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Guy Ausloos

Guy Ausloos, né à Etterbeek, le et mort le à Montréal[1], est un pédopsychiatre belge spécialisé en thérapie familiale, professeur agrégé de clinique en psychiatrie retraité de l’Université de Montréal. Il est, depuis les années 1970, l'une des figures du mouvement de la thérapie systémique.

Guy Ausloos
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  82 ans)
Montréal
Nationalité
Activités

Théoricien et formateur en thérapie familiale, il est l'auteur d'un livre sur La Compétence des familles et d'une centaine d'articles. Il est cofondateur de la revue Thérapie familiale et de la collection Relations des Éditions Érès.

Biographie

Guy Ausloos naît le 4 juillet 1940, à Etterbeek. Il obtient un baccalauréat de philosophie (1957-1959), puis fait des études médicales à l'Université catholique de Louvain (1959-1968) et il achève une spécialité en psychiatrie à l'université de Lausanne en 1972[2].

En 1971, Guy Ausloos est assistant en pédopsychiatrie à l'Office médico-pédagogique vaudois quand l'assistante sociale de son équipe lui demande de l'accompagner rencontrer des jeunes en compagnie de leurs familles lors de consultations communes, une méthode nouvelle à l'époque[3]. Les résultats encourageants de ces entretiens convainquent le docteur Ausloos de l'utilité d'impliquer d'emblée les familles dans le processus thérapeutique des adolescents et il généralise peu à peu cette pratique dans son travail auprès de jeunes délinquants[4].

Au fil de sa pratique de thérapeute, puis lorsqu'il prend la direction du département de psychiatrie légale de l’Institut de Médecine légale de Genève en 1974, Guy Ausloos approfondit sa formation en thérapie familiale. Il privilégie progressivement l'usage de la systémique par rapport à celui de techniques psychanalytiques alors répandues[3].

Commence alors, pour le docteur Ausloos, un foisonnement d'activités parallèles dans le domaine de la thérapie familiale systémique. Avec une dizaine d'autres, il fonde d'abord un groupe de recherche sur la thérapie familiale, le GRIDEF, au sein duquel on s'échange des articles et l'on publie les résultats de recherches communes[5]. Il crée, en 1977, une formation de trois ans en thérapie familiale, avec le psychiatre Reynaldo Perrone et l'assistante sociale Andrée Menthonnex, au Centre d'études et de formation continue (CEFOC) de l'Institut d'Études Sociales de Genève, aujourd'hui nommé « Haute école de travail social ».

De 1978 à 1981, il fait la navette entre l'Université de Montréal, où il est invité comme professeur de systémique, et l'Université de Lausanne, puis il devient professeur extraordinaire de psychopathologie de l'enfant et de systémique à l'Université de Genève de 1983 à 1986[2] - [4].

Il s'installe définitivement au Québec en 1986[6]. Il devient chef du département de psychiatrie du centre hospitalier de Rouyn-Noranda, ainsi que professeur agrégé en psychiatrie à l'Université McGill, jusqu'en 1989. Après un séjour d'un an comme professeur invité à l'Université catholique de Louvain, il retourne au Québec, où il est nommé professeur agrégé de l'Université de Montréal en 1990[7]. Il officie en parallèle comme formateur, psychiatre et psychiatre-consultant auprès de plusieurs hôpitaux et organismes québécois, comme l'Hôpital Douglas, l'Hôpital général juif, l'Hôpital Louis-H. Lafontaine, le Refuge des jeunes de Montréal ou le Campus des Quatre vents[2] - [8].

Il publie en 1995 le livre qui le fait connaître internationalement, La Compétence des familles, qui synthétise son approche systémique de la thérapie familiale. Dans les années 2000, Guy Ausloos se consacre à la formation et donne aussi des conférences sur la compétence des familles au Québec, en Europe et au Brésil. Il prend sa retraite en 2017[7].

Concept de compétence des familles

Théorie et influences

La compétence des familles est une conception systémique des rapports familiaux selon laquelle les familles dites « dysfonctionnelles » ont en fait un mode de fonctionnement différent des autres, adapté à leur contexte[9]. Chaque membre d'une famille est acteur de la relation, au sein d'un système familial qui s'auto-organise. Il est donc compétent, dans la mesure où il contribue à façonner ce système[10] - [11]. Dans une logique de compétence des familles, la famille est appelée à identifier les dynamiques qui lui sont propres pour régler les problèmes auxquels elle est confrontée. Guy Ausloos émet deux postulats fondamentaux qui guident son approche[2] - [4] - [9] :

    • postulat de la compĂ©tence, selon lequel « une famille ne peut se poser que des problèmes qu’elle est capable de rĂ©soudre ». La famille a adaptĂ© son fonctionnement Ă  sa situation et elle est elle-mĂŞme capable de l'ajuster pour rĂ©soudre les effets nĂ©gatifs de ce mode de fonctionnement ;
    • postulat de l'information pertinente, selon lequel « l’information pertinente est celle qui vient de la famille et y retourne »[12] - [13]. L'information qui doit circuler pour rĂ©soudre un problème existe dĂ©jĂ  au sein de la famille, le rĂ´le du thĂ©rapeute est de lui rĂ©vĂ©ler cette information dont elle dispose dĂ©jĂ  Ă  son insu.

Il résume ainsi ces deux grands principes dans son ouvrage : « une famille informée par elle-même, avec l'aide du thérapeute, sur son propre fonctionnement, a toutes les chances de trouver les ressources nécessaires à la solution de son problème[2]. »

Cette théorie rejette une approche culpabilisante des membres d’une famille, ainsi que l'usage de termes négatifs comme « famille dysfonctionnelle », « père absent », « mère castratrice », « adolescent déviant », etc. Le thérapeute doit se débarrasser de ses a priori négatifs et d'hypothèses qu'il cherche à vérifier, pour « apprivoiser » une famille et pour entrer dans le processus thérapeutique avec elle. Il doit accepter qu'il ne sait pas exactement ce qu'il cherche, car sa démarche vise d'abord « à activer la compétence auto-organisatrice des familles plutôt qu’à tenter de corriger leurs manques[4] » en leur imposant sa lecture de leur situation.

Pour cela, le langage employé compte, d'après Guy Ausloos. Des phrases comme : « j’ai besoin de vous pour que la thérapie réussisse », plutôt que « vous avez besoin de moi pour que je vous soigne », permettent de responsabiliser les parents sans les culpabiliser et de les inclure d'emblée dans la démarche thérapeutique[2] - [4] - [14] - [15].

Le modèle systémique se pose ainsi en opposition avec une approche d'inspiration judéo-chrétienne de la thérapie, encore en vigueur au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Selon ce modèle, l'intervenant cherche la faute et s'assimile à une sorte de confesseur[9]. En systémique, au lieu de chercher à absoudre une faute par l'aveu, comme c'est le cas quand on envisage la famille et ses membres sur un mode culpabilisant, le thérapeute suppose que la famille est capable d'innover et trouver des solutions, si elle dispose des bonnes informations. On ne cherche pas une « ab-solution » extérieure, mais bien une « auto-solution » qui provient de la famille elle-même[4].

Dans son approche, Guy Ausloos emprunte aussi au mouvement de la deuxième cybernétique, qui théorise l'auto-organisation et l'autopoïèse des systèmes (dont le système familial), ainsi qu'au constructivisme, qui étudie la compréhension du réel que se construit un sujet au fil de ses expériences. La théorie du chaos est une autre influence, dans la mesure où le docteur Ausloos considère qu'il faut accueillir l'imprévisibilité du processus thérapeutique pour permettre à l'information d'émerger et au système familial de s'auto-organiser[2].

Pratiques thérapeutiques

De cet appareil théorique, Guy Ausloos tire une série de stratégies thérapeutiques visant à « activer » la compétence des familles :

  • effectuer un recadrage positif. Le thĂ©rapeute doit recadrer sa vision de la situation qui lui est prĂ©sentĂ©e. Il importe de se dĂ©faire de ses a priori nĂ©gatif, de cesser de formuler des hypothèses, pour concevoir la famille et ses membres en fonction de ce qu'ils peuvent apporter Ă  la rĂ©solution de leurs problèmes. Par exemple, « cette mère prĂ©sentĂ©e [au dossier] comme hystĂ©rique et criant fort et beaucoup, est aussi une femme qui veut le mieux pour ses enfants[4] », ce qui peut ĂŞtre exploitĂ© pour trouver des solutions au lieu de critiquer et braquer la mère[2] ;
  • « la mĂ©chante connotation positive ». Dans cette logique de recadrage, l'Ă©lĂ©ment le plus simple Ă  connoter positivement Ă  la fin d'un entretien est gĂ©nĂ©ralement celui qui a le plus gĂŞnĂ© l'intervenant. Par exemple, dire « critiquer chez vous est sans doute une façon de stimuler et de montrer qu'on est lĂ  » Ă  une famille dont les membres se critiquent beaucoup dans des situations difficiles, permet de dire son malaise tout en changeant positivement la vision que la famille a d'elle-mĂŞme. C'est aussi changer en bien sa propre vision de cette famille pour pouvoir vĂ©ritablement s'y allier, tout en se dĂ©chargeant du sentiment nĂ©gatif qu'on peut garder Ă  l'issue d'une rencontre. C'est enfin l'occasion de montrer Ă  la famille que ce qu'elle dit est rĂ©ellement Ă©coutĂ© et qu'on n'Ă©vite pas les sujets difficiles[16]. Guy Ausloos parle de « mĂ©chante connotation positive », car il Ă©voque d'abord ce qui gĂŞne pour en montrer ensuite l'aspect positif[2] - [4] ;
  • tenir compte du principe d'Ă©quifinalitĂ©. Dans la vie comme en thĂ©rapie, il existe plusieurs manières d'obtenir un mĂŞme rĂ©sultat, c'est le principe d'Ă©quifinalitĂ©. L'hypothèse de l'intervenant sur ce qui a menĂ© une famille Ă  sa situation n'est qu'une possibilitĂ© parmi d'autres. PlutĂ´t que de s'appuyer sur cette hypothèse, bâtie selon sa propre perception du rĂ©el, pour diriger le processus thĂ©rapeutique, il appartient au thĂ©rapeute d'aider la famille Ă  Ă©laborer ses propres hypothèses, nĂ©cessairement plus pertinentes quand il s'agit de se comprendre elle-mĂŞme[2] ;
  • prendre des risques calculĂ©s. Du principe d'Ă©quifinalitĂ©, dĂ©coule aussi l'idĂ©e que l'intervenant doit parfois prendre des risques pour permettre l'autosolution des familles. Il doit se dĂ©faire de ses hypothèses de changement (« si j'essaie telle approche, il y a un risque que... ») et tenter des approches nouvelles dont il envisage les bienfaits potentiels, mĂŞme s'il existe un Ă©lĂ©ment d'imprĂ©visibilitĂ©. Un essai thĂ©rapeutique vaut la peine si le risque qu'il comporte est raisonnable[2] - [4] ;
  • nommer l'innommable. L'intervenant ne doit pas hĂ©siter Ă  parler des sujets qui gĂŞnent la famille (alcoolisme de l'un, agressivitĂ© de l'autre, suicide d'un proche, etc.) car il faut pouvoir aborder ce qui est difficile pour que survienne le changement, quitte Ă  provoquer ses interlocuteurs. Cette pratique, Guy Ausloos l'emprunte au psychothĂ©rapeute amĂ©ricain Carl Whitaker, qui enjoint Ă  « name the unnamable » (« nommer l'innomable », donc) en thĂ©rapie[2] - [4] ;
  • le lâcher prise. Il faut que le thĂ©rapeute soit prĂŞt Ă  laisser agir le hasard lors d'une rencontre. En ne laissant pas ses constructions thĂ©oriques guider sa pratique, il accepte une imprĂ©visibilitĂ© porteuse d'information et d'auto-solution. De la mĂŞme manière, il faut savoir laisser la prise en charge d'un patient prendre fin quand les raisons qui l'ont motivĂ©e ne sont plus prĂ©sentes. « Lâcher prise, [...] c'est se jeter Ă  l'eau sans savoir oĂą l'on va, mais en sachant très bien nager et en Ă©tant convaincu qu'on ira quelque part[2]. »[4] - [10] ;
  • voir le temps en alliĂ©. La place du temps en thĂ©rapie est centrale dans l'approche de Guy Ausloos. « Il n'y a pas de familles rĂ©sistantes, mais des thĂ©rapeutes impatients[2]. » Pour apprivoiser une famille, autant que pour laisser Ă©merger l'autosolution, il faut accepter que la thĂ©rapie peut prendre du temps et qu'elle repose sur une Ă©volution. C'est parfois après plusieurs Ă©changes qu'une famille se sent acceptĂ©e et valorisĂ©e par le thĂ©rapeute et qu'un dĂ©tail Ă©merge. La gestion du temps par l'intervenant doit varier en fonction du type de famille avec laquelle il travaille, ainsi que de l'attitude de cette famille Ă  l'Ă©gard du changement[2] - [4] ;
  • le confort du thĂ©rapeute. Pour pouvoir travailler efficacement et aider une famille, l'intervenant doit ĂŞtre Ă  l'aise lors d'un entretien. S'il est perturbĂ©, il peut demander Ă  un membre de la famille de revenir sur quelque chose qu'il n'a pas compris, il peut Ă©voquer Ă  voix haute la tension qu'il ressent dans la pièce ou encore la quitter brièvement quand cette tension devient insupportable. Poser des questions inattendues et sans objectif identifiable permet aussi de renvoyer la balle dans le camp de la famille quand l'intervenant se sent mal assurĂ©. Chaque thĂ©rapeute a sa propre « Ă©quation personnelle », ses propres sensibilitĂ©s, et il lui appartient d'adapter sa thĂ©rapie Ă  ce qu'il supporte bien ou mal[2] - [4] - [17] - [14] ;
  • viser le « comme après ». Le rĂ´le du thĂ©rapeute n'est pas de faire en sorte que les choses redeviennent « comme avant » pour son patient, car ce serait crĂ©er les conditions d'une nouvelle dĂ©compensation semblable Ă  celle qui l'a menĂ© en consultation. L'idĂ©e est ici de chercher Ă  atteindre un « comme après », une Ă©volution prenant en compte les dĂ©couvertes faites lors de la thĂ©rapie et les appliquant Ă  la situation du patient[2] - [4] - [18] - [19] - [20].

Publications

Ouvrages

  • avec Pierre Segond, MarginalitĂ©, système et famille : Relectures sur l'approche systĂ©mique en travail social, collection Relectures, IES, 1983.
  • (coll.) Cinquante familles d'hĂ©roĂŻnomanes, Le Levant, 1986.
  • La compĂ©tence des familles. Temps, chaos, processus, Éditions Ă©rès, 1995.

Articles récents

  • « Les adolescents qui passent Ă  l’acte » in ANGEL, P. & MAZET, P. : GuĂ©rir les souffrances familiales, Paris, PUF, pp.499-506, 2004.
  • « De la culpabilisation Ă  la responsabilisation » in Seron, C. (dir.) La prĂ©somption de compĂ©tence parentale, Jeunesse et droit, 2004. pp.147-197.
  • « La notion de compĂ©tence », in Maestre, M. (dir.), Entre rĂ©silience et rĂ©sonance, Fabert, 2009. pp. 97-108.
  • « De la crise Ă  la rĂ©silience face au cancer », in Delage, M. & Cyrunlnik, B. Famille et rĂ©silience, Odile Jacob, 2010. pp.165-179.
  • « Activar les capacitats de la familia », Educar, Barcelona, No. 45 : 9-20, 2010.
  • « Nuevas Familias, nuevos Roles, iguales recursos », Mosaico : I CONGRESO IBÉRICO DE TERAPIA FAMILIAR, No. 44 : 36-43, fĂ©vrier 2010.
  • « IdentitĂ© et langages familiaux » in K .L. Schwering (dir.) : Se construire comme sujet – entre filiation et sexuation, Toulouse, Érès, 2012, pp.165-178.
  • « Kultura praktyki przedstawicieli profesji spoĹ‚ecznych - podejĹ›cia mediacyjne w dziaĹ‚aniu spolecznym », ed. E. Marynowicz-Hetka, L.Filion, Dorota Wolska-Prylinska, Presse Universitaire de Lodz, Pologne.
  • « CothĂ©rapie scindĂ©e », Cahiers critiques de thĂ©rapie familiale et de pratiques de rĂ©seaux, n°58, 2017. pp. 75-84.
  • « Vers la compĂ©tence », Cahiers critiques de thĂ©rapie familiale et de pratiques de rĂ©seaux 2018/1 n° 60, 2018. pp. 35-62

Références

  1. « Guy Ausloos avis de décès - Montreal, QC », sur Dignity Memorial (consulté le )
  2. Guy Ausloos, La compétence des familles. Temps, chaos, processus, Éditions Érès, (ISBN 978-2865863648)
  3. Marc D'Hondt, « Interview de Guy Ausloos », sur Dailymotion.com, (consulté le )
  4. Guy Ausloos, « Vers la compétence », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux,‎ 2018/1 n° 60, p. 35-52 (lire en ligne)
  5. « Naissance de la thérapie familiale en Europe. Les Journées de Lyon et la revue Thérapie Familiale. Guy Ausloos : Bulletin de la Fédération française de psychiatrie », sur www.psydoc-france.fr, Pour la Recherche n° 64, (consulté le )
  6. FACIL, « Séminaires Ecosystémiques du Dr Guy Ausloos », sur www.facil.ch (consulté le )
  7. Editions érès, « Biographie de Guy Ausloos », sur www.editions-eres.com (consulté le )
  8. Sylvain Lévesque, « 18. Le programme de réadaptation du campus des Quatre-Vents », dans Pratiques innovantes auprès des jeunes en difficulté, Presses de l’Université de Montréal, coll. « Paramètres », (ISBN 978-2-8218-9813-4, lire en ligne), p. 359–378
  9. Guy Ausloos, « La compétence des familles, l’art du thérapeute », Service social, vol. 43, no 3,‎ , p. 7–22 (ISSN 1708-1734, DOI https://doi.org/10.7202/706665ar, lire en ligne, consulté le )
  10. Brice Martin, Cécile Rochet, Denis Félus, Michael Félus et Nicolas Franck, « Réhabilitation et groupes multifamiliaux à orientation systémique », L’Information psychiatrique, vol. 90, no 6,‎ (lire en ligne)
  11. Lyne Douville, « Le legs sur cinquante ans de la supervision clinique en approche systémique », Intervention, no 48,‎ (lire en ligne)
  12. Louise Blanchette, L'approche systémique en santé mentale, PUM, (ISBN 978-2-7606-1753-7, lire en ligne)
  13. Salima Mrini, « « Je veux que mon fils soit médecin ». Intervention de thérapie systémique pour faciliter le processus de différenciation d’une famille marocaine où le temps est arrêté », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, no 28,‎ , p. 132 (lire en ligne)
  14. Michel Hanot, « Techniques systémiques d'entretien pour travailleur social », Thérapie familiale, vol. 27,‎ (lire en ligne)
  15. Katharina Auberjonois, Manuel Tettamanti, Annie De Vincenzi et Michelle Bischoff, « Les méthodes réflexives en psychothérapie systémique : entre recherche et clinique », Therapie Familiale, vol. 32, no 3,‎ , p. 349–362 (ISSN 0250-4952, lire en ligne, consulté le )
  16. Alain Juhel, Thérèse Paule Teillet, Annick Chemin et Isabelle Welkenhuyzen, « Introduire un travail systémique au sein d'un service de psychiatrie : un paradoxe ? », Therapie Familiale, vol. 33, no 3,‎ , p. 183–200 (ISSN 0250-4952, lire en ligne, consulté le )
  17. Louise Landry Balas, L'approche systémique en santé mentale, Montréal, Presses de l'Université de Montréal et Fidès, (lire en ligne)
  18. Pascale Lampe, « Le traumatisme crânien : un regard systémique posé en plusieurs temps, une manière de revoir les actes manqués freudiens », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratique de réseaux, De Boeck Supérieur, no 30,‎ , p. 137 (lire en ligne)
  19. Myriam Laventure et Natacha Brunelle, Adolescents dépendants ou à risque de le devenir : Pratiques d'intervention prometteuses, Presses de l'Université Laval, (ISBN 978-2-7637-2590-1, lire en ligne)
  20. Olivier Amiguet, « Systémique et travail social : quels défis pour demain ? », Thérapie familiale, vol. 31,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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