Famille Giraud des Ăcherolles
La famille Giraud des Ăcherolles est une des familles subsistantes de la noblesse française, originaire de la province du Bourbonnais, qui a notamment possĂ©dĂ© le chĂąteau des Ăcherolles, Ă La FertĂ©-Hauterive, et en a pris le nom. Elle compte parmi ses membres de nombreux militaires.
Famille Giraud des Ăcherolles | ||
Armes de la famille. | ||
PĂ©riode | XVe siĂšcle - Aujourd'hui | |
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Pays ou province dâorigine | Bourbonnais | |
Allégeance | Royaume de France Duché de Bourbon Empire français Empire d'Autriche |
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Fiefs tenus | Seigneurs des Ăcherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat. | |
Demeures | ChĂąteau des Ăcherolles ChĂąteau de Castelnoubel |
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Charges | Conseiller du Roi en sa Cour DĂ©putĂ© de la dĂ©lĂ©gation du Bourbonnais Ă la fĂȘte de la FĂ©dĂ©ration Sous-prĂ©fet SecrĂ©taire de prĂ©fecture |
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Fonctions militaires | Maréchal des camps et armées du Roi Capitaine Lieutenant-Colonel Colonel |
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Récompenses militaires | Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de l'ordre de Saint-Louis Chevalier de Saint-Ferdinand Ordre de la Fidélité |
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Origines
Originaire de Montluçon, les Giraud des Ăcherolles se sont installĂ©s Ă La FertĂ©-Hauterive, prenant possession du fief des Ăcherolles dont ils ont pris le nom.
Famille bourgeoise connue depuis le XVe siÚcle, elle a contracté de nombreuses alliances avec les familles nobles les plus respectées de sa province ; ses membres ont occupé des charges anoblissantes pendant plus de trois générations[1].
En 1700, dans son Armorial gĂ©nĂ©ral de France, volume IV, Charles d'Hozier (1640-1732) enregistre les armoiries de Simon Giraud des Ăcherolles, conseiller du roi en la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Bourbonnais et siĂšge prĂ©sidial de Moulins.
La famille est anoblie sous le rĂšgne de Louis XV par lettres patentes donnĂ©es en dĂ©cembre 1770 et enregistrĂ©es en parlement le 28 novembre 1771, en raison de la brillante carriĂšre militaire[2] dâĂtienne François Giraud des Ăcherolles[3].
Anoblissement
Ătienne François, marĂ©chal des camps et armĂ©es du roi, inspecteur des haras du Bourbonnais[4], fut blessĂ© sept fois griĂšvement dans sa carriĂšre, notamment Ă douze ans d'un coup de sabre au visage et fut fait prisonnier. Il reçut de nombreuses rĂ©compenses militaires et l'ordre de Saint-Louis.
Au moins deux de ses ascendants étant titulaires de cette récompense[5], il fut anobli.
Les lettres ont été enregistrées le 28 novembre 1771[6].
Armoiries
Les armoiries de cette famille[7] sont les suivantes : De gueules, au puits dâargent, dâoĂč sortent deux palmes en bande et en barre du mĂȘme, au chef cousu dâazur Ă la fleur de lys dâor, chargĂ© dâun bĂąton pĂ©ri en bande[8].
Les supports sont deux lions et les armoiries sont timbrées d'une couronne comtale[9].
Ce blason ancien des Giraud des Ăcherolles Ă©tait de gueules, au puits dâargent, dâoĂč sortent deux palmes en bande et en barre du mĂȘme.
L'azur Ă la fleur de lys dâor, au bĂąton pĂ©ri en bande brochant, a Ă©tĂ© ajoutĂ© au milieu du XVIIe siĂšcle, dans le quartier en chef d'un coupĂ©.
Ces armes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es dans lâArmorial gĂ©nĂ©ral de France, dressĂ© en vertu de l'Ă©dit de 1696, par Charles d'Hozier (Bourbonnais, vol. 4)[10].
Le chef cousu d'azur, inspiré des armoiries du Bourbonnais est cité par Jean-François Louis d'Hozier[11], Viton de Saint-Allais, de Magny[12], et relayé par Gourdon de Genouillac.
D'autres versions assez proches existent :
Histoire
Grande famille de militaires, elle a vu de nombreux membres dĂ©corĂ©s de lâordre royal et militaire de Saint-Louis[16].
Gilbert-Simon Giraud des Ăcherolles
Gilbert-Simon Giraud des Ăcherolles, Seigneur des Ăcherolles et des Bordes, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, fut capitaine au rĂ©giment de Poitou[5].
Ătienne-François Giraud des Ăcherolles
CarriĂšre sous l'Ancien RĂ©gime
Ătienne-François Giraud des Ăcherolles, marĂ©chal de camp et armĂ©es du Roi, inspecteur des haras du Bourbonnais, Ă©tait un militaire français, nommĂ© Cchevalier de l'Ordre de Saint-Louis, et anobli en 1771[5].
Il commença sa carriÚre dans l'armée, entraßné par son pÚre à l'ùge de 9 ans, en compagnie de ses cousins.
à 12 ans, il fut blessé d'un coup de sabre au visage. Blessé 7 fois durant sa carriÚre, en récompense de son courage, il était nommé chevalier de l'ordre de Saint-Louis[17].
Il participa à la guerre de Sept Ans[18], et fut blessé, puis capturé[19] à la bataille de Rossbach[11], avec le régiment de Poitou (1682).
Il fut commandant du bataillon du régiment de royal[20], et finit sa carriÚre avec le grade de maréchal de camp.
Un militaire entraßné malgré lui dans la Révolution
En 1790, au début de la Révolution française, il fut nommé commandant de la Garde nationale française sous la Révolution (1789-1799) de Moulins[21].
Retraité de l'armée, et ùgé de 60 ans, il refusait tout d'abord d'occuper cette fonction, mais finit par accepter sous la pression des citoyens.
Il est Ă©galement Ă©lu dĂ©putĂ© de l'Allier Ă la FĂȘte de la FĂ©dĂ©ration du 14 juillet 1790, en compagnie de son fils Joseph-Ătienne[22].
Il nourrissait l'espoir dâentraĂźner Louis XVI dans un coup de force contre l'assemblĂ©e constituante, projet qui Ă©choua[23].
OpposĂ© aux exactions, Ătienne-François sauva, en 1791, un marchand accusĂ© de spĂ©culation qui allait ĂȘtre lynchĂ© par la foule[24]. ConspuĂ© par la population, il donna sa dĂ©mission, puis fut emprisonnĂ©.
Le soulĂšvement et l'exil
Réfugié à Lyon, en 1793, on lui propose de commander le soulÚvement de Lyon contre la Convention nationale, ce qu'il refuse[25] en raison de son ùge et de ses infirmités, n'étant plus capable de monter à cheval. Il accepte cependant le commandement de la porte Saint-Irénée et de la porte Saint-Just[21] sous les ordres de Louis François Perrin de Précy.
Parvenant Ă s'enfuir quelques semaines aprĂšs la prise de la ville, il rejoint ses fils au sein de l'Ămigration française (1789-1815)[26].
AccusĂ©e d'avoir refusĂ© de le livrer, sa sĆur Anne-Marie est alors dĂ©capitĂ©e pendant la Terreur (RĂ©volution française), le 11 fĂ©vrier 1794[27].
CarriĂšre sous l'Ancien RĂ©gime
AprĂšs une formation militaire dans l'Ă©cole d'artillerie royale de Metz, devenue aujourd'hui l'Ăcole d'application de l'artillerie et du gĂ©nie, il devient lieutenant-colonel au rĂ©giment du Bourbonnais.
La RĂ©volution
Joseph-Ătienne Giraud des Ăcherolles est dĂ©putĂ© de l'Allier Ă la FĂȘte de la FĂ©dĂ©ration, oĂč il rencontre Louis XVII[28].
Comme son pÚre, il démissionne de la Garde nationale et, sa famille étant considérée comme ennemie de la Révolution, il émigre en compagnie de plusieurs de ses frÚres[29] en 1791.
Il fait partie de l'armée des Princes, l'armée des émigrés et sert comme chasseur noble à la compagnie du régiment de la Couronne en 1791 ; il réintÚgre la France pour participer au siÚge de Lyon, puis rejoint le régiment noble à pied de Condé en 1794[30].
Aux cÎtés de Napoléon
Militaire, il réintÚgre l'armée en 1796, et participe à toutes les campagnes de Napoléon Ier, qu'il déclare, dans ses mémoires, avoir rencontré plusieurs fois en personne[28].
- Il participe Ă la Bataille de l'Ăźle de Toraigh, oĂč embarquĂ© sur la frĂ©gate La Coquille (bateau), il est fait prisonnier durant 8 mois[31].
- Il fait partie de l'armée d'Italie en tant que conducteur du train d'artillerie.
- Il fait ensuite partie de l'Armée des cÎtes de l'Océan[32].
- Il est Ă Bataille d'Ulm, ayant le grade de Sous-Lieutenant du 5e bataillon du train d'artillerie.
- ProposĂ© pour la 3e fois Ă la LĂ©gion d'honneur Ă la suite de la bataille d'IĂ©na[33], il est nommĂ© chevalier de la LĂ©gion d'honneur ( sous le numĂ©ro dâordre 18570) pour ses faits dâarmes au sein de la cavalerie napolĂ©onienne lors de cette bataille, ayant son cheval tuĂ© sous lui et Ă©tant blessĂ© par la mitraille, ce qui ne l'empĂȘche pas de faire prisonnier de nombreux Prussiens[28].
- Il participe ensuite Ă la Campagne d'Espagne oĂč rencontre sa femme.
- Il devient Lieutenant au 12e bataillon du train d'artillerie en 1809, étant blessé à la Bataille d'Ocaña[34].
- Adjudant major puis Capitaine au 7e bataillon bis du train d'artillerie en 1811.
- Il est ensuite nommé Capitaine aux lanciers du Grand-duché de Berg en 1812.
- Il devient enfin Capitaine au grand état major de l'armée française en 1814, fait partie de la Grande Armée, puis participe à la Campagne de France (1814), et assiste aux Adieux de Fontainebleau[28].
La Restauration
Ayant juré fidélité à Louis XVIII, il refuse la sollicitation de Napoléon Ier, lequel arrive à Villefranche-Sur-SaÎne le 13 mars 1815, qui le confirme cependant dans ses fonctions de Sous-Prefet.
Il ne participe donc pas aux Cent-Jours[28].
AprĂšs l'abdication de NapolĂ©on, il est chargĂ© d'une mission pĂ©rilleuse par le Roi, il est arrĂȘtĂ© par un gĂ©nĂ©ral autrichien, mais parvient Ă s'Ă©chapper.
En récompense, le 1er janvier 1816, il est décoré de l'ordre de la Fidélité par le prince Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry[35].
Il est également titulaire de l'ordre de Saint-Louis qu'il obtient le 20 août 1823[36].
Le retour Ă la vie civile
à la suite de sa carriÚre militaire, il est tout d'abord nommé sous-préfet de Villefranche-sur-SaÎne, le 16 juin 1814[37], puis secrétaire-général de la Préfecture du Lot-et-Garonne[38] - [39].
Alexandrine Giraud des Ăcherolles
Enfance sous la Révolution française
Enfant sous la RĂ©volution, ayant un pĂšre absent, une tante emprisonnĂ©e, des frĂšres Ă©migrĂ©s, et une mĂšre dĂ©funte, Alexandrine Giraud des Ăcherolles fut souvent seule pour affronter les Ă©preuves de sa vie.
La gouvernante des princesses de Wurtemberg
Le 1er novembre 1826, elle est autorisée par Charles X à rester dame d'honneur[40] de son Altesse Royale Henriette de Wurtemberg[41], devenue Henriette de Nassau-Weilbourg (1780-1857).
Elle exerce alors les fonctions de gouvernante des princesses[42], DorothĂ©e de Wurtemberg, AmĂ©lie de Wurtemberg, Ălisabeth-Alexandrine de Wurtemberg et Pauline-ThĂ©rĂšse de Wurtemberg, auxquelles elle a dĂ©diĂ© son livre[43].
L'Ă©crivain
La famille Giraud des Ăcherolles est Ă©galement connue pour le livre Quelques annĂ©es de ma vie, publiĂ© en 1843 Ă Moulins chez Martial Place[44], en deux volumes, et rĂ©Ă©ditĂ© sous le titre Une famille noble sous la Terreur (Paris, Plon, 1907), Ă©crit par Alexandrine Giraud des Ăcherolles, fille d'Ătienne François et de Marie Anne Odile de Tarade. Dans ce livre, lâauteure raconte son enfance sous la RĂ©volution française et les persĂ©cutions qui touchĂšrent sa famille lors de la Terreur.
Alexandrine des Ăcherolles fut notamment citĂ©e en exemple par Alphonse de Lamartine, dans son Histoire des Girondins : « Au nombre de ces victimes suppliciĂ©es dans leur corps et dans leur Ăąme avant lâĂąge du crime, on remarquait mademoiselle Alexandrine des Ăcherolles, privĂ©e de sa mĂšre par la mort, de son pĂšre par la fuite ; elle venait chaque jour Ă la porte de la prison des RĂ©cluses solliciter, par ses larmes, la permission de voir la tante qui lui avait servi de mĂšre, et quâon avait jetĂ© dans les cachots. BientĂŽt elle la vit conduire au supplice et la suivit jusquâau pied de lâĂ©chafaud, demandant en vain de lui ĂȘtre rĂ©unie dans la mort.
On dut plus tard, Ă cette enfant quelques-unes des pages les plus dramatiques et les plus touchantes de ce siĂšge. Semblable Ă cette Jeanne de la Force, historienne des guerres de religion de 1622, et Ă lâhĂ©roĂŻque et naĂŻve madame de La Rochejaquelein, elle Ă©crivit avec le sang de sa famille et avec ses propres larmes le rĂ©cit des catastrophes auxquelles elle avait assistĂ©. Les femmes sont les vĂ©ritables historiens des guerres civiles, parce quâelles nây ont jamais dâautre causes que celle de leur cĆur, et que les souvenirs y conservent toute la chaleur de leur passion. »[45]
AprÚs sa mort, elle devient une héroïne de la Contre-révolution, son livre étant intégré à la bibliothÚque de l'Action française.
En 1935, son histoire sert d'inspiration au scĂ©nario du film hollywoodien Le Marquis de Saint-Ăvremont (titre original : A Tale of Two Cities), basĂ© sur la nouvelle de Charles Dickens, Le Conte de deux citĂ©s, rĂ©alisĂ© par Jack Conway, produit par la Metro-Goldwyn-Mayer, et sĂ©lectionnĂ© pour les Oscars[46].
RĂ©sidences
Seigneurs des Ăcherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat, les Giraud ont vĂ©cu dans diffĂ©rents fiefs entre le XVe et le XIXe siĂšcle.
Au XVIIIe siĂšcle, cette famille a rĂ©sidĂ© au chĂąteau des Ăcherolles, Ă La FertĂ©-Hauterive, en Bourbonnais. ChassĂ©e de sa demeure pendant la RĂ©volution française, elle a ensuite rĂ©sidĂ© au chĂąteau de Castelnoubel[47], Ă Bon-Encontre, prĂšs d'Agen[48].
Distinctions
Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis : Gilbert-Simon Giraud des Ăcherolles[5], Ătienne-François Giraud des Ăcherolles[16], Joseph-Ătienne Giraud des Ăcherolles[49].
Chevalier de l'ordre national de la LĂ©gion d'honneur : Joseph-Ătienne Giraud des Ăcherolles[50].
Chevalier de l'Ordre de Saint-Ferdinand (Espagne) : Modeste des Ăcherolles[51].
Ordre de la FidĂ©litĂ© : Joseph-Ătienne Giraud des Ăcherolles[52].
Ordre de Saint-Anne de BaviĂšre : Alexandrine des Ăcherolles, HĂ©lĂšne des Ăcherolles[53], LĂ©cordie des Ăcherolles[54].
Branches subsistantes
La RĂ©volution française ayant dispersĂ© les membres de la famille Giraud des Ăcherolles, elle a Ă©tĂ© divisĂ©e en 3 branches :
- La branche dite "de la RĂ©union", issue du comte Paul Giraud des Ăcherolles[55], le chef de famille, lequel s'est installĂ© Ă la RĂ©union. Cette branche a disparu Ă la fin du XIXe siĂšcle, sa seule petite-fille ayant adoptĂ© le nom de son mari.
- La branche agenaise, issue du chevalier Aymar des Ăcherolles, laquelle a obtenu le titre de comte Ă la disparition de la branche prĂ©cĂ©dente[56].
- La branche hongroise, issue de Charles des Ăcherolles, qui Ă©pousa Madame Krusper, descendante d'une vieille famille de la noblesse hongroise. Il obtint de faire accoler le nom de sa femme au sien, prenant pour nom des Ăcherolles KruspĂ©r[57]. Aujourd'hui, la famille hongroise des Ăcherolles KruspĂ©r rĂ©side en Hongrie ; les chĂąteaux familiaux sont en Roumanie[58] (l'Autriche-Hongrie a Ă©tĂ© amputĂ©e d'une partie de son territoire lors du TraitĂ© de Versailles). Ils ont tout perdu sous l'Ăšre communiste.
Notes et références
- Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume par M. de Saint Allais... Tome premier [-dix huitiÚme], chez l'auteur, rue de la Villiere, (lire en ligne)
- Collectif, Justice et politique : la Terreur dans la RĂ©volution française, Presses de lâUniversitĂ© Toulouse 1 Capitole, (ISBN 978-2-37928-094-8, lire en ligne)
- Dictionnaire des anoblissements, 1869, p. 177.
- Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, vol. 6, p. 213.
- M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), M. de La ChabeaussiÚre (Ange Etienne Xavier), Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles et Lespines (abbé de), Nobiliaire universel de France, ou, Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
- Dictionnaire des anoblissements, contenant l'indication des anoblissements, maintenues de noblesse, concessions, collations de titres, etc : accordés par les rois de France, avec les dates d'enregistrement, 1270-1790, libr. Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
- Nicolas Jules Henri GOURDON DE GENOUILLAC, Recueil d'Armoiries des maisons nobles de France, (lire en ligne)
- Nicolas Viton de Saint Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France,, (lire en ligne), p.300.
- Recueil de l'Académie des jeux floraux, Académie des jeux floraux,., (lire en ligne)
- VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, par Charles d'Hozier. (1697-1709). IV Bourbonnais., (lire en ligne)
- Jean François L. d' Hozier, L'impÎt du sang; ou, La noblesse de France sur les champs de bataille, publ. par L. Paris. 3 tom. [in 6 pt.]., (lire en ligne)
- Louis de Magny, La science du blason accompagnée d'un armorial général des familles nobles de l'Europe, A. Aubry, (lire en ligne)
- Louis Audiat, La terreur en Bourbonnais : les victimes, J.-B. Dumoulin, (lire en ligne)
- D. L. C. D. B, Dictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, contenant L'origine & létat actuel des premieres Maisons de France, des Maisons souveraines & principales de l'Europe..., Chez Duchesne, Libraire, (lire en ligne)
- Charles-René d' (1640-1732) Auteur du texte Hozier, VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). IV Bourbonnais., 1701-1800 (lire en ligne)
- Alexandrine des Echerolles, Quelques années de ma vie, Martial Place, (lire en ligne)
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Bibliographie
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