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CordillĂšre du Qionglai

La cordillĂšre du Qionglai (chinois simplifiĂ© : é‚›ćŽƒć±± ; chinois traditionnel : é‚›ćŽć±± ; pinyin : QiĂłnglĂĄi shān), aussi appelĂ©e monts Qionglai, est une chaĂźne de montagnes de la province chinoise du Sichuan, orientĂ©e nord-sud. Elle se situe dans la partie orientale des monts Hengduan qui domine directement le bassin rouge du Sichuan.

CordillĂšre du Qionglai
CordillĂšre du Qionglai dans le Sichuan
CordillĂšre du Qionglai dans le Sichuan
GĂ©ographie
Altitude 6 250 m, Pic Yaomei
Massif Monts Hengduan
Longueur 250 km
Administration
Pays Drapeau de la RĂ©publique populaire de Chine Chine
Province Sichuan

La cordillĂšre du Qionglai fait partie de la zone critique de biodiversitĂ© des monts Hengduan. C’est une zone remarquable par la diversitĂ© des espĂšces vĂ©gĂ©tales et animales mais qui a connu aussi une perte d’habitats exceptionnellement importante. Elle abrite des espĂšces rares comme le panda gĂ©ant et le rhinopithĂšque dorĂ©, deux espĂšces menacĂ©es de disparition selon l'UICN.

Un réseau de zones de protection a été créé, regroupant 7 réserves naturelles et 9 parcs paysagers, nommé sanctuaires des pandas géants du Sichuan.

GĂ©ographie

Monts Siguniang, « les quatre Demoiselles ».

La cordillĂšre qui s'Ă©tend du nord au sud sur 250 km, sĂ©pare les bassins versants de deux grands fleuves du Sichuan : la Dadu et la Min. La Dadu est un affluent de la Min, elle-mĂȘme affluent du cours supĂ©rieur du Yangzi Jiang. C’est la premiĂšre chaĂźne de montagnes rencontrĂ©e Ă  l’ouest de Chengdu sur la frange orientale du plateau tibĂ©tain[n 1], dominant le bassin du Sichuan. L’altitude Ă©levĂ©e (env. 4 000 m) et la latitude basse (celle du Sud Maroc), expliquent l’étagement altitudinal diffĂ©renciĂ© de la vĂ©gĂ©tation.

Son plus haut sommet est le pic Yaomei des monts Siguniang, « le mont des quatre Demoiselles », qui culmine Ă  6 250 m. Les zones Ă  plus de 5 000 m, oĂč la neige ne fond pas de toute l’annĂ©e, sont parcourues par des glaciers.

La chaĂźne de montagnes Qionglai est orientĂ©e nord-sud, avec des pentes escarpĂ©es Ă  l’est et douces Ă  l’ouest. Les versants orientaux reçoivent beaucoup de prĂ©cipitations : de 2 000 Ă  2 500 mm pour les altitudes de 2 100–2 300 m[1].

Populations

Territoire de l'ethnie tibéto-birmane Jiarong (en vert) dans le massif des Hengduan (en rouge).

Cette région de hautes montagnes est historiquement et ethniquement radicalement différente du bassin du Sichuan qui est un foyer important de la culture chinoise[2].

L’altitude Ă©levĂ©e de la cordillĂšre du Qionglai ayant rendu les dĂ©placements humains est-ouest difficiles, a fait de ces montagnes une zone gĂ©ographique relativement isolĂ©e, oĂč vivent comme dans le massif des Hengduan, de nombreuses ethnies[n 2]. Mais le groupe le plus important et le plus anciennement installĂ© est formĂ© de tibĂ©to-birmans nommĂ©s Gyalrong (chinois ć˜‰ç»’ Jiarong), pratiquant le bouddhisme tibĂ©tain, et ayant un mode de vie unique « semi-agricole et semi-pastoral »[3]. Ils habitent les grands et petits bassins hydrographiques des monts Qionglai (et au-delĂ  Ă  l’ouest sur les monts Daxue) et sont longtemps restĂ©s protĂ©gĂ©s de la pĂ©nĂ©tration des populations Han, qui plus Ă  l’est, occupent le bassin du Sichuan plus dĂ©veloppĂ©. Sur le versant oriental des monts Qionglai, au nord-ouest de Chengdu, le peuple Qiang est aussi prĂ©sent, en particulier dans le xian de Wenchuan oĂč est situĂ©e la rĂ©serve naturelle de Wolong[n 3].

Le missionnaire botaniste Armand David qui sĂ©journa dans la rĂ©gion de Moupin (nommĂ© actuellement le district de Baoxing[n 4]) en 1869, a apportĂ© un tĂ©moignage prĂ©cieux sur ces populations d’ethnie tibĂ©to-birmane Jiarong (au XIXe siĂšcle appelĂ©es Mantze, en chinois è›źæ— manzu « barbare »[n 5])

« Les MantzĂ©, qui ne sont ni Chinois, ni TibĂ©tains, mais qui se rapprochent davantage de ces derniers, forment un grand nombre de petits États sĂ©parĂ©s et autonomes ayant une lĂ©gislation et parfois une langue particuliĂšre. Quelques chefs ou princes sont suzerains[...]
Toute cette rĂ©gion sauvage et hĂ©rissĂ©e d’affreuses montagnes est habitĂ©e par des peuplades jalouses de leur pays et qui en interdisent l’entrĂ©e aux Ă©trangers, sauf dans les parties voisines de la Chine. C’est ce qui fait que les forĂȘts primitives y couvrent encore les hauteurs et beaucoup de vallĂ©es, et qu’une partie des animaux indigĂšnes continuent Ă  y vivre encore, protĂ©gĂ©s aussi par les croyances bouddhiques. Le contraire arrive partout oĂč les Chinois ont accĂšs ; en peu de temps les pays se trouvent dĂ©boisĂ©s et dĂ©nudĂ©s »
Second voyage d'exploration dans l'Ouest de la Chine[4].

Les rĂ©formes Ă©conomiques engagĂ©es depuis 1978, ont soutenu une croissance Ă©conomique inĂ©gale suivant les rĂ©gions et les groupes d’individus. Les minoritĂ©s tibĂ©to-birmanes qui vivaient dans des zones enclavĂ©es, mal desservies et qui manquaient d’infrastructures, ont subi un lourd handicap au dĂ©veloppement des activitĂ©s Ă©conomiques[5]. Il a Ă©tĂ© Ă©tabli que les Ă©carts entre les revenus des minoritĂ©s ethniques et les membres de la majoritĂ© Han n’ont cessĂ© de s’accroĂźtre[6], progressant de 36 % lors de la seule dĂ©cennie 1980-1990.

L’installation de population Han dans les rĂ©gions d'ethnie tibĂ©to-birmane s’est principalement faite dans les villes.

L’activitĂ© Ă©conomique des populations tibĂ©to-birmanes Gyalrong varie suivant l’étagement altitudinal[3]:

  1. de 3 000 Ă  4 500 m : Ă©levage du yak, rĂ©colte de matiĂšres mĂ©dicinales (Cordyceps, 矌掻 qianghuo rhizomes de Notopterygium incisum, etc.), rĂ©colte de champignons comestibles ;
  2. de 2 500 Ă  3 000 m : culture fruitiĂšre[n 6] (prune rouge verte croquante 青çșąè„†æŽ qinghongweili, pommes), culture de cĂ©rĂ©ales, de lĂ©gumes (haricot rouge, patate douce, etc.), Ă©levage de cochons, moutons, poules, etc. ;
  3. de 1 500 Ă  2 500 m : culture fruitiĂšre (cerises, pommes, poires), cĂ©rĂ©aliĂšre, potagĂšre (haricot, patate douce, etc.), Ă©levage de porcs, chĂšvres, moutons, poules, vaches.

Conservation de la biodiversité

La cordillĂšre du Qionglai fait partie de la zone critique de biodiversitĂ© des monts Hengduan. C’est une zone remarquable par la diversitĂ© des espĂšces vĂ©gĂ©tales et animales mais qui a connu aussi une perte d’habitats exceptionnellement importante. L’exploitation forestiĂšre menĂ©e par des agences gouvernementales depuis les annĂ©es 1960 a laissĂ© Ă  nu les flancs des montagnes les moins pentues. À la suite des inondations catastrophiques de l’étĂ© 1998, attribuĂ©es Ă  des dĂ©cennies de coupe Ă  blanc des forĂȘts du Tibet oriental, le gouvernement chinois a interdit l’exploitation forestiĂšre dans les prĂ©fectures tibĂ©taines du sud-ouest de la Chine[7].

Le premier naturaliste Ă  dĂ©couvrir les richesses de la flore et de la faune des monts Qionglai est un missionnaire français passionnĂ© de zoologie et de botanique. Du au , le pĂšre David parcourut les monts au sud de la chaĂźne Qionglai pour collecter des spĂ©cimens de mammifĂšres, d’oiseaux, d’insectes et de plantes, remarquables tant par le nombre que la qualitĂ©. La renommĂ©e du pĂšre David tient essentiellement Ă  quelques grandes dĂ©couvertes comme celle du Panda gĂ©ant, du Macaque au nez retroussĂ© (Rhinopithecus roxellana) et de l’arbre aux mouchoirs (Davidia involucrata). De la petite rĂ©gion de Baoxing du Tibet oriental (actuellement rattachĂ© au Sichuan), le pĂšre David a envoyĂ© au MusĂ©um de Paris, 676 spĂ©cimens de plantes, 441 d'oiseaux, 145 de mammifĂšres[8] pour identifications et descriptions scientifiques des espĂšces nouvelles.

Création de parcs naturels

Dans les annĂ©es 1980, il ne restait plus que 1 114 pandas Ă  l’état sauvage en Chine. GrĂące aux efforts de protection, la population a pu monter Ă  1 600 environ, en 2000, et Ă  1 864 en 2014 (selon le recensement de 2011-2014). Cette population est fragmentĂ©e en 33 sous-populations quasi-isolĂ©es les unes des autres[9].

Dans le seul Sichuan, en fĂ©vrier 2015, les « RĂ©sultats de la quatriĂšme enquĂȘte sur les pandas gĂ©ants sauvages du Sichuan » indiquaient que le Sichuan comptait 1 387 pandas gĂ©ants sauvages[10].

Les dĂ©cisions politiques de crĂ©ation de parcs nationaux se sont imposĂ©es pour faire face aux fortes menaces sur la biodiversitĂ© vĂ©gĂ©tale et animale de certaines rĂ©gions de Chine et plus particuliĂšrement sur l'espĂšce-phare de la rĂ©gion, le panda gĂ©ant, capable d'attirer des centaines de milliers de touristes. Le WWF fondĂ© en 1961, y a jouĂ© un rĂŽle important, en participant au financement du dĂ©veloppement de parc[11]. Une ambitieuse politique de protection a permis Ă  l’espĂšce de se dĂ©velopper. En 2016, celle-ci est passĂ©e du statut « en danger » Ă  « vulnĂ©rable » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature

Les zones de protection du panda géant ont été regroupées sous le qualificatif de « sanctuaires des pandas géants du Sichuan ». Ils comportent 7 réserves naturelles dont nous donnons un aperçu ci-dessous, et 9 parcs paysagers.

RĂ©serve naturelle nationale de Wolong
Panda, l'espĂšce-phare du parc Wolong, capable d'attirer 200 000 touristes avec un effectif sauvage de 104 en diminution (en 2014).

La crĂ©ation en 1975 de la grande rĂ©serve naturelle de Wolong[n 7], rĂ©serve de rang national, de 200 000 ha pour protĂ©ger les pandas gĂ©ants marque la vĂ©ritable naissance des parcs nationaux en Chine[11]. Cette rĂ©serve est situĂ©e dans le district de Wenchuan, sur le versant oriental des monts Qionglai, au nord-ouest de Chengdu. Selon le recensement de 1999-2001, il y aurait 143 pandas gĂ©ants sauvages dans la rĂ©serve, ce qui reprĂ©sente 33 % de l’effectif total des pandas du Sichuan. Mais selon le recensement de 2011-2014, l’effectif aurait baissĂ© de 21 % et ne serait plus que de 104 pandas sauvages[12].

Avant 1900, Wolong possĂ©dait encore une belle forĂȘt primaire bien conservĂ©e. Le dĂ©but de son exploitation industrielle se situe en 1936, avec l’installation d’une premiĂšre scierie employant 800 personnes puis d’une autre en 1945-1947. Les coupes rases les plus graves ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es lors du Grand bond en avant et pendant la RĂ©volution culturelle qui ont mis Ă  nu une partie des monts de Wolong (huangshan, « montagnes dĂ©nudĂ©es »)[11].

Depuis la premiĂšre rĂ©serve naturelle de Wolong, crĂ©Ă©e en 1963, jusqu’aux annĂ©es 2000, la gestion de la rĂ©serve n’a cessĂ© de connaĂźtre des remaniements administratifs. Cependant, une enquĂȘte de terrain menĂ©e par Liu, Linderman et al[13] (2001) a abouti Ă  une conclusion sans appel : « Wolong n’a pas Ă©tĂ© mieux protĂ©gĂ© aprĂšs sa crĂ©ation ». Pour la pĂ©riode 1965 Ă  1995, le rythme de dĂ©forestation et de fragmentation du couvert forestier a Ă©tĂ© plus rapide aprĂšs la mise en rĂ©serve et davantage Ă  l’intĂ©rieur mĂȘme de l’aire protĂ©gĂ©e qu’à l’extĂ©rieur. Les impacts ont Ă©tĂ© particuliĂšrement sĂ©vĂšres pour les zones fortement propices Ă  l’habitat du panda. Les images satellitaires rĂ©vĂšlent sans Ă©quivoque un processus massif d’extension des surfaces dĂ©frichĂ©es et de fragmentation du couvert forestier entre 1965 et 1995, avec une accĂ©lĂ©ration aprĂšs 1974, aprĂšs la crĂ©ation de la rĂ©serve naturelle[11].

Le tourisme de masse a aussi un impact important. Le nombre de visites touristiques entre 2000 et 2005 est passĂ© de 130 000 Ă  206 100, soit une augmentation d’environ 59 % en seulement 5 ans. La plupart des mĂ©nages ruraux qui bĂ©nĂ©ficient de l'Ă©cotourisme sont situĂ©s prĂšs de la route principale mais la majoritĂ© des avantages Ă©conomiques (investissement, emploi et biens) dans trois secteurs clĂ©s de l'Ă©cotourisme (construction d'infrastructures, hĂŽtels / restaurants et vente de souvenirs) vont Ă  d'autres parties prenantes[14].

RĂ©serve naturelle de Fengtongzhai

En 1979, fut aussi crĂ©Ă©e la rĂ©serve naturelle de Fengtongzhai[n 8], rĂ©serve de rang national, dans le Nord-Est du xian de Baoxing, d’une superficie de 39 039 ha[15]. C’est la rĂ©gion oĂč les chasseurs indigĂšnes qui travaillaient pour le pĂšre David, lui rapportĂšrent le 23 mars 1869 un jeune « ours blanc », puis un mois plus tard un adulte qui le convainquirent qu’il s’agissait d’une nouvelle espĂšce. Une fois le travail de taxidermie effectuĂ© par le pĂšre David, les animaux furent envoyĂ©s Ă  Paris, pour leur description zoologique.

La crĂ©ation de la rĂ©serve visait la protection d’espĂšces-phares comme le panda gĂ©ant, le rhinopithĂšque de Roxellane et en 1994, les objectifs ont Ă©tĂ© Ă©largis aux Ă©cosystĂšmes forestiers mixtes de montagne. Dans la rĂ©serve naturelle de Fengtongzhai, il y a 37 pandas selon les donnĂ©es du dernier recensement national des pandas gĂ©ants et de leur habitat, le quatriĂšme menĂ© de 2011 Ă  2014, et dans le district de Baoxing, il y en a 181.

RĂ©serve naturelle des Siguniang
Siguniang.

La rĂ©serve naturelle des monts Siguniang a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1995, dans la partie orientale du district de Xiaojin, juste Ă  l'ouest de la rĂ©serve naturelle de Wolong. Il couvre une superficie de 48 500 ha et se compose des quatre sommets adjacents dans les monts Hengduan. Il est directement accessible par la route provinciale S303 Ă  partir de Chengdu. La rĂ©gion des monts Siguniang appartient Ă  la zone de forĂȘt de conifĂšres des vallĂ©es montagneuses de l'ouest du Sichuan[16].

Les principaux objets de protection sont: la protection des Ă©cosystĂšmes naturels dominĂ©s par les forĂȘts primitives de conifĂšres sombres; la protection de la biodiversitĂ© et des habitats des principaux animaux protĂ©gĂ©s nationaux tels que les pandas gĂ©ants, les lĂ©opards des neiges, les cerfs au museau blanc, les rhinopithĂšques de Roxellane, etc.

Notes

  1. Dans le Sud-Est de la préfecture autonome tibétaine et qiang d'Aba, et le Nord de la préfecture de Ya'an (xian de Baoxing).
  2. Dans les monts Hengdian vivent des Tibétains, des Qiangs, Yi, Hui, des tibéto-birmans et des membres du groupe majoritaire au niveau national, Han.
  3. La population du district de Wenchuan est constituée de Hans (46 %), de Qiang (34 %) et de Tibétains (18,6 %) ((zh) Site gouvernemental de Wenchuan).
  4. Qui se trouve dans la zone sud des monts Qionglai, et au nord de Ya'an 雅漉, une ville frontiĂšre de l’empire chinois par laquelle passait l’ancienne piste muletiĂšre qui permettait de transporter des galettes de thĂ© du Sichuan par Chamdo sur les hauteurs du Tibet jusqu’à Lhassa; cette piste caravaniĂšre est devenue de nos jours une route goudronnĂ©e.
  5. D'aprĂšs l'encyclopĂ©die (officielle) Baidu 癟科, « minoritĂ©s ethniques Ă©loignĂ©es des plaines centrales, qui sont culturellement arriĂ©rĂ©es ».
  6. La région à la latitude du Sud marocain, permet la culture fruitiÚre en altitude.
  7. ć§éŸ™ć›œćź¶çș§è‡Șç„¶äżæŠ€ćŒș WĂČlĂłng guĂłjiā jĂ­ zĂŹrĂĄn bǎohĂč qĆ«, litt. « zone de protection naturelle de rang d’État de Wolong » traduit gĂ©nĂ©ralement en anglais par « Wolong National Nature Reserve » et en français par « rĂ©serve naturelle de Wolong », bien que la notion de « parc naturel » dĂ©veloppĂ©e aux États Unis et en Europe corresponde mieux Ă  la rĂ©alitĂ© chinoise.
  8. èœ‚æĄ¶ćŻšć›œćź¶çș§è‡Șç„¶äżæŠ€ćŒș FēngtǒngzhĂ i guĂłjiā jĂ­ zĂŹrĂĄn bǎohĂč qĆ«.

Références

  1. (zh) « é‚›ćŽƒć±±è„‰ [cordillĂšre Qionglai] », sur Baidu (consultĂ© le )
  2. Joe Lawson, Xikang : Han Chinese in Sichuan’s Western frontier, 1905-1949, Thesis, Victoria University of Wellington, (lire en ligne)
  3. (zh) ć…°ć·žä»ČèŁć§”ć‘˜äŒš, « ćœ°ç†ć›Ÿćż— » (consultĂ© le )
  4. SociĂ©tĂ© gĂ©ographique, Second voyage d’exploration dans « Bulletin de la SociĂ©tĂ© gĂ©ographique, dans SixiĂšme sĂ©rie, Tome XI », Librairie de CH. Delagrave, , en 3 parties : p.31-59, p. 165-192, p. 291-316 (sur rĂ©glette) (lire en ligne)
  5. Huhua Cao et Olivier Dehoorne, « Les groupes minoritaires en Chine ; distribution spatiale et dĂ©fis d’intĂ©gration », Espace populations sociĂ©tĂ©s, vol. 3,‎
  6. (en) B. Gustafsson, L. Shi, « The ethnic minority-majority income gap in rural China during transition », Economic Development and Cultural Change, vol. 51,‎ , p. 805-822
  7. (en) Karl Ryavec, Daniel Winkler, « Logging Impacts to Forests in Tibetan Areas of Southwest China: A Case Study From Ganze Prefecture Based on 1998 Landsat TM Imagery », Himalaya, the Journal of the Association for Nepal and Himalayan Studies, vol. 26, no 1,‎ (lire en ligne)
  8. Emmanuel Boutan, Le nuage et la vitrine. Une vie de Monsieur David, Editions Raymond Chabaud,
  9. JérÎme Pouille, « Menaces et protection, conservation et avenir », sur panda.fr (consulté le )
  10. (zh) ç†ŠçŒ«éą‘é“ iPanda Panda Channel [chaine de tĂ©lĂ©vision 100% dĂ©diĂ©e au panda], « ć››ć·é‡Žç”Ÿć€§ç†ŠçŒ«èŸŸ1387ćȘ æ•°é‡ć…šć›œć±…éŠ– » (consultĂ© le )
  11. Guillaume Giroir, « Les parcs nationaux en Chine : une approche gĂ©ohistorique », Revue d’études comparatives Est-Ouest, vol. 1-2, no 43,‎ , p. 253-285 (lire en ligne)
  12. JérÎme Pouille, « Réserve naturelle nationale de Wolong », sur panda.fr (consulté le )
  13. (en) Jianguo Liu, Marc Linderman, Zhiyun Ouyang, Li An, Jian Yang, Hemin Zhang, « Ecological Degradation in Protected Areas: The Case of Wolong Nature Reserve for Giant Pandas », Science, vol. 292,‎ (lire en ligne)
  14. (en) G. He, X. Chen, W. Liu, S. Bearer, S. Zhou, L.Y. Cheng, H. Zhang, Z. Ouyang, J. Liu,, « Distribution of Economic Benefits from Ecotourism: A Case Study of Wolong Nature Reserve for Giant Pandas in China », Environmental Management, vol. 42,‎ , p. 1017-1025
  15. « Réserve naturelle de Fengtongzhai (Sichuan) », sur www.panda.fr (consulté le )
  16. (zh) « ć››ć§‘ćš˜ć±±ć›œćź¶çș§è‡Șç„¶äżæŠ€ćŒș », sur Baidu (consultĂ© le )
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