Accueil🇫🇷Chercher

40th Anniversary Olympia 2012

40th Anniversary Olympia 2012 est un coffret CD/DVD live d'Alan Stivell, sorti le chez Mercury (Universal). Le support audio propose « les meilleurs moments » et la vidéo l'intégralité du concert anniversaire donné par l'artiste à l'Olympia, 40 ans après son passage historique dans le music-hall parisien.

40th Anniversary
Olympia 2012
Description de l'image Logo DVD Alan Stivell.png.
Live de Alan Stivell
Sortie 22 juillet 2013
Enregistré 16 février 2012
Olympia (Paris)
Durée 74 min.
Genre Musique bretonne, musique celtique, folk, rock celtique
Format CD / DVD
Producteur Keltia III
Label Mercury (Universal)
Critique

Albums de Alan Stivell

Stivell à l’Olympia

Albums de Alan Stivell

Présentation du coffret CD/DVD

« En , à l'Olympia de Paris, j'ai pu revenir dans cette salle mythique, revivre avec mon cher public, l'intensité d'un échange que (comme tous mes confrères) je rapproche du terme (occitan) amour. Ni moi, ni personne, avant le , ne pouvions imaginer cette rencontre de harpe bardique, de guitare électrique, de chant en breton, avec le grand public.
C'est bien grâce à votre ouverture, grâce aux personnes qui m'ont aidé, que cette date est historique. […] Je revendique la harpe comme arme pacifique. Aucune haine dans les flèches de mon arc musical. J'ai retrouvé et ressenti, pour cet anniversaire, une même émotion (fromm), une même énergie (startijenn), qui m'ont semblé partagées. Merci encore à vous ! Trugarez vras deoc'h endro ! »

— Alan Stivell, pochette du CD


Ce live prĂ©sente l'enregistrement du concert anniversaire Ă  l'Olympia du , 40 ans après celui du [1]. Le CD contient 15 titres (« les meilleurs moments de cette soirĂ©e anniversaire Â») alors que le DVD prĂ©sente l'intĂ©gralitĂ© du spectacle, soit un programme vidĂ©o de 2h40. Pour ce concert Ă©vĂ©nement, Mercury avait rĂ©Ă©ditĂ© l'album live Ă€ l'Olympia dans le best-of Ar Pep Gwellañ. La totalitĂ© des titres prĂ©sents en 1972 sont rĂ©interprĂ©tĂ©s lors de ce nouveau concert mais An Durzhunel n'est pas conservĂ© pour le DVD. Selon le texte de prĂ©sentation, « le barde a emmenĂ© le public sur son chemin de passerelles entre tradition et rock, musiques d’hĂ©ritage et musiques improvisĂ©es, chant a cappella et Ă©lectronique. PrĂ©curseur de la vague celtique, cherchant toujours Ă  abaisser les frontières sociales, temporelles, sociologiques, culturelles ou techniques. »[2] Il retrouve sur scène les musiciens qui ont marquĂ© ce concert de 1972, Dan Ar Braz et RenĂ© Werneer. Curieusement, Gabriel Yacoub n'y participe pas mais il Ă©tait prĂ©sent en 2002 au concert de cĂ©lĂ©bration du 30e anniversaire[3].

DĂ©roulement du spectacle

Ouverture du concert avec le bagad Quic-en-Groigne.

Dès l'arrivĂ©e d'Alan Stivell dans la fosse de l'Olympia, l'Ă©motion est perceptible dans le public et Ă  la lecture du texte introductif (tronquĂ© sur le DVD)[4] lorsqu'il Ă©voque le chemin parcouru depuis cet Olympia d'une « Ă©motion incroyable » en prĂ©cisant que ses « rĂŞves d'enfant » ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s par le soutien du public (« d'une manière que j'aurais jamais pu imaginer ») et de son père, tout en continuant d'avancer entourĂ© de ses nouvelles harpes, d'instruments du XXIe siècle et traditionnels, notamment par la venue d'une dĂ©lĂ©gation du bagad Quic-en-Groigne. La soirĂ©e s'ouvre par Bleimor, the bagad, lĂ  oĂą a commencĂ© sa formation et son hĂ©ritage, c'est-Ă -dire au contact des bagadoĂą et de la harpe celtique, Au-delĂ  des mots comme est intitulĂ© l'album dans lequel figure le morceau. Il enchaĂ®ne avec la première chanson entendue dans son enfance, une mĂ©lodie gaĂ©lique : EibHlin (Eileen a roon). Suit, a cappella, une composition du chantre de la chanson bretonne engagĂ©e, Glenmor : Ă” Langonned poursuit cet enracinement rural au plus proche de la tradition qu'ont en commun ces deux chanteurs professionnels avec la volontĂ© de partager leur amour pour leur terre (ici Langonnet). Dan Ar Braz, avec qui tout a commencĂ© pour ce qui est du rock celtique, arrive sur la pointe des pieds en baskets jaunes, pour faire souffler The Wind of Keltia dans le music-hall parisien. Un tumulte agite soudainement la salle lorsque RenĂ© Werneer fait, Ă  son tour, son entrĂ©e, pour des retrouvailles riches en Ă©motion, accentuĂ©es par les premières notes de The Trees They Grow High sous son archet. Le voyage en Celtie se poursuit avec la chanson Iroise, issue de l'album Back to Breizh que Stivell considère comme l'un de ses plus aboutis. Les spots projettent sur la scène les couleurs violentes de cette mer, Ă  la fois dangereuse et fascinante de beautĂ©. L'azur se mĂŞle au vert Ă©meraude, des entrelacs mauves ornementent les grands voiles disposĂ©es au fond de scène. « Voici une chanson parlant de paix, Brian Boru » ; Alan Stivell chante les paroles en gaĂ©liques, breton et françaises avec ce phrasĂ© si particulier qui rend sa voix inimitable. Il est rejoint par la douce et puissante voix de Nolwenn Leroy pour un instant d’envoĂ»tement. Une Ă©motion particulière pour les deux interprètes, Stivell signalant que « Nolwenn a le mĂŞme âge aujourd'hui que j'avais il y a quarante ans, Ă  l'Olympia Â». Te, intime complainte figurant dans le disque Explore oĂą Stivell montre tout son novateur savoir-faire. Petit retour en 1972, Ă©poque contestataire, avec Harpes de sang, en breton Telenn Gwad, The Foggy Dew et An Alarc'h, Le cygne en français. Cette chanson traditionnelle, issue du Barzaz Breiz, Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un chant patriotique. Toute la salle reprend en chĹ“ur : « Dinn, dinn, daoñ, d'an emgann, d'an emgann, o ! Dinn, dinn, daoñ, d'an emgann ez an Â». Le Bagad de Saint-Malo, l'un des plus innovants du moment, RenĂ© Werneer au fiddle, Robert Le Gall au violon se joignent Ă  la formation de Stivell de l'Ă©poque. Le morceau monte en puissance et s'achève en apothĂ©ose sous des sunlights aux teintes sanguinolentes. Pour The King of the fairies, Robert Le Gall rejoint, une nouvelle fois, RenĂ© Werneer et RaphaĂ«l Chevalier (dĂ©cĂ©dĂ© 5 ans plus tard)[5] ; les trois violonistes transcendent ce virevoltant traditionnel irlandais. La salle se lève pour saluer la performance des musiciens. Stivell remercie d'un grand sourire ses deux invitĂ©s et va saluer RenĂ© Werneer en signalant qu'ils ne s'Ă©taient pas revu depuis trente cinq ans.

Le spectacle continue après un entracte. Des rayons lasers verts s'entremêlent aux fumigènes, créent une atmosphère surnaturelle, surlignent les silhouettes des musiciens qui ne deviennent qu'ombres furtives. Avec un enchaînement de morceaux traditionnels, le musicien montre toute la maîtrise de son art, que ce soit au chant kan ha diskan (Tamm ha Tamm), à la harpe, bien sûr, mais aussi à la cornemuse électrique, à la flûte irlandaise, à la bombarde, à la cornemuse écossaise rappelant son époque de penn-soner. Le harpiste déroule ses morceaux rythmés qui ont jalonné sa carrière : Ne bado ket atao (E Langonned), Brittany's (Emerald), Miz Tu (Explore), Kimiad ar soudard yaouank (Chemins de terre et Again). Toute l'assistance aimerait mais n'ose pas danser ; ce sera donc Alan Stivell qui viendra vers elle. Il descend de la scène, prend la main d'une spectatrice, l'invite dans un An Dro formant une chaîne tout autour de la salle.

Nolwenn Leroy revient interpréter l'hymne breton.

Les invitĂ©s se succèdent sur la scène pour l'accompagner ; KĂ©vin Camus au uilleann pipes (7, 8), l'Ă©cossaise Joanne Maclver ou chant pour Tha mi sgìth et Ă  la gaĂŻta (9, 10) ou la flĂ»te (2), l'Ă©chevelĂ© Pat O'May et ses riffs de guitare nerveux dès l'intro de la Suite Sudarmoricaine. Tous les spectateurs reprennent le cĂ©lèbre refrain du « Pardon de SpĂ©zet » dans sa version revigorĂ©e. 40 vloaz 'zo est une interprĂ©tation du Kost ar c'hoad de 1972 cĂ©lĂ©brant les 40 ans de sa première interprĂ©tation, rejoint ici par RenĂ© Werneer au violon et Robert Le Gall Ă  la mandoline. Dan Ar Braz revient pour un duo de virtuositĂ© comme par le passĂ©, son style limpide Ă  la guitare faisant corps au doigtĂ© agile de Stivell Ă  la harpe dans le mythique Pop Plinn. La chanson du cidre Son ar chistr met le feu Ă  l'Olympia. Après un rappel, Ian Morrison Reel illumine Ă  nouveau la salle avec le retour de la guitare Ă©lectrique de Pat O'May qui accompagne la cornemuse d'Alan Stivell. Puis Brezhoneg 'Raok rappel l'importance de la diversitĂ© linguistique ; avec hargne, le constant dĂ©fenseur de la langue bretonne lève le poing et le public brandis quelques Gwenn ha du avec fiertĂ©, face aux musiciens du bagad. Tri Martolod, l'incontournable complainte des trois matelots de Nantes, est entonnĂ©e et applaudie par tous le public. Stivell invite pour finir le public Ă  chanter avec lui le Bro gozh ma zadoĂą repris, en duo, avec Nolwenn Leroy, tous deux laurĂ©ats du « prix Bro Gozh Â». L'artiste conclura par ces mots : « Tout ce que je vois, ce soir, me donne du courage pour continuer ! »[6].

Parution et réception

Notation des critiques
Compilation des critiques
PĂ©riodiqueNote
Le Télégramme3/4 étoiles[7]
Bretagne Actuelle4/5 Ă©toiles[8]
Easy Voyage4/5 Ă©toiles[9]
Amazon.fr5/5 Ă©toiles

Produit par Mercury Records, l'album live sort le , dans l'Hexagone et en Corse. La musique est toujours une production de son label Keltia 3 et l'enregistrement du concert est produit par Bleu Iroise, Morgane groupe et France Télévisions. Il avait été diffusé sur France 3 Bretagne le , suivi du documentaire Au-delà des frontières, Stivell, dans le cadre de l'émission Génération Breizh[10].

Il réalise des dédicaces dans les espaces culturels E.Leclerc, à Vannes et à Brest[11]. Il entre dès sa sortie dans le Top Albums France, à la 158e position et 171e en Belgique[12]. Dans le Télégramme, Gérard Classe (auteur des photos de l'album), remarque que « l'album comprend le DVD témoin du show géant de deux heures et demie, dans une ambiance surchauffée » et considère que « ses standards revisités n'ayant pris aucune ride, bien au contraire. Ce n'est pas Nolwenn Leroy, présente sur « Brian Boru » et le « Bro Gozh final », qui nous contredira. »[7]. Anny Maurussane, du web MAGazine Culture et Celtie, écrit : « la caméra a su capter les regards, les sourires complices, les émotions des retrouvailles, puis le bonheur visible des musiciens conscients d’avoir produit un « spectacle réussi » et prodigue. »[13]

Caractéristiques techniques

CD

No Titre Durée
1. Présentation 0:17
2. Bleimor, the bagad 7:22
3. Eibhlin 6:19
4. The wind of Keltia 5:26
5. Brian Boru 7:16
6. Te 6:31
7. La hargne au cœur (Mo Nighean Donn nam Meall-shùilean) 3:10
8. Ne bado ket atao 2:57
9. Britanny's 6:12
10. Kimiad ar soudard yaouank 6:11
11. Miz tu 4:11
12. Suite Sudarmoricaine 5:12
13. Son ar chistr 3:13
14. Tri martolod 3:50
15. Bro Gozh (Land of My Fathers - Bro gozh fy nhadau) 6:43
74 min.

DVD

No Titre Durée
1. Brian Boru, générique instrumental 5:00
2. Bleimor, The bagad 6:51
3. Eibhlin 2:04
4. O Langoned ! 5:33
5. The Wind of Keltia 4:16
6. The Trees They Grow High 4:22
7. Iroise 8:59
8. Brian Boru 6:39
9. Te 6:39
10. La hargne au cĹ“ur (Mo Nighean Donn nam Meall-shĂąilean)   3:37
11. Medley 1 : Telenn Wad – The Foggy Dew 5:48
12. The King of the Fairies 3:48
13. An alarc'h 3:46
14. Tamm ha Tamm 2:25
15. Gael's call 4:38
16. Medley 2 Jigs : Port an Deorai - Port Ui Mhuirgheasa 3:25
17. Tamm Kreiz (Pa 'oan o sevel) 1:13
18. Ne bado ket atao 2:57
19. Britanny's 6:29
20. Kimiad ar soudard yaouank 6:12
21. Miz Tu 4:43
22. An Dro 2:55
23. Tha mi sgìth 3:28
24. Suite Sudarmoricaine 5:15
25. 40 vloaz 'zo (Kost ar c'hoad) 4:22
26. Pop Plinn 5:23
27. Son ar chistr 3:47
28. Ian Morrison Reel 4:49
29. Brezhoneg 'Raok 4:51
30. Tri Martolod 5:28
31. Bro Gozh (Land of My Fathers - Bro gozh fy nhadau) 6:49
32. An elle, générique de fin 1:00
157 min.

Crédits

  • Arrangements : Alan Stivell
  • Direction artistique : Alan Stivell
  • Chef d'orchestre : Robert Le Gall

Musiciens et invités

Équipe technique

  • DĂ©cors : Yann Rolland, Rolland Yachting
  • RĂ©gisseur gĂ©nĂ©ral : Pascal "Wally" Magaud
  • IngĂ©nieur du son façade et complĂ©ments mixage : Jean-François Grimont
  • IngĂ©nieur du son retours : Nicolas Djemane
  • Backline : Owen Rousselle
  • RĂ©alisation vidĂ©o : François Goatghebeur
  • Montage : Lionel Delabarre
  • IngĂ©nieur du son : Jean-Marie Palfray (France TĂ©lĂ©visions)
  • Mixage son : Thierry Compain, Pascal Coulombier (France TĂ©lĂ©visions)
  • Mastering DVD & CD : Sebastien Lorho (Passage Ă  niveau, Rennes)
  • PĂ´le vidĂ©o : Jean-François PignĂ© (France TĂ©lĂ©visions). Production exĂ©cutive film : Julie Kerlan, Sylvain Plantard
  • Production exĂ©cutive DVD & CD : Alan Stivell en collaboration avec Bruno Haye
  • ComplĂ©ments Ă©talonnage, montages et authoring DVD : C4prod. (Paris)
  • Photos : GĂ©rard Classe (couverture et page crĂ©dits), BĂ©atrice Le Grand (Ouest-France) et captures
  • Artwork : Julocom (D.A. : Julien "Frenchie" Massonnet / Coordination : Laurent Derbois)[14]
  • Production Keltia III, distribuĂ©e par Universal Music, Ă  partir d'une coproduction Bleu Iroise Arsenal, Morgane / France TĂ©lĂ©visions / Keltia III, Alan Stivell Productions. 2012

Notes et références

  1. Alan Stivell : l’anniversaire d’un concert mythique !, universalmusic.fr, 11 juillet 2013
  2. Fiche sur musique.fnac.com
  3. « Malicorne. « Quimper? Un peu notre seconde ville » », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  4. Le concert anniversaire qu'il faut avoir, avis sur le site musique.fnac.com
  5. « Décès. Raphaël Chevalier, le violoniste aux mille sourires », Le Telegramme,‎ (lire en ligne)
  6. Anny Maurussane, 1972- 2012 Alan Stivell à l'Olympia : un parcours plus qu'un retour !, ABP, 24 février 2012
  7. Gérard Classe, « Disques. Alan Stivell », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  8. Hervé Devallan, « Alan Stivell « 40th anniversary Olympia 2012 », sur bretagne-actuelle.com, (consulté le )
  9. Notre sélection musique de la semaine : 40th Anniversary Olympia 2012, Alan Stivell, easyvoyage.com
  10. « Alan Stivell: un concert, un documentaire. Soirée spéciale mercredi 25 avril à partir de 22h55 sur France 3 Bretagne. », sur France 3 Bretagne, (consulté le )
  11. Alan Stivell. Â« Hyper heureux de jouer ce soir », Le TĂ©lĂ©gramme, 15 aoĂ»t 2013
  12. Ultratop.be, Belgique francophone
  13. Anny Maurussane, Alan STIVELL à l'Olympia, pour le site Culture et Celtie, publié sur le site de l'Agence Bretagne Presse le 5 octobre 2013
  14. Laurent Derbois, Actualité. Création graphique de l’album live d’Alan Stivell, Julocom, 25 août 2013

Voir aussi

Bibliographie

  • Collectif (dir. Frank Darcel), David Raynal, ROK : De 1960 Ă  nos jours, 50 Ans de musique Ă©lectrifiĂ©e en Bretagne, t. 2 : 1990/2013, LATDK, , 480 p. (ISBN 978-2-9543644-0-7 et 2-9543644-0-8), « Alan Stivell : Back to Olympe », p. 355
  • Laurent Bourdelas, Alan Stivell, Le Mot et le reste, , 256 p. (ISBN 978-2-36054-455-4 et 2-36054-455-1)
  • RĂ©gis Le Sommier, « Alan Stivell ravive la Breizh », Paris Match,‎ (lire en ligne)
  • Pierre De Boishue, « Alan Stivell: « Je veux toujours m'Ă©tonner » », Le Figaro, (lire en ligne)
  • « Alan Stivell : « Laissons vivre la culture bretonne » », L'Express, , p. 4-7
  • Maiwenn Raynaudon-Kerzerho, « De retour Ă  l'Olympia 40 ans après. Alan Stivell : « Aujourd'hui, les Bretons n'ont plus honte d'eux-mĂŞmes » » (couverture), Bretons, no 74, , lire en ligne.
  • « Alan Stivell, le barde qui a rĂ©veillĂ© la culture bretonne », Ouest-France, (lire en ligne)
  • FrĂ©dĂ©ric Jambon, « Stivell. Les 40 ans du concert mythique ce soir Ă  l'Olympia », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ (lire en ligne)
  • « ActualitĂ©s. Alan Stivell », Trad Magazine, no 146,‎
  • Michel Troadec, « En Bretagne, que sommes-nous vraiment ? », entretien dimanche Ouest-France, , p. 11

Liens externes

Vidéos externes
Playlist vidéo du concert, sur la chaîne Youtube officielle
Brian Boru, par Universal Music
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.