Alain Girelli
Alain Girelli né le ⯠à Draguignan est un sculpteur, peintre et performeur français.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Activités |
Il découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974. Il vit et travaille prÚs de Fayence.
Biographie
Né le à Draguignan, Alain Girelli découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974[1]. Il vit et travaille prÚs de Fayence, dans le Var[1].
Il préfÚre travailler le bois, notamment le bois de cade imputrescible et odorant[1]. Mais il expérimente également le béton, pour lequel il invente un procédé de décoration aléatoire de la surface[1].
Sa famille originaire de Pérouse en Ombrie est dans le bois depuis des générations : bûcherons, charbonnier, exploitants forestiers. Il poursuit la tradition familiale en passant son CAP menuiserie en 1966. AprÚs son service militaire, il est employé à partir de 1969 dans la menuiserie Francis Laboire de Seillans.
Une trĂšs vieille porte de cave du village Ă la partie infĂ©rieure Ă©rodĂ©e par les Ă©coulements dâeau attire lâĆil de Max Ernst qui propose Ă son propriĂ©taire de lui en acheter une neuve sâil veut bien en Ă©change lui donner celle rongĂ©e par le temps. Girelli sâoccupe de lâopĂ©ration : fabriquer la nouvelle porte, la mettre en place, rĂ©cupĂ©rer lâancienne, la fixer sur un panneau. Max Ernst la renverse et la transforme en une de ses D-paintings, D pour Dorothea Tanning pour qui, chaque annĂ©e, il crĂ©ait une Ćuvre[2]. Girelli sâarrange avec son patron pour se mettre au service de lâartiste. Ă son contact, il pĂ©nĂštre un univers inconnu. Ses « forĂȘts » peintes, gravĂ©es ou grattĂ©es le fascinent. Tout ce quâil dĂ©couvre chez lâartiste le nourrit, lui ouvre des perspectives impensĂ©es jusque-lĂ . Il lâobserve, lui pose des questions, sâimprĂšgne de son univers et, rapidement, lâenvie de crĂ©er va naĂźtre. Girelli, fort de sa grande connaissance du bois, rĂ©alise sa premiĂšre Ćuvre : une chaise-trĂŽne Ă haut dossier, pourvue de marches. Cette crĂ©ation est faite de bois assemblĂ©s « avec seule une rĂąpe comme outil ».
Il explore diffĂ©rents bois, ce matĂ©riau faisant partie du patrimoine familial mais jusque-lĂ mis au service de lâutile[3] et diverses techniques : bois flottĂ©s ou bois lacustres coupĂ©s Ă la pleine lune quâil laisse sĂ©cher aprĂšs en avoir ĂŽtĂ© lâĂ©corce.
PrĂ©sentant un dossier Ă la Maison des mĂ©tiers d'art français, il lui sera proposĂ© de participer en 1972 Ă une exposition en compagnie dâartistes de la rĂ©gion (Van Lith, Jacky Coville, Claude Pelletier, entre autres. Un article paraĂźt en 1972 dans Le Monde[4].[5] - [6].
En 1973, Anne Gruner Schlumberger, amie de Max Ernst, qui habite Ă Tourtour, voit ses meubles d'artiste Ă lâexposition de la Maison des MĂ©tiers dâArts. Elle lui passe commande de « sculptures arbres » et de meubles d'artiste (piĂšces uniques) pour la fondations des Treilles, un lieu virgilien pour les arts et la pensĂ©e. Anne Gruner Schlumberger rassemble un nombre important d'Ćuvres d'art dont elle a lĂ©guĂ© une partie, 800 piĂšces environ, Ă la Fondation des Treilles. Y figurent Dubuffet, Giacometti, Picasso, Max Ernst ou Victor Brauner qu'elle a personnellement connues et avec lesquels ont existĂ© des liens d'amitiĂ© dont tĂ©moigne sa correspondance, ainsi que des Ćuvres d'Alain Girelli.
Tout en continuant Ă travailler pour Max Ernst, il crĂ©e une nouvelle gamme de meubles â chaises et tables surtout â. Câest ensuite la galerie Saint-Jacques de Toulouse qui s'intĂ©resse Ă son travail. Il crĂ©e pour elle une chaise ondulante[7] - [8].
Ses rĂ©alisations sont trop fragiles pour rester Ă lâextĂ©rieur. Jean-Louis Prat, directeur de la Fondation Maeght, lui conseille de trouver un matĂ©riau rĂ©sistant et imputrescible. Il pense alors au bois de cade, une espĂšce de genĂ©vrier (juniperus oxycedrus) prĂ©sent dans la rĂ©gion, dont on tire de lâhuile antiseptique et anti-parasitaire, habituellement utilisĂ©e pour soigner la gale des moutons. Il dĂ©racine souvent ces arbres morts Ă la suite d'incendies â imputrescibles, ils restent sur pieds plusieurs dizaines d'annĂ©es. Ses qualitĂ©s imputrescibles et odorantes, sa duretĂ©, intĂ©ressent Girelli qui, avec ce nouveau matĂ©riau, rĂ©alise une sĂ©rie de nouvelles sculptures quâil va laquer et patiner en noir.
En , il est invitĂ© Ă l'exposition Le Bois et lâHomme qui a lieu Ă lâaĂ©roport de Paris-Orly oĂč sont exposĂ©s des chefs-dâĆuvre du musĂ©e de l'Homme[9]. C'est d'ailleurs lors de cet Ă©vĂšnement qu'il rĂ©alise sa premiĂšre performance avec de la poudre de cade (Juniperus oxycedrus).
LâĂ©mission de tĂ©lĂ©vision Marche ou rĂȘve, oĂč il est interviewĂ© par Georges BĂ©gou, est enregistrĂ©e Ă cette occasion : son Grand Arbre sera filmĂ©. La fin de l'annĂ©e, il accompagne Dorothea Tanning Ă Paris pour le transport des Ćuvres de Max Ernst et sĂ©journe chez eux rue de Lille. Il expose en dĂ©cembre et -1978 et du au Ă Paris, la galerie Lucie Weill & Seligmann prĂ©sente des Ćuvres de Girelli Ă cĂŽtĂ© de celles de Picasso, MirĂł, Max Ernst, Masson, etc.[10].
En 1980, au Salon de FrĂ©jus, il rencontre des architectes parisiens qui lui conseillent de rĂ©aliser des Ćuvres pour lâespace public, leurs qualitĂ©s graphiques se prĂȘtant Ă la monumentalitĂ©. Suivant leur conseil, Girelli rĂ©alise des sculptures monumentales, jusquâĂ quatre mĂštres de haut, en bronze, en bĂ©ton, en acier corten ou thermolaquĂ©, notamment L'oiseau Noir en hommage Ă Max Ernst.
En 1983, dans le cadre du 1 % artistique, il reçoit de la sociĂ©tĂ© dâautoroutes Escota la commande dâune sculpture monumentale en bois imputrescible quâil nomme Soleil couchant pour lâautoroute EstĂ©rel-CĂŽte dâAzur, aire de Jas Pellicot - Autoroute A8. Il rĂ©alise sa premiĂšre sculpture monumentale en bĂ©ton colorĂ©[11] dans un atelier spĂ©cialisĂ© de Lafarge Ă Draguignan. Elle sera dĂ©finitivement installĂ©e au Centre d'art contemporain de Chateauvert[12].
En 1984, Jean-Paul Crespelle, critique dâart de France-Soir, le met en contact avec le sculpteur CĂ©sar qui apprĂ©ciera son travail.
Ă Cannes, lâannĂ©e suivante, il fait la rencontre dâHenri Goetz.
En 1986, il reçoit la mĂ©daille dâor du Salon FAM de Tourrettes-sur-Loup. Le jury est composĂ© de conservateurs de musĂ©es et dâartistes. La revue Art ThĂšmes publie un article sur son exposition dans la salle du couvent de Seillans[13]. La revue Maison française[14] avec FrĂ©dĂ©ric MĂ©chiche consacre plusieurs pages Ă ses Ćuvres.
Le collectionneur Jacques Ginepro, expert en sculptures des XIXe et XXe siĂšcles lui achĂšte des Ćuvres dont Gertrude, une de ses reprĂ©sentations fĂ©minines. En 1999, il le parraine pour avoir une notice dans le Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[15], le dictionnaire de rĂ©fĂ©rence des artistes. Trente lignes lui sont consacrĂ©es : « Girelli ne cherche pas lâanecdote mais dĂ©sire insuffler un mouvement, une expression Ă la matiĂšre ce quâil fera dans ses Totems ».
En mĂȘme temps que ses sculptures monumentales, il dĂ©cline avec la collaboration de Claude Pelletier, orfĂšvre de Biot des sculptures-bijoux en pierres semi-prĂ©cieuses, notamment portĂ©e par Yvonne Desseux, la secrĂ©taire dâAimĂ© Maeght.
En 1992, sa premiĂšre exposition personnelle, Cinquante sculptures, a lieu au palais de lâEurope Ă Menton[16]. Un catalogue des Ćuvres est Ă©ditĂ© par le musĂ©e. La mĂȘme annĂ©e, il obtient un premier prix au festival des arts de Beaulieu, prix qui consiste en la possibilitĂ© de rĂ©aliser sa premiĂšre Ćuvre en bronze offert par la fonderie dâart Bronze dâAirain. Il dĂ©couvre alors lâunivers des fonderies.
La peinture pĂ©nĂštre ensuite dans ses travaux, dâabord par les bois colorĂ©s de ses « Totems », puis par des dessins gĂ©omĂ©triques multicolores apposĂ©s sur le fond blanc de ses sculptures. Son originalitĂ© est de peindre sur des formes sculptĂ©es : « Ici la peinture se pose et âdĂ©poseâ sur la sculpture qui se pare et s'empare de ses reflets. La forme accompagne Ă âdesseinâ la couleur pour que vive l'instant d'une rencontre pĂ©rennisĂ©e . Nous sommes ici invitĂ©s Ă grignoter cette alliance artistique par le plaisir des yeux » (Jean Mas, Ă©crivain artiste de l'Ăcole de Nice)[17].
En 1996, Ă lâEspace Eiffel, il rĂ©alise une performance dans laquelle il effectue le moulage de la main et de la cheville de son Ă©pouse Dany, performance financĂ©e par les chocolats fins des ateliers Puyricard, filmĂ©e par lâĂcole du journalisme de Paris, au profit d'Enfance et Partage. La revue RĂ©sidences prĂ©sente ses sculptures[18].
Cette mĂȘme annĂ©e, la revue amĂ©ricaine Architectural Digest publie un article avec plusieurs photographies de ses Ćuvres[19].
En 2000, Alain Girelli invite SĆur Emmanuelle Ă dĂ©jeuner chez lui Ă Seillans. Ă la fin du repas, elle dĂ©cide d'essayer une de ses chaises hautes (Le TrĂŽne du Roi de la ForĂȘt).
Les expositions se succĂšdent. La galerie europĂ©enne de la ForĂȘt et du Bois prĂ©sente pendant six mois ses 18 Ćuvres. Il expose ensuite Ă New York Ă La Nouvelle-OrlĂ©ans, Tokyo, puis Paris.
En 2007 a lieu l'inauguration de Loplop, le supérieur des Oiseaux, l'homme au caractÚre doux et féroce en hommage à Max Ernst, un trÎne conçu pour lui. Un reportage a été publié dans la revue Supérieur Inconnu.
Alain Girelli collabore également pendant de nombreuses années avec l'architecte niçois Luc Svetchine[20], fils de l'architecte Andreï Svetchine.
Du au , une sculpture monumentale de hauteur de 4 mĂštres est exposĂ©e en extĂ©rieur accompagnĂ© de Jacques Charrier artiste, peintre[21] - [22] - [23]. « Il y a maintenant une technique parfaite de la part de Girelli, dâune expression au dĂ©part brute, son art est devenu trĂšs raffinĂ©, Ă©lancĂ©. Une Ćuvre secrĂšte et sobre sur la route des grandes rĂ©alisations. Son « univers des formes » abrite des ombres ,des secrets pour des ailleurs autres. Alors bonne route Alain sur les rĂȘves de la sculpture[23]. »
Du 1er au 2013, il réalise une exposition à Seillans en hommage à Max Ernst. Un petit reportage vidéo, dans lequel il explique sa démarche, a été réalisé pour l'occasion[24].
En 2012, il participe au Festival du Peu Ă Bonson.
En 2015, il apparaßt dans l'une des réalisations de la télévision du pays de Fayence[25].
Le week-end du 18 et , dans le pays de Fayence, il a pu ĂȘtre prĂ©sent aux journĂ©es du patrimoine en DracĂ©nie dans le Haut-Var[26]. Durant ces deux jours, il a pu performer Yâa le feu au lac Ă la Maison du Lac, et exposer ses sculptures Les MystĂšres de la forĂȘt. Il reprĂ©sente, Ă sa maniĂšre la forĂȘt qui est dĂ©truite par des objets et dâautres objets dĂ©laissĂ©s dans la nature. Le Ă©tait aussi une journĂ©e nommĂ© « MĂ©nage ton lac » oĂč il a pu rĂ©aliser et faire rĂ©aliser des Ćuvres Ă partir de dĂ©chets. Câest en milieu dâaprĂšs-midi quâil a pu rĂ©aliser son happening performance[27].
Il rĂ©alise une performance Ă l'encens de cade â favorisant la manifestation des hauts esprits â Ă l'ouverture du Festival du peu, les 2 et . Il fait un happening[28] - [29] oĂč Jean Mas enflamma son nom[30] - [31].
Fin 2021, il apparaĂźt dans le journal Var-Matin[32].
Alain Girelli pratique la technique mixte du dripping à Fayence . Il s'inspire d'une technique de Max Ernst, son maßtre. En plus, il mélange de la colle avec de la poudre d'encens de cade, bien sûr, afin de donner du relief à ses toiles, pour un résultat unique en son genre. Alain Girelli participe aux Visites de la passion organisées par l'Office Intercommunal du pays de Fayence[33].
En 2022, Alain Girelli se diversifie et numĂ©rise son contenu, notamment sur la plateforme YouTube oĂč il montre certaines de ses Ćuvres[34].
Ćuvres dans l'espace public et les collections publiques
- 1973 : la Fondation des Treilles[35].
- 1978 : Ă©cole maternelle Les Canoubiers, Cagnes-sur-mer.
- 1979 : Ă©cole de Tourrettes, Var.
- 1983 : Ă©cole de Mons, Var.
- 1983 : Escota, autoroute Esterel-CĂŽte dâAzur, aire Jas de Pellicot, sortie de Puget-sur-Argens (Var).
- 1984 : complexe sportif des Lices Ă Toulon.
- 1986 : Ă©cole du Muy, Ćuvre monumentale en arbres de cade, Var.
- 1987 : Centre d'art contemporain de Chùteauvert, sculpture monumentale Béton (procédé breveté INPI ), reportage dans la revue Art thÚmes.
- 1990 : galerie municipale d'art contemporain Remp'Art à Toulon, sculpture de trois mÚtres de haut en acier, acquise par François Trucy, sénateur-maire de Toulon, placée ensuite à la mairie annexe de Toulon.
- 1992 : musée de Menton.
- 2012 : musée du Peu à Bonson (Alpes-Maritimes).
- 2022 : musĂ©e WallrafâRichartz Museum Ă Cologne en Allemagne.
Expositions et performances
Expositions personnelles
- 1978 : galerie Lucie Weill & Seligmann, décembre et janvier 1977-1978 et du 25 mai au 12 juillet 1978, Paris[36].
- 1984 : exposition individuelle de 15 sculptures dans l'aérogare de l'aéroport Nice-CÎte d'Azur (Alpes-Maritimes), 1er-31 juillet.
- 1987 : rétrospective Alain Girelli, parrainée par Express-béton et les Ciments Lafarge-France, à la salle du Couvent de Seillans, 21 août-3 septembre.
- 1989 : aéroport Roissy-Charles de Gaulle (9 mai-15 juin).
- 1990 : aérogare de Roissy-Charles de Gaulle au 2B, départs métropole, exposition de 20 sculptures.
- 1992 : palais de lâEurope de Menton, prĂ©sentation de 50 sculptures dont une monumentale de 3 mĂštres en acier, catalogue publiĂ©[37].
- 2013 : à Seillans, 30 sculptures dont un trÎne pour Loplop l'Homme supérieur des oiseaux, à cause de son caractÚre doux et féroce, en hommage à Max Ernst. Avec performance à l'encens de cade.
Expositions collectives
- 1987: cinquiÚmes Rencontre des artistes contemporains, organisée par l'Association Défense des arts plastiques, au Palais Croisette à Cannes (Alpes-Maritimes), du 1er au 30 septembre.
- 1987 : Acropolis Nice, exposition 80/80 Artistes Méditerranéens.
- 1988 : Sculpture en Liberté, organisée par la Ville de Toulon.
- 1989 : MAC 2000, manifestation d'art contemporain au Grand Palais à Paris, 24 novembre-3 décembre.
- 1993 : CĂ©ramiques-Peintures-Sculptures dans la ville, Cannes.
- 1993 : Salon Art Jonction oĂč la galerie 50 A, prĂ©sente une grande sculpture, septembre - 14 novembre, Cannes.
- 1993 : Festival des Arts de Beaulieu.
- 1993 : Castel des Arts, organisée par le groupe Quartz, septembre-octobre.
- 1993 : CĂ©ramiques-Peintures-Sculptures dans la Ville Ă Cannes.
- 1994 : Festival des Arts, Beaulieu-Sur-Mer, juillet-Août.
- 1994 : Sculptures, Peintures, Photographies, Castel des Arts. Dans la ville de CANNES 06
- 1994 : galerie Métropole à Monaco, exposition d'Art Contemporain organisée par le groupe Quartz.
- 1995 : Salon Comparaison, Espace Eiffel, Paris, 7 au 23 avril.
- 1996 : Grands et Jeunes dâaujourdâhui, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 8 au 17 novembre.
- 1997 : Grands et Jeunes dâaujourdâhui, 1997, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 4 au 14 juillet.
- 2000 : Grands et Jeunes dâaujourdâhui, janvier au 6 fĂ©vrier, Espace Eiffel, Paris.
- 2000 : Peinture Sculpture, du 17 au 26 novembre.
- 2000 : Festival des Arts, en été, Beaulieu.
- 2000 : Rencontres des artistes contemporains, palais des Festivals, Cannes.
- 2007 : Revue Architectures Contemporaines en Provence, avec Luc Svetchine architecte auteur du Musée Léger de Biot.
- 2002 : Comparaison, L'art Actuel, 24 janvier au 4 février 2002 Espace Auteuil, Paris.
- 2004 : Comparaison, L'Art Actuel 22 janvier au 1er février 2004, Espace Auteuil, Paris.
- 2006 : Comparaison, « Art Capital », Les Semaines de L'Art Actuel, du 9 au 20 novembre, Grand Palais, Paris[38].
- 2012 : Festival de Peu, Bonson, avec performance Ă l'encens de cade.
- 2013 : exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson.
- 2013 : exposition Hommage Ă Max Ernst par Alain Girelli. Du 1er au 28 juillet 2013, Ă Seillans, 83440.
- 2020 : exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson.
- En permanence Ă la galerie Gollong de Saint-Paul-de-Vence et la Nathan gallery Ă Broadway[39].
Performances
- 2011 : avec un groupe de dix enfants de l'école de Callian et une intervention de Pierre Pinoncelli, filmée par Art CÎte d'Azur.
- 2011 : Espace d'art Alainjuno (en présence de Jean Mas et Alainjuno), du 1er au 30 octobre 2011.
- 2012 : Festival de Peu de Bonson avec une performance Ă l'encens de cade.
- 2013 : Performance pour l'exposition en hommage Ă Max Ernst Ă Seillans.
- 2013 : performance Jardin des Arts à Fayence, filmée par France 3 CÎte D'Azur pour le 19/20.
- 2015 : Espace d'art Alainjuno.
- 2021 : Festival du peu
RĂ©compenses
Notes et références
- (en) « Girelli, Alain », sur oxfordartonline.com (consulté le ).
- MentionnĂ©e dans le catalogue du Max Ernst Museum BrĂŒhl, p. 48 et 49.
- « Biographie Alain Girelli ».
- « Exposition de groupe Rue du Bac Ă Paris oĂč sont citĂ©es les crĂ©ations dâAlain Girelli : siĂšges, tables basses originales en bois. », Le Monde,â
- « L'EXPOSITION 72 AU GRAND PALAIS », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Max Ernst (Gérard Patris 1972) » (consulté le )
- planĂšte dĂ©co, « Une cabane de pĂȘcheur au Portugal » [article], sur planĂšte dĂ©co, (consultĂ© le ).
- La chaise sculpture de la cinquiĂšme photographie de l'article est lâĆuvre dâAlain Girelli : « Sculpture siĂšge (sculpture_siege-05.jpg) », sur alain.girelli.pagesperso-orange.fr (consultĂ© le ).
- « Exposition "Le bois et l'Homme" (1978) », sur FranceArchives (consulté le ).
- Pays de Fayence, « Girello », sur pays de fayence, (consulté le ).
- DépÎt INPI brevet pour le procédé.
- Triadys, « Le Centre d'art : présentation », sur Provence verte (consulté le ).
- Marie Lou Mouzon, « Exposition », Art ThĂšmes, trimestriel,â .
- « African Queen », Maison Française,â 1986, 1988, p 173 pour 1986 et 101 Ă 103 en 1988 (Maison Française, septembre 1986, et juin 1988, p 101 Ă 103.).
- « citation du Dictionnaire BĂ©nĂ©zit, 30 lignes, page 179, 1999, Tome 6 », Dictionnaire BĂ©nĂ©zit,â .
- Musées Menton, Alain Girelli : 50 sculptures : du 21 mars au 9 mai 1992, Palais de l'Europe, Menton / exposition organisée par les Musées de Menton, [la Ville]. Menton, (ISBN 978-2-909601-00-7, lire en ligne).
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le )
- « Hightech et verre », RĂ©sidences,â mai-juin 1996, p. 55, 56, 57, juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83, mai-juin 1996, p. 55, 56, 57 ; juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83.
- (en) « Jumpin' Juniper », Architectural Digest,â .
- (en) « æäžć°ć± æ¶éŽćçćšäžäžçșȘ50ćčŽä»Ł_ćć ·æŻç»ŽéŠ », sur www.sohu.com (consultĂ© le ).
- « Exposition Jacques Charrier Ă Seillans », sur Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consultĂ© le ).
- « Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE: Une Ćuvre d'Alain Girelli en bonne place Ă Seillans », sur Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consultĂ© le ).
- « SEILLANS : Les oeuvres de Jacques Charrier - Art CÎte d'Azur », sur www.artcotedazur.fr (consulté le ).
- « Hommage à Max Ernst - Alain Girelli », par Sébastien Cacioppo sur dailymotion.com.
- « Alain Girelli » (consulté le ).
- La rédaction, « Le programme des Journées du Patrimoine en Dracénie et dans le haut-Var », sur Var-Matin, (consulté le ).
- « MĂNAGE TON LAC #2 - Office du tourisme du pays de Fayence », par OFFICE DE TOURISME INTERCOMMUNAL DU PAYS DE FAYENCE https://www.paysdefayence.com/menage-ton-lac-2/.
- Le happening se distingue de la performance par son caractÚre spontané et le fait qu'il exige la participation active du public, public qui n'est plus considéré tel quel, mais comme intervenant.
- ici les enfants Ă Callian avec un autre exemple Ă Nice).
- « Festival du Peu - "Rien qu'un Peu 2021" - » (consulté le )
- « Performance Alain Girelli Poudre de Cade Festival du PEU 2021 » (consulté le ).
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
- « Alain GIRELLI - YouTube », sur www.youtube.com (consulté le )
- « La Fondation des Treilles », sur Fondation des Treilles (consulté le )
- « Tract de la galerie Lucie Weill »
- « 73 Sculptures Arts apparentĂ©s », Livres Hebdo, vol. 14, no 4,â (lire en ligne)
- Art Capital est nĂ© en 2006 de la volontĂ© des Salons dits « Historiques du Grand Palais » et dâartistes dâhorizons divers de jouer de leurs diffĂ©rences, dâunir leur force pour crĂ©er un Ă©vĂ©nement fĂ©dĂ©rateur et nouveau.
- « Galerie FrĂ©dĂ©ric Gollong - Loisirs culturels - Saint-Paul », sur Destination CĂŽte dâAzur France â Le Site officiel (consultĂ© le ).
Annexes
Bibliographie
- J. P. A. Akoun, Akoun: répertoire biographique d'artistes de tous pays des XIXe et XXe siÚcles. CV-XIX-XX, Cote de l'amateur, , 1481 p. (ISBN 9782859174293, présentation en ligne), p. 624.
- (en) « Girelli, Alain », dans Benezit Dictionary Of Artists, vol. 6, (lire en ligne), p. 276.