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Grand-Place d'Arras

La Grand-Place d'Arras est un espace public urbain de la commune d'Arras dans la région Hauts-de-France. La place est de type Grand-Place qui se caractérise par un aspect complètement minéral que l'on retrouve dans de nombreuses villes des anciens Pays-Bas. Il s'agit de la place historique et principale de la ville.

Grand-Place d'Arras
Image illustrative de l’article Grand-Place d'Arras
Façade de la grand-place d'Arras.
Situation
CoordonnĂ©es 50° 17′ 31″ nord, 2° 46′ 49″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
Ville Arras
Quartier(s) Centre-ville historique
Fin Rue de la Taillerie
Morphologie
Type Grand-Place
Forme rectangulaire
Longueur 184 m
Largeur 96 m
Superficie 17 664 m2
Histoire
Création XIe siècle
Anciens noms Forum spatiosum et exomiè pulchrum
Grand Marché
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
(Voir situation sur carte : Pas-de-Calais)
Grand-Place d'Arras
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Grand-Place d'Arras

Description

Morphologie et accès

La Grand-Place d'Arras a une superficie de 17 664 m2 (1,76 hectare), mesurant 184 mètres de long, pour 96 mètres de large[1].

Elle est reliée à la place des Héros par la rue de la Taillerie.

DĂ©nomination

Au XIe siècle, la place Ă©tait appelĂ©e « Grand MarchĂ© Â»[1] - [2]. Sur les anciens plans de la ville, la Grand-Place Ă©tait appelĂ©e forum spatiosum et exomiè pulchrum[3].

La Grand-Place est immatriculée « AB35 » parmi les îlots regroupés pour l'information statistique (IRIS) d'Arras, tels que l'Insee les a établis en 1999[4].

Histoire

L'origine de la Grand-Place d'Arras n'est pas certaine. Plusieurs auteurs se contredisent à ce sujet. Pour un auteur, la grand-place a été bâtie sur l'ancien verger de saint-Vaast[3]. Un deuxième réfute cette thèse en expliquant que les jardins et la grand-Place ne sont au même endroit. Il indique que la grand-place remonte aux origines de la ville[5]. Un troisième avance que la grand-place a été tracée sous Charles Quint[6].

En 1004, c'est sur la grand-place dans une tente dressée pour l'occasion que Baudouin V de Flandre serait né[7]. Pour célébrer l'évènement, de grandes fêtes furent organisées et une colonne de gré monolithe portant un buste de femme appelée « La Pollène » est érigée à l'emplacement de la tente[8]. En 1090, il s'agissait du premier noyau urbain. La place était le coœur économique de la ville[1]. Elle pourrait dater du XIe siècle[9].

Dès le XIIe siècle et durant la période des ducs de Bourgogne, la place servait de zone de rencontre pour les joutes équestres et les tournois[3] - [10].

La première maison en pierre élevée fut celle au no 48. Elle est bâtie au XIIe siècle et habitée par Dodon de la Lance (Dodo de Hastis), une personne de haut rang faisant partie du plus vieil échevinage connu[1]. En 1266, Audefroi Louchard fonde un hospice au no 56[11].

Au bout de la Grand-Place, le 8 février 1478, à proximité de la porte Saint-Michel, une forteresse est bâtie par Louis XI afin d'assurer la fidélité des habitants d'Arras[12].

La statue de la Pollène est retirée en 1791[10].

Durant leur voyage impérial dans le nord de la France, Napoléon III et Eugénie de Montijo traversent la Grand-Place. Sur celle-ci s'élevait une immense pyramide formée de sac de grains. Les exploitants agricoles, en costume de travail s'étaient installés sur les assises de ce monument[13].

Le Crédit agricole est installé depuis 1899 sur la place, à la tête duquel, jusqu'en 1908, se trouvait Paul Bachelet, Alfred Devillers jusqu'en 1957 et son fils André Devillers jusqu'en 1978.

Durant la Première Guerre mondiale, les frontons des demeures hispano-flamandes sont détruits par l'artillerie allemande[14]. La place a été admirablement restaurée à l'identique par Pierre Paquet, les travaux de reconstruction s'étant échelonnés de 1919 à 1934. Pierre Paquet a été confronté à l'absence de relevé précis des façades et des bâtiments. Il lui faudra donc partir des documents anciens, des photographies et trancher de problèmes complexes. L'aspect extérieur des bâtiments est systématiquement conservé, l'intérieur étant traité avec plus de liberté.

En 1996, l'Ă©cole d’architecture de Lille et des rĂ©gions Nord organisa un grand concours intitulĂ© « Continuer Arras Â», chargĂ© d'imaginer des bâtiments qui refermeraient la Grand-Place.

Architecture et monuments

Photo d'un immeuble sur la Grand-Place d'Arras.
Façade de l'immeuble au no 49 (hôtel Les Trois Luppars).

La place est entourée de 155 maisons marquées par l'influence du style baroque flamand[15] dans une architecture classique à la française du XVIIe siècle. Tout comme la place des Héros, l'influence flamande est visible notamment par les pignons à volutes donnant sur la place, ainsi que les arcades au devant des habitations[16]. Les arcades sont soutenues par 345 piliers.

Ces façades forment un ensemble très régulier et homogène, bien que chaque maison soit différente, grâce à l'alignement assez strict des étages et des corniches, et le respect d'un code d'urbanisme lors de leur construction. La plupart des maisons de la place sont élevées sur un rez-de-chaussée avec trois niveaux d'étage, le premier étage bénéficiant généralement d'une plus grande hauteur sous plafonds que les étages supérieurs, le troisième étage étant sous combles.

Un seul immeuble se distingue fortement des autres, au n°49, il s'agit de l'hôtel Les Trois Luppars. C'est la plus ancienne façade et maison de la place, datant du XVe siècle (1467) et encore de style gothique en brique flamand avec un pignon à gradins et des grandes baies ogivales.

Photo d'une façade de bâtiment.
Façades des immeubles n°27 à n°35.

D'autres maisons se distinguent également de parce qu'elles étaient debout à la fin des bombardements de la Première Guerre mondiale, constituant de ce point de vue un échantillon intéressant et significatif de l'habitat ancien arrageois. Il en est ainsi par exemple des façades n°51 et n°53.

Les maisons de la place ont été partiellement démolies durant la Grande Guerre, mais l'authenticité a été préservée comme en témoignent les enseignes : n°31 L’Échiquier, n°35 L'Angelot d'Or, n°45 L’Épingle d'Or, n°42 Les Trois Luppars, n°51 Le Petit Paris, n°53 L’Épée Royale, Le Secrétaire, n°55 Saint-Nicolas, Le Grand Homme, n°57 Le Chapeau Vert, n°59 et 61 Au Vau d'Or, n°72 Le Cat Cornu, La Cloche, n°54 Le Mouton Blanc ou d'Argent, n°48 La Fleur de Lys, n°46 Le Heaume, n°44 Le Petit Heaume, n°42 Sainte-Barbe, n°22 Le Veau d'Or, n°20 Le Soleil Levant, n°18 La Herse, n°10 Le Fer à Cheval.

Soixante-neuf façades d'immeuble sont classées parmi les monuments historiques de la commune. Les classements se sont déroulés entre 1919 et 1921.

En 1919, la façade des immeubles au no 1[17] et au no 53[18] est classée depuis le 20 août. Celle de l'immeuble au no 19 l'est depuis le 1er septembre[19]. Au immeubles au no 6[20] et au no 9[21], au no 11[22], la façade est classée depuis le 15 septembre. Celle des immeubles au no 56[23], au no 59[24], au no 60[25], au no 61[26] est classée depuis le 10 octobre 1919. Dix jours plus tard, le 20 octobre au tour de celle de l'immeuble au no 45 d'être classée[27]. La façade de l'immeuble au no 2ter[28], au no 47[29] est classée depuis le 18 novembre. Celle des immeubles au no 57 et au no 64 est classée depuis, respectivement, le 15 septembre 1919[30] et le 10 décembre 1919[31]. Depuis le 18 décembre, la façade des immeubles au no 37[32], au no 46[33] est classée.

Façades des immeubles n° 22, n°20 et n°18.

En 1920, la façade de l'immeuble au no 36 est classée depuis le 5 janvier[34]. Celle des immeubles au no 20[35] et au no 31[36] est classée depuis le 8 janvier. Le 12 janvier, dix-huit façades sont classées : le no 2[37], au no 2bis[38], le no 8[39], le no 10[40], au no 13[41], le no 14[42], le no 15[43], au no 16[44], le no 17[45], le no 18[46], au no 22[47], le no 23[48], le no 25[49], au no 29[50], le no 40[51], le no 43[52], au no 44[53], le no 54[54]. La façade de l'immeuble au no 4[55], au no 35[56] et au no 76[57] est classée depuis le 17 janvier. Celle des immeubles au no 2quater[58], au no 42[59], au no 52[60], au no 66[61], au no 72[62] l'est depuis le 7 février. La façade des immeubles au no 55[63] et au no 74[64] est classée depuis le 20 février. Celle des immeubles au no 30[65], au no 30bis[66], au no 32[67], au no 34[68], au no 41[69], au no 50[70] l'est depuis le 18 mars. La façade des immeubles au no 28, au no 19, au no 49, au no 3 est classée depuis, respectivement, le 20 mars[71], le 25 mars[72], le 20 avril[73] et le 12 juin[74].

Façades des immeubles n°51 et n°53.

En 1921, la façade des immeubles au no 12[75] et au no 21[76], au no 48[77], au no 51[78], au no 58[79], au no 62[80], au no 70[81]est classée depuis le 10 février. Celle de l'immeuble au no 68 et au no 33 est classée depuis, respectivement le 19 février[82] et le 23 février 1921[83]. Les deux dernières à être classées sont la façade des immeubles au no 5[84] et au no 7[85] depuis le 4 mars de cette même année.

La cave du XIIIe siècle de l'immeuble au no 15 est également inscrite depuis 16 décembre 1921[43]. Les intérieurs, charpentes, toitures, caves et façades arrières (à l'exception de la maison du XVIIIe siècle dans la cour), ainsi que la maison de fond de cour avec son premier niveau et sa tourelle des immeubles no 51 et no 53 sont inscrits depuis le 12 août 1998[78] - [18].

Utilisation

Marchande, commerciale et Ă©conomique

Tableau représentant la grand-place durant le marché.
La Grand'Place d'Arras, un jour de marché par Charles Desavary.

La Grand-Place a été le cœur de l'activité commerciale de la ville d'Arras[86]. Plusieurs marchés se tenaient au XIVe siècle sur cette grand-place[2]. Ceux du samedi étaient déjà réglementés en 1030[5].

Auparavant, des trains s'y arrêtaient pour y déposer des marchandises[86]. Pour les commerçants, l'intérêt de se placer sur la grand-place était double. Ils pouvaient placer leurs réserves à l'entrée des caves et s'abriter sous les arcades[87].

Festive et touristique

Entre 2004 et 2009, le Main Square Festival se déroule sur la grand-place de la ville.

L'hĂ´tel Les Trois Luppars se situe aux nos 47 et 49.

Le marché de Noël d'Arras se déroule sur la grand-place de fin novembre à fin décembre[88].

Religieuse

La grand-place dépendait au XIVe siècle de trois paroisses : Saint-Nicolas, Saint-Géry et Sainte-Croix[2].

Culturelle

L'Académie des sciences, lettres et arts d'Arras y eut son siège jusqu'en 1743, au premier étage dans la maison d'un libraire.

Dans les arts

La Grand'Place a été peinte par Charles Desavary. Le tableau appelé La Grand'Place d'Arras, un jour de marché est exposé au musée des beaux-arts d'Arras. Sur ce tableau, la grand-place est remplie de commerçants. La prise de vue est faite du côté de l'ancienne porte Saint-Michel[89] (de nos jours, au niveau du square Léon-Jouhaux).

Une scène du film La Liste de mes envies (2014) se déroule sur la Grand-Place.

Notes et références

  1. J. Lestocquoy, « Étapes du développement urbain d'Arras », Revue belge de philologie et d'histoire, no 23,‎ , p. 176 (lire en ligne).
  2. Morel 1914, p. 479.
  3. Le Gentil 1877, p. 505.
  4. Plan d'assemblage - Grands quartiers - IRIS 2000 - Arras, Insee, 1999, [lire en ligne], consulté 1er mars 2015.
  5. Adolphe Guesnon, Les Origines d'Arras et de ses institutions : Arras-ville, t. 1, Arras, Imprimerie de Rohard-Courtin, , 94 p. (lire en ligne), p. 11-12.
  6. Camille Enlart, Arras avant la guerre, H. Laurens, , 16 p. (lire en ligne), p. 14.
  7. Martin 1901, p. 43.
  8. Martin 1901, p. 44.
  9. Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Arras : 2011, Paris, Les Nouvelles Édition de l'Université, coll. « Petit Futé », , 192 p. (ISBN 978-2-7469-3090-2, lire en ligne), p. 77.
  10. Martin 1901, p. 45.
  11. J. Lestocquoy, « Deux familles de financiers d'Arras : Louchard et Wagon », Revue belge de philologie et d'histoire, no 32,‎ , p. 60 (lire en ligne).
  12. Achmet d'Héricourt, Les sièges d'Arras : histoire des expéditions militaires dont cette ville et son territoire ont été le théâtre, Arras, Topino, , 407 p. (lire en ligne), p. 91.
  13. Florian Pharaon, Voyage impérial dans le nord de la France : 26-27-28-29-30 août 1867, Imprimerie de L. Danel, 124 p. (lire en ligne), p. 21.
  14. Académie des sciences, lettres et arts, Mémoires de l'Académie des sciences, lettres et arts d'Arras, t. XI, Imprimerie F. Guyot, , 291 p. (lire en ligne), p. 128.
  15. Jean-Bernard Carillet, Sur la route des régions de France : Itinéraires et week-end clés en main, Place des éditeurs, coll. « Lonely Planet », 466 p. (lire en ligne), « Au pays des Ch'tis », p. 40.
  16. Louis Quarré-Reybourbon, Aspect de quelques maisons de Lille au commencement du XVIIe siècle, Lille, L. Quarré, , 11 p. (lire en ligne), p. 5.
  17. « Immeuble (no 1) », notice no PA00107995, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. « Immeuble (no 53) », notice no PA00108047, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. « Immeuble (no 19) », notice no PA00108022, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. « Immeuble (no 6) », notice no PA00107998, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Immeuble (no 9) », notice no PA00108006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. « Immeuble (no 11) », notice no PA00108008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. « Immeuble (no 56) », notice no PA00108050, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. « Immeuble (no 59) », notice no PA00108053, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Immeuble (no 60) », notice no PA00108054, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Immeuble (no 61) », notice no PA00108055, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Immeuble (no 45) », notice no PA00108039, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Immeuble (no 2ter) », notice no PA00107998, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Immeuble (no 47) », notice no PA00108041, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Immeuble (no 57) », notice no PA00108051, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Immeuble (no 64) », notice no PA00108057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Immeuble (no 37) », notice no PA00108033, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Immeuble (no 46) », notice no PA00108040, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Immeuble (no 36) », notice no PA00108032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Immeuble (no 20) », notice no PA00107998, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Immeuble (no 31) », notice no PA00108027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Immeuble (no 2) », notice no PA00107996, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Immeuble (no 2bis) », notice no PA00107997, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Immeuble (no 8) », notice no PA00108005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Immeuble (no 10) », notice no PA00108007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Immeuble (no 13) », notice no PA00108010, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Immeuble (no 14) », notice no PA00108011, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Immeuble (no 15) », notice no PA00108012, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Immeuble (no 16) », notice no PA00108013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Immeuble (no 17) », notice no PA00108014, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Immeuble (no 18) », notice no PA00108015, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Immeuble (no 22) », notice no PA00108019, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Immeuble (no 23) », notice no PA00108020, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Immeuble (no 25) », notice no PA00108021, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Immeuble (no 29) », notice no PA00108024, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Immeuble (no 40) », notice no PA00108034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Immeuble (no 43) », notice no PA00108037, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Immeuble (no 44) », notice no PA00108038, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Immeuble (no 54) », notice no PA00108048, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Immeuble (no 4) », notice no PA00108001, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « Immeuble (no 35) », notice no PA00108031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Immeuble (no 76) », notice no PA00108063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Immeuble (no 2quater) », notice no PA00107999, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Immeuble (no 42) », notice no PA00108036, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Immeuble (no 52) », notice no PA00108046, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. « Immeuble (no 66) », notice no PA00108058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « Immeuble (no 72) », notice no PA00108061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « Immeuble (no 55) », notice no PA00108049, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. « Immeuble (no 74) », notice no PA00108062, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « Immeuble (no 30) », notice no PA00108025, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. « Immeuble (no 30bis) », notice no PA00108026, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. « Immeuble (no 32) », notice no PA00108028, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  68. « Immeuble (no 34) », notice no PA00108030, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. « Immeuble (no 41) », notice no PA00108035, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. « Immeuble (no 50) », notice no PA00108044, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  71. « Immeuble (no 28) », notice no PA00108023, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. « Immeuble (no 19) », notice no PA00108016, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  73. « Immeuble (no 49) », notice no PA00108043, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. « Immeuble (no 3) », notice no PA00108000, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  75. « Immeuble (no 12) », notice no PA00108009, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  76. « Immeuble (no 21) », notice no PA00108018, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  77. « Immeuble (no 48) », notice no PA00108042, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  78. « Immeuble (no 51) », notice no PA00108045, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  79. « Immeuble (no 58) », notice no PA00108052, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  80. « Immeuble (no 62) », notice no PA00108056, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  81. « Immeuble (no 70) », notice no PA00108060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  82. « Immeuble (no 68) », notice no PA00108059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  83. « Immeuble (no 33) », notice no PA00108029, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  84. « Immeuble (no 5) », notice no PA00108002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  85. « Immeuble (no 7) », notice no PA00108004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  86. [Bacot 1998] Georges Bacot, Arras, Alan Sutton, , 127 p. (lire en ligne), p. 17.
  87. Bacot 1998, p. 60.
  88. Alice Barczyk, Maxime Truffaut, Nathalie Serin, Valérie Kuhn, Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias et al., Arras 2011, Paris, Nouvelles éditions de l'université, coll. « Petit Futé », , 10e éd., 192 p. (ISBN 978-2-7469-3090-2, lire en ligne), p. 16.
  89. Musée des beaux-arts d'Arras, Catalogue des tableaux, bas-reliefs et statues exposés dans les galeries du musée de la ville d'Arras, Arras, Répessé, Cassel et Cie, , 200 p. (lire en ligne), « Desavary », p. 42.

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [Le Gentil 1877] Constant Le Gentil, Le Vieil Arras, ses faubourgs, sa banlieue, ses environs : souvenirs archĂ©ologiques et historiques, Arras, Eugène Bradier, , 751 p. (lire en ligne), « Petite place, Grand'Place et rue de la Taillerie », p. 501-508. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Adolphe de Cardevacque, Les Places d'Arras : Ă©tude historique et archĂ©ologique sur la grande-place et la petite-place d'Arras et la rue de la Taillerie qui les relie entre elles, Sueur-Charruey, , 425 p..
  • [Martin 1901] Alexis Martin, Une visite Ă  Arras : historique, la ville et ses monuments, Mont-Saint-Eloi, Achicourt, hommes cĂ©lèbres du Pas-de-Calais, Paris, A. Hennuyer, , 151 p. (lire en ligne), « Grande-Place », p. 43-46. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • [Morel 1914] E. Morel, Plan d'Arras-ville en 1382 : essai de topographie arrageoise / reconstituĂ© d'après les documents contemporains, Arras, Imprimerie de F. Guyot, , 512 p. (lire en ligne), p. 479. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
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