Clément Thibault

Clément Thibault suit des études de management des activités culturelles et créatrices à la Toulouse Business School[2] puis d'histoire de l'art à l'université Lille-III[3], avant d'assister la commissaire d'exposition Laurence Dreyfus (2013)[2], puis de devenir rédacteur en chef d'Art Media Agency (2015-2016)[2]. Il travaille désormais comme indépendant.

Critique d'art et commissaire d'exposition indépendant, il publie dans diverses revues spécialisées (Art Absolument, Possible, Art Media Agency, Modern Art, Critique d'art, Mowwgli, Jeunes Critiques d'art, etc.[2] - [4] - [5] - [6]) et participe régulièrement à des monographies d'artistes et catalogues d'expositions, par exemple sur le travail de Wahib Chehata[7] - [8], Fred Forest[9] - [10], Vladimír Škoda[11] ou Lucien Murat[12].

Il enseigne également l'histoire de l'art numérique ou l'histoire de l'art moderne et contemporain dans des écoles de management de la culture (ICART[2], IESA[13], EAC[2]), de code et de game design (42, ICAN[4]).

Il siège au conseil d'administration du Cube[7] et a été membre du jury du Salon de Montrouge de 2020[14].

Il est membre de l'Association internationale des critiques d'art (AICA)[15], de c-e-a[4] et du collectif Jeunes critiques d'art[16].

Clément Thibault développe une approche transversale qui balaye un champ large de la création, de l'art africain traditionnel à l'art numérique.

Ses recherches autour de l'image s'articulent autour de thématiques telles que l'ésotérisme, la magie, le soin ou encore le chamanisme[1] - [4].