Brown Eyed Girl (chanson)
Brown Eyed Girl est une chanson de l'auteur-compositeur-interprète nord-irlandais Van Morrison sortie en 1967. Elle est parue en single[1] et ensuite sur le premier album solo de Van Morrison, Blowin' Your Mind!, sorti en septembre de cette même année.
| Face B | Goodbye Baby |
|---|---|
| Sortie | |
| Enregistré |
A & R, New York |
| Durée | 2:53 |
| Genre | pop rock |
| Format | single 7" 45 tours |
| Auteur | Van Morrison |
| Producteur | Bert Berns |
| Label |
London (Royaume-Uni) Bang (États-Unis) |
Singles de Van Morrison
Clip vidéo
[vidéo] Brown Eyed Girl (audio) sur YouTube
La chanson fut un tube pendant « l'été de l'amour » (l'été de 1967)[2]. Sur le Hot 100 du magazine américain Billboard, elle a culminé à la 10e place pour la semaine du [3].
Accolades
Le single original américain de Van Morrison, publié sur le label Bang Records en 1967, fut inscrit au Grammy Hall of Fame en 2007[4].
La chanson fut aussi incluse dans la sélection des « 500 chansons qui ont façonné le rock 'n' roll » (500 Songs that Shaped Rock and Roll) du Rock and Roll Hall of Fame[5].
La chanson est classée à la 110e place sur la liste des « 500 plus grandes chansons de tous les temps » selon le magazine musical Rolling Stone[6].
Personnel
- Van Morrison – chant, chœurs
- Eric Gale - guitare solo
- Hugh McCracken - guitare rhythmique
- Al Gorgoni - guitare acoustique
- Russ Savakus – basse
- Garry Sherman - orgue
- Gary Chester – batterie
- The Sweet Inspirations – chœurs
- Cissy Houston
- Sylvia Shemwell
- Estelle Brown
- Myrna Smith
Notes et références
- Rogan, No Surrender. p.201
- « Brown Eyed Girl by Van Morrison Songfacts », Songfacts (consulté le )
- « Van Morrison Brown Eyed Girl Chart History », Billboard (consulté le )
- « GRAMMY Hall Of Fame », GRAMMY.org (consulté le )
- (en) « Experience The Music: One Hit Wonders and The Songs That Shaped Rock and Roll » [archive du ], The Rock and Roll Hall of Fame and Museum (consulté le )
- (en) « Van Morrison, 'Brown Eyed Girl' | 500 Greatest Songs of All Time », Rolling Stone, (consulté le )