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Anxiété de performance

L'anxiété de performance (test anxiety) est une anxiété liée aux situations d'évaluation. Elle implique des signes et symptômes, parfois somatiques, variés dont le stress, la peur (dont la peur de l'échec) et la détresse[1]. L'anxiété de performance peut-être un frein significatif à l'apprentissage et à la performance et serait une cause d'abandon scolaire[2] - [3] - [4]. Elle peut également avoir des conséquences plus larges en affectant le développement social, émotionnel et comportemental du sujet, ainsi que son estime de soi[5]. L'anxiété de performance peut parfois mener au suicide[6] - [7] - [8].

L'anxiété de performance affecterait de 25 à 40 % des étudiants[9]. Elle se retrouve parmi les étudiants du monde entier[10] - [11] et affecterait particulièrement les étudiants avec des handicaps ou faisant partie de groupes enrichis (surdoué)[12].

L'anxiété de performance est étudiée formellement depuis le début des années 1950, avec, notamment, le développement du « questionnaire d'anxiété de performance » (Test Anxiety Questionnaire, TAQ) par G. Mandler et S. B. Sarason[13]. Le frère de Sarason, Irwin G. Sarason, a également contribué à l'étude du sujet par la suite[14] - [15] - [16] - [17] - [18].

Signes et symptômes

Étudiant de l'université de Madras qui s'est attaché les cheveux au mur afin d'éviter de tomber endormi (1905).

Des chercheurs affirment que le sentiment d'anxiété se déclenche pour préparer une personne aux menaces[19]. Les symptômes se présentent sous des intensités diverses. On y retrouve l'augmentation du rythme respiratoire et cardiaque, la sécrétion de sueur et d'hormones de stress, la nervosité, la vigilance et la peur[19]. Certains des symptômes sont le résultat de la sécrétion d'une certaine quantité d'adrénaline[20]. Dans plusieurs situations, cette dernière aide à gérer les situations de stress, notamment en augmentant le degré d'alerte[21], mais pour certaines personnes, les symptômes sont difficilement contrôlables, voire incontrôlables. L'anxiété développée dépend de l'évaluation de la probabilité que de mauvaises choses se produisent et de ses capacités à les contrer. Dans le contexte d'une évaluation, l'un des facteurs est la confiance de l'individu en ses capacités[22].

L'anxiété de performance se distingue de l'anxiété généralisée. Elle se limite aux situations d'évaluations, alors que l'anxiété généralisée s'étend à plusieurs situations[23]. L’anxiété de performance est « la peur d’être incapable d’accomplir quelque chose. Il peut s’agir d’un objectif, d’une tâche, d’un projet, une présentation ou encore un examen[24].» Généralement, l’anxiété est « une réaction d’activation du corps et de l’esprit devant une menace[25].» L’anxiété de performance peut se manifester de plusieurs manières : dans les pensées, les émotions, au niveau physiologique et dans les comportements. Les causes peuvent aussi être variées. . Il peut y avoir causes, surtout psychologiques : un faible sentiment d’efficacité personnelle (SEP), une faible estime de soi, les croyances erronées, les prédispositions psychologiques.



Les symptômes peuvent être de modérés à graves. « Les étudiants qui présentent des symptômes modérés arrivent malgré tout à obtenir de bons résultats aux examens. D'autres avec des symptômes graves vont souvent avoir des attaques de panique[trad 1] - [26]. »

Des symptômes communs sont : maux de tête, mal d'estomac, sentiment de peur, de menace, un souffle court rapide, des pleurs et des trous de mémoire.

Facteurs de risque

Le concept de facteurs de risques de l'anxiété de performance est très étudié dans les textes scientifiques. Prendre en considération le concept de facteurs de risques est essentiel pour la compréhension du sujet. Les facteurs de risques individuels et parentaux sont les plus reconnus et les plus étudiés.

Individuel

Plusieurs facteurs internes d'un individu peuvent contribuer au développement d'un trouble d'anxiété de performance. Les chercheurs observent que certains individus ont des prédispositions en ce qui concerne l'hérédité[27]. Les enfants ayant des parents atteints de troubles anxieux sont beaucoup plus à risque de développer eux aussi des troubles anxieux, dont l'anxiété de performance[27].

Le tempérament est aussi un facteur de risque puisqu'il influence l'individu a réagir d'une certaine façon face à une situation[27]. L'inhibition comportementale est un type de tempérament pouvant provoquer le développement d'un trouble d'anxiété en raison de la façon dont les individus réagissent face à un nouveau stimuli[27].

En ce qui concerne le côté conscient d'un individu, ses buts et objectifs peuvent être la cause d'anxiété de performance. On constate 4 types de buts, mais le but de maitrise-évitement et le but de performance-évitement sont les deux qui sont le plus associés à l'anxiété de performance[27]. Respectivement, l'individu peut éviter certaines situations dans lesquelles il peut se sentir incompétent et ainsi être affecté en ce qui concerne la motivation scolaire[27]. Le but de performance-évitement se caractérise par le désir de réaliser des performances plus que ses camarades en contexte d'évaluation. Donc les étudiants ayant ce type de but peuvent générer une anxiété de performance à l'idée d'obtenir un résultat inférieur à celui de ses camarades.

Parental

Le facteur parental est aussi une source de développement du trouble d'anxiété de performance chez les étudiants puisque le parent est la figure d'autorité, surtout aux niveaux scolaires primaire et secondaire.

La façon dont le parent s'implique dans les études de son enfant peut s'avérer négative s'il est perçu comme excessif. Une sur-implication peut engendrer des pensées négatives ainsi que des inquiétudes vis-à-vis de leurs études[28]. « Certains parents sont exigeants face à leurs enfants ce qui peut augmenter leur anxiété de performance. […] L’enfant pourrait percevoir les paroles de ses parents comme des critiques ou des attentes[29]

De plus, le soutien parental a un impact important sur l'étudiant et ces études. Le soutien de type conditionnel s'avère être celui qui augmente les risques de développer un trouble d'anxiété de performance[28]. Ce phénomène s'explique par des exigences établies par les parents. Lorsque ces exigences ne sont pas atteintes par les enfants, un sentiment de délaissement causé par le manque d'encouragement ou d'appréciation de la part du parent s'accroit chez celui-ci[28]. L'anxiété de performance va se développer par l'intérêt de l'étudiant à se sentir soutenu et d'assurer l'opinion positive du parent à son égard[28].

Causes et effets

Une certaine quantité de stress liée à l'évaluation est normale et aide souvent à garder un certain niveau d'alerte mentale et physique[30]. Cependant, lorsqu'un sujet éprouve trop d'anxiété, cette dernière peut mener à des difficultés de concentration ainsi qu'à de la détresse émotionnelle ou physique. L'anxiété peut provenir de la perception d'une menace et causer un déficit de l'attention ou des troubles de la mémoire[14] - [15] - [17] - [18].

Étudiants

Les étudiants éprouvant l'anxiété de performance tendent à être facilement distraits lors de l'évaluation, ont de la difficulté à comprendre des instructions relativement simples ainsi qu'à organiser et synthétiser l'information pertinente[1]. L'anxiété de performance peut causer une diminution significative de la performance scolaire. Des études montrent ainsi que des étudiants plus anxieux obtiennent des résultats environ 12 % inférieurs à ceux de leur collègues moins anxieux[31] - [32] - [33].

Travailleurs

Dans le contexte du travail « plusieurs déterminants (p. ex., absence de rétroaction, faible soutien social, sens des responsabilités, mesure de performance quantitative), manifestations (p. ex., culpabilité, colère, dévalorisation, difficultés à se concentrer, pleurs), stratégies d’adaptation (p. ex., rabaisser les autres, mettre des limites) et conséquences (p. ex., diminution de la qualité des relations sociales, opportunités d’avancement professionnel compromises, difficultés de profiter de son temps personnel)» sont impliqués par l'anxiété de performance d'un individus[34]. Ainsi, des effets négatifs nuisant à la carrière des travailleurs peuvent survenir. Cependant, « certains affirment que leur anxiété de performance a contribué à leur bonne performance»[34] Ainsi, les adolescents, les étudiants et les jeunes adultes ne sont pas les seuls à subir des effets de l'anxiété de performance.

Athlètes

Du côté du sport, les athlètes sont aussi sujets à souffrir d'anxiété de performance. « Les études menées confirment ce constat : on note ainsi que l’anxiété cognitive des athlètes augmente avec l’importance qu’ils accordent à la compétition à laquelle ils participent et ainsi avec leurs attentes de réussite. »[35] Les conséquences de cette anxiété sont que « plus un athlète développe un état d’anxiété cognitive élevé , plus sa performance tend à se dégrader[35].

Ainsi, l'anxiété de performance, qui peut se traduire par la peur de l'échec, nuit à la performance et peut causer l'échec. Cette conséquence survient dans plusieurs domaines de la vie des individus: le sport, le travail, les études, la sexualité, les relations interpersonnelles,etc.

Traitement

Plusieurs traitements existent afin de contribuer à la diminution de l’anxiété de performance. Plusieurs chercheurs définissent quatre types de thérapie importante pour traiter l’anxiété de performance dont l'approche cognitive, comportementale, axée sur les compétences et cognitive comportementale.

Approche cognitive

L'approche cognitive est un type de thérapie qui établit une restructuration cognitive en diminuant l'anxiété pour augmenter la performance. La restructuration cognitive a un impact direct sur les cognitions négatives[27] - [28]. Ces pensées négatives entrainent une perception erronée de certaines situations, menant à l'augmentation des symptômes d'anxiété et la diminution de la performance. Ces pensées et perceptions cognitives dictent les réactions de l'individu. Afin de restructurer les pensées, cette technique cible principalement les perceptions erronées vis-à-vis les situations pouvant être anxiogènes pour l'individu. L'approche cognitive est une technique limitée, mais qui semble apporter des résultats satisfaisants[28].

Approche comportementale

L'approche comportementale est un type de thérapie visant à la désensibilisation systémique. On explique que l’anxiété de performance serait à l’origine d’une réponse émotionnelle conditionnée. Des techniques de relaxation et des stratégies pour diminuer l’anxiété, telles que l’extinction, l’hypnose et le modelage, sont mises en place[27]. Selon cette approche, l’individu est amené à prendre en compte ses réactions naturelles d’anxiété et ses émotions. Cette théorie a pour but de parvenir à une réaction calme lorsqu’une situation anxiogène se produit. Cette technique démontre un important signe d’efficacité au niveau de la diminution de l’anxiété et de l’augmentation des performances. L'approche comportementale semble, toutefois, obtenir de meilleurs résultats au sein de l'acquisition des techniques de détente comparativement à la gestion de l'anxiété[27].

Approche centrée sur les compétences

L'approche centrée sur les compétences est une technique ayant pour but d'aider l'individu à développer ses capacités pour diminuer son anxiété. Afin d'aider l'individu à diminuer son anxiété de performance, on renforce son sentiment de compétence en travaillant les domaines dans lesquels l'individu présente des faiblesses, ce qui vient donc augmenter son estime de soi et son assurance pour ainsi augmenter ses performances[27]. Dans certaines situations, l'individu est amener à croire que ses compétences sont évaluées ce qui créer une réaction chez celui-ci, d’anxiété de performance. Afin d'aider l'individu à diminuer ses symptômes d'anxiété de performance, on lui donne des outils lui permettant de mieux gérer son stress[27].

Approche cognitive comportementale

L'approche cognitive comportementale est une combinaison de deux des trois approches précédentes[28]. Cette théorie comprend des notions de l'approche cognitive et de l'approche comportementale, c'est-à-dire qu'on combine des techniques de relaxation à une approche cognitive comportementale[27]. Cette approche serait le type de thérapie qui révèle la plus grande avancée au niveau de l'efficacité et de la diminution de l'anxiété de performance[28]. L'approche cognitive comportementale consiste à augmenter légèrement l'anxiété chez l'individu afin qu'il constate que la situation, interprétée comme étant anxiogène, n'a rien de terrible. Le but est d'inciter l'individu à faire face à ses peurs afin qu'il n'obtienne plus de réactions d'anxiété[36]. On suggère des exercices concrets à exécuter au quotidien pour mieux contrôler ses pensées et ses comportements[36].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Test anxiety » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) « Students who exhibit moderate symptoms are still able to perform relatively well on exams. Other students with severe anxiety will often experience panic attacks. »
  1. (en) M. Zeidner, Test anxiety : The state of the art, New York, Plenum,
  2. (en) B. Andrews et J. M. Wilding, « The relation of depression and anxiety to life-stress and achievement in students », British Journal of Psychology, vol. 95, , p. 509-521
  3. (en) M. E. Pritchard et G. S. Wilson, « Using emotional and social factors to predict student success », Journal of College Student Development, vol. 44, , p. 18-28
  4. (en) M. Vaez et L. Laflamme, « Experienced stress, psychological symptoms, self-rated health and academic achievement: A longitudinal study of Swedish university students », Social Behavior and Personality, vol. 36, , p. 183-196
  5. (en) S. J. Salend, « Teaching students not to sweat the test », Phi Delta Kappan, vol. 93, no 6, , p. 20-25
  6. Caroline Touzin, « Suicide d'une résidente du CHUM: «ses études en médecine l'ont tuée» », sur http://www.lapresse.ca, La Presse, (consulté le )
  7. Olivia Muller, « L’étrange vague de suicides dans les universités chinoises », sur http://www.lesinrocks.com, Les inrockuptibles, (consulté le )
  8. « Section B - Troubles anxieux », sur http://www.statcan.gc.ca, Statistique Canada, 13 mai 2013 (dernière modification) (consulté le )
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Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Dions-Viens, Daphnée. "Deux ados sur trois souffrent d'anxiété de performance en première secondaire", dans Le Journal de Québec, 22 janvier 2020, https://www.journaldequebec.com/2020/01/22/lanxiete-est-un-fleau-en-premiere-secondaire, page consulté le 16 mai 2021.
  • Paiement, A.-M., Desroches, O.-A., Maheu, L., Leduc, F.-É. & Longpré, P. (2021). L’ANXIÉTÉ DE PERFORMANCE AU TRAVAIL : UNE ÉTUDE EXPLORATOIRE. Revue québécoise de psychologie, 42(3), 139–172. https://doi.org/10.7202/1084583ar
  • Palazzolo, J., & Arnaud, J. (2013). Anxiété et performance : De la théorie à la pratique. Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, 171(6), 382‑388. https://doi.org/10.1016/j.amp.2011.09.018
  • Tremblay, Katherine. "L'anxiété de performance, un fléau chez les ados", dans Radio-Canada, juin 2019, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1034312/anxiete-performance-fleau-adolescents-angoisse-ecole-secondaire, page consulté le 15 mai 2021.

Voir aussi

Articles connexes

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