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Famille Le Bret

La famille Le Bret est une famille subsistante de la noblesse française originaire de Gisors, en Normandie, anoblie par lettres en 1578, est membre de l'ANF depuis 2016[1].

Famille Le Bret
Image illustrative de l’article Famille Le Bret
Armes

Blasonnement D'or, au sautoir de gueules, cantonné de quatre merlettes de sable chargé d'un écusson d'argent, surchargé d'un lion de sable armé et lampassé de gueules.
Devise "Letifera Pello"
Branches Le Bret de Flacourt
Le Bret de Nucourt
Le Bret
Pays ou province d’origine Drapeau de la Normandie Normandie
Demeures Château de Selles
Château Le Bret
Charges Intendant
Président de parlement
Conseiller d'État
Maire de Valenciennes
Fonctions militaires Gouverneur
Lieutenant général des armées du roi
Chef d'escadre des armées navales
Fonctions ecclésiastiques Évêque de Toul
RĂ©compenses militaires Ordre de Saint-Louis

Histoire

Origine

La famille Le Bret remonte à Maître Simon Le Bret (né sans doute vers le milieu du XVe siècle), avocat ou procureur à Gisors, où il est membre de la confrérie Notre-Dame de l'Assomption (noté en 1486)[2], dont le fils Julien (+ 1547) fut marié à Jeanne Le Lanternier (+1517) puis à Jeanne Le Cousturier (+ 1569). Ce dernier fut le père de Julien et de Robert qui suivent, auteurs respectifs de deux lignées (à noter un Chevalier Guillaume Le Bret membre fondateur de cette même confrérie ND de l'Assomption de Gisors en 1360)[2] :

  • Julien Le Bret, (+1589), sieur du Mesnil, licenciĂ© en droit, avocat Ă  Gisors, fut l'auteur de la branche de Flacourt, en 1592. Son fils Cardin (1558-1655) exerce la charge d'Avocat GĂ©nĂ©ral Ă  la Cour des Aides de Paris (1592-1604), il est anobli en 1604 par la charge d’avocat gĂ©nĂ©ral au Parlement de Paris. Cette branche aĂ®nĂ© qui donna plusieurs hauts magistrats de renom, fut titrĂ©e comte de Selles en 1727[3] et s'Ă©teignit en 1804.
  • Robert Le Bret (+1589), seigneur de Flacourt[4], de Boisgilout, de Nucourt et d'Ernemont, capitaine de cent arquebusiers Ă  cheval et de cent hommes Ă  pied, gouverneur de la ville de Gisors (1560), puis de celle de Mantes (1568) fut anobli par le grade d'officier des Gens de Pieds en 1557 puis par lettres patentes du roi Henri III en en rĂ©compense de ses service militaire[5] MariĂ© en 1553 Ă  Françoise de Gamâches († 1603), il est l'ancĂŞtre de la branche subsistante[6] - [7] - [8] - [9].

Lignée ainée : seigneurs de Flacourt et comtes de Selles

La branche ainée, issue de Julien Le Bret (ca 1520-1589), son fils Cardin (1558-1655) exerce en 1592 la charge d'Avocat Général à la Cour des Aides de Paris (1592-1604), puis il est anobli en 1604 par la charge d’avocat général au Parlement de Paris.

Elle s'illustra à travers plusieurs magistrats au parlement de Paris, des conseillers d'État, deux présidents au parlement de Provence, des intendants du Limousin, du Dauphiné, du Lyonnais, de Provence, de Bretagne, un lieutenant-général, des chevaliers de Saint-Louis, un évêque etc.

Cette branche fut titrée comte de Selles par lettres patentes d', enregistrées au Parlement de Paris le suivant[3].

Branche allemande Le Bret von Nucourt

Cette branche, quitta la France lors de la révocation de l'édit de Nantes et s'établit en Wurtemberg avec Nicolas Le Bret, d'où elle est passée en Bavière. Elle a été confirmée noble sur les registres de la chancellerie bavaroise sous le nom de von Le Bret de Nucourt ou Le Bret von Nucourt.

Branche du Vexin

Une autre branche issue de Denis Le Bret, avocat à Gisors (+1557) fils de Julien et marié à Colette Le Lanternier (+1549) a donné Denis Le Bret, aussi avocat, sans doute l'ancêtre de Denis Le Bret, aussi avocat, d'où Nicolas Le Bret, Écuyer de la duchesse de Guise, marié en 1611 à Marie Mallaquin, d'où Henry Le Bret (1618-1710), le célèbre compagnon de Cyrano de Bergerac qui fit publier les écrits de Cyrano après la mort de celui-ci et qui s'est attiré cette fameuse réplique "Voilà encore Le Bret qui grogne" dans la pièce d'Edmond Rostand. Il avait eu le même précepteur que Cyrano et s'était engagé avec lui comme mousquetaire en 1639. Il entra ensuite dans les ordres et fut Grand Prévôt de l’évêché de Montauban en 1663. Cette branche s'est éteinte avec lui en 1710.

Lignée cadette subsistante

La lignée cadette, issue de Robert Le Bret, seigneur de Flacourt, en 1557 il est officier des Gens de Pieds à la bataille de Saint Quentin le 02/08/1557[10], grade qui donnait la noblesse à cette date, puis il est anobli par Lettres Patentes en 1578, il est maintenue noble en 1594 et en 1667.

Elle s'est divisée en trois branches principales, issues de trois frères (fils de Robert Le Bret (1606-1674), vicomte et gouverneur de Gisors et de Catherine Le Blanc), implantés l'un en Anjou avec Vincent Le Bret (1641-1697), l'autre resté dans la région de Gisors avec Charles Le Bret (1651-1718) et le troisième à Paris avec Théodore Le Bret (1654-1755)[5].

Seul subsiste la descendance de la branche établie à Paris avec Théodore Le Bret.

Personnalités

Lignée ainée Le Bret de Flacourt

  • Cardin Le Bret seigneur de Flacourt, (1558-1655), avocat gĂ©nĂ©ral Ă  la cour des aides de Paris puis avocat gĂ©nĂ©ral au parlement de Paris, conseiller d'État, envoyĂ© pour une mission temporaire avec le titre d'intendant dans les Trois-ÉvĂŞchĂ©s, Metz, Toul et Verdun en 1624 et cĂ©lèbre jurisconsulte auteur en 1632 d'un traitĂ© intitulĂ© De la souverainetĂ© du roi (1632). MariĂ© Ă  Marguerite Le Pelletier de Château-Poissy[5] - [11].
  • Jacques Le Bret, neveu du prĂ©cĂ©dent, chanoine puis Ă©vĂŞque de Toul en 1645 (†1645).
  • Julien Le Bret, seigneur de Flacourt (1611-1688), fils de Cardin, conseiller au parlement de Paris (1635) puis conseiller d'État en 1643, mariĂ© Ă  Marie Sublet, cousine de François Sublet de Noyers, ministre de Louis XIII[12].
  • Henri-Julien Le Bret (1638-1679), seigneur d'Ernemont, gouverneur de Douai (1668), lieutenant-gĂ©nĂ©ral (1673)[5].
  • Pierre Le Bret de Flacourt, chevalier de Flacourt (1645-1692) (fils de Julien Le Bret et Marie Sublet), chef d'escadre des armĂ©es navales (1688), chevalier de Malte (1661). sans alliance[5].
  • Pierre-Cardin Le Bret seigneur de Flacourt (1639-1710), (fils de Julien Le Bret et Marie Sublet)), conseiller au Grand conseil (1668) maĂ®tre des requĂŞtes (1676), intendant du Limousin (1681) du DauphinĂ© (1683), du Lyonnais (1686), de Provence (1687-1704), premier prĂ©sident au parlement de Provence (1690-1710), mariĂ© Ă  Marie-Françoise Veydeau de Grandmont[12] - [5].
  • Cardin Le Bret seigneur de Flacourt et comte de Selles (1727) (1675-1734) (fils du prĂ©cĂ©dent), conseiller au parlement de Provence (1694), maĂ®tre des requĂŞtes (1696), intendant de BĂ©arn et Navarre (1701), intendant de Provence (1704-1734), premier prĂ©sident du parlement de Provence (1710), conseiller d'État (1730), mariĂ© 1°) en 1697 Ă  Marie-ThĂ©rèse de Lubert, 2°) en 1708 Ă  Marie-Charlotte Geneviève Le Feron, 3°) en 1710 Ă  ThĂ©rèse Angelique Croiset d'Estiau, 4°) en 1712 Ă  Marguerite-Henriette de Labriffe (Sa fille, Marie-Geneviève Rosalie (1722-1759) Ă©pousera le fils du Chancelier d'Aguesseau, ministre de Louis XV[12] - [5].
  • Paul Cardin Le Bret de Flacourt comte de Selles (1718-1786) (fils de Cardin Le Bret et Marguerite de Labriffe), chevalier de Malte de minoritĂ©, chevalier de Saint-Louis, brigadier des armĂ©es du roi (1762)[5].
  • François-Xavier Cardin Le Bret de Flacourt, (1719-1765) comte de Selles (fils Cardin Le Bret et Marguerite de Labriffe), reçu de minoritĂ© dans l'ordre de Malte, avocat-gĂ©nĂ©ral au Grand Conseil (1741), intendant de Bretagne (1753-1765), mariĂ© Ă  Anne-Louise-Charlotte Le Pelletier de la Houssaye[12] - [5] (Petite-fille de FĂ©lix Le Pelletier de La Houssaye, ContrĂ´leur GĂ©nĂ©ral des Finances (1720-1722) et Garde des Sceaux (1721) sous la RĂ©gence.
  • Paul-Charles-Cardin Le Bret de Flacourt, comte de Selles (1748-1804), (fils du prĂ©cĂ©dent), avocat gĂ©nĂ©ral au parlement de Rouen (1769), greffier en chef au parlement de Paris (1775-RĂ©volution). MariĂ© en 1748 Ă  Anne-AngĂ©lique Armande Georgette Hue de Miromesnil, (fille d'Armand Thomas Hue de Miromesnil, garde des Sceaux de Louis XVI), il meurt en 1804 dernier de sa branche et avec lui s'Ă©teignit le titre de comte de Selles[5].
  • Portrait de Pierre-Cardin Le Bret seigneur de Flacourt (1639-1710) et de son fils Cardin Le Bret comte de Selles (1675-1734).
    Portrait de Pierre-Cardin Le Bret seigneur de Flacourt (1639-1710) et de son fils Cardin Le Bret comte de Selles (1675-1734).
  • Portrait de Pierre-Cardin Le Bret seigneur de Flacourt (1639-1710).
    Portrait de Pierre-Cardin Le Bret seigneur de Flacourt (1639-1710).
  • Portrait de Cardin Le Bret comte de Selles (1675-1734).
    Portrait de Cardin Le Bret comte de Selles (1675-1734).
  • Portrait de Marguerite-Henriette Le Bret nĂ©e de La Briffe (1695-1724)
    Portrait de Marguerite-Henriette Le Bret née de La Briffe (1695-1724)
  • Portrait de Johann Friedrich Le Bret von Nucourt (1732-1807).
    Portrait de Johann Friedrich Le Bret von Nucourt (1732-1807).

Branche allemande

  • Johann Friedrich Le Bret (1732-1807), docteur en thĂ©ologie, chancelier de l'UniversitĂ© de TĂĽbingen, mariĂ© Ă  Caroline-Auguste de Buhler.
  • Emil Le Bret von Nucourt (1849-1939), aide de camp et chambellan du roi Louis II de Bavière, gĂ©nĂ©ral de l'armĂ©e Prussienne.
  • Albrecht Le Bret von Nucourt (1895-1959), colonel commandant le 485e rĂ©giment d'infanterie de la Wehrmacht pendant la Seconde guerre mondiale. Chevalier de l'Ordre de Saint-Jean

Branche fixée en Anjou

  • Vincent Le Bret (1641-avant 1701), (fils de Robert Le Bret, conseiller du roi, vicomte et gouverneur de Gisors et de Catherine Le Blanc). Avocat au parlement de Paris, vicomte de Gisors, prĂ©sident au grenier Ă  sel de La Flèche, mariĂ© Ă  Anne-Marie Deniau. Quelques annĂ©es après son mariage, il se dĂ©mit de sa charge de vicomte de Gisors et vint s'installer en Anjou sur les terres de sa femme. Il fut maintenu noble le avec son père et ses frères[5].
  • Ignace-SĂ©bastien-Vincent Le Bret (1676-1737), seigneur du Doussay (fils du prĂ©cĂ©dent), officier de dragons, dĂ©putĂ© de la noblesse en 1722 Ă  La Flèche, mariĂ© Ă  renĂ©e-Catherine de la Porte[5].
  • Ignace-Vincent-Étienne Le Bret (1720-1793), seigneur du Doussay, de la Potardière, de la Bruère etc., fils du prĂ©cĂ©dent, officier au rĂ©giment de Murat, mariĂ© Ă  RenĂ©e-Françoise Richer des Vaux[5].
  • Victor-RenĂ©-Cardin Le Bret (1748-1827), seigneur du Doussay, de la Potardière, de la Bruère, fils du prĂ©cĂ©dent, Ă©migrĂ©, rejoint l'ArmĂ©e des Princes sous la RĂ©volution, lieutenant-colonel de cavalerie, colonel des gardes nationaux de La Flèche, maire de Crosmières, chevalier de Saint-Louis, il fut Ă©lu dĂ©putĂ© de la noblesse d'Anjou en 1789. Il Ă©pousa Charlotte Drouin[5].
  • Henri-Cardin Le Bret (1789-1851), fils du prĂ©cĂ©dent, officier-payeur de l'armĂ©e (1812), chevau lĂ©ger de la compagnie rouge de la garde du roi (1814), lieutenant au rĂ©giment des chasseurs du Morbihan, chef d'escadron de l'armĂ©e royale (1815), maire de Crosmières (1827), participe au soulĂ©vement en faveur de la duchesse de Berry en 1832 et est condamnĂ© par contumace Ă  la dĂ©portation en janvier 1833 puis acquittĂ© en avril 1834; chevalier de la LĂ©gion d'honneur (1815). Il Ă©pousa Estelle-JosĂ©phine-Marie Bigot de la Touanne[5].

Branche restée à Gisors

  • Charles Le Bret (1651-1718) (fils de Robert Le Bret, conseiller du roi, vicomte et gouverneur de Gisors et de Catherine Le Blanc), demeurant Ă  BĂ©zu-Saint-Éloi, mariĂ© en 1675 Ă  Marie de Cahagne. Il avait Ă©tĂ© compris dans la maintenue de noblesse enregistrĂ©e Ă  Vernon le au profit de son père et de ses frères, mais en 1690, il fut frappĂ© de taxes roturières; il fit appel et obtint gain de cause devant la juridiction de Gisors[5].
  • Charles Le Bret (1687-1763), demeurant Ă  BĂ©zu-le-Long, fils du prĂ©cĂ©dent. MariĂ© Ă  Charlotte Drouet de Mainville[5].
  • Charles Le Bret (1738- 1794), fils du prĂ©cĂ©dent, curĂ© de Sancourt près de Gisors, guillotinĂ© sous la RĂ©volution[5].
  • Jean-François Le Bret (1741-1818), frère du prĂ©cĂ©dent, capitaine au rĂ©giment du Soisonnais-Infanterie, chevalier de Saint-Louis, dĂ©corĂ© du Lys. Il participa Ă  la campagne entreprise par la France pour l'indĂ©pendance de l'AmĂ©rique avec le grade capitaine-commandant. Il Ă©pousa louise-Justine du Hamel. Au dĂ©but de la RĂ©volution, il accepta d'ĂŞtre maire de BĂ©zu-le-long et capitaine de la garde nationale[5].

Branche fixée à Paris

  • ThĂ©odore Le Bret (1654-1755) (fils de Robert Le Bret, conseiller du roi, vicomte et gouverneur de Gisors et de Catherine Le Blanc), premier de sa branche Ă  s'installer Ă  Paris. MariĂ© Ă  Marguerite L'Estourmy.
  • Evrard Germain Le Bret (1712-1788), fils du prĂ©cĂ©dent[13], Administrateur de la confrĂ©rie St Eustache Ste Agnès sur la paroisse St Eustache, mariĂ© Ă  Marie-Madeleine de FaĂż.
  • LĂ©onard Le Bret (1759-1838), marguillier de la paroisse St Louis en l’Ile, fils du prĂ©cĂ©dent, mariĂ© Ă  Elisabeth-Antoinette Gallemant de Marennes.
  • Jean Le Bret (1796-1869), fils du prĂ©cĂ©dent, notaire royal, gĂ©rant de la Compagnie des mines d'Anzin, maire de Valenciennes et conseiller gĂ©nĂ©ral du Nord, Chevalier de la LH. MariĂ© Ă  ZoĂ© Renard.
  • Paul Le Bret (1833-1893), fils du prĂ©cĂ©dent, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Compagnie des mines d'Anzin, mariĂ© Ă  Jeanne d'Eichthal.
  • Henri Le Bret (1862-1927), fils du prĂ©cĂ©dents, Saint Cyrien, Colonel chef de corps du 20e rĂ©giment de dragons en 1916, Officier de la LH, mariĂ© Ă  CĂ©cile Harty de Pierrebourg.
  • Robert Le Bret (1863-1946), frère du prĂ©cĂ©dent, avocat, premier secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Ligue nationale contre le cancer, administrateur de la SociĂ©tĂ© de construction des Batignolles, mariĂ© Ă  Jeanne Chauchat (1868-1960), vice-prĂ©sidente de la Ligue nationale contre le cancer, dĂ©corĂ©e chevalier de la LĂ©gion d'honneur en 1928[14].
  • Jean Le Bret (1872-1947), frère des prĂ©cĂ©dents, ingĂ©nieur civil des mines et skipper, secrĂ©taire du conseil d'administration de la SociĂ©tĂ© de construction des Chemins de fer Indochinois et mĂ©daillĂ© d’argent en voile aux Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1900 Ă  Paris, mariĂ© Ă  Edith Lefebvre de Laboulaye.

Armes

« D'or, au sautoir de gueules, cantonné de quatre merlettes de sable chargé d'un écusson d'argent, surchargé d'un lion de sable armé et lampassé de gueules. »

Châteaux

Alliances

Lignée ainée

Viel, Le Pelletier de Château-Poissy (1592), de Laubespine (1623), Gobelin (1626), Hiérosme, Sublet (1637), Veydeau de Grandmont (1668), Méliand (1697), de Lubert (1697), Le Féron (1708), Croiset d'Estiaux (1710), de Labriffe (1712), de Coriolis de Villeneuve (1732), d'Aguesseau (1741), Le Pelletier de la Houssaye (1746), Hue de Miromesnil (1769) etc.

Lignée cadette

de Gamâches, Thomas (1605), Le Blanc (1635), de Cahagnes (1675), L'Estourmy (1696), de La Porte (1714), de Piscard (1717), Drouet de Mainville (1735), Richer des Vaux (1747), de Faÿ (1751), du Hamel (1787), Gallemant de Marennes (1793), Bigot de La Touanne (1821), Renard (1827), Daniel de Vauguyon (1854), d'Eichthal (1861), Agard de Maupas (1889), Harty de Pierrebourg (1890), Chauchat (1893), Lefebvre de Laboulaye (1901), Thomas de Barbarin (1924), Carnot (1925), de Vitry d'Avaucourt (1924), Hannotin (1932) etc.

Postérité

  • Statue de Cardin Le Bret intendant de Provence sur la façade de la prĂ©fecture de Marseille
    Statue de Cardin Le Bret intendant de Provence sur la façade de la préfecture de Marseille

Références

  1. site de l'ANF
  2. Pascal Chatel, Cardin Le Bret Serviteur et Théoricien du pouvoir, t. 1, Paris, , p 3-17.
  3. Eric Thiou, Dictionnaire des titres et des terres titrées en France sous l'Ancien régime, .
  4. Cabinet des titres, cabinet d'Hozier 64 MF17291 vue 211
  5. Robert Cardin Le Bret, Maison Le Bret : généalogie historique établie sur documents authentiques, avec renvois à ces documents, E. Monnoyer (Le Mans), 1889.
  6. Regis Valette, Catalogue de la Noblesse Française, Robert Laffont, Paris, 1977.
  7. Michel Authier et Alain Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, volume 24, 1996.
  8. Patrice de Clinchamps, Dictionnaire et armorial de la noblesse, vol III (Famille de L Ă  O)
  9. Michel Dugast-Rouillé, Le Nobiliaire de France, 1972.
  10. Grade qui conférait la noblesse, cf "L'anoblissement par charges avant 1789" de François Bluche & Pierre Durye), d'ailleurs il apparaît dans une charte de 1568 (AD Eure, E1299, folio 77 R°) avec la qualification de "noble Homme" (qui est une qualification de noblesse en Normandie.
  11. Gilbert Picot :" Cardin Le Bret et la doctrine de la Souveraineté" Société d'impressions typographiques, Nancy 1948
  12. Anselme de Sainte-Marie, Histoire généalogique et chronologique de la Maison de France, Firmin-Didot, 1890, page 52.
  13. Journal de Paris, 1788, page 1526.
  14. Base LĂ©onore, dossier de la LĂ©gion d'honneur 19800035/1474/70821

Bibliographie

Voir aussi

Articles connexes

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