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Irakli Alassania

Irakli Alassania (en gĂ©orgien : ირაკლი ალასანია), nĂ© le , est un homme politique et diplomate gĂ©orgien, ministre de la DĂ©fense du jusqu'au .

Irakli Alassania
ირაკლი ალასანია
Illustration.
Fonctions
Ministre géorgien de la Défense
–
(2 ans et 10 jours)
Premier ministre Bidzina Ivanichvili
Irakli Garibachvili
Gouvernement Ivanichvili
Garibachvili
Prédécesseur Dimitri Chachkine
Successeur Mindia Janelidze
Biographie
Nom de naissance Irakli Alassania
Date de naissance
Lieu de naissance Batoumi (RSS de GĂ©orgie)
Nationalité Soviétique (1973-1991)
GĂ©orgienne (depuis 1991)

Irakli Alassania
Ministres de la DĂ©fense de GĂ©orgie

Biographie

PrĂ©sident du gouvernement de la RĂ©publique autonome d'Abkhazie en exil, de Ă  , il occupe ensuite la fonction de reprĂ©sentant permanent de la GĂ©orgie auprĂšs de l'ONU Ă  New York jusqu'Ă  sa dĂ©mission en . Devenu un opposant au prĂ©sident Mikheil Saakachvili, il crĂ©e en 2009 un nouveau parti Notre GĂ©orgie - DĂ©mocrates libres qui rejoint en 2012 la coalition RĂȘve gĂ©orgien qui remporte les Ă©lections du 1er octobre.

Le nouveau Premier ministre Bidzina Ivanichvili le fait alors entrer dans son gouvernement comme ministre de la DĂ©fense. À ce titre, il intensifie la coopĂ©ration militaire avec les pays de l'OTAN et de l'Union europĂ©enne, notamment avec la France[1].

Le , à la suite d'un différend politique avec le successeur de Bidzina Ivanichvili, Irakli Garibachvili, il quitte le gouvernement et entraßne les députés de Notre Géorgie - Démocrates libres dans l'opposition[2].

Le , deux jours aprĂšs le du premier tour des Ă©lections lĂ©gislatives gĂ©orgiennes de 2016, il annonce son retrait provisoire de la vie politique, du fait du fait rĂ©sultat de son parti qui obtint 4,61 % des suffrages exprimĂ©s lors de l'annonce des rĂ©sultats provisoires (ne franchissant pas le seuil de 5 % pour obtenir des dĂ©putĂ©s au scrutin proportionnel), et se retire du second tour pour le siĂšge de dĂ©putĂ© Ă©lu au scrutin majoritaire Ă  Gori pour lequel il Ă©tait sĂ©lectionnĂ©, laissant le champ libre au reprĂ©sentant du RĂȘve gĂ©orgien, Ioseb Makrakhidze[3].

Notes et références

Liens externes

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