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Constant Guéroult

Constant Guéroult, né le à Elbeuf[1] et mort le à Paris 6e[2], est un nouvelliste, dramaturge, feuilletoniste et journaliste français.

Biographie

Fils d’Élie ThĂ©odore GuĂ©roult, Ă©mouleur de forces[3], et de Marie Catherine Françoise Lebailly, mariĂ©s le 24 florĂ©al de l’An V (13 mai 1797) Ă  Elbeuf, Constant François GuĂ©roult naquit dans cette ville le 27 fĂ©vrier 1811, au 7 de la rue Poulain. Une modeste plaque[4] rappelait sa naissance sur cette maison, aujourd’hui dĂ©truite. Il Ă©tait le 3e enfant du couple, après ThĂ©odore[5] (nĂ© en 1800) et Armand Élie (1805) ; un 4e garçon, Victor Benjamin, vint au monde par la suite le 8 mai 1813.

Il avait 7 ans lorsque sa mère décéda le 14 janvier 1818. Son père ne se remaria pas et éleva seul ses enfants. Destinant son fils au commerce, il l’envoya très jeune à Paris, mais décéda en 1833 avant que celui-ci ne trouve sa voie. Car Constant se lassa vite des études et préféra fréquenter les cafés littéraires qui foisonnaient à l’époque.

À Paris, il se familiarise avec les nouveaux romans et les pièces de théâtre. Il débute de bonne heure dans la carrière des lettres par la poésie, avec l’espoir de détrôner Lamartine et Victor Hugo, mais lorsqu’il s’aperçoit que ce sera long, il renonce à ce genre[6]. Sans que l’on sache exactement à la suite de quelles circonstances, il se retrouve en Belgique, où un journal de Bruxelles accueille favorablement quelques-unes de ses nouvelles. Il entame ainsi une carrière de feuilletoniste. Enhardi par ce premier succès, il revient à Paris en 1844.

Il publia, dans La Patrie, sa première nouvelle, qui fut accueillie par Édouard Lemoine, alors rédacteur de ce journal, avec plus de complaisance que d’enthousiasme. À celle-là succédèrent beaucoup d’autres qui eurent une grande popularité.

En effet, son talent s’affermit Ă  mesure qu’il gagne en souplesse et en variĂ©tĂ©. Il devient rapidement l’un des Ă©crivains populaires les plus lus. Ses romans, très recherchĂ©s des Ă©diteurs, sont Ă  chaque fois insĂ©rĂ©s sous forme de feuilletons dans divers journaux avant d’être publiĂ©s : La Flandre illustrĂ©e, La Gazette de France, Journal pour tous, Le Voleur illustrĂ©, La Revue de Paris, publication dirigĂ©e par Maxime Du Camp, Laurent-Pichat et Louis Ulbach, trois Ă©crivains qui accueillaient tout, lisaient tout et jugeaient l’œuvre sans s’inquiĂ©ter du nom. Il collabore Ă©galement Ă  de nombreux autres journaux, tels Le Courrier de Paris, La Mode Nouvelle, La Patrie, Le Pays, Le Petit Journal, etc.

Au Petit Rouennais, il livre aussi La Bijouterie de la rue Grand-Pont et Le Drame de la Fougeraie.

Un Ă©crivain infatigable

Il ne cesse d’écrire et son inspiration semble inĂ©puisable. Il a une plume facile, mais non dĂ©nuĂ©e de prĂ©cision et de talent. De 1850 Ă  sa mort, les romans se succèdent, au rythme d’au moins un ouvrage par an. Peut-ĂŞtre se souvenait-il du conseil de l’un de ses mentors qui lui avait dit : « Mon cher, dĂ©buter n’est rien, c’est durez qui est quelque chose. Continuez. Â» Mais quand j’aurai fait un roman, deux romans, trois romans ? « Vous en ferez trois autres (...) C’est ça la littĂ©rature d’à prĂ©sent. Â» GuĂ©roult s’est essayĂ© Ă  tous les genres : drame, vaudeville, roman, nouvelle, chronique, poĂ©sie, feuilleton dramatique, voire paroles de romances. Il travailla notamment Ă  de nombreuses reprises avec le compositeur Luigi Bordèse.

Il lui est arrivĂ©, comme Ă  quelques-uns de ses confrères, d’avoir produit, dans l’espace de trois semaines, des romans en quatre volumes, mais il y renonça bien vite, dĂ©clarant que c’était lĂ  un tour de force aussi facile que misĂ©rable, et revint Ă  sa mĂ©thode première : Ă©tudier le cĹ“ur humain sur le vif, en sentir les palpitations et les traduire avec sincĂ©ritĂ©.

Il est impossible de citer toutes ses Ĺ“uvres (Cf. la bibliographie non exhaustive prĂ©sentĂ©e ci-dessous. En outre certains de ses titres sont dĂ©veloppĂ©s en plusieurs volumes, souvent rĂ©Ă©ditĂ©s. Parmi ses titres les plus connus, le Larousse du XXe siècle en 6 volumes (Ă©dition de 1930), cite Les vautours de Paris (1858), Les Ă©trangleurs de Paris (1859), Le luthier de Rotterdam (1868) et Les exploits de Fifi Vollard [ou La bande Ă  Fifi Vollard ?] (1876).

En mĂŞme temps, il Ă©crit pour le théâtre. Il fait reprĂ©senter Chabert le BalafrĂ©, Ă©crit avec Jacques Arago, en 1845 et avec Paul de Kock Le cauchemar de son propriĂ©taire (1849). Constant GuĂ©roult se lie aussi d’amitiĂ© avec MolĂ©-Gentilhomme. Outre une certaine quantitĂ© de romans (voir la bibliographie), les deux Ă©crivains Ă©crivent ensemble quelques pièces qui n’ont certes pas rĂ©volutionnĂ© le théâtre : Pomponnette et Pompadour (1850), Le cousin Pamphile (1850), Berthe la Flamande, drame en cinq actes (1854) et La comtesse de Noailles, drame en cinq actes (1856). La troisième est un bel exemple des transformations que peut subir une idĂ©e dramatique avant d’arriver Ă  la rampe : Ă  l’origine, un drame dont le hĂ©ros, capitaine d’aventures Ă  la longue rapière, avait Ă©tĂ© taillĂ© pour MĂ©lingue. Les deux collaborateurs, ne pouvant en venir Ă  bout, le portèrent Ă  Goubaux, qui leur dit, après l’avoir lu : « Il y a beaucoup Ă  changer ». MolĂ© et GuĂ©roult se mirent alors au travail avec ardeur, et, de modification en modification, le fier capitaine devint une excellente mère de famille, dans le drame qui s’appela finalement Berthe la Flamande. Le rĂ´le principal fut jouĂ© par Émilie Guyon, dont le talent valut Ă  la pièce un grand succès. La mort prĂ©coce et tragique de MolĂ©-Gentilhomme, lors de la première de la Comtesse de Noailles, put seule mettre fin Ă  une collaboration Ă  laquelle une parfaite concordance d’humeur et de caractère faisait trouver un grand charme aux deux Ă©crivains. Constant GuĂ©roult Ă©crivit encore un autre drame en cinq actes, ThĂ©odoros, en 1868. Au total, il a fourni des pièces mises Ă  la scène sur les théâtres de La Porte-Saint-Martin, de l’Ambigu Comique, des VariĂ©tĂ©s, des Folies-Dramatiques et des DĂ©lassements-Comiques.

Une notoriété certaine

OubliĂ© aujourd’hui, mĂŞme si l’on trouve toujours ses romans (dont quelques rĂ©Ă©ditions) sur des sites de vente en ligne, Constant GuĂ©roult connut de son vivant une rĂ©elle popularitĂ©. Certains de ses livres sont alors publiĂ©s Ă  l’étranger et sa popularitĂ© dĂ©passe les frontières de l’hexagone. Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle lui consacre une notice Ă©logieuse au dĂ©but des annĂ©es 1870 : « C’est un habile metteur en scène, un artiste soigneux de son sujet, Ă©prouvant Ă  le dĂ©velopper une sorte de jouissance particulière dont le lecteur reçoit, pour ainsi dire, le reflet. Il s’ensuit que l’action, sous une plume facile, se dĂ©roule sans fatigue et avec une sorte d’aisance. L’auteur met Ă  conter un plaisir extrĂŞme, cela se voit ; il est sincère, cela se sent ; il vit de la vie de ses personnages, et, tout en marchant de pĂ©ripĂ©tie en pĂ©ripĂ©tie, leur communique le relief qui leur convient. En rĂ©alitĂ©, cet Ă©crivain ne saurait ĂŞtre confondu avec ces producteurs vulgaires qui, complices inconscients d’un rĂ©gime dĂ©moralisateur, encombraient notre littĂ©rature dans les dernières annĂ©es du Second Empire Â».

Le second père de Rocambole

La Petite Presse lui doit un de ses plus éclatants succès avec le Crime de la rue du Temple, roman judiciaire, dont l’intérêt était tel que Pierre Alexis Ponson du Terrail, pourtant romancier émérite blasé sur toutes les ficelles du métier, n’attendait pas l’apparition du journal pour venir à l'imprimerie se faire communiquer d'avance les épreuves du feuilleton du lendemain.

Ponson du Terrail pensait bien reprendre, après la guerre de 1870, le personnage de Rocambole qu’il avait crĂ©Ă© en 1857. Mais sa mort, en janvier 1871, l’en empĂŞcha. Sa veuve confie alors au directeur des Publications PĂ©riodiques les notes qu’il avait laissĂ©es. Celui-ci dĂ©cide alors d’en confier la mise en forme Ă  Constant GuĂ©roult, « romancier dont les succès ne se comptent plus, au talent fĂ©cond et original, ami intime de Ponson du Terrail Â» selon la Petite Presse.

Constant GuĂ©roult s’approprie alors le personnage de Rocambole et le façonne Ă  sa manière en le faisant revivre sous les traits de M. Portal. Il en fait un personnage sympathique, plus proche du dĂ©tective que du surhomme, avec une vraie Ă©paisseur humaine. Selon Élisabeth Ripoll Rohr[7], « GuĂ©roult a imaginĂ© un hĂ©ros d’aventures, modeste et rĂ©solu. Il a Ă©vitĂ© le plus possible les manifestations de supĂ©rioritĂ©, bref il a imposĂ© son style, inventĂ© sa propre figure du justicier. Â» Cette renaissance, intitulĂ©e Le retour de Rocambole ou Les nouveaux exploits de Rocambole est un bel hommage rendu Ă  Ponson du Terrail. Comme tout hĂ©ros populaire, Rocambole n’est-il pas immortel ? D’autres auteurs après lui reprendront d’ailleurs le flambeau…

Mais Constant GuĂ©roult meurt deux ans plus tard Ă  Paris, dans son domicile de la rue de BrĂ©a[8], le 30 novembre 1882, Ă  l’âge de 68 ans, laissant un fils unique prĂ©nommĂ© Constant ThĂ©odore, architecte, alors âgĂ© de 39 ans, et un petit-fils. Ses obsèques furent cĂ©lĂ©brĂ©es deux jours plus tard en l’église Notre-Dame-des-Champs, en prĂ©sence de nombreuses personnalitĂ©s de la presse et du monde littĂ©raire. L’inhumation eut lieu au cimetière de Belleville, oĂą un hommage lui fut rendu par Henri Gourdon de Genouillac, vice-prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© des Gens de lettres. Les journaux parisiens saluèrent en lui un Ă©crivain de grand talent, doublĂ© d’un homme de cĹ“ur. « Il emporte dans la tombe l’estime et l’affection de ses confrères Â», Ă©crivit Le Petit Journal, dont il Ă©tait l’un des plus anciens collaborateurs. L’Elbeuvien[9] annonça le dĂ©cès de l’enfant du pays, en soulignant combien il Ă©tait « un esprit cultivĂ©, de commerce agrĂ©able et de relations charmantes, qui n’inspirait que des sympathies Â».

Plusieurs de ses Ă©crits bĂ©nĂ©ficièrent encore d’une publication posthume : La Femme de monsieur le duc (1884) et Les TragĂ©dies du mariage (1884).

Principales Ĺ“uvres

Romans

Caricature de Guéroult par Nadar.
  • Sylvio Bellino, suivi de Une danse imprĂ©vue, Paris, De Vigny, 1851.
  • La Croix du clerc, Paris, De Vigny, 1852.
  • Le Bronzino, Paris, De Vigny, 1852.
  • Roquevert l’arquebusier, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. Danel, 1853.
  • Blanche de Savenières, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1854.
  • La Comtesse Ulrique, avec ThĂ©odore de Foudras, Paris, L. de Potter, 1854.
  • Laurence de Montmeylian, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1854.
  • Le Routier de Normandie, Ă©pisode du temps de Charles V, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, bureau du journal la Gazette de France, 1854.
  • Les Vautours de Paris, avec ThĂ©odore de Foudras, Paris, L. de Potter, 1854.
  • Robert le ressuscitĂ©, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1854.
  • La Roche sanglante, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1855.
  • Le Capitaine Zamore, avec ThĂ©odore de Foudras, Paris, L. de Potter, 1855.
  • La Femme de l’échevin, impr. de Leleux, 1856.
  • La Reine de Paris, Ă©pisode du temps de la Fronde, avec ThĂ©odore Anne, Paris, impr. de Schiller, 1856.
  • Zanetta la chanteuse, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1856.
  • L’Âme vendue, Paris, impr. de E. Prignet, 1857.
  • Le Chevalier de Mailly, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. Chappe, 1857.
  • Le Juif de Gand, L. de Potter, 1857.
  • Les Étrangleurs de Paris , avec Paul de Couder, Paris, L. Chappe, 1859.
  • La Tigresse des Flandres : Ă©pisode de la domination espagnole dans les Pays-Bas, Paris, L. Chappe, 1861.
  • Le Mendiant de Tolède, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, L. De Potter, 1863.
  • La Bourgeoise d’Anvers, Brunet, E. Dentu, 1864.
  • La Vierge aux larmes, Paris, C. Vanier, 1865.
  • Les AbĂ®mes de Paris, impr. de E. Crugy, 1865.
  • Les DamnĂ©s de Paris, Paris, DĂ©cembre-Alonnier, 1867.
  • Histoire des conspirateurs anciens et modernes, avec Pierre Zaccone, Paris, 1871.
  • La Belle Mercière, Paris, bureaux du "Bien public, 1871.
  • Le Drame de la rue du Temple, Paris, E. Dentu, 1876.
  • Aventures cavalières, Paris, E. Dentu, 1878.
  • La Tabatière de M. Lubin, Paris, E. Dentu, 1878.
  • La Bande Ă  Fifi Vollard, Paris, J. Rouff, 1880.
  • La Bande Graaft, Paris, E. Plon, 1880.
  • Les Nouveaux Exploits de Rocambole , sur des notes laissĂ©es par Ponson du Terrail, Paris, Capiomont aĂ®nĂ©, Calvet et Cie, 1880.
  • Un hĂ©ritage tragique, E. Dentu, 1880.
  • Les TragĂ©dies du mariage, Paris, E. Dentu, 1881.
  • Les Dames de Chamblas, E. Dentu, 1882.
  • La Femme de monsieur le duc, Paris, E. Dentu, 1884.
  • Le Luthier de Rotterdam, Paris, E. Dentu, 1884.
  • L’Affaire de la rue du Temple, Paris, J. Rouff, 1888.

Pièces

  • Le Cauchemar de son propriĂ©taire, vaudeville en 1 acte, avec Paul de Kock [Paris, Folies-dramatiques, 4 aout 1849.], Paris, Beck, 1849.
  • Pomponette et Pompadour, comĂ©die vaudeville en 1 acte, avec MolĂ©-Gentilhomme, reprĂ©sentĂ© pour la première fois Ă  Paris sur le théâtre des VariĂ©tĂ©s le , Paris, M. LĂ©vy, 1850.
  • Berthe la Flamande, drame en 5 actes, avec MolĂ©-Gentilhomme [en collaboration avec P.-P. Gerbaux]... [Paris, Ambigu-comique, .], Michel-LĂ©vy frères, 1852.
  • Roquevert l’arquebusier, avec MolĂ©-Gentilhomme, Paris, impr. de T. Martin, 1853.
  • La Comtesse de Novailles, drame en cinq actes avec MolĂ©-Gentilhomme [Paris, Ambigu-comique, .], Paris, Michel-LĂ©vy frères, 1856.

Livrets

  • Le Fou de Stamboul, air dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Paul Henrion, Paris, Colombier, 1854.
  • La Reine Berthe, air, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1858.
  • Attila, air dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • Clovis Ă  Tolbiac, invocation, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • Joseph vendu par ses frères, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • L’Ermite du Mont Carmel, air dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • L’HĂ©roĂŻne de Beauvais, au dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • La Folie du Tasse, air dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • La Reine Blanche ou les Adieux de St. Louis, air, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • Marino Faliero, air dramatique, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • Travail, aumĂ´ne, prière, duettino, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, S. Richault, 1859.
  • Le Songe de lady Macbeth, air, musique notĂ©e, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse, Paris, E. GĂ©rard, 1863.
  • Fais ce que dois advienne que pourra : proverbe, opĂ©rette en un acte, paroles de GuĂ©roult sur une musique de Luigi Bordèse ; [rĂ©duction pour chant et piano], Paris, Schonenberger, 1869.

Bibliographie

  • Patrick Pellerin, « Le fabuleux destin de l’Elbeuvien Constant GuĂ©roult (1811-1882), feuilletoniste, romancier et auteur dramatique », Bulletin de la SociĂ©tĂ© de l’histoire d’Elbeuf, n° 64, novembre 2015, p. 17-20.
  • Élisabeth Ripoll Rohr, « Les mĂ©tamorphoses de Rocambole : des Drames de Paris au Nouveau maĂ®tre d'Ă©cole », Thèse de doctorat en LittĂ©rature française, sous la direction d’Antoine Court, UniversitĂ© de Saint-Étienne, 1998.
  • Henri Saint-Denis, Histoire d’Elbeuf, Elbeuf, Impr. H. Saint-Denis, t. XII, 1904, p. 93.
  • Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle
  • Émile Mermet, Annuaire de la presse française, Paris, Annuaire de la presse, 1883 (lire en ligne [archive]), p. 1028.
  • Arthème Fayard, « Constant GuĂ©roult », Revue pour tous illustrĂ©e, Paris, Fayard, vol. 1, 1861, p. 369-70 (lire en ligne [archive)
  • Florent Le Comte, Le Voleur illustrĂ© : cabinet de lecture universel, Paris, 8 dĂ©cembre 1882, in-12 (lire en ligne [archive]), p. 781.

Notes et références

  1. Acte de naissance à Elbeuf, n° 88, vues 306-307/532.
  2. Acte de décès à Paris 6e, n° 2442, vue 15/31.
  3. Les émouleurs de forces aiguisaient le tranchant des forces, sortes de grands ciseaux actionnés à plat, qui servaient à tondre les pièces de draps.
  4. Elle fut apposée par la municipalité en 1948, à la demande de René Garay, son arrière-petit-neveu.
  5. RestĂ© Ă  Elbeuf, ThĂ©odore GuĂ©roult, fut durant de longues annĂ©es ordonnateur du Bureau de bienfaisance. CĂ©libataire, « propriĂ©taire Â», il dĂ©cĂ©da dans la maison paternelle de la rue Poulain en 1889, âgĂ© de 88 ans passĂ©s.
  6. Arthème Fayard, « Constant GuĂ©roult Â», Revue pour tous illustrĂ©e, Paris, Fayard, vol. 1, 1861, p. 369-370 ([https://books.google.fr/books?id=-Y9EAAAAcAAJ&redir_esc=y lire en ligne, consultĂ© le 2 mars 2018).
  7. Élisabeth Ripoll Rohr, « Les mĂ©tamorphoses de Rocambole : des Drames de Paris au Nouveau maĂ®tre d'Ă©cole Â», Thèse de doctorat en LittĂ©rature française, sous la direction d’Antoine Court, UniversitĂ© de Saint-Étienne, 1998.
  8. Henri Saint-Denis, Histoire d’Elbeuf, Elbeuf, Impr. H. Saint-Denis, t. XII, 1904, p. 93.
  9. N° du 3 décembre 1882, Elbeuf, Fabrique des savoirs, Centre d’archives patrimoniales.

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