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Alain Girelli

Alain Girelli nĂ© le   Ă  Draguignan est un sculpteur, peintre et performeur français.

Alain Girelli
Alain Girelli en 2013.
Biographie
Naissance
Nationalité
Activités

Il découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974. Il vit et travaille prÚs de Fayence.

Biographie

Né le à Draguignan, Alain Girelli découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974[1]. Il vit et travaille prÚs de Fayence, dans le Var[1].

Il préfÚre travailler le bois, notamment le bois de cade imputrescible et odorant[1]. Mais il expérimente également le béton, pour lequel il invente un procédé de décoration aléatoire de la surface[1].

Lauréat offert par le comité central de coordination de l'apprentissage du bùtiment et des travaux publics.

Sa famille originaire de Pérouse en Ombrie est dans le bois depuis des générations : bûcherons, charbonnier, exploitants forestiers. Il poursuit la tradition familiale en passant son CAP menuiserie en 1966. AprÚs son service militaire, il est employé à partir de 1969 dans la menuiserie Francis Laboire de Seillans.

Une trĂšs vieille porte de cave du village Ă  la partie infĂ©rieure Ă©rodĂ©e par les Ă©coulements d’eau attire l’Ɠil de Max Ernst qui propose Ă  son propriĂ©taire de lui en acheter une neuve s’il veut bien en Ă©change lui donner celle rongĂ©e par le temps. Girelli s’occupe de l’opĂ©ration : fabriquer la nouvelle porte, la mettre en place, rĂ©cupĂ©rer l’ancienne, la fixer sur un panneau. Max Ernst la renverse et la transforme en une de ses D-paintings, D pour Dorothea Tanning pour qui, chaque annĂ©e, il crĂ©ait une Ɠuvre[2]. Girelli s’arrange avec son patron pour se mettre au service de l’artiste. À son contact, il pĂ©nĂštre un univers inconnu. Ses « forĂȘts » peintes, gravĂ©es ou grattĂ©es le fascinent. Tout ce qu’il dĂ©couvre chez l’artiste le nourrit, lui ouvre des perspectives impensĂ©es jusque-lĂ . Il l’observe, lui pose des questions, s’imprĂšgne de son univers et, rapidement, l’envie de crĂ©er va naĂźtre. Girelli, fort de sa grande connaissance du bois, rĂ©alise sa premiĂšre Ɠuvre : une chaise-trĂŽne Ă  haut dossier, pourvue de marches. Cette crĂ©ation est faite de bois assemblĂ©s « avec seule une rĂąpe comme outil ».

Il explore diffĂ©rents bois, ce matĂ©riau faisant partie du patrimoine familial mais jusque-lĂ  mis au service de l’utile[3] et diverses techniques : bois flottĂ©s ou bois lacustres coupĂ©s Ă  la pleine lune qu’il laisse sĂ©cher aprĂšs en avoir ĂŽtĂ© l’écorce.

PrĂ©sentant un dossier Ă  la Maison des mĂ©tiers d'art français, il lui sera proposĂ© de participer en 1972 Ă  une exposition en compagnie d’artistes de la rĂ©gion (Van Lith, Jacky Coville, Claude Pelletier, entre autres. Un article paraĂźt en 1972 dans Le Monde[4].[5] - [6].

Lettres de Madame Anne Gruner Schlumberger

En 1973, Anne Gruner Schlumberger, amie de Max Ernst, qui habite Ă  Tourtour, voit ses meubles d'artiste Ă  l’exposition de la Maison des MĂ©tiers d’Arts. Elle lui passe commande de « sculptures arbres » et de meubles d'artiste (piĂšces uniques) pour la fondations des Treilles, un lieu virgilien pour les arts et la pensĂ©e. Anne Gruner Schlumberger rassemble un nombre important d'Ɠuvres d'art dont elle a lĂ©guĂ© une partie, 800 piĂšces environ, Ă  la Fondation des Treilles. Y figurent Dubuffet, Giacometti, Picasso, Max Ernst ou Victor Brauner qu'elle a personnellement connues et avec lesquels ont existĂ© des liens d'amitiĂ© dont tĂ©moigne sa correspondance, ainsi que des Ɠuvres d'Alain Girelli.

Monogramme d'Alain Girelli.

Tout en continuant Ă  travailler pour Max Ernst, il crĂ©e une nouvelle gamme de meubles — chaises et tables surtout —. C’est ensuite la galerie Saint-Jacques de Toulouse qui s'intĂ©resse Ă  son travail. Il crĂ©e pour elle une chaise ondulante[7] - [8].

Lettre de Jean-Louis Prat, directeur de la Fondation Maeght, Ă  l'attention d'Alain Girelli (1976).

Ses rĂ©alisations sont trop fragiles pour rester Ă  l’extĂ©rieur. Jean-Louis Prat, directeur de la Fondation Maeght, lui conseille de trouver un matĂ©riau rĂ©sistant et imputrescible. Il pense alors au bois de cade, une espĂšce de genĂ©vrier (juniperus oxycedrus) prĂ©sent dans la rĂ©gion, dont on tire de l’huile antiseptique et anti-parasitaire, habituellement utilisĂ©e pour soigner la gale des moutons. Il dĂ©racine souvent ces arbres morts Ă  la suite d'incendies — imputrescibles, ils restent sur pieds plusieurs dizaines d'annĂ©es. Ses qualitĂ©s imputrescibles et odorantes, sa duretĂ©, intĂ©ressent Girelli qui, avec ce nouveau matĂ©riau, rĂ©alise une sĂ©rie de nouvelles sculptures qu’il va laquer et patiner en noir.

En , il est invitĂ© Ă  l'exposition Le Bois et l’Homme qui a lieu Ă  l’aĂ©roport de Paris-Orly oĂč sont exposĂ©s des chefs-d’Ɠuvre du musĂ©e de l'Homme[9]. C'est d'ailleurs lors de cet Ă©vĂšnement qu'il rĂ©alise sa premiĂšre performance avec de la poudre de cade (Juniperus oxycedrus).

L’émission de tĂ©lĂ©vision Marche ou rĂȘve, oĂč il est interviewĂ© par Georges BĂ©gou, est enregistrĂ©e Ă  cette occasion : son Grand Arbre sera filmĂ©. La fin de l'annĂ©e, il accompagne Dorothea Tanning Ă  Paris pour le transport des Ɠuvres de Max Ernst et sĂ©journe chez eux rue de Lille. Il expose en dĂ©cembre et -1978 et du au Ă  Paris, la galerie Lucie Weill & Seligmann prĂ©sente des Ɠuvres de Girelli Ă  cĂŽtĂ© de celles de Picasso, MirĂł, Max Ernst, Masson, etc.[10].

L'oiseau Noir
L'oiseau Noir, hommage Ă  Max Ernst, acier thermolaquĂ©, hauteur : 3 mĂštres, Fayence, Var.

En 1980, au Salon de FrĂ©jus, il rencontre des architectes parisiens qui lui conseillent de rĂ©aliser des Ɠuvres pour l’espace public, leurs qualitĂ©s graphiques se prĂȘtant Ă  la monumentalitĂ©. Suivant leur conseil, Girelli rĂ©alise des sculptures monumentales, jusqu’à quatre mĂštres de haut, en bronze, en bĂ©ton, en acier corten ou thermolaquĂ©, notamment L'oiseau Noir en hommage Ă  Max Ernst.

En 1983, dans le cadre du 1 % artistique, il reçoit de la sociĂ©tĂ© d’autoroutes Escota la commande d’une sculpture monumentale en bois imputrescible qu’il nomme Soleil couchant pour l’autoroute EstĂ©rel-CĂŽte d’Azur, aire de Jas Pellicot - Autoroute A8. Il rĂ©alise sa premiĂšre sculpture monumentale en bĂ©ton colorĂ©[11] dans un atelier spĂ©cialisĂ© de Lafarge Ă  Draguignan. Elle sera dĂ©finitivement installĂ©e au Centre d'art contemporain de Chateauvert[12].

En 1984, Jean-Paul Crespelle, critique d’art de France-Soir, le met en contact avec le sculpteur CĂ©sar qui apprĂ©ciera son travail.

À Cannes, l’annĂ©e suivante, il fait la rencontre d’Henri Goetz.

En 1986, il reçoit la mĂ©daille d’or du Salon FAM de Tourrettes-sur-Loup. Le jury est composĂ© de conservateurs de musĂ©es et d’artistes. La revue Art ThĂšmes publie un article sur son exposition dans la salle du couvent de Seillans[13]. La revue Maison française[14] avec FrĂ©dĂ©ric MĂ©chiche consacre plusieurs pages Ă  ses Ɠuvres.

Le collectionneur Jacques Ginepro, expert en sculptures des XIXe et XXe siĂšcles lui achĂšte des Ɠuvres dont Gertrude, une de ses reprĂ©sentations fĂ©minines. En 1999, il le parraine pour avoir une notice dans le Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[15], le dictionnaire de rĂ©fĂ©rence des artistes. Trente lignes lui sont consacrĂ©es : « Girelli ne cherche pas l’anecdote mais dĂ©sire insuffler un mouvement, une expression Ă  la matiĂšre ce qu’il fera dans ses Totems ».

En mĂȘme temps que ses sculptures monumentales, il dĂ©cline avec la collaboration de Claude Pelletier, orfĂšvre de Biot des sculptures-bijoux en pierres semi-prĂ©cieuses, notamment portĂ©e par Yvonne Desseux, la secrĂ©taire d’AimĂ© Maeght.

En 1992, sa premiĂšre exposition personnelle, Cinquante sculptures, a lieu au palais de l’Europe Ă  Menton[16]. Un catalogue des Ɠuvres est Ă©ditĂ© par le musĂ©e. La mĂȘme annĂ©e, il obtient un premier prix au festival des arts de Beaulieu, prix qui consiste en la possibilitĂ© de rĂ©aliser sa premiĂšre Ɠuvre en bronze offert par la fonderie d’art Bronze d’Airain. Il dĂ©couvre alors l’univers des fonderies.

La peinture pĂ©nĂštre ensuite dans ses travaux, d’abord par les bois colorĂ©s de ses « Totems », puis par des dessins gĂ©omĂ©triques multicolores apposĂ©s sur le fond blanc de ses sculptures. Son originalitĂ© est de peindre sur des formes sculptĂ©es : « Ici la peinture se pose et “dĂ©pose” sur la sculpture qui se pare et s'empare de ses reflets. La forme accompagne Ă  “dessein” la couleur pour que vive l'instant d'une rencontre pĂ©rennisĂ©e . Nous sommes ici invitĂ©s Ă  grignoter cette alliance artistique par le plaisir des yeux » (Jean Mas, Ă©crivain artiste de l'École de Nice)[17].

En 1996, Ă  l’Espace Eiffel, il rĂ©alise une performance dans laquelle il effectue le moulage de la main et de la cheville de son Ă©pouse Dany, performance financĂ©e par les chocolats fins des ateliers Puyricard, filmĂ©e par l’École du journalisme de Paris, au profit d'Enfance et Partage. La revue RĂ©sidences prĂ©sente ses sculptures[18].

Cette mĂȘme annĂ©e, la revue amĂ©ricaine Architectural Digest publie un article avec plusieurs photographies de ses Ɠuvres[19].

SƓur Emmanuelle sur le TrĂŽne du Roi de la ForĂȘt
SƓur Emmanuelle sur le TrĂŽne du Roi de la ForĂȘt en 2000.

En 2000, Alain Girelli invite SƓur Emmanuelle Ă  dĂ©jeuner chez lui Ă  Seillans. À la fin du repas, elle dĂ©cide d'essayer une de ses chaises hautes (Le TrĂŽne du Roi de la ForĂȘt).

Les expositions se succĂšdent. La galerie europĂ©enne de la ForĂȘt et du Bois prĂ©sente pendant six mois ses 18 Ɠuvres. Il expose ensuite Ă  New York Ă  La Nouvelle-OrlĂ©ans, Tokyo, puis Paris.

En 2007 a lieu l'inauguration de Loplop, le supĂ©rieur des Oiseaux, l'homme au caractĂšre doux et fĂ©roce en hommage Ă  Max Ernst, un trĂŽne conçu pour lui. Un reportage a Ă©tĂ© publiĂ© dans la revue SupĂ©rieur Inconnu.

Alain Girelli collabore également pendant de nombreuses années avec l'architecte niçois Luc Svetchine[20], fils de l'architecte Andreï Svetchine.

Collaboration avec Luc Svetchine.

Du au , une sculpture monumentale de hauteur de 4 mĂštres est exposĂ©e en extĂ©rieur accompagnĂ© de Jacques Charrier artiste, peintre[21] - [22] - [23]. « Il y a maintenant une technique parfaite de la part de Girelli, d’une expression au dĂ©part brute, son art est devenu trĂšs raffinĂ©, Ă©lancĂ©. Une Ɠuvre secrĂšte et sobre sur la route des grandes rĂ©alisations. Son « univers des formes » abrite des ombres ,des secrets pour des ailleurs autres. Alors bonne route Alain sur les rĂȘves de la sculpture[23]. »

Du 1er au 2013, il réalise une exposition à Seillans en hommage à Max Ernst. Un petit reportage vidéo, dans lequel il explique sa démarche, a été réalisé pour l'occasion[24].

En 2012, il participe au Festival du Peu Ă  Bonson.

En 2015, il apparaßt dans l'une des réalisations de la télévision du pays de Fayence[25].

Le week-end du 18 et , dans le pays de Fayence, il a pu ĂȘtre prĂ©sent aux journĂ©es du patrimoine en DracĂ©nie dans le Haut-Var[26]. Durant ces deux jours, il a pu performer Y’a le feu au lac Ă  la Maison du Lac, et exposer ses sculptures Les MystĂšres de la forĂȘt. Il reprĂ©sente, Ă  sa maniĂšre la forĂȘt qui est dĂ©truite par des objets et d’autres objets dĂ©laissĂ©s dans la nature. Le Ă©tait aussi une journĂ©e nommĂ© « MĂ©nage ton lac » oĂč il a pu rĂ©aliser et faire rĂ©aliser des Ɠuvres Ă  partir de dĂ©chets. C’est en milieu d’aprĂšs-midi qu’il a pu rĂ©aliser son happening performance[27].

Il rĂ©alise une performance Ă  l'encens de cade — favorisant la manifestation des hauts esprits — Ă  l'ouverture du Festival du peu, les 2 et . Il fait un happening[28] - [29] oĂč Jean Mas enflamma son nom[30] - [31].

Fin 2021, il apparaĂźt dans le journal Var-Matin[32].

Alain Girelli pratique la technique mixte du dripping à Fayence . Il s'inspire d'une technique de Max Ernst, son maßtre. En plus, il mélange de la colle avec de la poudre d'encens de cade, bien sûr, afin de donner du relief à ses toiles, pour un résultat unique en son genre. Alain Girelli participe aux Visites de la passion organisées par l'Office Intercommunal du pays de Fayence[33].

En 2022, Alain Girelli se diversifie et numĂ©rise son contenu, notamment sur la plateforme YouTube oĂč il montre certaines de ses Ɠuvres[34].

ƒuvres dans l'espace public et les collections publiques

  • 1973 : la Fondation des Treilles[35].
  • 1978 : Ă©cole maternelle Les Canoubiers, Cagnes-sur-mer.
  • 1979 : Ă©cole de Tourrettes, Var.
  • 1983 : Ă©cole de Mons, Var.
  • 1983 : Escota, autoroute Esterel-CĂŽte d’Azur, aire Jas de Pellicot, sortie de Puget-sur-Argens (Var).
  • 1984 : complexe sportif des Lices Ă  Toulon.
  • 1986 : Ă©cole du Muy, Ɠuvre monumentale en arbres de cade, Var.
  • 1987 : Centre d'art contemporain de ChĂąteauvert, sculpture monumentale BĂ©ton (procĂ©dĂ© brevetĂ© INPI ), reportage dans la revue Art thĂšmes.
  • 1990 : galerie municipale d'art contemporain Remp'Art Ă  Toulon, sculpture de trois mĂštres de haut en acier, acquise par François Trucy, sĂ©nateur-maire de Toulon, placĂ©e ensuite Ă  la mairie annexe de Toulon.
  • 1992 : musĂ©e de Menton.
  • 2012 : musĂ©e du Peu Ă  Bonson (Alpes-Maritimes).
  • 2022 : musĂ©e Wallraf–Richartz Museum Ă  Cologne en Allemagne.

Expositions et performances

Expositions personnelles

  • 1978 : galerie Lucie Weill & Seligmann, dĂ©cembre et janvier 1977-1978 et du 25 mai au 12 juillet 1978, Paris[36].
  • 1984 : exposition individuelle de 15 sculptures dans l'aĂ©rogare de l'aĂ©roport Nice-CĂŽte d'Azur (Alpes-Maritimes), 1er-31 juillet.
  • 1987 : rĂ©trospective Alain Girelli, parrainĂ©e par Express-bĂ©ton et les Ciments Lafarge-France, Ă  la salle du Couvent de Seillans, 21 aoĂ»t-3 septembre.
  • 1989 : aĂ©roport Roissy-Charles de Gaulle (9 mai-15 juin).
  • 1990 : aĂ©rogare de Roissy-Charles de Gaulle au 2B, dĂ©parts mĂ©tropole, exposition de 20 sculptures.
  • 1992 : palais de l’Europe de Menton, prĂ©sentation de 50 sculptures dont une monumentale de 3 mĂštres en acier, catalogue publiĂ©[37].
  • 2013 : Ă  Seillans, 30 sculptures dont un trĂŽne pour Loplop l'Homme supĂ©rieur des oiseaux, Ă  cause de son caractĂšre doux et fĂ©roce, en hommage Ă  Max Ernst. Avec performance Ă  l'encens de cade.

Expositions collectives

Performances

  • 2011 : avec un groupe de dix enfants de l'Ă©cole de Callian et une intervention de Pierre Pinoncelli, filmĂ©e par Art CĂŽte d'Azur.
  • 2011 : Espace d'art Alainjuno (en prĂ©sence de Jean Mas et Alainjuno), du 1er au 30 octobre 2011.
  • 2012 : Festival de Peu de Bonson avec une performance Ă  l'encens de cade.
  • 2013 : Performance pour l'exposition en hommage Ă  Max Ernst Ă  Seillans.
  • 2013 : performance Jardin des Arts Ă  Fayence, filmĂ©e par France 3 CĂŽte D'Azur pour le 19/20.
  • 2015 : Espace d'art Alainjuno.
  • 2021 : Festival du peu

RĂ©compenses

  • 1987 : mĂ©daille d'argent au grand prix de peinture et de sculpture des Cent Ans de la CĂŽte d'Azur, Ă  Tourettes-sur-Loup (Alpes-Maritimes).
  • 1989 : mĂ©daille d’or de Nice Communication.
  • 1989 : premier prix de la Ville de Saint-Jean-Cap-Ferrat Ă  l'exposition septembre des Arts.
  • 1992 : premier Prix au Festival des arts de Beaulieu, prix qui lui offre la possibilitĂ© de rĂ©aliser sa premiĂšre Ɠuvre en bronze.
[réf. nécessaire]

Notes et références

  1. (en) « Girelli, Alain », sur oxfordartonline.com (consulté le ).
  2. MentionnĂ©e dans le catalogue du Max Ernst Museum BrĂŒhl, p. 48 et 49.
  3. « Biographie Alain Girelli ».
  4. « Exposition de groupe Rue du Bac Ă  Paris oĂč sont citĂ©es les crĂ©ations d’Alain Girelli : siĂšges, tables basses originales en bois. », Le Monde,‎
  5. « L'EXPOSITION 72 AU GRAND PALAIS », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  6. « Max Ernst (Gérard Patris 1972) » (consulté le )
  7. planĂšte dĂ©co, « Une cabane de pĂȘcheur au Portugal » [article], sur planĂšte dĂ©co, (consultĂ© le ).
  8. La chaise sculpture de la cinquiĂšme photographie de l'article est l’Ɠuvre d’Alain Girelli : « Sculpture siĂšge (sculpture_siege-05.jpg) », sur alain.girelli.pagesperso-orange.fr (consultĂ© le ).
  9. « Exposition "Le bois et l'Homme" (1978) », sur FranceArchives (consulté le ).
  10. Pays de Fayence, « Girello », sur pays de fayence, (consulté le ).
  11. DépÎt INPI brevet pour le procédé.
  12. Triadys, « Le Centre d'art : présentation », sur Provence verte (consulté le ).
  13. Marie Lou Mouzon, « Exposition », Art ThĂšmes, trimestriel,‎ .
  14. « African Queen », Maison Française,‎ 1986, 1988, p 173 pour 1986 et 101 Ă  103 en 1988 (Maison Française, septembre 1986, et juin 1988, p 101 Ă  103.).
  15. « citation du Dictionnaire BĂ©nĂ©zit, 30 lignes, page 179, 1999, Tome 6 », Dictionnaire BĂ©nĂ©zit,‎ .
  16. Musées Menton, Alain Girelli : 50 sculptures : du 21 mars au 9 mai 1992, Palais de l'Europe, Menton / exposition organisée par les Musées de Menton, [la Ville]. Menton, (ISBN 978-2-909601-00-7, lire en ligne).
  17. « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le )
  18. « Hightech et verre », RĂ©sidences,‎ mai-juin 1996, p. 55, 56, 57, juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83, mai-juin 1996, p. 55, 56, 57 ; juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83.
  19. (en) « Jumpin' Juniper », Architectural Digest,‎ .
  20. (en) « æž—äž­ć°ć±‹ æ—¶é—Žćœç•™ćœšäžŠäž–çșȘ50ćčŽä»Ł_ć•ć…‹Â·æ–Żç»Žé’Š », sur www.sohu.com (consultĂ© le ).
  21. « Exposition Jacques Charrier Ă  Seillans », sur Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consultĂ© le ).
  22. « Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE: Une Ɠuvre d'Alain Girelli en bonne place Ă  Seillans », sur Vous ĂȘtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consultĂ© le ).
  23. « SEILLANS : Les oeuvres de Jacques Charrier - Art CÎte d'Azur », sur www.artcotedazur.fr (consulté le ).
  24. « Hommage à Max Ernst - Alain Girelli », par Sébastien Cacioppo sur dailymotion.com.
  25. « Alain Girelli » (consulté le ).
  26. La rédaction, « Le programme des Journées du Patrimoine en Dracénie et dans le haut-Var », sur Var-Matin, (consulté le ).
  27. « MÉNAGE TON LAC #2 - Office du tourisme du pays de Fayence », par OFFICE DE TOURISME INTERCOMMUNAL DU PAYS DE FAYENCE https://www.paysdefayence.com/menage-ton-lac-2/.
  28. Le happening se distingue de la performance par son caractÚre spontané et le fait qu'il exige la participation active du public, public qui n'est plus considéré tel quel, mais comme intervenant.
  29. ici les enfants Ă  Callian avec un autre exemple Ă  Nice).
  30. « Festival du Peu - "Rien qu'un Peu 2021" - » (consulté le )
  31. « Performance Alain Girelli Poudre de Cade Festival du PEU 2021 » (consulté le ).
  32. « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
  33. « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
  34. « Alain GIRELLI - YouTube », sur www.youtube.com (consulté le )
  35. « La Fondation des Treilles », sur Fondation des Treilles (consulté le )
  36. « Tract de la galerie Lucie Weill »
  37. « 73 Sculptures Arts apparentĂ©s », Livres Hebdo, vol. 14, no 4,‎ (lire en ligne)
  38. Art Capital est nĂ© en 2006 de la volontĂ© des Salons dits « Historiques du Grand Palais » et d’artistes d’horizons divers de jouer de leurs diffĂ©rences, d’unir leur force pour crĂ©er un Ă©vĂ©nement fĂ©dĂ©rateur et nouveau.
  39. « Galerie FrĂ©dĂ©ric Gollong - Loisirs culturels - Saint-Paul », sur Destination CĂŽte d’Azur France – Le Site officiel (consultĂ© le ).

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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