architectes, Volume I, Thesaurus Actes Sud, Arles, 2005. Traduction et édition commentée par André Chastel. Livre 5 : « Vie de Fra Bartolomeo de Saint-Marc, peintre florentin » , p°123
  2. Vasari, Giorgio, 1511-1574., Les vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, Berger-Levrault, 1981-1989 (ISBN 2-7013-0754-6, OCLC 25998394, lire en ligne)
  3. (de) Christian Von Holst, « Fra Bartolomeo und Albertinelli. Beobachtungen zu ihrer Zusammenarbeit am JĂŒngsten Gericht aus Santa Maria Nuova und in der Werkstatt von San Marco », Mitteilungen des Kunsthistorischen Institutes in Florenz,‎ , p. 273–318 (ISSN 0342-1201, lire en ligne)
  4. (it) CAO GIAN-MARIO, PONS NICOLETTA, TARQUINI ALDO, L’età di Savonarola : luoghi, storia, arte, Florence, Giunta Regionale Toscana, (ISBN 978-88-317-6413-1)
  5. Manon Rondeau, La fresque du Jugement dernier de Fra Bartolomeo ; Ă©tude iconographique, MĂ©moire de Master 1 en histoire de l’art, sous la direction d’Estelle Leutrat, Rennes, UniversitĂ© de Rennes 2, 2017
  6. Nardo di Cione, Jugement dernier, 1354-1357. Fresque, Chapelle Strozzi, Ă©glise Santa Maria Novella, Florence
  7. Poeschke, Joachim., Roli, Ghigo, 1956- ..., Virey-Wallon, Aude. et Bermond-Gettle, Virginie de. (trad. de l'allemand), Fresques italiennes du temps de Giotto, 1280-1400, Paris, Citadelles & Mazenod, , 455 p. (ISBN 2-85088-194-5, OCLC 469258484, lire en ligne)

Bibliographie

  • DENÈLE CLÉMENTINE, « L’iconographie de Saint Michel archange dans les peintures murales et les panneaux peints en Italie (1200-1518) », thĂšse de doctorat en histoire de l’art, sous la direction de Daniel RUSSO, Dijon, UniversitĂ© de Bourgogne, 2014, volume I.
  • FISCHER CHRIS (dir.), Fra Bartolommeo et son atelier : dessins et peintures des collections françaises, cat. expo. (Paris, MusĂ©e du Louvre, 104Ăš exposition du Cabinet des dessins, Pavillon de Flore : ; ) , Paris, RĂ©union des musĂ©es nationaux, 1994.
  • FISCHER CHRIS, J.ELEN ALBERT (dir.), Fra Bartolommeo, The Divine Renaissance, cat. expo. (Rotterdam, Museum Boijmans Van Beuningen : ; ), Rotterdam, Museum Boijmans Van Beuningen, 2016
  • PADOVANI SERENA (dir.), L’etĂ  di Savonarola. Fra Bartolomeo e la scuola di San Marco, cat. expo. (Florence, Palazzo Pitti et Museo San Marco : ; ), Florence, Giunta Regionale Toscana, 1996
  • POESCHKE JOACHIM, Fresques italiennes du temps de Giotto : 1280-1400, Paris, Citadelles & Mazenod, 2003
  • ROETTGEN STEFFI, Fresques italiennes de la Renaissance. [1], 1400-1470, Paris, Citadelles et Mazenod, 1996
  • ROETTGEN STEFFI, Fresques italiennes de la Renaissance. [2], 1470-1510, Paris, Citadelles et Mazenod, 1997
  • ZLATOHLÀVEK MARTIN, RÄTSCH CHRISTIAN, MÜLLER-EBELING CLAUDIA, Le Jugement dernier, Lausanne, BibliothĂšque des Arts, 2001.
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