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Fosse n° 2 des mines d'Ostricourt

La fosse no 2 dite Henri Charvet de la Compagnie des mines d'Ostricourt est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situĂ© Ă  Oignies. Les travaux commencent le , et la fosse entre en exploitation en . Le cuvelage en bois est renforcĂ© par une chemise en fonte en 1870, car il fuyait trop. Les berlines sont ensuite utilisĂ©es pour remonter le charbon. Le cuvelage est de nouveau consolidĂ© en 1890. La fosse est dĂ©truite durant la Première Guerre mondiale. En 1937, dĂ©cision est prise que cette fosse deviendrait un siège de concentration pour la compagnie. Le puits est Ă©largi au diamètre de 5,30 mètres. En ce sens, de vastes citĂ©s commencent Ă  ĂŞtre bâties dans les annĂ©es 1940.

Fosse no 2 des mines d'Ostricourt dite Henri Charvet
La fosse no 2 modernisĂ©e.
La fosse no 2 modernisée.
Puits n° 2
Coordonnées 50,472464, 2,997417[BRGM 1]
Début du fonçage
Mise en service 1863
Profondeur 505 mètres
ArrĂŞt 1976
Remblaiement ou serrement 1977
Administration
Pays France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Commune Oignies
Caractéristiques
Compagnie Compagnie des mines d'Ostricourt
Groupe Groupe d'Oignies
Groupe Centre
Unité de production UP d'Ostricourt
Ressources Houille
Concession Ostricourt
Protection Logo monument historique ClassĂ© MH (2009)
Logo monument historique Inscrit MH (2009)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (2012)[note 1]

GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
(Voir situation sur carte : Pas-de-Calais)
Fosse no 2 des mines d'Ostricourt dite Henri Charvet
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Fosse no 2 des mines d'Ostricourt dite Henri Charvet

La Compagnie des mines d'Ostricourt est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe d'Oignies. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les travaux de modernisation qui ne sont terminés qu'en 1950. La concentration des fosses nos 1, 3, 5 et 6 de l'ancienne Compagnie des mines d'Ostricourt est effective en à cette date. Les cités sont alors étendues, et une grande variété de logements est construite. Divers lavoirs et usines sont construits sur le carreau de fosse, et les ateliers centraux et les grands bureaux du Groupe d'Oignies sont bâtis à proximité. La fosse cesse d'extraire en 1976, le puits est comblé l'année suivante, et le chevalement est détruit l'année suivante. Le terril no 115 est ensuite partiellement exploité.

Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise la tête de puits no 2. Les grands bureaux et les ateliers de la fosse sont respectivement détruits en 2000 et 2003, la passerelle et la lampisterie le sont en 2007. Il subsiste encore de nombreux bâtiments sur le carreau de fosse. En , le bâtiment de la machine d'extraction et la mine-image sont respectivement classés et inscrit aux monuments historiques. Le terril no 115A, 2 d'Oignies, fait partie de l'espace protégé de la mine-image, le terril no 115, 2 du téléphérique, est un espace naturel protégé, le terril cavalier no 247, Cavalier du 2 d'Oignies à A1, a disparu. Au début des années 2010, la cité 1940 est rénovée. Les autres cités l'ont été peu de temps avant. D'une part, le terril no 115, 2 du téléphérique, la cité moderne de la Faisanderie, son école, son église Saint-Henri, la cité moderne de la forêt, la cité pavillonnaire 1940, et d'autre part, la fosse no 2, sa mine-image, et le terril no 115A, 2 d'Oignies, ont été classés le au patrimoine mondial de l'Unesco.

La fosse

Quatre ans après les premiers travaux de la fosse no 1[D 1], la Compagnie des mines d'Ostricourt entreprend une nouvelle fosse Ă  1 340 mètres au nord-ouest[note 2].

Fonçage

La fosse no 2 a Ă©tĂ© commencĂ©e le Ă  Oignies[A 1], Ă  700 mètres au nord-est du clocher, et Ă  700 mètres Ă  l'ouest de la ligne de Paris-Nord Ă  Lille[SB 1]. Le diamètre utile du puits est de quatre mètres[A 1]. L'orifice du puits est situĂ© Ă  l'altitude de 29 mètres[JA 1]. On y atteint la profondeur de 61,45 mètres en [D 2] sans le secours d'une machine d'Ă©puisement[D 3] ; mais Ă  cette profondeur, la quantitĂ© d'eau Ă  Ă©puiser s'Ă©lève Ă  300 hectolitres par heure[D 4]. On ne peut en venir Ă  bout avec la machine d'extraction de vingt chevaux, et on installe une petite machine d'Ă©puisement de cinquante chevaux, qui permet de pousser l'approfondissement Ă  71,48 mètres[D 4]. Elle devient alors insuffisante, et on doit recourir Ă  une machine de 200 chevaux, louĂ©e par la Compagnie de Meurchin. Cette machine, alimentĂ©e par cinq gĂ©nĂ©rateurs et avec deux pompes de 50 et 55 centimètres de diamètre, Ă©lève jusqu'Ă  65 hectolitres d'eau par minute. Ă€ cette profondeur, la venue d'eau est de 3 900 hectolitres Ă  l'heure[SB 1].

Des picotages successifs retiennent les eaux, et Ă  86 mètres on peut Ă©tablir la base dĂ©finitive du cuvelage[D 4]. Le cuvelage a une hauteur de 86 mètres, et il est en bois[SB 1]. Le terrain houiller est rencontrĂ© Ă  151,95 mètres[D 4] - [JA 1]. La fosse porte le nom d'Henri Charvet, administrateur de la compagnie[A 1].

Exploitation

Enfin, en [A 1], cette fosse entre en exploitation. Elle a Ă©tĂ© approfondie jusqu'Ă  378,14 mètres[D 4]. Elle a recoupĂ© neuf couches de houille, dont cinq seulement ont Ă©tĂ© reconnues exploitables. L'une d'elles, la no 6, a mĂŞme une assez grande Ă©paisseur : de 1,10 Ă  1,50 mètre. Cette couche, et la no 9, ont fourni la très grande partie de l'extraction[D 4]. Le une explosion tue quatre mineurs[A 1]. Le grisou fait son apparition en 1864[D 2].

Les terrains de la fosse no 2 sont assez tourmentĂ©s. Toutefois, on y a suivi, sur d'assez grandes longueurs, la veine no 6, dans des conditions d'exploitation favorables ; et dans les annĂ©es 1880, cette fosse peut fournir une extraction importante, Ă  un prix de revient faible[D 4]. Le cuvelage en bois donne lieu, vers sa base, Ă  des ruptures de pièces assez frĂ©quentes. On a Ă©tĂ© obligĂ©, en 1870, de le revĂŞtir d'une chemise en fonte sur 14.20[D 4] ou 18 mètres[D 2] de hauteur, ce qui a rĂ©duit le diamètre du puits de la fosse Ă  3,58 mètres dans cette chemise[D 4]. Le cuvelage en bois fuyait jusqu'alors rĂ©gulièrement[D 2].

Jusqu'en , l'extraction du charbon et des eaux s'effectue avec des tonneaux. On se dĂ©cide Ă  y Ă©tablir un système de guides Ă  câbles en fil de fer[D 2] ; et, depuis lors, l'extraction se fait au moyen de deux berlines superposĂ©es, de cinq hectolitres chacune[D 4]. Ce système offre bien des dĂ©sagrĂ©ments dans les mines du Nord, oĂą l'on est obligĂ© d'avoir deux et mĂŞme trois accrochages en activitĂ© en mĂŞme temps, et de plus, d'extraire les eaux avec la machine d'extraction. Aussi la fosse no 2 d'Ostricourt est le seul point de la rĂ©gion oĂą ce système ait Ă©tĂ© adoptĂ©[D 4]. Le parachute Cousin est mis en place[D 2]. Ă€ la fin des annĂ©es 1870, le puits est profond de 378,14 mètres[D 2].

Ă€ la fin de l'annĂ©e 1890, le cuvelage est consolidĂ© de 69 Ă  86 mètres de profondeur par un revĂŞtement en fonte qui a rĂ©duit le diamètre utile du puits Ă  3,58 mètres[SB 1]. Les accrochages sont Ă©tablis aux profondeurs de 192, 223, 260, 300 et 354 mètres. Les trois premiers Ă©tages ont Ă©tĂ© jusqu'alors peu exploitĂ©s[SB 1].

La fosse no 2 vers 1910.

La fosse est dĂ©truite durant la Première Guerre mondiale. En 1937, il est dĂ©cidĂ© que la fosse no 2 deviendrait un puits de concentration[A 1]. Pour y parvenir, le puits est au prĂ©alable Ă©largi Ă  5,30 mètres de diamètre[A 1].

Siège de concentration

Les travaux sont ralentis Ă  cause de la Seconde Guerre mondiale et seulement achevĂ©s en 1950[B 1]. La Compagnie des mines d'Ostricourt est nationalisĂ©e en 1946, et intègre le Groupe d'Oignies[B 1]. Une nouvelle machine Ă  vapeur, la plus puissante de France, est installĂ©e. Un nouveau chevalement Ă  poutrelles Ă  treillis de 55 mètres de hauteur est installĂ© en 1947 et 1948. La concentration des fosses nos 1, 3, 5 et 6 de l'ancienne Compagnie des mines d'Ostricourt est effective en 1950. La fosse est Ă©quipĂ©e de berlines de 2 700 litres, d'un criblage et d'un lavoir. Un tĂ©lĂ©phĂ©rique est installĂ© pour mettre Ă  terril les dĂ©chets. Il s'Ă©croule en 1958. Sur le carreau de la fosse il y a Ă©galement un lavoir Ă  grains, deux lavoirs Ă  fines, un criblage et une usine Ă  boulets[B 1].

La fosse est approfondie en 1966 Ă  456 mètres et une bowette la relie aux fosses nos 9 - 9 bis et 10. Le premier soutènement marchant du groupe entre en action en 1967[B 1].

En 1976, la fosse cesse d'extraire. les mineurs sont mutĂ©s Ă  la fosse no 9 - 9 bis. Le puits est remblayĂ© au cours de l'annĂ©e 1977. Il est alors profond de 505 mètres. La cheminĂ©e de 94,60 mètres est dynamitĂ©e la mĂŞme annĂ©e, quant au chevalement, il est abattu en 1980[B 1].

Reconversion

Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise la tête de puits. Le BRGM y effectue des inspections chaque année[1]. Les Grands bureaux du Groupe d'Oignies sont détruits en l'an 2000, les ateliers de la fosse le sont trois ans plus tard. La lampisterie et la passerelle sont détruits en 2007[2]. De nombreux bâtiments ont été conservés : la salle des machines, les ateliers, le garage, le local sauveteurs, la mine-image, le bâtiment des transformateurs et les bains-douches[3].

Le bâtiment de la machine d'extraction de la fosse no 2 avec l'ensemble de son dispositif technique, Ă  savoir la machine Ă  vapeur et le pont roulant font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [4]. La mine-image en totalitĂ©, avec l'ensemble de ses galeries souterraines et extĂ©rieures et avec ses dispositifs techniques servant Ă  la formation des mineurs, situĂ©e sous le terril no 115A et aux abords fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [5]. La fosse no 2 et sa mine-image font partie des 353 Ă©lĂ©ments rĂ©partis sur 109 sites qui ont Ă©tĂ© classĂ©s le au patrimoine mondial de l'Unesco. Elles constituent une partie du site no 39[6].

  • Les bains-douches.
    Les bains-douches.
  • La salle des machines.
    La salle des machines.
  • La machine d'extraction.
    La machine d'extraction.
  • Le poste de garde.
    Le poste de garde.
  • Le poste de coupure.
    Le poste de coupure.

Les terrils

Trois terrils rĂ©sultent de l'exploitation de la fosse no 2[7]. Les terrils nos 115 et 115A font partie des 353 Ă©lĂ©ments rĂ©partis sur 109 sites qui ont Ă©tĂ© classĂ©s le au patrimoine mondial de l'Unesco. Ils constituent respectivement et en partie les sites nos 38 et 39[6].

Terril no 115, 2 du téléphérique

Le terril no 115.
Le terril no 115A.
50° 28′ 46″ N, 2° 59′ 32″ E

Le terril no 115, 2 du tĂ©lĂ©phĂ©rique, situĂ© Ă  Libercourt, Ă©tait alimentĂ© par un système de tĂ©lĂ©phĂ©rique par la fosse no 2 des mines d'Ostricourt, alors siège de concentration du Groupe d'Oignies, Ă  partir de 1948. MalgrĂ© le fait qu'il a Ă©tĂ© exploitĂ©, il en reste un volume non nĂ©gligeable. La hauteur maximale Ă©tait de 47 mètres[8].

Terril no 115A, 2 d'Oignies

50° 28′ 27″ N, 2° 59′ 48″ E

Le terril no 115A, 2 d'Oignies, situé à Libercourt, est le premier terril de la fosse no 2 des mines d'Ostricourt. Il est situé juste au nord du carreau et est désormais boisé. Il s'agit du premier terril de la fosse, il a en conséquence une taille très modeste. La mine-image y est établie[9].

Terril n° 247, Cavalier du 2 d'Oignies à A1

50° 28′ 43″ N, 2° 58′ 56″ E

Le terril n° 247, Cavalier du 2 d'Oignies à A1, situé à Libercourt, était un terril cavalier reliant la fosse no 2 des mines d'Ostricourt à l'autoroute A1. Il a été intégralement exploité[10].

Les cités

De vastes citĂ©s ont Ă©tĂ© bâties tardivement au nord de la fosse, sur le territoire de Libercourt. Les habitations de la citĂ© 1940 ont Ă©tĂ© bâties au dĂ©but des annĂ©es 1940, quant Ă  celles de la citĂ© de la Faisanderie, elles l'ont Ă©tĂ© après la Nationalisation. Cette citĂ© est particulièrement boisĂ©e, au mĂŞme titre que la citĂ© de la ForĂŞt. La citĂ© moderne de la Faisanderie, son Ă©cole, son Ă©glise Saint-Henri, la citĂ© moderne de la forĂŞt, et la citĂ© pavillonnaire 1940 font partie des 353 Ă©lĂ©ments rĂ©partis sur 109 sites qui ont Ă©tĂ© classĂ©s le au patrimoine mondial de l'Unesco. Elles constituent en partie le site no 38[6].

  • Des habitations de la citĂ© 1940.
    Des habitations de la cité 1940.
  • Habitation Ă  l'entrĂ©e de la citĂ© de la ForĂŞt.
    Habitation à l'entrée de la cité de la Forêt.
  • Des habitations construites en bois sur un socle en briques.
    Des habitations construites en bois sur un socle en briques.
  • Des habitations basiques, avec toiture en Eternit.
    Des habitations basiques, avec toiture en Eternit.
  • Un coron post-Nationalisation.
    Un coron post-Nationalisation.
  • Des habitations basiques rĂ©novĂ©es.
    Des habitations basiques rénovées.

L'Ă©glise Saint-Henri

L'Ă©glise Saint-Henri.
Les Ă©coles.
50° 28′ 56″ N, 3° 00′ 11″ E

Une église a été construite au nord de la cité de la Faisanderie, près des cités de la fosse no 5. Elle est classée le au patrimoine mondial de l'Unesco[6].

Les Ă©coles

50° 28′ 47″ N, 3° 00′ 02″ E

Des écoles ont été construites dans la cité de la Faisanderie. Elles sont classées le au patrimoine mondial de l'Unesco[6].

Notes et références

Notes
  1. Le classement aux monuments historiques porte sur le bâtiment d'extraction de la fosse no 2 et l'inscription aux monuments historiques sur la mine-image, tandis que l'inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco concerne le terril no 115, 2 du téléphérique, la cité moderne de la Faisanderie, son école, son église Saint-Henri, la cité moderne de la forêt, la cité pavillonnaire 1940, la fosse no 2, sa mine-image, et le terril n° 115A, 2 d'Oignies.
  2. Les distances sont mesurées grâce à Google Earth. Dans le cas de puits, la distance est mesurée d'axe en axe, et arrondie à la dizaine de mètres la plus proche. Les têtes de puits matérialisées permettent de retrouver l'emplacement du puits sur une vue aérienne.
Références
Références aux fiches du BRGM
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome I,
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome II,
Références à Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II, Imprimerie L. Danel,
Références à Jules Gosselet, Les assises crétaciques et tertiaires dans les fosses et les sondages du Nord de la France : Région de Douai, vol. I, Imprimerie nationale, Paris,
  1. Gosselet 1904, p. 98
Références à Alfred Soubeiran, Études des gîtes minéraux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, sous-arrondissement minéralogique d'Arras, Imprimerie nationale, Paris,
  1. Soubeiran 1895, p. 151

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : Des origines Ă  1939-45, t. I, , 176 p., p. 79. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : De 1946 Ă  1992, t. II,
  • Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II : Histoire de la recherche, de la dĂ©couverte et de l'exploitation de la houille dans ce nouveau bassin, Imprimerie L. Danel, Lille, , 410 p. (lire en ligne), p. 32-34, 51. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jules Gosselet, Les assises crĂ©taciques et tertiaires dans les fosses et les sondages du Nord de la France : RĂ©gion de Douai, vol. I, Imprimerie nationale, Paris, , p. 98. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Alfred Soubeiran, Études des gĂ®tes minĂ©raux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, sous-arrondissement minĂ©ralogique d'Arras, Imprimerie nationale, Paris, , p. 151. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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