Gilles Vanden Burre

Gilles Vanden Burre passe sa jeunesse à Woluwe-Saint-Pierre. À 28 ans, il s’installe à Ixelles[3].

Ingénieur de gestion de formation, il a travaillé 12 ans dans le monde de l’entreprise à différentes fonctions de cadre commercial dans les secteurs bancaire et industriel. Il travaille notamment à la banque CBC et au sein du groupe Umicore.

Par la suite, il a dirigé un incubateur d’entreprises liées au développement durable et à l’environnement, Greenbizz, situé dans le quartier de Tour et Taxis à Bruxelles.

Gilles Vanden Burre est secrétaire politique d'Ecolo Ixelles[4].

En mai 2014, il se présente aux élections fédérales en tant que premier suppléant sur la liste Ecolo de l'arrondissement de Bruxelles[5].

En juin 2015, il devient député fédéral pour le groupe Ecolo-Groen, succédant ainsi à Zakia Khattabi, devenue co-présidente d'Ecolo.

Au Parlement fédéral, il est actif dans les commissions suivantes :

– Économie – sujets liés aux PME, aux indépendants et à l’entrepreneuriat[6]

– Infrastructure – sujets liés à Bpost, Proximus et aux entreprises autonomes publiques

– Intérieur/Justice – sujets liés à la police, à la sécurité intérieure et aux prisons

Gilles Vanden Burre est également Président du groupe de travail « agenda robonumérique »[7].

Il a aussi été membre de la commission spéciale sur les attentats terroristes de Bruxelles du 22 mars 2016.

Le 26 mai 2019, il est réélu à la Chambre des Représentants[8].

Depuis octobre 2020, à la suite de la nomination de Georges Gilkinet comme Ministre fédéral de la Mobilité[9], il devient chef de groupe Ecolo-Groen à la Chambre.

Il est actif dans les commissions suivantes :

- Finances et Budget - sujets liés aux banques, au budget, à l'investissement

- Économie, Protection des Consommateurs et Agenda numérique – sujets liés aux PME, aux indépendants et à l’entrepreneuriat, à la consommation et au digital

Il est aussi, depuis janvier 2020, le Président du Comité d'avis sur les questions scientifiques et technologiques. Au sein de ce comité sont notamment débattues des questions liées aux matières numériques. Pour sa première thématique, le Comité a travaillé sur la question de "L'intelligence artificielle (et les algorithmes) et l'impact sur les médias sociaux dans le processus démocratique"[10]. L'occasion de débattre au Parlement de sujets tels que la désinformation ciblée, des fake news (fausses nouvelles) ou des affaires comme Cambridge Analytica[11].