Aiolornis incredibilis
Nommé par Howard (1952), Teratornis incredibilis (du grec : « oiseau monstrueux incroyable ») est une espèce éteinte d'oiseaux ayant vécu en Amérique du Nord au Pléistocène supérieur. Il a été renommé en Aiolornis incredibilis par Campbell et al. (1999) et Olson et Alvarenga (2002)[1] - [2] - [3] - [4] - [5].
Aiolornis incredibilis
Vue d'artiste de 2 Aiolornis incrediblis par Nobu Tamura.
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Aves |
Ordre |
Accipitriformes selon Amadon (1977) Ciconiiformes selon Carroll (1988) Falconiformes selon PaleoDB |
Famille | †Teratornithidae |
†Aiolornis
(S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002))
(S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002))
†incredibilis
(S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002))
(S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002))
- Teratornis incredibilis
- Aiornis (orthographe erronée souvent utilisée)
Description
C'est le troisième oiseau le plus grand après Argentavis et Pelagornis. Proche du vautour, ce rapace géant était deux fois plus grand que celui-ci : son envergure atteignait cinq mètres[6] et il pouvait peser jusqu'à vingt-cinq kilos. Comme ses descendants, il devait être exclusivement charognard.
Notes et références
- (en) S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002), « S. L. Olson, H. M. F. Alvarenga (2002) A new genus of small teratorn from the Middle Tertiary of the Taubaté Basin, Brazil (Aves: Teratornithidae): Proceedings of the Biological Society of Washington 4: 701--705 - via Catalogue of Life », Proceedings of the Biological Society of Washington,‎
- « PBDB », sur paleobiodb.org (consulté le )
- Ondrej Zicha, « BioLib: Biological library », sur www.biolib.cz (consulté le )
- « IRMNG - Aiolornis Campbell, Scott & Springer, 1999 †», sur www.irmng.org (consulté le )
- « Aiolornis incredibilis - Avibase », sur avibase.bsc-eoc.org (consulté le )
- Kenneth E. Campbell et Eduardo P. Tonni, « A new genus of teratorn from the Huayquerian of Argentina (Aves: Teratornithidae) », Contributions in science, vol. 330,‎ , p. 59–68 (ISSN 0459-8113, DOI 10.5962/p.208145, lire en ligne, consulté le )
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