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Association Alliance universelle

L’Alliance Universelle est une association culturelle crĂ©Ă©e en aoĂ»t 1983 et dirigĂ©e par la fille de Georges Roux, Jacqueline, jusqu’en 2017, date de son dĂ©cĂšs. Le prĂ©sident actuel est Pierre Moorkens.

Elle fait suite Ă  l’Église chrĂ©tienne universelle, association cultuelle que les tĂ©moins parisiens et toulonnais de Georges Roux, communĂ©ment surnommĂ© « le Christ de Montfavet », avaient fondĂ©e en 1952 (voir Historique).

Georges Roux se disait « Nouveau TĂ©moin du PĂšre » (Mission Divine, p 50), capable de guĂ©rir, lui ainsi que ses adeptes par ce qu’il a appelĂ© « le Verbe », charisme prĂ©tendant mettre Ă  la portĂ©e de l’homme l’expression de la prĂ©sence divine. Il promettait Ă  ses contemporains la « CitĂ© de Dieu [
] sur la Terre » (Mission Divine, p 207) s’ils correspondaient Ă  son Enseignement.

Dans les années 1950, des polémiques débouchant sur des procÚs eurent lieu à la suite de quatre décÚs prétendument sans soins (voir controverses et polémiques).

Historique

Georges Roux, est nĂ© le , Ă  Cavaillon, dans le Vaucluse. Son 1er prĂ©nom est Ernest, mais il a choisi le 2e, Georges (cf « Attestation d’hĂ©rĂ©ditĂ© » chez MaĂźtre Liffran, Cavaillon). Il accomplit son service militaire en Allemagne en 1923 lors de l'occupation de la Ruhr. Son pĂšre voulait faire de lui un ingĂ©nieur, mais il prĂ©fĂ©ra se prĂ©senter Ă  un concours des Postes.

La carriĂšre de postier de celui que la presse appellera plus tard « le facteur »[1] se dĂ©roule principalement de 1928 Ă  1933 Ă  Paris et de 1939 Ă  1953 Ă  Avignon, oĂč il occupera au tri postal les fonctions d'inspecteur-adjoint faisant office de chef de brigade[2]. Cet emploi aura seulement correspondu Ă  des besoins financiers ponctuels, car il Ă©tait « nanti d’une solide fortune personnelle »[3] et avait fait l'acquisition dĂšs 1933 d'une belle propriĂ©tĂ© Ă  Montfavet, prĂšs d'Avignon, aprĂšs une jeunesse parisienne dans les milieux artistiques.

Musicien averti, il avait fondĂ© un orchestre avec les laurĂ©ats du Conservatoire de la capitale sous la direction de Jack Zadikoff[2]. Sur le plan littĂ©raire, il avait abondamment Ă©crit mais encore rien publiĂ© : de la poĂ©sie (Le Cercle d'Airain, qui aurait retenu l’attention d’AndrĂ© Gide), du thĂ©Ăątre (dont Les Bienheureux, Le vent se lĂšve, La jetĂ©e et Scories) et des romans (dont Le toit de paille). Ces ouvrages seront publiĂ©s par la suite, dans les annĂ©es 70 (Georges ROUX Editeur).

Elizabeth Barbier dédicace le 1er tome de « Les gens de Mogador » (1947) à Jane et Georges Roux[4].

Il correspond et collabore avec Alice Cluchier, poétesse locale réputée. Il compose une mélodie sur son poÚme « Harmonie crépusculaire » (1946).

Ce document, comme une grande partie de ses Ɠuvres, est accessible au public grĂące Ă  un « Fonds Alliance Universelle, Georges ROUX (101 Z) », crĂ©Ă© le aux Archives de la ville d’Avignon.

En 1928, il se marie avec Jane Robert. Ils auront six enfants, Ă©levĂ©s dans les institutions religieuses avignonnaises. En 1947, il manifeste un  pouvoir de guĂ©rison[2] qu'il transmet Ă  ses proches. Sa maison devient alors soudainement le rendez-vous de malades innombrables, venant de la France et de l'Ă©tranger[5]. DĂšs 1949, il prĂ©sente son enseignement dans des ouvrages Ă  contenu spirituel.Il ira jusqu’à lancer, dans la revue Samedi-Soir[3], un « dĂ©fi Ă  la mĂ©decine » qui ne sera pas relevĂ©.

À partir de 1951, ses disciples organisent des rĂ©unions afin de dispenser l'enseignement de celui que l'on surnomme maintenant le « Christ de Montfavet Â». Ses enfants encore jeunes ayant Ă©tĂ© renvoyĂ©s des Ă©coles confessionnelles, Georges Roux dĂ©cide de fonder son propre mouvement. C'est ainsi que naĂźt l'Église chrĂ©tienne universelle, enregistrĂ©e en en tant qu’association cultuelle, auprĂšs de la prĂ©fecture de Paris, avant de l'ĂȘtre dans le Vaucluse[2].

En 1954, Georges Roux envoie plusieurs courriers au pape Pie XII pour que celui-ci le reconnaisse comme le « Christ re-manifestĂ© », mais celui-ci n'a pas donnĂ© suite Ă  ses lettres allant mĂȘme jusqu'Ă  l'accuser d'<< hĂ©rĂ©tique blasphĂ©mateur >>.

Il adresse aussi plusieurs lettres Ă  des cĂ©lĂ©britĂ©s de l’époque, dont certaines seront rendues publiques (Georges Duhamel, Louis Leprince-Ringuet, François Mauriac, Jean d’Ormesson
).

En 1955, ses disciples se présentent aux élections dans six départements et obtiennent environ 10 000 voix.

Les disciples de l'Église chrĂ©tienne universelle sont appelĂ©s, Ă  l'Ă©poque, les « TĂ©moins du Christ Â». Ils font preuve d'un prosĂ©lytisme inlassable jusqu'en 1980[6], date annoncĂ©e d'un grand renouveau millĂ©nariste[7] .

Georges Roux meurt le .

Le , aprĂšs dissolution de l'Église chrĂ©tienne universelle, est fondĂ©e l'Alliance universelle, association culturelle rĂ©gie par la loi de 1901. L'Eglise Universelle avait des centres par villes. Il n'y a qu'une "Alliance Universelle".

Doctrine

Elle trouve sa base dans les trois ouvrages[8] écrits par Georges Roux : Journal d'un guérisseur (1950), Paroles du Guérisseur (1950), et Mission divine (1951) ; puis dans un mensuel intitulé Messidor.

-      Journal d'un guĂ©risseur est une fiction situĂ©e au XIXe siĂšcle relatant les circonstances du « guĂ©rissage » Ă  caractĂšre mystique. La prĂ©face de l’ouvrage promet au lecteur qui le dĂ©sire de pouvoir rĂ©aliser Ă  son tour de telles guĂ©risons.

-      Paroles du guĂ©risseur dĂ©veloppe une forme d'enseignement autour de cette expĂ©rience.

-      Mission divine contient l’affirmation par l’auteur de l’origine divine de son message et son explication de la raison d’ĂȘtre de la CrĂ©ation.


-      La revue Messidor qui parait mensuellement, de 1951 au dĂ©but des annĂ©es 1980 relĂšve de ce type de spiritisme attestĂ© par le sociologue RĂ©gis Dericquebourg[2], en ce sens qu'elle prĂ©tend donner la parole Ă  certains ĂȘtres, dĂ©pouillĂ©s de leur corps mais encore vivants, selon l’Alliance Universelle, dans une suite de messages s'Ă©tendant sur plus de vingt annĂ©es.

Georges Roux affirme pour sa part ĂȘtre le « Masque » de Dieu (Messidor N°18). Il fait entendre progressivement que le « Verbe » se manifesterait par lui, pour expliciter ce qui fut rĂ©vĂ©lĂ© par les prĂ©cĂ©dentes interventions divines dont il dresse une liste qu’il dĂ©clare incomplĂšte : Krishna, Rāma, Zoroastre, Ormuzd, QuetzalcĂłatl, MoĂŻse et JĂ©sus. En clair, il est question d'incarnations divines.

Il exprime une critique des Églises chrĂ©tiennes, qui selon lui ont perdu au fil du temps leur sens premier[9]. Il adresse des courriers au pape Pie XII, pour un appel Ă  une prise de conscience du rĂŽle vĂ©ritable que devrait jouer l'Église pour faire de la Terre une « communion d'humains »[10]. Il explique Ă©galement l'incomprĂ©hension des hommes face au phĂ©nomĂšne christique[11] et au dogme sacrificiel, ainsi que « l'inexistence de Satan, du fait du libre choix de chacun face Ă  Dieu ».

À partir de 1965, le mythe millĂ©nariste de l'Ă©tablissement de la « CitĂ© fraternelle planĂ©taire » pour le au plus tard permit de serrer les rangs au long des quinze annĂ©es suivantes[2], mĂȘme si cela dĂ©boucha logiquement Ă  date Ă©chue sur une dĂ©mobilisation plus ou moins bien vĂ©cue. Georges Roux ne laisse pas de structures derriĂšre lui mais un hĂ©ritage intellectuel , spirituel et humain (les « Sentiments Humains », selon la littĂ©rature de l'Alliance).

Pratiques

Les assemblĂ©es actuelles de l'Alliance universelle, hebdomadaires, sont nommĂ©es « Communions de l'Esprit Â». Elles consistent en Ă©changes entre participants et dans l'accueil du « Verbe Â». Le « Verbe » serait l’expression orale de Dieu par l’homme, les paroles que souhaiterait nous adresser le « PĂšre divin ».  

Une pratique alimentaire principalement végétarienne est conseillée, consommée crue de préférence[9]. Est pointée, depuis avant 1950 la nocivité de l'alcool, du café, du thé, des conserves et des graisses cuites ; ainsi que celle des drogues et du tabac.

Pour le « traitement » de la maladie, la recherche et la rĂ©solution de la cause du mal, aidĂ©es par l'accueil du « Verbe » (cf supra) sont prĂ©conisĂ©es. En cas de nĂ©cessitĂ©, rien n'interdit le recours Ă  la mĂ©decine et aux mĂ©dicaments. Extrait de l’interview de Georges Roux dans le N°295 de l’hebdomadaire « Samedi Soir » du 24 fĂ©vrier 1951 :

« - Donc, à votre avis, les médecins sont pour le moins inutiles ?

- Nullement. Ce n'est pas moi qui, par un renversement absurde des situations, irai leur faire la guerre. Leur art, la science humaine, il n'est pas question de les diminuer et encore moins, ce qui serait stupide, de les nier. Il s'agit de les vivifier, de leur adjoindre la science totale, celle sans qui la science humaine devient trop souvent et malgré les apparences, génératrice du mal. »

Les adhérents participent à la diffusion de l'enseignement. Au début des années 1950, des ventes de journaux et revues étaient organisées lors de foires-expositions ou autres manifestations de grandes villes. Ensuite la pratique du porte à porte et des contacts dans les rues a pris le relais jusqu'en 1980. Actuellement, chacun des adhérents s'exprime comme il l'entend au sein de son milieu social et professionnel, chacun étant libre de partager ou non son expérience.

Organisation

Il n'y a pas de hiĂ©rarchie dĂ©clarĂ©e au sein de l'Alliance universelle. Jacqueline Roux, fille de Georges Roux, en fut prĂ©sidente jusqu’à sa mort, le . Le conseil d'administration, Ă©lu pour cinq ans, se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement et l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale se tient chaque annĂ©e lors de la fĂȘte de PĂąques. L'association indique que les rĂ©sultats financiers sont communiquĂ©s au centre des impĂŽts d'Avignon.

Il n’y a pas de communautĂ© constituĂ©e, chacun vivant librement sa vie et se retrouvant une fois par semaine pour la « Communion de l’Esprit Â» et quelques jours par an (PĂąques, , , ), au siĂšge social de l'association, Ă  Avignon.

Publications, répartition et effectifs

Dans les premiers temps, quatre supports Ă©taient Ă©ditĂ©s pour diffuser l'information de l'enseignement sous diverses formes. Deux journaux hebdomadaires : LumiĂšre et Le TĂ©moin de la Vie, la revue mensuelle Messidor et une annuelle, le bulletin de l’Agence ChrĂ©tienne d’Information. Il n’y a plus de publications actuellement, les seules diffusĂ©es font partie des anciennes.

L'Alliance universelle rĂ©unit aujourd’hui des membres dans plusieurs pays d'Europe (en France, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Allemagne, en Italie), ainsi qu'au Congo (Brazzaville), en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo, aux États-Unis et au Canada.

Alors que le nombre de membres a atteint le maximum de 5 000 entre 1955 et 1960, les effectifs ont progressivement diminuĂ© dans les annĂ©es suivantes. En 1954, les 5 000 membres sont rĂ©partis dans une cinquantaine de groupes locaux principalement localisĂ©s Ă  Marseille, Nantes, Paris, Strasbourg, Toulon, dans l'Yonne, le Vaucluse, une partie du midi mĂ©diterranĂ©en et Ă  Milan en Italie. À partir de 1981, la moitiĂ© des adhĂ©rents se situait hors de France. Actuellement, le nombre d’adhĂ©rents est de plusieurs centaines, aux dires de l'Alliance.

Les membres de l'association semblent surtout urbains et issus des classes moyennes (instituteurs, employés, entrepreneurs)[2].

Controverses et polémiques

Commission sur les sectes

L'association est citĂ©e comme mouvement "Ă©vangĂ©lique/guĂ©risseur" (page 61) dans le rapport no 2468 Ă©tabli par une commission parlementaire. Celle-ci a Ă©tabli des critĂšres « parmi les indices [utilisĂ©s par les Renseignements gĂ©nĂ©raux] permettant de supposer l’éventuelle rĂ©alitĂ© de soupçons conduisant Ă  qualifier de secte un mouvement se prĂ©sentant comme religieux » (rapport Gest, p. 13). Cette liste, ainsi que le travail de la commission parlementaire, ont Ă©tĂ© et demeurent donc controversĂ©s[12]. Bien que n’ayant pas de valeur juridique et contre la prescription de la circulaire Raffarin[13], ils restent la base de la qualification de « secte ».

Les associations anti-sectes et la commission parlementaire Ă©voquent des pratiques potentiellement nuisibles.

De son cÎté, la présidente du mouvement, Jacqueline Roux, a écrit une lettre[14] au président de la commission parlementaire, Alain Gest, au lendemain de la publication de ce rapport, dans laquelle elle récuse les critiques faites à son association : elle affirme la « transparence » de celle-ci, ainsi que « l'indépendance d'esprit », « la liberté d'action » et « l'intégration sociale » de ses membres.

Concernant l'apport original de Georges Roux, le sociologue Dericquebourg[2] a relevé nombre d'éléments gnostiques, voire spirites, situant celui-ci davantage dans le secteur ésotérique, que dans les types « évangélique » et « guérisseur » attribués dans ce rapport.

Morts dans des circonstances controversées

Georges Roux, contrairement Ă  ce qui a Ă©tĂ© dit, ne fit l'objet d'aucune plainte, ni pour exercice illĂ©gal de la mĂ©decine, ni pour non-assistance Ă  personne en danger. Lui-mĂȘme Ă©crivit au prĂ©sident du tribunal de Gap pour ĂȘtre entendu lors de l'affaire Payan, mais ne reçut aucune rĂ©ponse. Il fut seulement entendu quelques instants, comme tĂ©moin, lors de l'affaire JoĂ«lle Debray, mais sans aucune suite.

  • En octobre 1953, la mort d'Yves Payan, ĂągĂ© de 13 ans, dĂ©jĂ  gravement malade, a conduit ses parents devant le tribunal correctionnel de Gap, sur accusation anonyme. Cet adolescent, atteint depuis la naissance, entre autres de rhumatismes articulaires, Ă©tait suivi mĂ©dicalement depuis plusieurs annĂ©es. Les mĂ©decins avaient perdu tout espoir de le guĂ©rir. AprĂšs tĂ©moignage Ă  la barre du Dr Fournier, les Ă©poux Payan furent relaxĂ©s. Le procureur de Gap fit appel de la dĂ©cision et obtint une condamnation de principe.
  • La mort de la jeune Chantal Darremont en mars 1954, Ă  la suite d'une bronchite capillaire aiguĂ«, a entraĂźnĂ© la mise en examen de la tutrice de l'enfant pour non-assistance Ă  personne en danger. AprĂšs une ordonnance de non-lieu signĂ©e par le juge d'instruction M. Cosnard, cette personne est soumise Ă  l'enfermement psychiatrique (destinĂ© Ă  lui faire perdre « ses fausses conceptions »), dont elle sortira quelques mois aprĂšs.
  • En septembre de la mĂȘme annĂ©e, JoĂ«lle Debray, un nourrisson ĂągĂ© de trois mois, meurt subitement au cours d'un dĂ©placement en train en compagnie de ses parents. Quelques jours auparavant, le bĂ©bĂ© avait Ă©tĂ© examinĂ© par le Dr Combalot, de Marseille, qui l'avait dĂ©clarĂ© apte Ă  effectuer ce voyage[15]. Les parents furent mis en examen, incarcĂ©rĂ©s puis relĂąchĂ©s quelques jours aprĂšs, Ă  la suite de l'audition de Georges Roux par le juge d'instruction. Le procĂšs qui suivit les condamna Ă  quelques mois avec sursis.

On parle Ă©galement de morts d’adultes controversĂ©es :

  • Willy Baruch, soignĂ© mĂ©dicalement pour insuffisance cardiaque, mourut Ă  l’issue d’une crise Ă  Montfavet en mars 1954. Le permis d'inhumer fut normalement dĂ©livrĂ©.
  • Raymond Joutard mourut en juillet 1954 aprĂšs avoir refusĂ© d’ĂȘtre soignĂ© Ă  la suite d’un accident de voiture.

Doctrine apocalyptique

Peu aprĂšs le passage de sa fille Jacqueline aux Dossiers de l’écran, Georges Roux fait annoncer dans les journaux de l’Eglise ChrĂ©tienne Universelle que l’humanitĂ© Ă©tait « en danger total » d’ici le , date Ă©voquĂ©e depuis 1963. Si d’ici cette date, les hommes ne reconnaissaient pas la vĂ©ritĂ© qu’il proclamait, ne devaient rester sur terre « en dehors de quelque deux Ă  trois cents millions d’enfants, que les hommes ayant assez bien « choisi » pour que Je les puisse transformer en Humains » (« LumiĂšre » N° 253, 1975).

En 1980, le jour prĂ©vu, ce qu’avait cru la plupart des adeptes ne se rĂ©alisant pas comme ils l’avaient imaginĂ©, une partie des membres quittĂšrent l’association.

Notes et références

  1. Télé-7-Jours, février 1975.
  2. Régis Dericquebourg, Les adeptes du Christ de Montfavet, ethnographiques. org, Numéro 15, février 2008. Voir aussi "Fonds Alliance Universelle, Georges ROUX (101 Z),Archives de la ville d'Avignon
  3. Samedi-Soir, no 295, semaine du 24 février au 2 mars 1951.
  4. CONSUS- FRANCE, « Les gens de Mogador by, Elisabeth BARBIER », sur CONSUS - FRANCE
  5. Semaine du monde no 71, mars 1954.
  6. AimĂ© Michel, « Les religions parallĂšles Â», in Les dictionnaires du Savoir moderne, CEPL, 1972.
  7. Spécial LumiÚre, no 253, mars 1975.
  8. Les trois livres
  9. cf. Paroles du Guérisseur.
  10. Messidor, no 3.
  11. « Le Masque de Dieu », Messidor, no 18.
  12. Pour en finir avec les sectes : le débat sur le rapport de la commission parlementaire, par un collectif d'universitaires, sous la direction de Massimo Introvigne et J. Gordon Melton, Cesnur-Di Giovanni, 1996.
  13. « Circulaire (Raffarin) du 27 mai 2005 Â», Journal officiel, no 126,1er juin 2005.
  14. Lettre de l'Alliance universelle en réaction au rapport parlementaire sur les sectes de 1995, sur alliance-universelle.org.
  15. « Une petite victime de trois mois condamne l'Ă©vangile de mort de Montfavet », Paris Match, no 269,‎ , p. 72-73.

Annexes

Bibliographie

  • J.C Soum, P. Giannoli, R. Noilletas, A. Quilicci, « Les tĂ©moins du Christ dans la lutte Ă©lectorale Â», Semaine du Monde, n° 162, 21 dĂ©cembre 1955.
  • Jean-Pierre Chantin, Des « sectes » dans la France contemporaine - 1905-2000 - Contestations ou innovations religieuses ?, Toulouse, Éditions Privat, 2004 (ISBN 2-7089-6855-6).
  • Alain Paul Fimbel, Histoire du Christ de Montfavet, Lyon, Éditions Merry World, 2010.
  • GisĂšle Tual van Gerdinge, Un Reflet de ciel, Lyon, Éditions Merry World, 2011.
    L'auteur est une des petites-filles de Georges Roux.
  • Alain Paul Fimbel, Les ProphĂštes d'aujourd'hui, Lyon, Éditions Merry World, septembre 2011.
  • RĂ©gis Dericquebourg, Georges Roux dit « Le Christ de Montfavet Â». Écologisme, Ă©sotĂ©risme et guĂ©rison, Bruxelles, Éditions E.M.E., 2012.
  • Jean-Luc Martin-Lagardette, L'Amour n'attend pas. Un journaliste au temps du Verbe, Paris, Éditions JL ML, 2016 (ISBN 978-2-9501580-0-0).

Articles connexes

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