Bonnes villes d'Auvergne
Les treize bonnes villes de Basse-Auvergne rejoignent le camp de Charles VII lors de la Praguerie de 1440, en refusant d'ouvrir leurs portes aux rebelles. Privés de soutien, ceux-ci sont alors contraints de négocier le traité de Cusset.
Les bonnes villes[1] habilitées depuis 1398 pour représenter le tiers état de Basse-Auvergne sont :
- Aigueperse
- Auzon
- Billom
- Brioude
- Clermont
- Cusset
- Ébreuil
- Issoire
- Langeac
- Montferrand
- Riom
- Saint-Germain-Lembron
C'est seulement en 1588 que six nouvelles villes, renouvelables par moitié tous les six ans, sont autorisées à s'agréger aux treize autres :
- Ambert
- Arlanc
- Besse
- Combronde
- Courpière
- Ennezat
- La Tour
- Maringues
- Olliergues
- Ris
- Saint-Amant
- Sauxillanges
- Thiers
- Vic-le-Comte
Les six bonnes villes de Haute-Auvergne sont :
Notes et références
- Sur la notion de bonne ville, voir Michel François, « Les bonnes villes », Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 119, no 4, 1975, p. 551-560.
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.