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Chemin de la Salade-Ponsan

Le chemin de la Salade-Ponsan (en occitan : camin de la Salada Ponsan) est une voie publique de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France. Elle traverse les quartiers de Rangueil et Jules-Julien, tous deux dans le secteur 5 - Sud-Est.

Chemin de la Salade-Ponsan
Situation
CoordonnĂ©es 43° 34′ 20″ nord, 1° 26′ 59″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
MĂ©tropole Toulouse MĂ©tropole
Ville Toulouse
Quartier(s) Rangueil et Jules-Julien (secteur 5)
DĂ©but Chemin du Vallon et avenue du Professeur-Joseph-Ducuing
Fin no 35 rue Saint-Roch et no 31 impasse Saint-Roch
Morphologie
Type Route
Longueur 1 843 m
Largeur m
Odonymie
Anciens noms Chemin de Pouvourville (XVIIe siècle-1936)
Vieux-chemin de Vieille-Toulouse (XVIIe siècle-1936)
Chemin de la Salade (XVIIe siècle-1936)
Nom actuel 1936
Nom occitan Camin de la Salada Ponsan
Notice
Archives 315556428802
GĂ©olocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Chemin de la Salade-Ponsan
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Chemin de la Salade-Ponsan

Situation et accès

Description

Le chemin de la Salade-Ponsan est une voie publique. Il correspond à une partie de l'ancien chemin vicinal 52, du Férétra à Pouvourville (actuels rue Saint-Roch, chemin de la Salade-Ponsan et chemin du Vallon).

Voies rencontrées

Le chemin de la Salade-Ponsan rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Chemin du Vallon (g)
  2. Avenue du Professeur-Joseph-Ducuing (d)
  3. Rue Maurice-BĂ©canne (d)
  4. Rue Henri-Sahuqué (d)
  5. Rue des GĂ©raniums (d)
  6. Chemin des Oliviers (g)
  7. Rue des Edelweiss (d)
  8. Rue des Pivoines (d)
  9. Rue Thomas-Edison (g)
  10. Avenue des Coteaux (d)
  11. Rue Charles-Lecocq (g)
  12. Rue du Pouset (d)
  13. Rue Gustave-Courbet (g)
  14. Rue Louis-Eydoux (d)
  15. Rue Lefranc-de-Pompignan (g)
  16. Rue du Bon-Voisin (d)
  17. Rue Pech-David (d)
  18. Rue Jean-de-Boyssonné (g)
  19. Rue de la Charbonnière (g)
  20. Rue Alfred-Rambaud (g)
  21. Rue Saint-Roch (g)
  22. Impasse Saint-Roch (d)

Transports

Le chemin de la Salade-Ponsan est parcouru et desservi sur presque toute sa longueur, entre le chemin du Vallon et la rue de la Charbonnière, par la ligne de bus Liste des lignes de bus de Toulouse54​​​​​​​​​​​​​​​. Sur sa dernière partie, entre la rue de la Charbonnière et la rue Saint-Roch, le chemin est finalement parcouru et desservi par la ligne de bus Liste des lignes de bus de Toulouse115​​​​​​​​​​​​​​​. Les stations de métro les plus proches sont, au sud, la station Université-Paul-Sabatier et, au nord, la station Saint-Agne - SNCF, sur la ligne Métro de Toulouse Ligne B du métro de Toulouse.

Les stations de vélos en libre-service VélôToulouse les plus proches sont les stations no 160 (21 avenue des Écoles-Jules-Julien) et no 280 (Rue de la Charbonnière).

Odonymie

Le chemin de la Salade-Ponsan tient son nom de fourches patibulaires ou d'un gibet (salada en occitan médiéval), qui se trouvait à proximité de la ferme Ponsan[1]. L'impasse Camille-Matignon portait d'ailleurs, jusqu'en 1937, le nom de chemin Ponsan[2]. Ce nom de « salade » se retrouve d'ailleurs pour la place de Salade – la barrière de Paris –, au nord de la ville, au débouché de la route de Paris (actuelle avenue des États-Unis). La « salade » Ponsan se trouvait, quant à elle, au carrefour du chemin Saint-Roch (actuelle impasse Saint-Roch) et du Grand-Chemin royal (actuelles avenue Jules-Julien et route de Narbonne)[3].

Le chemin était également connu, comme la rue Saint-Roch, qui le prolonge au nord, et, comme le chemin de Pouvourville qui le prolonge au sud, comme le chemin ou le petit-chemin de Pouvourville. Il permettait en effet, en s'élevant doucement depuis la route de Narbonne, de rejoindre le village de ce nom[4]. C'était également le vieux chemin de Vieille-Toulouse puisqu'il servait d'itinéraire pour atteindre le village de Vieille-Toulouse, perché sur les coteaux[5].

Notes et références

  1. Salies 1989, vol. 2, p. 448.
  2. Salies 1989, vol. 2, p. 294.
  3. Salies 1989, vol. 2, p. 447.
  4. Salies 1989, vol. 2, p. 307.
  5. Salies 1989, vol. 2, p. 567.

Voir aussi

Bibliographie

Article connexe

Liens externes

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