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Borghild Arnesen

Borghild Arnesen née le à Sarpsborg (Norvège) et morte le à Oslo est une artiste peintre et orfèvre norvégienne.

Borghild Arnesen
Naissance
Décès
(Ă  78 ans)
Oslo
Nationalité
Activité
Formation
Maître
Mouvement

Biographie

Arrivée à Paris, Borghild Arnesen fréquente l'Académie Delécluse de 1895 à 1898 au 84, rue Notre-Dame-des-Champs. Vers le mois de , elle se présente chez Armand Point qui dirige le logis de Haute Claire à Marlotte. Elle devient son élève, puis sa maîtresse.

Avec Armand Point, elle traduit Voelund, le forgeron, un drame en 4 actes d'Holger Drachmann en 1900. La même année, elle obtient une mention honorable à l'Exposition universelle à Paris.

Elle participe Ă  l'Internationale Kunstausstellung de Dresde en 1901, ainsi qu'au Salon d'automne en 1904 et 1905.

Elle travaille le cuivre repoussé.

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Salons et expositions

  • 1897-1899 : Hostuts, Oslo
  • 1899 : Salon du Champ-de-Mars, Paris
  • 1900 : Exposition universelle de Paris
  • 1901 : Internationale Kunstausstellung de Dresde
  • 1901 : Hostuts, Oslo
  • 1903 : Atelier Haute Claire,
  • 1903 : Blomqvists Kunsthandel, Oslo
  • 21 mai 1904 : exposition avec Viala[1]
  • 1904 : Atelier Haute Claire
  • 1904 : Hostuts, Oslo
  • 1904 : Hallens Kunstandel, Stockholm
  • 1904 : Salon d'automne, Paris
  • 1905 : Salon d'automne, Paris
  • 1905 : exposition Ă  Hambourg
  • 1905 : Hostuts, Oslo
  • 1906 : Hans Wertheim, Berlin
  • 1906 : Art Kristiana
  • 1907 : Norks Kunstindustri, Kristiana
  • 1909 : galerie Georges Petit, Paris
  • 1911 : Blomqvists Kunsthandel, Oslo
  • 1923 : Salon des artistes français, Paris
  • 1927 : exposition Ă  Paris
  • 1928 : Blomqvists Kunsthandel, Oslo
  • 1946 : Blomqvists Kunsthandel, Oslo.

RĂ©ception critique

  • Gabriel Boissy « Elle possède un mĂ©tier sĂ©vère- pas assez fĂ©minin, mais elle manque d'imagination. Il faut la louer beaucoup pour son Page qui veut ignorer les contradictions plastiques entre l'Allemagne et l'Italie, la louer encore pour ses portraits, et moins pour ses IntĂ©rieurs. Il lui serait profitable de serrer son exĂ©cution et son dessin dans l'objet d'art par crainte de la dinanderie, et , dans sa faune de ne pas sacrifier le rythme Ă  la fantaisie. Son Coffret est une erreur parce que sur une faune moyen ageuse, courent en motifs d'ornements les plus bizarres, mĂ©nageries, ils sont en desharmonie avec l'Ă©lĂ©vation gĂ©omĂ©trale. Mademoiselle Arnesen oublie que le contrepoint est plus dangereux que la composition originale, ainsi son Miroir, et ses Boucles d'oreilles, personnels et sobres sont parmi ses meilleurs essais[2]. »

Notes et références

  1. Roger Marx, La chronologie des arts et de la curiosité, n°21, 21 mai 1904.
  2. Gabriel Boissy, Le Thyrse, t.V, juin 1903-mai 1904.

Annexes

Bibliographie

  • Dictionnaire BĂ©nĂ©zit.
  • Akoun, La cote des peintres.
  • StĂ©phane Laurent, « Armand Point. Un art dĂ©coratif symboliste Â», Revue de l'Art, n°116, 1997, pp. 89-94.
  • S. Merriell, La Plume, Paris, 1904.
  • Marguerite V., Marguerite P., La Vie Heureuse, Paris, 1904.
  • Chronique des Arts, Paris, 1904, s. 171.

Liens externes

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