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Colette, une femme libre

Colette, une femme libre est un téléfilm biographique français en deux parties réalisé en 2003 par Nadine Trintignant et diffusé en 2004.

Colette, une femme libre
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo du téléfilm.
Réalisation Nadine Trintignant
Scénario Nadine Trintignant
Marie Trintignant
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Biographie
Première diffusion

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Biographie de la femme de lettres Colette, il s'agit également du dernier rôle de Marie Trintignant, tuée par son compagnon Bertrand Cantat peu avant la fin du tournage fin juillet 2003.

Synopsis

Le téléfilm, divisé en deux parties, évoque premièrement l'amour de Colette pour Willy puis, après souffrance, sa liaison avec Mathilde de Morny, dite Missy, relation qui fait scandale.

Colette, une femme libre aborde ensuite le mariage avec Henry de Jouvenel, son journalisme et sa vie sous la Première Guerre mondiale[1].

Fiche technique

Distribution

Tournage

Le tournage de Colette, une femme libre a lieu à Vilnius, la capitale lituanienne[1].

Accueil

Olivier Wicker de Libération parle d'« une épreuve pour les admirateurs de Colette et de Marie Trintignant » et d'un film « médiocre », « lent », aux décors « artificiels ». Le critique déplore le fait que l'on ne voit presque jamais Colette écrire, et que la plus grande partie du film ne soit consacrée qu'à ses histoires d'amour, dans lesquelles « des kilos de pathos dégoulinent de l'écran »[2].

Selon Le Monde, Colette, une femme libre est « une trop longue succession de scènes de chamailleries et de pleurnicheries » et dénature l'écrivaine, qui elle « acceptait l'échec » de ses amours avec « sagesse ». Le journal, même s'il critique les décors qui ne paraissent pas réels, se réjouit du jeu de Marie Trintignant (« émouvante, drôle et lumineuse ») et de la musique de Philippe Sarde, une musique qui « ponctue les moments capitaux avec intelligence et finesse »[1].

Pour L'Humanité, on ne retrouve pas dans ce film « la force exprimée par Nadine et Marie Trintignant dans Victoire ou la Douleur des femmes »[3].

Récompense

Notes et références

  1. A. Cr., « Colette, une femme libre », sur Le Monde, (consulté le ).
  2. Olivier Wicker, « Colette, gros malaise », sur Libération, (consulté le ).
  3. C. B., « Colette, une femme libre », sur L'humanité, (consulté le ).

Liens externes

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