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Joseph Anglada

Joseph Luc Baudile Anglada, nĂ© le Ă  CĂ©ret et mort le Ă  Montpellier, est un mĂ©decin et chimiste, professeur de mĂ©decine lĂ©gale de la facultĂ© de mĂ©decine de Montpellier, et professeur de chimie et doyen de la facultĂ© des sciences de Montpellier. Il est le fondateur du thermalisme mĂ©dical en Roussillon, membre du Conseil acadĂ©mique, membre correspondant de l’AcadĂ©mie royale de mĂ©decine et de l’AcadĂ©mie des sciences de Turin[1] - [2].

Joseph Anglada
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
Nom de naissance
Joseph Luc Baudile Anglada
Nationalité
Française
Activité
PĂšre
Joseph-François Anglada
signature de Joseph Anglada
Signature

Biographie

Joseph Anglada est le fils de Joseph-François Anglada, lui-mĂȘme universitaire, chimiste et mĂ©decin de renom et recteur de l’UniversitĂ© de Perpignan. Il est aussi le neveu du doyen de la facultĂ© de droit de Montpellier.

Son pÚre étant médecin en chef de l'armée des Pyrénées-Orientales, Joseph Anglada sert durant quelque temps comme chirurgien des hÎpitaux de Perpignan avant le décÚs de son pÚre en 1794. Il décide alors de passer le concours d'entrée de l'école de santé de Montpellier et se fait rapidement distinguer par Henri Fouquet, ce qui lui permet d'obtenir la fonction de chef de clinique[2] - [3] - [4].

Il effectue sa formation mĂ©dicale Ă  Montpellier, notamment auprĂšs de Jean-Antoine Chaptal, qui sut apprĂ©cier les qualitĂ©s du jeune Ă©lĂšve et qui l'intĂ©gra auprĂšs de ses Ă©lĂšves chĂ©ris puis de ses amis. Joseph Anglada obtient son doctorat en mĂ©decine en 1797[1] avant de partir trois ans Ă  Paris afin de se mettre en contact avec les scientifiques les plus illustres de son Ă©poque[2]. Il est professeur supplĂ©ant Ă  l’Ecole Centrale de Perpignan en 1802 avant d’ĂȘtre appelĂ© par Jean-Antoine Chaptal, Ă  prĂ©sent ministre de l'intĂ©rieur du premier Consul, pour diriger de 1803 Ă  1809 le Conservatoire de la facultĂ© de mĂ©decine de Montpellier[2].

Sous sa direction, le Conservatoire comprend un cabinet d'anatomie, des appareils de chirurgie et une collection d'histoire naturelle mĂ©dicale avec des piĂšces destinĂ©es Ă  l'enseignement, de la facultĂ© de mĂ©decine de Montpellier qu’il dĂ©veloppe grĂące aux bonnes relations qu'il entretient avec Jean-Antoine Chaptal, initiateur de l'installation de la facultĂ© de mĂ©decine dans les locaux de l'ancien Ă©vĂȘchĂ©, jouxtant la cathĂ©drale Saint-Pierre[5] - [6]. Il obtient alors une collection de piĂšces anatomiques moulĂ©es, exĂ©cutĂ©es par Jean-Baptiste Laumonier. En 1807, la trĂšs riche collection de squelettes de poissons des mers du Sud du Professeur Auguste Broussonnet est achetĂ©e par la facultĂ© et amenĂ©e au Conservatoire[2].

Il est, par la suite, nommĂ© Professeur de chimie de la facultĂ© des sciences le 23 juillet 1809. Les cours qu’il fit sur cette science lui valurent une rĂ©putation mĂ©ritĂ©e qui lui permis, Ă  la suite des bouleversements politiques, d'ĂȘtre nommĂ© Doyen provisoire de cette facultĂ© du 22 dĂ©cembre 1814 Ă  1815, avant qu’Augustin-Pyramus De Candolle ne prenne ce poste. Il n'est nommĂ© Doyen effectif que le 16 dĂ©cembre 1816. C’est sous son administration que la facultĂ© des sciences est transfĂ©rĂ©e, le 29 octobre 1816, de l’hĂŽtel Jacquet de Bray ou hĂŽtel des Rois de Majorque, sis au numĂ©ro 3 de la rue Saint-Ravy Ă  la maison Crozals, rue Embouque d'or (aujourd'hui hĂŽtel de Manse)[7] - [6].

En 1820, il quitte volontairement le poste de doyen afin d’accĂ©der au professorat Ă  la facultĂ© de mĂ©decine tout en conservant son poste de professeur de chimie Ă  la facultĂ© des sciences. Il rejoint la chaire de thĂ©rapeutique et de matiĂšre mĂ©dicale jusqu'en 1824 puis, celle de mĂ©decine lĂ©gale jusqu'en 1833.

Il est Ă©lu adjoint correspondant pour la section de mĂ©decine de l'AcadĂ©mie Royale  le 5 avril 1825[8] - [1].

Son fils, Charles Anglada (Montpellier, 28 octobre 1809 – 4 avril 1878) Ă©tait aussi mĂ©decin et professeur Ă  l’universitĂ© de Montpellier. En 1869, il reçut le grade de chevalier de la LĂ©gion d’honneur[9].

L’on peut compter, parmi ses Ă©tudiants, Antoine-JĂ©rĂŽme Balard, dĂ©couvreur du brome[10]. Antoine-JĂ©rĂŽme Balard devient effectivement prĂ©parateur auprĂšs de Joseph Anglada le 6 juillet 1820, et restera auprĂšs de son maĂźtre le plus aimĂ© jusqu'Ă  son dĂ©cĂšs[11]. Le 17 octobre 1826, Joseph Anglada rĂ©dige une lettre aux rĂ©dacteurs des « Annales de Physique Chimie », dans laquelle l’on voit son implication dans la dĂ©couverte du brome auprĂšs de son Ă©lĂšve Antoine-JĂ©rĂŽme Balard, notamment en proposant le nom de « muride » pour ce nouvel Ă©lĂ©ment[12] - [13]. Un point historique n'est cependant pas Ă©lucidĂ© puisque dans son mĂ©moire de 1826, Antoine-JĂ©rĂŽme Balard Ă©crit : « Anglada me conseilla d'appeler cette substance brome en dĂ©duisant cette dĂ©nomination du grec ÎČÏÎżÎŒÎżÏ‚ (en latin, foetor = mauvaise odeur)... et je l'adopte » alors que dans le rapport des commissaires de l'AcadĂ©mie du 14 aoĂ»t 1826, Joseph Louis Gay-Lussac propose : « Nous l'avons remplacĂ©e, avec le consentement de l'auteur, par celle de brome, de bromos, mauvaise odeur »[11].

Joseph dĂ©cĂšde des suites d’une affection aigĂŒe Ă  la poitrine le 19 dĂ©cembre 1833, Ă  l’ñge de 58 ans et laisse derriĂšre lui plusieurs ouvrages et publications scientifiques[4] - [14]. Antoine-JĂ©rĂŽme Balard lui succĂšdera dans la chaire de chimie de la facultĂ© des sciences de Montpellier[11].

Publications

Joseph Anglada est l’auteur de plusieurs publications mĂ©dicales et notamment d’un admirable TraitĂ© des eaux minĂ©rales, publiĂ© en 1833, qu’il a prĂ©parĂ© Ă  la demande du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales afin de faire connaĂźtre toutes les ressources chimiques et mĂ©dicales que peuvent fournir les eaux minĂ©rales rĂ©pandues avec tant de profusion sur ce territoire[15]. Ces travaux, suivant les prĂ©ceptes de la chimie analytique de l'Ecole de Lavoisier ont servi de rĂ©fĂ©rence pendant tout le XIXe siĂšcle[16].

En 1796 est publiĂ©e sa thĂšse sur les connaissances et qualitĂ©s nĂ©cessaires au mĂ©decin, qu'il prĂ©sente 8 septembre de la mĂȘme annĂ©e Ă  l'Ecole de SantĂ© de Montpellier. Cette thĂšse, forte de ses convictions, va caractĂ©riser toute la dĂ©marche scientifique de l'auteur au cours de sa vie. DĂ©marche qui comprendra l'observation, la comparaison et le choix raisonnĂ© du mĂ©decin pour l'action ou ĂȘtre spectateur du combat de la nature contre la maladie. QualitĂ© qui nĂ©cessite des connaissances Ă©tendues dans de nombreux domaines, notamment la physique et la chimie, et une morale philosophique[17]. Son directeur de thĂšse, Gaspard-Jean RenĂ©, dira que le sujet a Ă©tĂ© traitĂ© avec une naĂŻvetĂ© de style et une profondeur de pensĂ©e telles, que le lecteur admet aisĂ©ment que l'auteur est aussi bon citoyen que bon mĂ©decin[3].

En 1827 et 1828, Joseph Anglada publie les deux tomes de ses Mémoires pour servir à l'histoire générale des eaux minérales sulfureuses et des eaux thermales. Ce sont ses premiers travaux d'importance portés sur l'analyse chimique des eaux sulfureuses afin d'en comprendre les effets bénéfiques sur les patients. Joseph Anglada a ainsi eu le mérite de déterminer le besoin et de placer les médecins en position de mieux connaßtre les propriétés thérapeutiques et applications des eaux minérales. Ses recherches lui fournirent les matériaux de cet ouvrage placé au rang des plus remarquables dans le genre. Il a ordonné ses recherches en huit mémoires portants sur la chaleur des eaux thermales, la présence de glairine dissoute ou concrÚte, la présence de l'alcali, le dégagement de l'azote, le caractÚre sulfureux, l'élaboration d'une nouvelle classification des eaux sulfureuses et leur fabrication artificielle[18].

Le dernier ouvrage qu'il publiera de son vivant sera le fameux TraitĂ© des eaux minĂ©rales et des Ă©tablissements thermaux du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, en 1833. Il a Ă©tĂ© Ă©crit en mĂ©moire de son pĂšre, Joseph-François Anglada qui avait terminĂ© en 1788 des recherches sur les eaux thermales des Bains d’Arles et qui n’avaient pas Ă©tĂ© publiĂ©es ; et selon les vƓux du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, Ă©mis en 1818 afin de faire connaĂźtre la valeur des ressources du dĂ©partement. L'auteur dĂ©finit son oeuvre, envers le conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales « qui conçut la pensĂ©e d'appeler sur les eaux minĂ©rales du pays les nouvelles lumiĂšres de la science. Puisse ce traitĂ© dont l'hommage lui est si justement acquis, remplir son attente ! Puisse-t-il du moins se montrer aux yeux de nos concitoyens comme un monument de la sagesse de cette dĂ©termination comme un gage du patriotique dĂ©vouement de l'auteur ! »

Il s'agit d'un ensemble de huit livres, séparés en deux tomes, dont les quatre premiers livres sont consacrés aux quatre types d'eaux minérales : les eaux sulfureuses, les eaux thermales simples, les eaux ferrugineuses et les eaux salines, définissant la liste la plus exhaustive possible des sources des Pyrénées-Orientales ; et le cinquiÚme livre est réservé à l'histoire des applications médicinales et de leurs contre-indications, que l'on peut faire de ces eaux grùce aux considérations de leur nature et à l'observation directe de leurs effets sur de nombreuses maladies et affections[15].

Dans cet ouvrage, Joseph Anglada ne s’est pas contentĂ© d’explorer les sources qu’utilisaient dĂ©jĂ  des Ă©tablissements. Il est parvenu Ă  trouver quarante communes qui possĂšdent des eaux minĂ©rales, dont seize thermales, vingt ferrugineuses froides et quatre salines. Selon ses recherches, la chaleur des eaux thermales n’est pas due, comme on le pensait, au voisinage de volcans, mais Ă  l’action Ă©lectro-motrice des principes qui constituent l’écorce du globe terrestre[3].

Joseph Anglada est aussi l’auteur d'un autre ouvrage important, le TraitĂ© de toxicologie gĂ©nĂ©rale, Ɠuvre posthume revue et publiĂ©e en 1835 par son fils, Charles Anglada[19].

Bibliographie

Joseph Anglada, Collection des thÚses soutenues à l'école de médecine de Montpellier, En l'an V et en l'an VI : Apperçu sur quelques-unes des qualités et des connoissances nécessaires au médecin, t. II, Montpellier, G. Izard et A. Ricard, Imprimeurs de l'Ecole de Médecine, [17] ;

Joseph Anglada, « Doctrine gĂ©nĂ©rale des Maladies chroniques, pour servir de fondement Ă  la connaissance thĂ©orique et pratique de ces maladies ; par Charles-Louis Dumas, conseiller de l'UniversitĂ© impĂ©riale, doyen et professeur de la FacultĂ© de mĂ©decine de Montpellier, etc. Extrait par J. Anglada, docteur en mĂ©decine », Magasin encyclopĂ©dique,‎ octobre et novembre 1812, pp. 464-472 du tome V et pp. 185-240 du tome VI (lire en ligne, consultĂ© le )[20] ;

Joseph Anglada, Mémoires pour servir à l'histoire générale des eaux sulfureuses et des eaux thermales, t. I et II, Paris et Montpellier, Chez Gabon et chez Sevalle, 1827-1828, 643 p. (lire en ligne)[18] ;

Joseph Anglada, Traité des eaux minérales et des établissements thermaux du département des Pyrénées-Orientales, t. I et II, Paris et Montpellier, Chez BaillÚre, Chez Séville, , 943 p. (lire en ligne)[15] ;

Joseph Anglada, Notice sur les eaux acidules, alcalino-ferrugineuses du Boulou et de Saint-Martin-de-Fenouillar (Pyrénées-Orientales) : prise sur le "Traité des eaux minérales des Pyrénées-Orientales", Montpellier, X. Jullien, , 32 p. (lire en ligne)[21] ;

Joseph Anglada, Traité de toxicologie générale : envisagée dans ses rapports avec la physiologie, la pathologie, la thérapeutique et la médecine légale. Revu et publié par Charles Anglada, Paris et Montpellier, Chez BaillÚre, Chez Sevalle, , 357 p. (lire en ligne)[19] ;

Joseph Anglada, Notice sur la station thermale d'Eaux-Chaudes (Basses-Pyrénées), Paris et Montpellier, A. Delahaye et E. Lecrosnier, Camille Coulet, , 76 p. (lire en ligne)[22].

Hommages et représentations

Un portrait du Professeur Joseph Anglada, datant de 1837, est conservé au musée Albert Ciurana de la faculté de pharmacie de Montpellier[6].

Un autre portrait de Joseph Anglada est exposé dans la prestigieuse Salle des Actes de la faculté de médecine de Montpellier.

La rue du Professeur Joseph Anglada, dans le quartier HÎpitaux-Facultés à Montpellier, ainsi que la rue Joseph Anglada, dans le quartier Saint-Jacques à Perpignan, ont été baptisées en son honneur.

Références

  1. « CTHS - ANGLADA Joseph, Professeur », sur cths.fr (consulté le )
  2. Antoine-JĂ©rĂŽme Balard, « Notice biographique sur Joseph Anglada, professeur Ă  la FacultĂ© de mĂ©decine et Ă  la FacultĂ© des sciences de Montpellier. », Courrier du Midi : journal de l'HĂ©rault,‎ , pages 3-4 (lire en ligne)
  3. Biographie universelle ancienne et moderne - Tome 1, Paris, Michaud - A. Thoisnier Desplaces, , 710 p., pages 701-702
  4. Funérailles de M Anglada, professeur de médecine légale de la Faculté de médecine de Montpellier... : discours de M le professeur Delile, prononcé le 21 décembre 1833
  5. Jean-Pierre Dedet, 900 ans d'enseignement de la MĂ©decine Ă  Montpellier, Sauramps MĂ©dical, , 184 p. (ISBN 9791030302622)
  6. « Tableau : Portrait de Joseph Luc Baudile Anglada », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  7. François-Roméo Pouzin, Histoire des sciences médicales : Le cumul de chaires professorales dans les facultés de l'université de Montpellier au cours du xixe siÚcle, vol. 8, t. 4, , 11 p. (lire en ligne), page 3
  8. Index des membres, des associĂ©s et des correspondants de l’AcadĂ©mie de mĂ©decine, 1820-1990, p. 4. - BIU SantĂ© Paris Descartes
  9. « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
  10. Dolique Roger. Balard. Sa vie et son Ɠuvre Ă  Montpellier de 1802 Ă  1840. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 65ᔉ annĂ©e, n°232, 1977. pp. 13-27.
  11. Dolique Roger, « Balard. Sa vie et son Ɠuvre Ă  Montpellier de 1802 Ă  1840 », Revue d'histoire de la pharmacie, 65e annĂ©e, n°232,‎ , pages 13-27 (lire en ligne [PDF])
  12. Julien Pierre, Marquet Louis. Essai de bibliographie des publications sur A.-J. Balard et sur son Ɠuvre. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 65ᔉ annĂ©e, n°234, 1977. pp. 203-217.
  13. Lettre de M. Anglada aux Rédacteurs des « Annales de Chimie et de Physique ». Ann. Chimie et Phys., 2° série, t. XXXIII, 1826, p. 222-223.
  14. A. Timon-David, « DĂ©partement de l'HĂ©rault. Avis. », Courrier du Midi : journal de l'HĂ©rault,‎ , page 3 (lire en ligne)
  15. Joseph Anglada, Traité des eaux minérales et des établissements thermaux du département des Pyrénées-Orientales, Paris et Montpellier, Chez BaillÚre, Chez Séville, , 943 p. (lire en ligne)
  16. Pierre Izarn, « La Faculté de Médecine de Perpignan au XVIIIe siÚcle »
  17. Joseph Anglada et al., Collection des thÚses soutenues à l'école de médecine de Montpellier, En l'an V et en l'an VI. Tome II., Montpellier, G. Izard et A. Ricard, Imprimeurs de l'Ecole de Médecine, l'an vi de la république, Section VI - Apperçu sur quelques-unes des qualités et des connoissances nécessaires au médecin
  18. Joseph Anglada, Mémoires pour servir à l'histoire générale des eaux sulfureuses et des eaux thermales, Paris et Montpellier, Chez Gabon et chez Sevalle, 1827-1828, 643 p. (lire en ligne), Tome I et II
  19. Joseph Anglada, Traité de toxicologie générale - envisagée dans ses rapports avec la physiologie, la pathologie, la thérapeutique et la médecine légale, Paris, Montpellier, Chez BaillÚre, Chez Sevalle, , 357 p. (lire en ligne)
  20. Joseph Anglada, « Doctrine gĂ©nĂ©rale des Maladies chroniques, pour servir de fondement Ă  la connaissance thĂ©orique et pratique de ces maladies ; par Charles-Louis Dumas, conseiller de l'UniversitĂ© impĂ©riale, doyen et professeur de la FacultĂ© de mĂ©decine de Montpellier, etc. Extrait par J. Anglada, docteur en mĂ©decine », Extrait du « Magasin encyclopĂ©dique »,‎ octobre et novembre 1812, pp. 464-472 du tome V et pp. 185-240 du tome VI (lire en ligne)
  21. Joseph Anglada, Notice sur les eaux acidules, alcalino-ferrugineuses du Boulou et de Saint-Martin-de-Fenouillar (Pyrénées-Orientales), prise sur le "Traité des eaux minérales des Pyrénées-Orientales", Montpellier, X. Jullien, , 32 p. (lire en ligne)
  22. Joseph Anglada, Notice sur la station thermale d'Eaux-Chaudes (Basses-Pyrénées), Paris, Montpellier, A. Delahaye et E. Lecrosnier, Camille Coulet, , 76 p. (lire en ligne)

Voir aussi

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