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Famille Giraud des Écherolles

La famille Giraud des Écherolles est une des familles subsistantes de la noblesse française, originaire de la province du Bourbonnais, qui a notamment possĂ©dĂ© le chĂąteau des Écherolles, Ă  La FertĂ©-Hauterive, et en a pris le nom. Elle compte parmi ses membres de nombreux militaires.

Famille Giraud des Écherolles
Image illustrative de l’article Famille Giraud des Écherolles
Armes de la famille.

PĂ©riode XVe siĂšcle - Aujourd'hui
Pays ou province d’origine Bourbonnais
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau du bourbonnais Duché de Bourbon
Drapeau de l'Empire français Empire français
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
Fiefs tenus Seigneurs des Écherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat.
Demeures Chñteau des Écherolles
ChĂąteau de Castelnoubel
Charges Conseiller du Roi en sa Cour
DĂ©putĂ© de la dĂ©lĂ©gation du Bourbonnais Ă  la fĂȘte de la FĂ©dĂ©ration
Sous-préfet
Secrétaire de préfecture
Fonctions militaires Maréchal des camps et armées du Roi
Capitaine
Lieutenant-Colonel
Colonel
RĂ©compenses militaires Chevalier de la LĂ©gion d'honneur
Chevalier de l'ordre de Saint-Louis
Chevalier de Saint-Ferdinand
Ordre de la Fidélité

Origines

Originaire de Montluçon, les Giraud des Écherolles se sont installĂ©s Ă  La FertĂ©-Hauterive, prenant possession du fief des Écherolles dont ils ont pris le nom.

Famille bourgeoise connue depuis le XVe siÚcle, elle a contracté de nombreuses alliances avec les familles nobles les plus respectées de sa province ; ses membres ont occupé des charges anoblissantes pendant plus de trois générations[1].

En 1700, dans son Armorial gĂ©nĂ©ral de France, volume IV, Charles d'Hozier (1640-1732) enregistre les armoiries de Simon Giraud des Écherolles, conseiller du roi en la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Bourbonnais et siĂšge prĂ©sidial de Moulins.

La famille est anoblie sous le rĂšgne de Louis XV par lettres patentes donnĂ©es en dĂ©cembre 1770 et enregistrĂ©es en parlement le 28 novembre 1771, en raison de la brillante carriĂšre militaire[2] d’Étienne François Giraud des Écherolles[3].

Anoblissement

Étienne François, marĂ©chal des camps et armĂ©es du roi, inspecteur des haras du Bourbonnais[4], fut blessĂ© sept fois griĂšvement dans sa carriĂšre, notamment Ă  douze ans d'un coup de sabre au visage et fut fait prisonnier. Il reçut de nombreuses rĂ©compenses militaires et l'ordre de Saint-Louis.

Au moins deux de ses ascendants étant titulaires de cette récompense[5], il fut anobli.

Armoiries des Giraud des Écherolles dans le Grand Armorial de France, en 1699.

Les lettres ont été enregistrées le 28 novembre 1771[6].

Armoiries

Les armoiries de cette famille[7] sont les suivantes : De gueules, au puits d’argent, d’oĂč sortent deux palmes en bande et en barre du mĂȘme, au chef cousu d’azur Ă  la fleur de lys d’or, chargĂ© d’un bĂąton pĂ©ri en bande[8].

Les supports sont deux lions et les armoiries sont timbrées d'une couronne comtale[9].

Ce blason ancien des Giraud des Écherolles Ă©tait de gueules, au puits d’argent, d’oĂč sortent deux palmes en bande et en barre du mĂȘme.

L'azur Ă  la fleur de lys d’or, au bĂąton pĂ©ri en bande brochant, a Ă©tĂ© ajoutĂ© au milieu du XVIIe siĂšcle, dans le quartier en chef d'un coupĂ©.

Armoiries de la famille Giraud des Écherolles, Armorial du Bourbonnais.

Ces armes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es dans l’Armorial gĂ©nĂ©ral de France, dressĂ© en vertu de l'Ă©dit de 1696, par Charles d'Hozier (Bourbonnais, vol. 4)[10].

Le chef cousu d'azur, inspiré des armoiries du Bourbonnais est cité par Jean-François Louis d'Hozier[11], Viton de Saint-Allais, de Magny[12], et relayé par Gourdon de Genouillac.

D'autres versions assez proches existent :

  • Le bĂąton pĂ©ri est parfois changĂ© en cotice de gueules[13].
  • Le bĂąton pĂ©ri est parfois en barre, dans l'armorial de France, ou dans l'armorial du Bourbonnais.
  • Le champ est coupĂ© et les palmes sont de sinople[14], dans l'armorial de France[15].

Histoire

Grande famille de militaires, elle a vu de nombreux membres dĂ©corĂ©s de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis[16].

Gilbert-Simon Giraud des Écherolles

Gilbert-Simon Giraud des Écherolles, Seigneur des Écherolles et des Bordes, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, fut capitaine au rĂ©giment de Poitou[5].

Étienne-François Giraud des Écherolles

Étienne-François Giraud des Écherolles

CarriĂšre sous l'Ancien RĂ©gime

Étienne-François Giraud des Écherolles, marĂ©chal de camp et armĂ©es du Roi, inspecteur des haras du Bourbonnais, Ă©tait un militaire français, nommĂ© Cchevalier de l'Ordre de Saint-Louis, et anobli en 1771[5].

Il commença sa carriÚre dans l'armée, entraßné par son pÚre à l'ùge de 9 ans, en compagnie de ses cousins.

À 12 ans, il fut blessĂ© d'un coup de sabre au visage. BlessĂ© 7 fois durant sa carriĂšre, en rĂ©compense de son courage, il Ă©tait nommĂ© chevalier de l'ordre de Saint-Louis[17].

Il participa à la guerre de Sept Ans[18], et fut blessé, puis capturé[19] à la bataille de Rossbach[11], avec le régiment de Poitou (1682).

Il fut commandant du bataillon du régiment de royal[20], et finit sa carriÚre avec le grade de maréchal de camp.

Un militaire entraßné malgré lui dans la Révolution

En 1790, au début de la Révolution française, il fut nommé commandant de la Garde nationale française sous la Révolution (1789-1799) de Moulins[21].

Retraité de l'armée, et ùgé de 60 ans, il refusait tout d'abord d'occuper cette fonction, mais finit par accepter sous la pression des citoyens.

Il est Ă©galement Ă©lu dĂ©putĂ© de l'Allier Ă  la FĂȘte de la FĂ©dĂ©ration du 14 juillet 1790, en compagnie de son fils Joseph-Étienne[22].

Il nourrissait l'espoir d’entraĂźner Louis XVI dans un coup de force contre l'assemblĂ©e constituante, projet qui Ă©choua[23].

OpposĂ© aux exactions, Étienne-François sauva, en 1791, un marchand accusĂ© de spĂ©culation qui allait ĂȘtre lynchĂ© par la foule[24]. ConspuĂ© par la population, il donna sa dĂ©mission, puis fut emprisonnĂ©.

Le soulĂšvement et l'exil

Réfugié à Lyon, en 1793, on lui propose de commander le soulÚvement de Lyon contre la Convention nationale, ce qu'il refuse[25] en raison de son ùge et de ses infirmités, n'étant plus capable de monter à cheval. Il accepte cependant le commandement de la porte Saint-Irénée et de la porte Saint-Just[21] sous les ordres de Louis François Perrin de Précy.

Parvenant à s'enfuir quelques semaines aprùs la prise de la ville, il rejoint ses fils au sein de l'Émigration française (1789-1815)[26].

AccusĂ©e d'avoir refusĂ© de le livrer, sa sƓur Anne-Marie est alors dĂ©capitĂ©e pendant la Terreur (RĂ©volution française), le 11 fĂ©vrier 1794[27].

CarriĂšre sous l'Ancien RĂ©gime

AprĂšs une formation militaire dans l'Ă©cole d'artillerie royale de Metz, devenue aujourd'hui l'École d'application de l'artillerie et du gĂ©nie, il devient lieutenant-colonel au rĂ©giment du Bourbonnais.

La RĂ©volution

Joseph-Étienne Giraud des Écherolles est dĂ©putĂ© de l'Allier Ă  la FĂȘte de la FĂ©dĂ©ration, oĂč il rencontre Louis XVII[28].

Comme son pÚre, il démissionne de la Garde nationale et, sa famille étant considérée comme ennemie de la Révolution, il émigre en compagnie de plusieurs de ses frÚres[29] en 1791.

Il fait partie de l'armée des Princes, l'armée des émigrés et sert comme chasseur noble à la compagnie du régiment de la Couronne en 1791 ; il réintÚgre la France pour participer au siÚge de Lyon, puis rejoint le régiment noble à pied de Condé en 1794[30].

Aux cÎtés de Napoléon

Militaire, il réintÚgre l'armée en 1796, et participe à toutes les campagnes de Napoléon Ier, qu'il déclare, dans ses mémoires, avoir rencontré plusieurs fois en personne[28].

  • Il participe Ă  la Bataille de l'Ăźle de Toraigh, oĂč embarquĂ© sur la frĂ©gate La Coquille (bateau), il est fait prisonnier durant 8 mois[31].
  • Il fait partie de l'armĂ©e d'Italie en tant que conducteur du train d'artillerie.
  • Il fait ensuite partie de l'ArmĂ©e des cĂŽtes de l'OcĂ©an[32].
  • Il est Ă  Bataille d'Ulm, ayant le grade de Sous-Lieutenant du 5e bataillon du train d'artillerie.
  • ProposĂ© pour la 3e fois Ă  la LĂ©gion d'honneur Ă  la suite de la bataille d'IĂ©na[33], il est nommĂ© chevalier de la LĂ©gion d'honneur ( sous le numĂ©ro d’ordre 18570) pour ses faits d’armes au sein de la cavalerie napolĂ©onienne lors de cette bataille, ayant son cheval tuĂ© sous lui et Ă©tant blessĂ© par la mitraille, ce qui ne l'empĂȘche pas de faire prisonnier de nombreux Prussiens[28].
  • Il participe ensuite Ă  la Campagne d'Espagne oĂč rencontre sa femme.
  • Il devient Lieutenant au 12e bataillon du train d'artillerie en 1809, Ă©tant blessĂ© Ă  la Bataille d'Ocaña[34].
  • Adjudant major puis Capitaine au 7e bataillon bis du train d'artillerie en 1811.
  • Il est ensuite nommĂ© Capitaine aux lanciers du Grand-duchĂ© de Berg en 1812.
  • Il devient enfin Capitaine au grand Ă©tat major de l'armĂ©e française en 1814, fait partie de la Grande ArmĂ©e, puis participe Ă  la Campagne de France (1814), et assiste aux Adieux de Fontainebleau[28].

La Restauration

Ayant juré fidélité à Louis XVIII, il refuse la sollicitation de Napoléon Ier, lequel arrive à Villefranche-Sur-SaÎne le 13 mars 1815, qui le confirme cependant dans ses fonctions de Sous-Prefet.

Il ne participe donc pas aux Cent-Jours[28].

AprĂšs l'abdication de NapolĂ©on, il est chargĂ© d'une mission pĂ©rilleuse par le Roi, il est arrĂȘtĂ© par un gĂ©nĂ©ral autrichien, mais parvient Ă  s'Ă©chapper.

En récompense, le 1er janvier 1816, il est décoré de l'ordre de la Fidélité par le prince Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry[35].

Il est également titulaire de l'ordre de Saint-Louis qu'il obtient le 20 août 1823[36].

Le retour Ă  la vie civile

À la suite de sa carriĂšre militaire, il est tout d'abord nommĂ© sous-prĂ©fet de Villefranche-sur-SaĂŽne, le 16 juin 1814[37], puis secrĂ©taire-gĂ©nĂ©ral de la PrĂ©fecture du Lot-et-Garonne[38] - [39].

Alexandrine Giraud des Écherolles

Enfance sous la Révolution française

Enfant sous la RĂ©volution, ayant un pĂšre absent, une tante emprisonnĂ©e, des frĂšres Ă©migrĂ©s, et une mĂšre dĂ©funte, Alexandrine Giraud des Écherolles fut souvent seule pour affronter les Ă©preuves de sa vie.

La gouvernante des princesses de Wurtemberg

Le 1er novembre 1826, elle est autorisée par Charles X à rester dame d'honneur[40] de son Altesse Royale Henriette de Wurtemberg[41], devenue Henriette de Nassau-Weilbourg (1780-1857).

Elle exerce alors les fonctions de gouvernante des princesses[42], DorothĂ©e de Wurtemberg, AmĂ©lie de Wurtemberg, Élisabeth-Alexandrine de Wurtemberg et Pauline-ThĂ©rĂšse de Wurtemberg, auxquelles elle a dĂ©diĂ© son livre[43].

L'Ă©crivain

La famille Giraud des Écherolles est Ă©galement connue pour le livre Quelques annĂ©es de ma vie, publiĂ© en 1843 Ă  Moulins chez Martial Place[44], en deux volumes, et rĂ©Ă©ditĂ© sous le titre Une famille noble sous la Terreur (Paris, Plon, 1907), Ă©crit par Alexandrine Giraud des Écherolles, fille d'Étienne François et de Marie Anne Odile de Tarade. Dans ce livre, l’auteure raconte son enfance sous la RĂ©volution française et les persĂ©cutions qui touchĂšrent sa famille lors de la Terreur.

Alexandrine des Écherolles fut notamment citĂ©e en exemple par Alphonse de Lamartine, dans son Histoire des Girondins : « Au nombre de ces victimes suppliciĂ©es dans leur corps et dans leur Ăąme avant l’ñge du crime, on remarquait mademoiselle Alexandrine des Écherolles, privĂ©e de sa mĂšre par la mort, de son pĂšre par la fuite ; elle venait chaque jour Ă  la porte de la prison des RĂ©cluses solliciter, par ses larmes, la permission de voir la tante qui lui avait servi de mĂšre, et qu’on avait jetĂ© dans les cachots. BientĂŽt elle la vit conduire au supplice et la suivit jusqu’au pied de l’échafaud, demandant en vain de lui ĂȘtre rĂ©unie dans la mort.
On dut plus tard, Ă  cette enfant quelques-unes des pages les plus dramatiques et les plus touchantes de ce siĂšge. Semblable Ă  cette Jeanne de la Force, historienne des guerres de religion de 1622, et Ă  l’hĂ©roĂŻque et naĂŻve madame de La Rochejaquelein, elle Ă©crivit avec le sang de sa famille et avec ses propres larmes le rĂ©cit des catastrophes auxquelles elle avait assistĂ©. Les femmes sont les vĂ©ritables historiens des guerres civiles, parce qu’elles n’y ont jamais d’autre causes que celle de leur cƓur, et que les souvenirs y conservent toute la chaleur de leur passion. »
[45]

AprÚs sa mort, elle devient une héroïne de la Contre-révolution, son livre étant intégré à la bibliothÚque de l'Action française.

En 1935, son histoire sert d'inspiration au scĂ©nario du film hollywoodien Le Marquis de Saint-Évremont (titre original : A Tale of Two Cities), basĂ© sur la nouvelle de Charles Dickens, Le Conte de deux citĂ©s, rĂ©alisĂ© par Jack Conway, produit par la Metro-Goldwyn-Mayer, et sĂ©lectionnĂ© pour les Oscars[46].

RĂ©sidences

Chñteau des Écherolles
ChĂąteau de Castelnoubel

Seigneurs des Écherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat, les Giraud ont vĂ©cu dans diffĂ©rents fiefs entre le XVe et le XIXe siĂšcle.

Au XVIIIe siĂšcle, cette famille a rĂ©sidĂ© au chĂąteau des Écherolles, Ă  La FertĂ©-Hauterive, en Bourbonnais. ChassĂ©e de sa demeure pendant la RĂ©volution française, elle a ensuite rĂ©sidĂ© au chĂąteau de Castelnoubel[47], Ă  Bon-Encontre, prĂšs d'Agen[48].

Distinctions

Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis : Gilbert-Simon Giraud des Écherolles[5], Étienne-François Giraud des Écherolles[16], Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[49].

Chevalier de l'ordre national de la LĂ©gion d'honneur : Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[50].

Chevalier de l'Ordre de Saint-Ferdinand (Espagne) : Modeste des Écherolles[51].

Ordre de la FidĂ©litĂ© : Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[52].

Ordre de Saint-Anne de BaviĂšre : Alexandrine des Écherolles, HĂ©lĂšne des Écherolles[53], LĂ©cordie des Écherolles[54].

Branches subsistantes

Armoiries de la famille des Écherolles Krusper

La RĂ©volution française ayant dispersĂ© les membres de la famille Giraud des Écherolles, elle a Ă©tĂ© divisĂ©e en 3 branches :

  • La branche dite "de la RĂ©union", issue du comte Paul Giraud des Écherolles[55], le chef de famille, lequel s'est installĂ© Ă  la RĂ©union. Cette branche a disparu Ă  la fin du XIXe siĂšcle, sa seule petite-fille ayant adoptĂ© le nom de son mari.
  • La branche agenaise, issue du chevalier Aymar des Écherolles, laquelle a obtenu le titre de comte Ă  la disparition de la branche prĂ©cĂ©dente[56].
  • La branche hongroise, issue de Charles des Écherolles, qui Ă©pousa Madame Krusper, descendante d'une vieille famille de la noblesse hongroise. Il obtint de faire accoler le nom de sa femme au sien, prenant pour nom des Écherolles KruspĂ©r[57]. Aujourd'hui, la famille hongroise des Écherolles KruspĂ©r rĂ©side en Hongrie ; les chĂąteaux familiaux sont en Roumanie[58] (l'Autriche-Hongrie a Ă©tĂ© amputĂ©e d'une partie de son territoire lors du TraitĂ© de Versailles). Ils ont tout perdu sous l'Ăšre communiste.

Notes et références

  1. Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume par M. de Saint Allais... Tome premier [-dix huitiÚme], chez l'auteur, rue de la Villiere, (lire en ligne)
  2. Collectif, Justice et politique : la Terreur dans la RĂ©volution française, Presses de l’UniversitĂ© Toulouse 1 Capitole, (ISBN 978-2-37928-094-8, lire en ligne)
  3. Dictionnaire des anoblissements, 1869, p. 177.
  4. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, vol. 6, p. 213.
  5. M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), M. de La ChabeaussiÚre (Ange Etienne Xavier), Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles et Lespines (abbé de), Nobiliaire universel de France, ou, Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  6. Dictionnaire des anoblissements, contenant l'indication des anoblissements, maintenues de noblesse, concessions, collations de titres, etc : accordés par les rois de France, avec les dates d'enregistrement, 1270-1790, libr. Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  7. Nicolas Jules Henri GOURDON DE GENOUILLAC, Recueil d'Armoiries des maisons nobles de France, (lire en ligne)
  8. Nicolas Viton de Saint Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France,, (lire en ligne), p.300.
  9. Recueil de l'Académie des jeux floraux, Académie des jeux floraux,., (lire en ligne)
  10. VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, par Charles d'Hozier. (1697-1709). IV Bourbonnais., (lire en ligne)
  11. Jean François L. d' Hozier, L'impÎt du sang; ou, La noblesse de France sur les champs de bataille, publ. par L. Paris. 3 tom. [in 6 pt.]., (lire en ligne)
  12. Louis de Magny, La science du blason accompagnée d'un armorial général des familles nobles de l'Europe, A. Aubry, (lire en ligne)
  13. Louis Audiat, La terreur en Bourbonnais : les victimes, J.-B. Dumoulin, (lire en ligne)
  14. D. L. C. D. B, Dictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, contenant L'origine & létat actuel des premieres Maisons de France, des Maisons souveraines & principales de l'Europe..., Chez Duchesne, Libraire, (lire en ligne)
  15. Charles-René d' (1640-1732) Auteur du texte Hozier, VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). IV Bourbonnais., 1701-1800 (lire en ligne)
  16. Alexandrine des Echerolles, Quelques années de ma vie, Martial Place, (lire en ligne)
  17. Louis Audiat, La terreur en Bourbonnais, J. B. Dumoulin, (lire en ligne)
  18. Louis Susane, Histoire de l'ancienne infanterie française, J. Corréard, (lire en ligne)
  19. Histoire de l'ancienne infanterie francaise: 4, J. Correard, (lire en ligne)
  20. de Montandre-Lonchamps, de Montandre et RenĂ© Louis de Roussel, État militaire de France, pour l'annĂ©e 1758-93 ..., Guillyn, (lire en ligne)
  21. Alexandrine des Auteur du texte Écherolles, Une famille noble sous la Terreur / Alexandrine des Écherolles ; [prĂ©face de RenĂ© de Lespinasse], (lire en ligne)
  22. « Le Mois littéraire et pittoresque », sur Gallica, (consulté le )
  23. Les nobles de l'état-major fédéraliste lyonnais en 1793 (lire en ligne), P64
  24. Serge Bianchi, La Garde nationale entre Nation et peuple en armes : Mythes et réalités, 1789-1871, Presses universitaires de Rennes, , 566 p. (ISBN 978-2-7535-3179-6, lire en ligne)
  25. « La France illustrée : journal littéraire, scientifique et religieux / directeur L. Roussel », sur Gallica, (consulté le )
  26. États dĂ©taillĂ©s des liquidations faites pendant l'annĂ©e 1828, par la Commission d'IndemnitĂ©, en exĂ©cution de la loi du 27 avril 1825, au profit des anciens propriĂ©taires ou ayant-droit des anciens propriĂ©taires de biens-fonds confisquĂ©s ou aliĂ©nĂ©s rĂ©volutionnairement : 4e. compte publiĂ©, Impr. Royale, (lire en ligne)
  27. M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), Ange Jacques Marie Poisson de La ChabeaussiÚre, Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles et Lespines (abbé de), Nobiliaire universel de France : ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
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  29. Guillemot, Les nobles de l'état major de Précy au siÚge de Lyon, des loups déguisés en agneaux ?, , 178 p. (lire en ligne).
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  38. Bulletin des lois de la République française, la République, (lire en ligne)
  39. Almanach royal, Testu et cie, (lire en ligne)
  40. Il s'agit d'Henriette de Nassau-Weilbourg, épouse de Louis-Frédéric de Wurtemberg.
  41. Alexandrine des Auteur du texte Écherolles, Une famille noble sous la Terreur / Alexandrine des Écherolles ; [prĂ©face de RenĂ© de Lespinasse], (lire en ligne)
  42. « MDZ-Reader | Tome | Quelques années de ma vie / Echerolles, Alexandrine des | Quelques années de ma vie / Echerolles, Alexandrine des », sur reader.digitale-sammlungen.de (consulté le )
  43. Édition originale en ligne.
  44. Alphonse de Lamartine, Histoire des Girondins, tome 7, 1847 (en ligne).
  45. A Tale of Two Cities (1935) - IMDb (lire en ligne)
  46. Etat pre'sent de la noblesse francaise contentant le dictionnaire de la noblesse contemporaine avec les armoiries de'crites, les noms, [...!, Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  47. Voir l'article de J.-R. Marboutin.
  48. « Recherchez.... », sur www.saint-louis.info (consulté le )
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  50. Victor Doublet, Vie de Don Carlos V de Bourbon, roi d'Espagne, Collection XIX, (ISBN 978-2-346-10481-9, lire en ligne)
  51. lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences et lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences, « Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique / publiée à Agen sous la direction de M. Fernand Lamy,... », sur Gallica, (consulté le )
  52. Académie des Jeux Floraux (Toulouse), Recueil de l'Académie des Jeux Floraux : 1857/58, Palais, (lire en ligne)
  53. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Bureau de la publication, (lire en ligne)
  54. Annuaire de l'Ile de la RĂ©union, Gabriel et Gaston Lahuppe, imprimeurs du gouvernement, (lire en ligne)
  55. « Le Petit Marseillais 16 décembre 1896 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  56. (hu) KOVÁCS ESZTER JÚLIA, A PODMANICZKY CSALÁD ÉS LESZÁRMAZOTTAINAK BEMUTATÁSA, A CSALÁDI IDENTITÁS VIZSGÁLATÁNAK TÜKRÉBEN, debrecen, 2005 (lire en ligne)
  57. « Des Écherolles KruspĂ©r KastĂ©ly », sur Des Echerolles KruspĂ©r KastĂ©ly (consultĂ© le )

Bibliographie

  • Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, vol. 6, p. 212-214 (en ligne).
  • J.-R. Marboutin, « Le chĂąteau de Castelnoubel (commune de Bon-Encontre) », Revue de l'Agenais, 39, 1912 ; sur la famille Giraud des Écherolles, voir p. 145-163 et 197 et suiv. (en ligne).

Articles connexes

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