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Action (parti politique)

Action (en italien : Azione, A ou Az) est un parti politique italien social-libéral fondé le .

Action
(it) Azione
Image illustrative de l’article Action (parti politique)
Logotype officiel.
Présentation
Secrétaire Carlo Calenda
Fondation
(Nous sommes européens)
(Action)
Scission de Parti démocrate
Siège Corso Vittorio Emanuele II 21, Rome
Présidente Mara Carfagna
Secrétaires adjoints Enrico Costa
Andrea Mazziotti di Celso
Mariastella Gelmini
Positionnement Centre
Idéologie Social-libéralisme
Europhilie
Groupe au Parlement européen Renew Europe
AdhĂ©rents 38 000 (dĂ©cembre 2020)
Couleurs Bleu et vert
Site web www.azione.it
Représentation
Députés
12 / 400
SĂ©nateurs
4 / 200
Députés européens
1 / 76

Histoire

Son fondateur est Carlo Calenda, dĂ©putĂ© europĂ©en au sein du groupe Renew Europe et ancien ministre italien du DĂ©veloppement Ă©conomique (2016-2018). Initialement lancĂ© sous le nom de Siamo Europei (SE) en français : « Nous sommes europĂ©ens Â». Il prend son nom actuel en novembre 2019 quand il devient officiellement un parti politique. Carlo Calenda dĂ©crit son parti comme « anti-populiste » et « anti-souverainiste ». Il explique que le nom du parti est une rĂ©fĂ©rence historique Ă  l'Ă©phĂ©mère Parti d'action de l'après-Seconde Guerre mondiale et une allusion au « socialisme libĂ©ral » de Carlo Rosselli.

Le parti s'allie au Parti démocrate à l'approche des élections générales de 2022 mais rompt cette alliance quelques jours plus tard en raison notamment de la présence de partis qui ont voté contre le gouvernement de Mario Draghi comme l'Alleanza Verdi e Sinistra, qui rassemble des partis écologistes et de gauche, et le parti centriste Impegno Civico[1]. Durant la campagne électorale, Action est rejoint par des membres importants de Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi, opposés à l'alliance de leur parti derrière des formations d’extrême droite[2].

Programme

Son programme prévoit des baisses d'impôts, une restriction du revenu de citoyenneté, le soutien au nucléaire, une personnalisation accrue du président du Conseil qui serait directement élu, ou encore le renforcement du pouvoir des experts. Il est jugé proche de celui d’Emmanuel Macron en France[3]. Ces positions, qui se présentent comme « modernistes », séduisent surtout un électorat urbain et bourgeois[3].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Action (Italy) » (voir la liste des auteurs).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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