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Claude LĂ©onard

Claude Léonard, né le à Nancy (Meurthe-et-Moselle), est un homme politique français.

Claude LĂ©onard
Illustration.
Fonctions
Président du conseil
départemental de la Meuse
–
(6 ans, 2 mois et 29 jours)
Élection
Prédécesseur Christian Namy
Successeur JĂ©rĂ´me Dumont
Conseiller général puis départemental
de la Meuse
–
(13 ans, 3 mois et 15 jours)
Élection
RĂ©Ă©lection
Circonscription Canton de Montmédy
Prédécesseur Claude Biwer
Successeur Pierre-Emmanuel Focks
Sénateur français
–
(7 mois et 14 jours)
Circonscription Meuse
Prédécesseur Gérard Longuet
Successeur GĂ©rard Longuet
–
(6 mois et 2 jours)
Circonscription Meuse
Prédécesseur Gérard Longuet
Successeur GĂ©rard Longuet
Maire de Montmédy
–
(25 ans et 3 jours)
Élection 13 mars 1983
RĂ©Ă©lection 19 mars 1989
18 juin 1995
18 mars 2001
Prédécesseur Gilbert Parentin
Successeur Yves Lecrique
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Nancy (France)
Nationalité Français
Parti politique RPR
UMP
LR
Profession Médecin généraliste
Religion Catholicisme

Claude LĂ©onard

Biographie

Claude Léonard devient maire de Montmédy à la suite des municipales de 1983 et est réélu jusqu'en 2008. Il est élu conseiller général de la Meuse dans le canton de Montmédy lors des élections cantonales de 2008.

Suppléant de Gérard Longuet lors des sénatoriales de 2001, il devient sénateur de la Meuse le , un mois après l'entrée de celui-ci dans le gouvernement Fillon III[1]. Claude Léonard siège au groupe UMP et à la commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat.

Son mandat de sénateur prend fin le , à la suite des élections sénatoriales, lors desquelles Gérard Longuet est réélu. Celui-ci conservant ses fonctions ministérielles, Claude Léonard redevient sénateur de la Meuse le . Apparenté au groupe UMP, il est membre de la commission des affaires sociales du Sénat. En , il est nommé vice-président de la commission d'enquête sénatoriale sur le coût réel de l'électricité afin d'en déterminer l'imputation aux différents agents économiques.

Il est candidat lors des Élections législatives françaises de 2012 dans la 2e circonscription de la Meuse. Il passe le premier tour en seconde position avec 25,91 % derrière le député PS sortant Jean-Louis Dumont puis il est battu par ce dernier au second tour, réalisant le score de 48,5 %.

En , il est élu Conseiller départemental du canton de Montmédy en binôme avec Dominique Aarnink-Géminel. Le , il succède à Christian Namy à la tête de l'exécutif meusien et devient Président du Conseil départemental de la Meuse.

En , il se présente aux suffrages des grands électeurs Meusiens dans le cadre des élections sénatoriales. Alors conforté avec Gérard Longuet, il perd au second tour face à la stratégie de Christian Namy, sénateur sortant, qui formait le ticket avec Franck Menonville. En effet, Christian Namy décide de se retirer du scrutin pour laisser place à son jeune poulain. Stratégie gagnante car Franck Menonville récupère 127 voix... devançant Claude Léonard.

Sa politique au sein du Département de la Meuse est vivement critiquée : manque d'investissement face à un budget fragile, fermeture programmée de 5 collèges (Bar-le-Duc, Verdun, Dun-sur-Meuse, Varennes-en-Argonne et Montiers-sur-Saulx). Sur ces cinq établissements, seuls 2 fermeront : deux ayant été sauvés par les négociations (Bar-le-Duc et Verdun), et celui de Varennes reste en place grâce à l'action des citoyens, des parlementaires opposés à la fermeture. Ainsi, la préfète en place déboute l'arrêté du Président de Département et décide de ne fermer que deux établissements.

À noter que c'est une première, une préfète qui déboute une décision de conseillers départementaux prise à la majorité.

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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