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Fosse n° 2 - 7 des mines de Meurchin

La fosse no 2 - 7 de la Compagnie des mines de Meurchin est un ancien charbonnage du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situĂ© Ă  Meurchin. Le puits no 2 est commencĂ© en . Le fonçage se passe sans trop de difficultĂ©s, un premier accrochage est Ă©tabli Ă  197 mètres, le gisement est ensuite plus brouillĂ©, un second accrochage est Ă©tabli Ă  240 mètres, mais une première venue d'eau Ă  35° ; puis, Ă  quinze mètres du puits, une deuxième source d'eau Ă  40°, qui fournit bientĂ´t 20 000 hectolitres par 24 heures se produisent. La fosse est inondĂ©e et abandonnĂ©e en . La source minĂ©rale sulfureuse est exploitĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1870. Une pĂ©tition a Ă©tĂ© envoyĂ©e au ministre de la Guerre le afin que l'eau soit utilisĂ©e pour le traitement des blessures des militaires, mais le , une rĂ©ponse nĂ©gative est envoyĂ©e Ă  la Compagnie, Ă©tant donnĂ© que la composition de l'eau varie selon les bouteilles, ce qui devait ĂŞtre dĂ» au mode de captage de l'eau. Après quelques dĂ©cennies d'abandon, la fosse est reprise. Le puits no 7 est commencĂ© en 1913.

Fosse no 2 - 7 des mines de Meurchin
La partie nord du carreau de la fosse no 2 - 7, près du puits no 7, en 2011.
La partie nord du carreau de la fosse no 2 - 7, près du puits no 7, en 2011.
Puits n° 2
Coordonnées 50,497981, 2,90675[BRGM 1]
Début du fonçage
Profondeur 250 mètres
Étages des accrochages 197 et 240 mètres
Remblaiement ou serrement 1936
Puits n° 7
Coordonnées 50,498253, 2,906497[BRGM 2]
Début du fonçage 1913
Remblaiement ou serrement 1933
Administration
Pays France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Commune Meurchin
Caractéristiques
Compagnie Compagnie des mines de Meurchin
Compagnie des mines de Lens
Ressources Houille
Concession Meurchin

GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
(Voir situation sur carte : Pas-de-Calais)
Fosse no 2 - 7 des mines de Meurchin
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Fosse no 2 - 7 des mines de Meurchin

La Compagnie de Meurchin est rachetée par celle de Lens en 1920. Le puits no 7 est abandonné en 1933, le no 2 trois ans plus tard, c'est cette même année que la fosse no 1 cesse d'extraire, tout en continuant de servir pour le service de la fosse no 3 - 4.

Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 2 et 7. Le carreau de fosse est devenu un bosquet. Les terrils nos 69 et 69A ayant une trop faible volumétrie, ils n'ont pas été exploités. La cité Fachoda a été détruite en 2010.

La fosse

Six ans après avoir commencé une première fosse à Bauvin, et avoir foncé puis abandonné une avaleresse à Carvin, la Compagnie des mines de Meurchin ouvre une seconde fosse[D 1].

Fonçage

La fosse no 2 est entreprise Ă  Meurchin[1] en [A 1] - [SB 1], Ă  300 mètres au nord du chemin reliant Meurchin Ă  Carvin[SB 1], Ă  1 290 mètres Ă  l'est-sud-est[note 1] de la fosse no 1. Le niveau est franchi Ă  l'aide d'une pompe de 55 centimètres de diamètre est 2,50 mètres de course, donnant trois coups par minute[SB 1]. Le terrain houiller est atteint Ă  132,50 mètres[SB 1]. Jusqu'Ă  185 mètres, le puits rencontre des schistes compacts, noirâtres et très siliceux (phtanites) ; de 185 Ă  190 mètres, les schistes sont mĂ©langĂ©s de rognons de calcaire. La première veine, irrĂ©gulière, de 60 centimètres est dĂ©couverte Ă  194 mètres, la deuxième veine de 50 centimètres, Ă  203 mètres. Ă€ partir de 213 mètres, une partie de la fosse se trouve dans les terrains bouleversĂ©s, sans consistance ; l'autre partie continue Ă  traverser des assises plus rĂ©gulières de schistes noirâtres. Une faille presque verticale est dĂ©couverte, le puits prĂ©sente de grandes difficultĂ©s dans l'approfondissement. Le diamètre du puits est de 4,08 mètres et le cuvelage va de 9,20 Ă  88,83 mètres[SB 1].

En 1866, on ouvre un accrochage Ă  240 mètres, un autre a prĂ©cĂ©demment Ă©tĂ© ouvert Ă  197 mètres[SB 1]. La bowette sud est entièrement dans le calcaire. Elle recoupe une première venue d'eau Ă  35° ; puis, Ă  quinze mètres du puits, une deuxième source d'eau Ă  40°, qui fournit bientĂ´t 20 000 hectolitres par 24 heures ; et la fosse se remplit d'eau et doit ĂŞtre abandonnĂ©e. La profondeur totale est de 250 mètres[SB 1]. L'eau minĂ©rale est très sulfureuse. Plusieurs tentatives sont faites pour l'utiliser, mais sans rĂ©sultat.

La position de la fosse a Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©e par les deux sondages nos 178 et 18, qui ont rencontrĂ© le terrain houiller et la houille[D 2]. Le creusement de cette fosse Ă  travers les nappes aquifères de la craie n'offre rien de particulier. Elle atteint le terrain houiller Ă  132,50 mètres, et son approfondissement est poursuivi jusqu'Ă  185 mètres sans prĂ©senter d'autres caractères saillants que la rencontre de schistes noirâtres et très siliceux, connus sous le nom de phtanites[D 2].

De 185 Ă  190 mètres, les schistes sont mĂ©langĂ©s de rognons de calcaire et, Ă  cette dernière profondeur, un banc de calcaire de vingt centimètres d'Ă©paisseur est traversĂ©[D 3]. On retombe ensuite dans des schistes calcareux, puis on atteint, Ă  194 mètres, une première veine irrĂ©gulière de houille de 60 centimètres ; puis, Ă  203 mètres, une deuxième veine, Ă©galement irrĂ©gulière, de 50 centimètres, ayant leur pendage au nord-est[D 3]. Ă€ la profondeur de 213 mètres, la nature du terrain se modifie : une partie de la fosse se trouve dans des terrains bouleversĂ©s, sans consistance ; l'autre continue Ă  travers des assises plus irrĂ©gulières de schistes noirâtres[D 3]. On constate que la partie bouleversĂ©e est une faille presque verticale ; l'approfondissement prĂ©sente de grandes difficultĂ©s d'exĂ©cution par suite du peu de soliditĂ© du terrain. Ă€ 240 mètres, on Ă©tablit deux accrochages, après avoir achevĂ© le goyau et le guidage pour les cages sur toute la hauteur du puits.

Inondation de la fosse no 2

L'accrochage du sud traverse la faille et atteint bientĂ´t le calcaire. C'est alors qu'une venue d'eau chaude Ă  35° se dĂ©clare, Ă  quatre mètres au-dessus de l'accrochage, au contact du calcaire et des terrains de dĂ©bris qui remplissent la faille. Elle est de 1 000 hectolitres par 24 heures[D 3].

On poursuit les bowettes. Celle du nord-ouest rencontre des schistes mĂ©langĂ©s de pyrites, ou phtanites, puis les deux petites veines traversĂ©es dans la fosse, et parvient Ă  55 mètres du puits[D 3]. Celle du sud-est se poursuit en mĂŞme temps Ă  travers le calcaire, lorsqu'Ă  quinze mètres de l'accrochage, une nouvelle venue d'eau, Ă  la tempĂ©rature de 40°, se dĂ©clare. Ă€ l'origine, de 1 500 hectolitres par 24 heures, elle augmente d'une manière tellement rapide par l'agrandissement de l'ouverture qui lui donne passage, qu'elle arrive au chiffre de 20 000 hectolitres par jour, et envahit bientĂ´t toutes les galeries et la fosse[D 3]. On tente un Ă©puisement par tonneaux qui s'Ă©lève Ă  8 000 hectolitres par 24 heures ; mais les eaux ne baissent pas au-dessous de la profondeur de 65 mètres, et on abandonne la fosse[D 3].

Les renseignements qui prĂ©cèdent sont extraits d'un rapport demandĂ© par la Compagnie de Meurchin, en 1866, Ă  Messieurs de Bracquemont et De Clercq, sur le parti Ă  prendre au sujet de la fosse no 2. Ils conseillent d'abandonner cette fosse, en motivant leur avis sur ce qu'elle ne prĂ©sente aucune ressource en profondeur[D 3], et qu'elle doit atteindre le calcaire très promptement[D 4]. Selon eux, les nappes d'eau rencontrĂ©es ne doivent pas diminuer après un Ă©puisement plus ou moins long, ainsi que cela a lieu frĂ©quemment ; elles doivent fournir davantage mĂŞme par la continuation des travaux[D 4]. Le conseil de Messieurs de Bracquemont et De Clercq a Ă©tĂ© suivi, et la Compagnie de Meurchin abandonne complètement la fosse no 2, dans laquelle il a Ă©tĂ© dĂ©pensĂ© 351 936,51 francs, qui ont Ă©tĂ© entièrement perdus[D 4].

Source minérale sulfureuse

L'eau rencontrĂ©e par la fosse no 2 a une tempĂ©rature de 40 Ă  42° Ă  200 mètres de profondeur ; Ă  neuf mètres au-dessous du sol, niveau oĂą elle se maintient, elle est encore Ă  26°[D 4]. D'après une analyse faite Ă  l'École des Mines en 1870, elle renferme par litre 0,031 gramme d'acide sulfhydrique, 0,369 gramme d'acide carbonique libre ou combinĂ©, 1,460 gramme de chlorure de potassium et de sodium, 1,848 gramme de sulfate de soude, de chaux et de magnĂ©sie, 0,172 gramme de carbonate de chaux et de magnĂ©sie et 0,021 gramme de silice et peroxyde de fer, soit un total de 3,907 grammes[1] - [D 4].

Elle contient 0,028 Ă  0,031 gramme d'hydrogène sulfurĂ©. C'est une des eaux les plus sulfureuses que l'on connaisse en France ; elle vient immĂ©diatement après celle d'Enghien-les-Bains, qui en renferme 0,038. Les autres eaux minĂ©rales sulfureuses en tiennent une proportion bien plus faible[D 4]. Ainsi on n'en trouve que 0,024 gramme dans les eaux de Bagnères-de-Luchon, 0,018 gramme dans les eaux d'Aix-les-Bains, 0,013 gramme dans les eaux de Barèges et 0,009 gramme dans les eaux d'Aix-la-Chapelle et Eaux-Bonnes[D 4].

L'eau sulfureuse de Meurchin ne s'altère presque pas[D 5]. Une bouteille en verre vert, remplie de cette eau titrant 0,029 gramme d'hydrogène sulfurĂ©, conservĂ©e Ă  la lumière pendant quinze jours, en renfermait encore 0,027 gramme, tandis que l'eau d'Enghien en perd presque la moitiĂ© en trois jours[D 5]. L'eau de Meurchin a Ă©tĂ© employĂ©e dans les environs comme eau minĂ©rale ; et, sur un rapport de l'AcadĂ©mie de mĂ©decine, le Ministre du Commerce et de l'Agriculture en a autorisĂ© l'exploitation. Ainsi, Ă  la fosse no 2 de Meurchin, comme du reste dans plusieurs sondages exĂ©cutĂ©s au nord de la fosse, on a constatĂ© qu'il existe dans le calcaire carbonifère, en contact avec le terrain houiller, des sources thermales sulfureuses très abondantes qui obligent les exploitants Ă  se prĂ©munir contre l'inondation de leurs travaux lorsqu'ils s'approchent de la formation de calcaire carbonifère[D 5] - [2].

Une note, due Ă  l'obligeance de M. Thiry, ingĂ©nieur-directeur de la Compagnie de Meurchin, complète d'une manière intĂ©ressante les dĂ©tails donnĂ©s ci-dessus sur la source minĂ©rale de la fosse no 2[D 5]. Dès que la première Ă©motion causĂ©e par la perte du puits a Ă©tĂ© calmĂ©e, la Compagnie s'occupe de la possibilitĂ© de reprendre les travaux. Messieurs De Clercq et de Bracquemont, consultĂ©s, ayant conseillĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© d'abandonner la fosse, la SociĂ©tĂ© ne songe plus qu'Ă  utiliser les propriĂ©tĂ©s sulfureuses de l'eau qui a fait irruption dans les travaux. Par un arrĂŞtĂ© ministĂ©riel en date du 25 mars 1872, la SociĂ©tĂ© est autorisĂ©e Ă  exploiter pour l'usage mĂ©dical et Ă  livrer au public l'eau de la fosse no 2[D 5]. Quelques bouteilles sont livrĂ©es au public, au prix de 60 centimes la pièce, par l'entremise de M. Lemaire, pharmacien Ă  BĂ©thune. L'eau est toujours puisĂ©e Ă  l'aide de bouteilles vides fortement bouchĂ©es, descendues Ă  l'aide d'un poids dans le puits : la pression fait passer le bouchon dans la bouteille qui se remplit, et Ă  la remonte, le bouchon vient de lui-mĂŞme se replacer au goulot. Cette mĂ©thode fait perdre une partie des principes gazeux de l'eau. On construit un petit tonnelet très solide, en chĂŞne, sans ferrure ; on l'entoure d'une Ă©paisse couche de gutta-percha[D 5] ; on mĂ©nage dans cette couche une soupape conique fixĂ©e Ă  une tige mĂ©tallique entourĂ©e de gutta-percha et, Ă  cette tige, on suspend une charge de plomb calculĂ©e de manière Ă  permettre Ă  la soupape de se lever Ă  la profondeur de 240 mètres[D 6]. Un robinet en nickel permet la vidange dans les bouteilles. On remonte ainsi de l'eau très chargĂ©e de gaz, sous une pression relativement Ă©levĂ©e. Si, au lieu d'un robinet de vidange, on avait adaptĂ© au tonnelet l'appareil servant au remplissage des bouteilles d'eau de Seltz, on aurait eu de l'eau gazeuse sous pression dans les bouteilles[D 6]. La SociĂ©tĂ©, reculant devant les frais de première installation de piscines ou de baignoires, adresse le 12 novembre 1873, Ă  M. le Ministre de la Guerre, une pĂ©tition Ă  l'effet d'obtenir que les eaux de Meurchin soient dĂ©signĂ©es comme devant servir au traitement, aux frais de l'État, des anciens militaires et marins, du nord de la France, dont les blessures et les infirmitĂ©s contractĂ©es au service nĂ©cessiteraient l'emploi de l'eau sulfureuse[D 6]. Si l'expĂ©rience dĂ©montre que l'usage de ces eaux Ă©tait curatif, il y a des chances pour que la fosse no 2 deviennent un siège d'une station de bains sulfureux[D 6].

Avant de donner suite à la demande des Mines de Meurchin, le conseil de santé des armées a fait faire l'expérimentation de l'eau à l'hôpital militaire de Lille, à celui du Val-de-Grâce et à celui du Gros-Caillou[D 6]. Trois cents bouteilles ont été envoyées à ces trois établissements. Le 30 mai 1877, le Ministre de la Guerre fait connaître à la Société que l'expérimentation de l'eau minérale de Meurchin faite dans les hôpitaux militaires du Val-de-Grâce, du Gros-Caillou et de Lille, a permis de reconnaître que la composition de cette eau n'est pas fixe, certaines bouteilles ayant donné, à l'analyse, une grande quantité de principes sulfureux, tandis que d'autres n'en contiennent pas du tout. En conséquence, le Conseil de santé a émis l'avis que, tant que le régime de cette eau minérale ne sera pas mieux établi, il n'y aurait pas lieu d'en introduire l'usage dans les hôpitaux militaires[D 6]. Cet échec, dû sans doute à l'imperfection du mode de captage de l'eau, a mis fin aux tentatives de la société en vue de l'utilisation des eaux de la fosse no 2[D 6]. Le niveau de l'eau sulfureuse, dans le puits, est à trois mètres environ au-dessous de la nappe d'eau environnante[D 7].

Exploitation

Après plusieurs dĂ©cennies d'abandon, la fosse no 2 est reprise. En 1913, un puits no 7 y est adjoint[3], et creusĂ© Ă  33 mètres au nord-nord-ouest du puits no 2[note 1], parallèlement Ă  la route[BRGM 2].

La Compagnie de Meurchin est rachetée par celle de Lens en 1920[A 2]. Le puits no 7 est abandonné en 1933[3], et le no 2 en 1936[4]. C'est également en 1936 que la fosse no 1 cesse d'extraire[B 1].

Reconversion

Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes de puits nos 2 et 7. Le BRGM y effectue des inspections chaque année[5]. Le carreau de fosse est devenu un bosquet.

  • Puits no 2, 1863 - 1936.
    Puits no 2, 1863 - 1936.
  • La tĂŞte de puits matĂ©rialisĂ©e no 2.
    La tête de puits matérialisée no 2.
  • Le puits no 2 dans son environnement.
    Le puits no 2 dans son environnement.
  • Puits no 7, 1913 - 1933.
    Puits no 7, 1913 - 1933.
  • La tĂŞte de puits matĂ©rialisĂ©e no 7.
    La tête de puits matérialisée no 7.
  • Le puits no 7 dans son environnement.
    Le puits no 7 dans son environnement.

Les terrils

Le terril no 69.
Le terril no 69A.

L'exploitation de la fosse a généré deux terrils, dont un terril cavalier[6].

Terril no 69, 2 de Meurchin

50° 29′ 58″ N, 2° 54′ 19″ E

Le terril no 69, situé à Meurchin, est le petit terril plat de la fosse no 2 - 7 des mines de Meurchin.

Terril no 69A, Cavalier du 2 de Meurchin

50° 30′ 05″ N, 2° 53′ 50″ E

Le terril no 69A, situé à Meurchin, est le terril cavalier de la fosse no 2 - 7, il permettait, avant que le pont ne soit détruit, de franchir la ligne de Lens à Don-Sainghin, et de relier la fosse à la fosse no 1.

Notes et références

Notes
  1. Les distances sont mesurées grâce à Google Earth. Dans le cas de puits, la distance est mesurée d'axe en axe, et arrondie à la dizaine de mètres la plus proche. Les têtes de puits matérialisées permettent de retrouver l'emplacement du puits sur une vue aérienne.
Références
Références aux fiches du BRGM
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome I,
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome II,
Références à Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II, Imprimerie L. Danel,
Références à Alfred Soubeiran, Études des gîtes minéraux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, première partie, Arras, Imprimerie nationale, Paris,
  1. Soubeiran 1895, p. 224

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : Des origines Ă  1939-45, t. I, , 176 p., p. 106-107. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : De 1946 Ă  1992, t. II, . Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II : Histoire de la recherche, de la dĂ©couverte et de l'exploitation de la houille dans ce nouveau bassin, Imprimerie L. Danel, Lille, , 410 p. (lire en ligne), p. 59-64, 84. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Alfred Soubeiran, Études des gĂ®tes minĂ©raux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, première partie, Arras, Imprimerie nationale, Paris, , p. 224. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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