Cuviera trilocularis

Son épithète spécifique trilocularis s'explique par une erreur commise – semble-t-il – par W. P. Hiern qui pensait avoir observé un ovaire triloculaire, alors que les recherches ultérieures plaident plutôt en faveur d'un ovaire pentaloculaire, comme c'est le cas pour les autres espèces du genre[2].

L'espèce est présente à l'extrême sud-est du Nigeria (monts Oban) et de l'autre côté de la frontière, au sud-ouest du Cameroun, dans le parc national de Korup[2].

• (en) William Philip Hiern, « LXX Rubiaceae », in Flora of Tropical Africa, 3, 1877, p. 157-158, [lire en ligne]
• (en) Brecht Verstraete, Olivier Lachenaud, Erik Smets, Steven Dessein, Bonaventure Sonké, « Taxonomy and phylogenetics of Cuviera (Rubiaceae–Vanguerieae) and reinstatement of Globulostylis with the description of three new species », in Botanical Journal of the Linnean Society, volume 173, Issue 3, 1 November 2013, p. 407–441, [lire en ligne]

• (en) Référence Catalogue of Life : Cuviera trilocularis Hiern (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 14 février 2018)
• (en) Référence NCBI : Cuviera trilocularis (taxons inclus) (consulté le 14 février 2018)
• (en) Référence The Plant List : Cuviera trilocularis Hiern (source : KewGarden WCSP) (consulté le 14 février 2018)
• (en) Référence Tropicos : Cuviera trilocularis Hiern (+ liste sous-taxons) (consulté le 14 février 2018)
• Isotype, récolté en 1862 par W. C. Thompson à Calabar (Global Plants, JSTOR)