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Christian Chamborant

Eugène Christian Chamborant, né à Paris 20e le [1] et mort à Paris 8e le [2], est un réalisateur français.

Christian Chamborant

Biographie

Avant de devenir metteur en scène[3], Christian Chamborant avait débuté à la Paramount en 1929 pour diriger le service des documentaires. Il travailla entre autres pour la société de production de Pierre Caron qui lui fera faire ses premiers pas sur les plateaux de cinéma à partir de 1936.

En 1940, il reprend la direction du Théâtre des Optimistes, créé l'année précédente par Maurice Lehmann rue de Gramont, où il fera de la mise en scène de revues et d'opérettes[4]. Après la guerre, il poursuivra sa carrière de réalisateur avant de mettre fin à ses jours une semaine avant la sortie en salle de son dernier film.

Cinéma

Comme documentariste

Comme monteur

Comme directeur de production

comme assistant-réalisateur

Comme réalisateur

Notes et références

  1. Acte de naissance no 2479 (vue 24 / 31) avec mentions marginales des mariages et du décès. Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 20e arrondissement, registre des naissances de 1892.
  2. Acte de décès n° 755 (vue 17/23). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 8e arrondissement, registre des décès de 1948.
  3. Spectacles. Pour ses débuts dans la mise en scène, Christian Chamborant va tourner deux films. L'Intransigeant, 23 mai 1940, p. 4, lire en ligne sur Gallica.
  4. Les spectacles. La scène, l'écran ou la double activité de Christian Chamborant. L'Auto, 2 septembre 1941, p. 4, lire en ligne sur Gallica.
  5. Les studios Paramount présentent une magnifique série de documentaires sur la beau pays de France, réalisés par Christian Chamborant. Les Jeunes, 26 février 1933, p. 125, lire en ligne sur Gallica.
  6. La Cathédrale. Le Petit Parisien, 28 septembre 1934, p. 6, lire en ligne sur Gallica.
  7. Spectacles. Une comédie musicale tirée de "Miquette et sa mère". L'Intransigeant, 30 décembre 1939, p. 4, lire en ligne sur Gallica.
  8. Spectacles. Le premier film depuis quatre mois. C'est Miquette et sa mère que vient de commencer Jean Boyer. L'Intransigeant, 11 janvier 1940, p. 4, lire en ligne sur Gallica.
  9. Cinéma. Police mondaine. Le Peuple, 16 avril 1937, p. 2, lire en ligne sur Gallica.

Voir aussi

Bibliographie

Lien externe

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