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Cockiness (Love It)

Cockiness (Love It) est une chanson de la chanteuse barbadienne Rihanna issue de son sixiÚme album studio Talk That Talk sorti en novembre 2011. La chanson est écrite par Rihanna, Candice Pillay, D. Loernathy, Shondrae Crawford, elle est réalisée par Bangladesh.

Cockiness (Love It)
Chanson de Rihanna
extrait de l'album Talk That Talk
Sortie
Enregistré 2011
Sofitel Paris Le Faubourg, Chambre 538, Paris, France[1]
Durée 2:58
Genre Dancehall, reggae, dubstep
Auteur-compositeur Rihanna, Candice Pillay, D. Abernathy, Shondrae Crawford
RĂ©alisateur Bangladesh
Label Def Jam Recordings

Pistes de Talk That Talk

Les paroles de la chanson comportent des jeux de mots sur le sexe oral. En omettant la fin du mot « Cockiness », apparaßt le mot « cock » qui signifie « pénis » en anglais. Plusieurs versions de travail sont nécessaires avant d'arriver à la chanson enregistrée par Rihanna. DÚs l'écriture du titre, Bangladesh pense à Rihanna comme interprÚte. Musicalement, Cockiness (Love It) est une chanson au style dubstep et dancehall. L'instrumentation est agrémentée d'onomatopées, de percussions et une section de cuivres.

À la suite de la sortie de Talk That Talk, Cockiness (Love It) a eu un accueil critique mitigĂ©. Certains jugent la chanson mĂ©morable et jugent positivement la structure de la composition, d'autres reprochent la prĂ©sence de contenu Ă  caractĂšre ouvertement sexuel. AprĂšs la sortie de l'album Talk That Talk, la chanson s'est classĂ©e dans quelques pays, comme la CorĂ©e du Sud, le Royaume-Uni et les États-Unis. Le 6 septembre 2012 sort un remix de la chanson avec le rappeur amĂ©ricain ASAP Rocky. Il s'agit du sixiĂšme single extrait de l'album Talk That Talk. La chanson est interprĂ©tĂ©e lors des MTV Video Music Awards 2012.

DĂ©veloppement

Rihanna en concert Ă  Paris en 2011.
Rihanna en concert à Paris en 2011. C'est au cours d'un séjour parisien que la chanson a été enregistrée à l'hÎtel Sofitel Paris Le Faubourg.

Cockiness (Love It) est écrite par Candice Pillay, D. Abernathy, Shondrae Crawford et Robyn Fenty avec pour réalisateur artistique Bangladesh[1]. Dans une interview pour MTV, Bangladesh explique qu'il pense à Rihanna comme interprÚte dÚs le début du développement de la chanson[2]. Il explique que de nombreuses versions se sont succédé avant d'inclure la version finale de la chanson sur Talk That Talk. Cockiness (Love It) contient des échantillonnages que le réalisateur possédait depuis longtemps, et qu'il ne voulait pas gùcher[2]. Bangladesh décrit le développement et l'écriture de Cockiness (Love It) ainsi :

« J'étais à Los Angeles, et je venais juste de finir de composer le titre, le découper, faire le rythme. Mes auteurs Candice Pillay et Dem Jointz ont écrit les paroles. Ce n'était pas Cockiness[Note 1] au début. Il y avait le I Love It[Note 2]. [Ils] sont venus avec cette partie en premier, et ils étaient sur ce thÚme là. C'était juste une idée. J'ai commencé à faire un nouveau rythme, avec ce qu'ils avaient écrit ce jour-là, ce n'était pas une démarche toute tracée. Quelques jours plus tard, ils ont retravaillé la chanson et c'est devenu Cockiness[2]. »

— Bangladesh

AprĂšs avoir fini l'Ă©bauche de la chanson, Bangladesh dĂ©crĂšte qu'il patientera jusqu'Ă  trouver le bon artiste pour interprĂ©ter la chanson. Il pense Ă  Rihanna. Cette derniĂšre aime la chanson, et Bangladesh termine la rĂ©alisation artistique[2]. La chanson est enregistrĂ©e au cours d'un sĂ©jour en France Ă  l’hĂŽtel Sofitel Paris Le Faubourg[1].

Composition et analyse des paroles

Cockiness (Love It) est une chanson au style dubstep, reggae et dancehall[3] - [4] - [5]. Elle contient des chƓurs dancehall et un pont musical rappĂ© par Rihanna[3] - [4]. Claire Suddath de Time Entertainment relĂšve que le dĂ©bit des paroles de Rihanna est si rapide que celui-ci devient le rythme de base de la chanson[6]. L'instrumentation de Cockiness (Love It) est composĂ© d'onomatopĂ©es, de percussions et d'une section de cuivres[7].

Les paroles de la chanson font rĂ©fĂ©rences au sexe oral[8] oĂč Rihanna chante d'une façon moqueuse, et prend plaisir Ă  taquiner son auditeur[9]. T'Cha Dunlevy de The Gazette compare le ton sarcastique des paroles « Suck my cockiness/Lick my persuasion », qui signifie en français littĂ©ral « Suce ma suffisance/LĂšche ma persuasion », Ă  la chanson de Britney Spears If U Seek Amy (2009)[3]. Jack Parker de Madmoizelle relĂšve que Cockiness (Love It) est « un hymne au sexe, avec des petits jeux de mots habiles dissĂ©minĂ©s çà et lĂ  – comme dans le refrain avec « Suck my cockiness », qui se traduit par « suce mon insolence » ». Elle poursuit qu'en omettant la fin du mot « Cockiness », cela fait « cock » ce qui signifie « pĂ©nis » en anglais. Ainsi, elle explique le caractĂšre sexuel de la chanson par les paroles « suce ma bite »[10]. Jason Lipshutz du Billboard note que la voix de Rihanna sur les paroles « I love it, I love it, I love it when you eat it », qui signifie en français « J'aime ça, J'aime ça, J'aime ça, J'aime ça quand tu la manges », dĂ©montre son dĂ©sir sexuel, tandis qu'il Ă©crit ironiquement qu'« il est presque sĂ»r qu'elle ne parle pas de la tarte qu'elle n'a pas fini au diner[11]. » James Montgomery de MTV indique que pour lui les paroles, « Suck my cockiness/Lick my persuasion », constituent la meilleure accroche de 2011, avant mĂȘme les paroles de Heavy Metal Lover (2011) de Lady Gaga et « I want your whiskey mouth/All over my blond south » qui signifie en français « Je veux ta bouche pleine de whisky/Sur mon sud blond[7]. »

Accueil

Accueil critique

L'accueil de la chanson par la critique musicale est mitigé à la sortie de l'album Talk That Talk.

Andy Kellman d'AllMusic loue la chanson et la qualifie d'« une des plus hypnotiques » et souligne « son rythme malicieux », l'un des meilleurs « de la dĂ©cennie[9]. » Priya Elan de NME dĂ©crit les paroles « Suck my cockiness, [lick] my persuasion » comme Ă©tant « humiliantes », bien qu'elle apprĂ©cie la composition musicale, en Ă©crivant que la chanson provoque un « vĂ©ritable frisson Ă©lastique[12]. » Randell Roberts de Los Angeles Times dĂ©crit Cockiness (Love It) et un interlude de l'album, Birthday Cake, comme « les seins et les fesses » de Talk That Talk mais note qu'« ils n'ont pas rĂ©ussi Ă  capturer la grivoiserie qu'ils visent Ă  atteindre » dans la chanson[13]. Melissa Maerz d’Entertainment Weekly Ă©crit que les chansons Cockiness (Love It) et Birthday Cake sont les plus provocantes de l'album. Elle les dĂ©crit comme des chansons au thĂšme « J'aime-m'envoyer-en-l'air ». Finalement, pour la critique, il s'agit de chansons « de remplissage »[14].

Jon Caramanica de The New York Times, trouve que Rihanna tente d'imiter la chanteuse suédoise Neneh Cherry sur Cockiness (Love It) avec une interprétation « pseudo-mélodique », avant de faire l'éloge de la chanson, la qualifiant de « triomphe »[15]. Malgré ses préoccupations pour le jeune public à l'égard des paroles à caractÚre sexuel, le critique de Flavour apprécie la production de Bangladesh sur le titre[16]. Pip Ellwood d'Entertainment-Focus relÚve que la chanson, et Birthday Cake, « ne nous laissent aucun malentendu sur le fait que Rihanna n'a jamais été autant sexuelle depuis le début de sa carriÚre[17]. » Arwa Haider du quotidien britannique Metro écrit que l'on s'attend aux paroles « obscÚnes »[18]. Nathan S. de DJ Booth note que la chanson est « de loin la chanson de l'album la plus explicite » et qu'il la liste avec Watch n'Learn comme les deux meilleures chansons de l'album Talk That Talk pour lui[19].

Lindsay Zoladz de Pitchfork est critique sur la chanson en Ă©crivant que « Rihanna a toujours parlĂ© de sexe dans ses chansons – elle n'a cependant jamais montrĂ© une telle propension pour des paroles maladroites et des mĂ©taphores sexuelles sur les amants d'un soir[20]. » Jonathan Hamard de Charts in France note que « la quasi-totalitĂ© des textes Ă©voque le sexe et les relations amoureuses »[21]. Tuyet Nguyen de The A.V. Club fait remarquer que mĂȘme si Rihanna Ă©voque un appel « torride » pendant les couplets, il critique la chanteuse pour son chant « froid, impassible »[22]. Simon Price de The Independent partage la mĂȘme opinion que Nguyen expliquant que « c'est dommage que [le titre], comme toutes les autres chansons de Rihanna, soit livrĂ© avec une voix qui donne l'impression de s'ennuyer, comme une hĂŽtesse de tĂ©lĂ©phone rose se limant les ongles[23]. »

Giovanny Caquias de CultureBlues exprime sa dĂ©testation pour la chanson au regard de son message cru, expliquant qu'elle est dĂ©pourvue de « subtilitĂ© » et qu'elle aurait pu ĂȘtre remplacĂ©e « par un clip audio de la chambre de Rihanna un samedi soir[24]. » Adrian Thrills du Daily Mail trouve la chanson « difficilement subtile » lorsque Rihanna demande Ă  l'auditeur d'ĂȘtre son « esclave sexuel[25]. » Mike Diver critique la prĂ©sence de la chanson sur l'album[26].

Ventes et classements

AprĂšs la sortie de l'album Talk That Talk, la chanson s'est classĂ©e dans plusieurs pays, Ă  la 62e place du classement des titres internationaux en CorĂ©e du Sud le 26 novembre 2011 avec 6 918 ventes par tĂ©lĂ©chargement[27]. Au Royaume-Uni, Cockiness (Love It) dĂ©bute Ă  la 33e classement des titres R&B le 27 novembre 2011[28]. Le titre est Ă©galement Ă  la 121e place dans la classement des ventes de titres du Royaume-Uni le 3 dĂ©cembre 2011[29]. Aux États-Unis, la chanson se classe dans le Billboard Bubbling Under Hot 100 Singles Ă  la 17e place le 10 dĂ©cembre 2011[30]. Elle s'Ă©coule aux États-Unis au total Ă  500 000 exemplaires et est certifiĂ© disque d'or par la RIAA[31].

Classements

Classement (2011) Meilleure
position
Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud (Titres internationaux)[27] 62
Drapeau des États-Unis États-Unis (Bubbling Under Hot 100 Singles)[30] 17
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni (UK R&B Chart)[28] 33
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni[29] 121

Certifications

RĂ©gion CertificationVentes/Streams
Drapeau des États-Unis États-Unis (RIAA) Disque d'or Or[31] 500 000*

*Ventes selon la certification
^Mise en rayon selon la certification
xNon précisé par la certification

Interprétation en direct

Rihanna interprÚte Cockiness (Love It) pour la premiÚre fois sur BBC Radio 1 le 24 mai 2012 avec d'autres chansons[32]. Elle interprÚte avec ASAP Rocky un remix de la chanson pour ouvrir les MTV Video Music Awards 2012[33]. Au début de la prestation musicale, Rihanna est assise sur un trÎne juste devant la bouche d'un serpent géant. Les yeux du serpent ont des lasers verts [34] - [35]. Elle commence à chanter les paroles « I want you to be my sex slave » qui signifie en français « Je te veux comme esclave sexuel »[34]. Lorsque la chanteuse s'avance sur la scÚne, elle est rejointe par une douzaine de danseuses[34]. Le rappeur ASAP Rocky vient chanter son couplet[34]. La prestation se poursuit sur la chanson We Found Love dans le public[34] - [35]. La chanson fait partie du premier acte de sa tournée Diamonds World Tour[36].

Crédits

Crédits adaptés du livret de l'album Talk That Talk[1].

Personnes ayant participé
Enregistrement

Cockiness (Love It) (Remix)

Cockiness (Love It) (Remix)
Single de Rihanna featuring ASAP Rocky
extrait de l'album Talk That Talk
Sortie 6 septembre 2012
Enregistré 2011-2012
Sofitel Paris Le Faubourg, Chambre 538, Paris, France[1]
Durée 3:38
Genre Dancehall, reggae, dubstep
Auteur-compositeur Rihanna, Candice Pillay, D. Loernathy, Shondrae Crawford
RĂ©alisateur Bangladesh
Label Def Jam Recordings

Singles de Rihanna

Singles par ASAP Rocky

Cockiness (Love It) (Remix) est le sixiĂšme single musical extrait de l'album Talk That Talk de la chanteuse barbadienne Rihanna avec un featuring du rappeur amĂ©ricain ASAP Rocky. Le remix s'est vendu Ă  54 000 copies numĂ©rique aux États-Unis[37].

Accueil critique

Pour Jonathan Hamard de Charts in France, le remix de la chanson est rĂ©ussi car il « insuffle au titre un certain dynamisme » et « accentue son caractĂšre urbain et le rend plus entĂȘtant »[38].

Classement

Notes et références

Notes

  1. Cockiness peut se traduire en français par : Suffisance.
  2. I Love It peut se traduire en français par : J'aime ça.

Références

  1. Rihanna (2011). Livret de l'album de Talk That Talk par Rihanna [Compact Disc]. Def Jam, SRP Records.
  2. (en) Lewis Corner, « Rihanna perfect for 'Talk That Talk' track 'Cockiness', says producer », Digital Spy. Hachette Filipacchi UK,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  3. (en) Dunlevy T'Cha, « Review: Rihanna's Talk That Talk », The Montreal Gazette, Alan Allnutt,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  4. (en) Kyle Jarmon, « 'Talk That Talk' - Rihanna album review », ParlĂ©, ParlĂ© Magazine,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  5. (en) Amy Sciarretto, « Rihanna, ‘Talk That Talk’ – Album Review », Popcrush,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  6. (en) Claire Suddath, « Music Monday: Rihanna's Talk That Talk », Time Entertainment,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  7. (en) James Montgomery, « Rihanna's Talk That Talk: Bad Girl Goes Even Badder », MTV, Viacom,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  8. (en) « Hear Rihanna’s “Talk That Talk” (Featuring Jay-Z) And “Where Have You Been” », Idolator,‎ (lire en ligne)
  9. (en) Andy Kellman, « Talk That Talk – Rihanna », Allmusic, Rovi Corporation,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  10. Jack Parker, « Talk That Talk, le nouveau Rihanna dĂ©cortiquĂ© », Madmozelle,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  11. (en) Jason Lipshutz, « Rihanna, 'Talk That Talk': Track-By-Track Review », Billboard, Prometheus Global Media,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  12. (en) Priya Elan, « Album Review: Rihanna – 'Talk That Talk' », NME, IPC Media,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  13. (en) Randall Roberts, « Album review: Rihanna's 'Talk That Talk' », Los Angeles Times, Tribune Company,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  14. (en) Melissa Maerz, « Talk That Talk review – Rihanna Review », Entertainment Weekly, Time Inc,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  15. (en) Jon Caramanica, « Rihanna’s ‘Talk That Talk’ Synth-Perfect for an Earlier Time », The New York Times, The New York Times Company,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  16. (en) « Flavour Review: Rihanna – ‘Talk That Talk’ », Flavour Magazine,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  17. (en) Pip Ellwood, « Rihanna - Talk That Talk », Entertainment-Focus,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  18. (en) Arwa Haider, « Rihanna's Talk That Talk doesn't quite pull off the blend of smut and pop », Metro, Associated Newspapers,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  19. (en) S. Nathan, « Rihanna - Talk That Talk », DJ Booth,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  20. (en) Lindsay Zoladz, « Rihanna – Talk That Talk – Review », Pitchfork,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  21. (en) « Rihanna : "Talk That Talk", son nouveau cru », Charts in France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  22. (en) Tuyet Nguyen, « Rihanna - Talk That Talk », The A.V. Club, The Onion, Inc.,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  23. (en) Price Simon, « Album: Rihanna, Talk That Talk (Mercury) », The Independent, Independent Print Limited,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  24. (en) Giovanny Caquis, « Album Review: "Talk That Talk" – Rihanna », CultureBlues,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  25. (en) Adrian Thrills, « It seems even pop's most provocative princess is a romantic at heart... Rihanna reveals she just wants love », Daily Mail, Associated Newspapers,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  26. (en) Mike Diver, « Rihanna Talk That Talk Review », BBC Music. BBC,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  27. (en) « South Korea Gaon International Chart (Week: November 20, 2011 to November 26, 2011) », sur Gaon Chart (consulté le )
  28. (en) Archive Chart. UK R&B Chart. The Official Charts Company. Consulté le 27 novembre 2011.
  29. (en) « UK Singles Chart: CLUK Update (3.12.2011 – week 48) », sur Zobbel.de (consultĂ© le )
  30. (en) « Bubbling Under Hot 100 Singles – Issue Date: 2011-12-10 (Enregistrement requis) », sur Billboard.biz (consultĂ© le )
  31. (en) « Gold & Platine », sur RIAA.com (consulté le )
  32. (en) « Rihanna - Set list », sur BBC, (consulté le )
  33. « Rihanna : "Cockiness (Love It)" feat A$AP Rocky, le single trĂšs sexe », Jeux Actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  34. (en) Scott Shetler, « Rihanna Kicks Off 2012 MTV VMAs With ‘Cockiness’ and ‘We Found Love’ », PopCrush,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  35. Jonathan Hamard, « Rihanna a ouvert la cĂ©rĂ©monie des MTV VMA's avec son nouveau single "Cockiness (Love It)" », Charts in France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  36. (en) Mick Stingley, « Rihanna Finds Her Voice as 'Diamonds' Tour Shines In Hartford », Bilboard,‎ (lire en ligne)
  37. Keith Caulfield, « A$AP Rocky Debuts at No. 1 on Billboard 200 Albums Chart », Billboard,‎ (lire en ligne)
  38. Jonathan Hamard, « Rihanna : son nouveau single "Cockiness (Love it)" feat. A$AP Rocky », Charts in France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  39. (en) Rihanna - Chart history – Billboard. Billboard Canadian Digital Song. Prometheus Global Media.
  40. (en) Rihanna - Chart history – Billboard. Billboard Bubbling Under Hot 100. Prometheus Global Media.
  41. (en) Rihanna - Chart history – Billboard. Billboard Digital Songs. Prometheus Global Media.

Liens externes

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