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Église Saint-Samson d'Ouistreham

L'église Saint-Samson est une église catholique située à Ouistreham dans le Calvados, à l'embouchure de l'Orne. Sa position en hauteur du bourg a permis de surveiller l'estuaire pendant les époques de troubles. Son caractère imposant et la richesse de son décor sont dus aux liens avec l'abbaye aux Dames de Caen et à la prospérité du village pendant la période anglo-normande, c'est-à-dire de la fin du XIe siècle au début du XIIIe siècle. Malgré les nombreuses restaurations à toutes les époques, la nef du XIIe siècle a gardé son caractère roman, tandis que la tour-clocher et le chœur construits au début du siècle suivant sont de style gothique de transition[1].

Église Saint-Samson d'Ouistreham
Vue générale
Présentation
Type
Diocèse
Paroisse
Paroisse Saint-Pierre-de-la-CĂ´te-de-Nacre (d)
Style
Religion
Patrimonialité
Coordonnées
49° 16′ 34,5″ N, 0° 15′ 30″ O
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Localisation

L'église est située dans le Calvados, sur la commune d’Ouistreham.

Historique

L'église est édifiée sur l'emplacement d'une construction en bois, déjà sous la protection de Saint Samson, détruite au cours des incursions normandes[2]. Le début de la construction de l'église en pierre date du deuxième quart du XIIe siècle[3] après la fondation de l'abbaye de la Trinité de Caen par Mathilde, l'épouse de Guillaume le Conquérant. La dédicace[4], cérémonie destinée à consacrer l'église tout en la vouant à un Saint, a été faite en 1180 par Jeanne de Coulonces, sixième abbesse de la Trinité[5]. Le patronage[N 1] - [6] de l'église de Ouistreham et les dîmes de la paroisse diminuées de quelques restrictions [7] - [N 2] font partie des donations octroyées par Guillaume et Mathilde à l'abbaye de la Trinité. L'église dépendait donc de l'abbaye pour la nomination du curé et l'entretien des bâtiments, en échange de quoi les abbesses percevaient de confortables revenus dont une partie versée en nature sous forme de boisseaux de diverses récoltes, chapons à Noël, œufs à Pâques[8] - [9]. Les récoltes dues pour l'impôt étaient amassées dans la grange située à une vingtaine de mètres.

En 1372, dans la période de la guerre de Cent Ans, pendant une phase de reconquête du territoire par les Français, le roi Charles V le Sage ordonne de procéder à la fortification des châteaux mais aussi des églises, pour tenter de contrer un débarquement anglais[10]. Une terrasse est construite sur l'abside du chœur de l'église pour y installer des canons pointés sur l'embouchure de la rivière susceptible d'être investie par des bateaux ennemis. Ces canons étaient encore en place au XVIIIe siècle entre 1759 et 1773 affirme un témoin de cette époque[11]. Trois d'entre eux ont été conservés et placés en position verticale contre la première travée du mur du bas-côté sud. En outre la situation de l'église en hauteur face à la mer permettait au guetteur, qui avait sa chambre derrière le logement des cloches, de surveiller la côte. Il pouvait donner l'alarme en faisant de la fumée ou en tirant au canon[12]. En 1828 une grosse lanterne installée sur une petite plate-forme accrochée au côté nord de la tour sert de signal jusqu'à la mise en service du premier phare en 1886[13].

  • Vue du chevet de l'Ă©glise encore couvert d'une terrasse
    Vue du chevet de l'Ă©glise encore couvert d'une terrasse
  • Façade occidentale en 1820
    Façade occidentale en 1820

Les voûtes aussi bien que les murs saturés d'humidité ont dû être souvent remis en état au long des siècles. Dans la deuxième moitié du XIXe siècle de gros travaux de restauration ont été réalisés par Paul Vérolles[14] puis par Victor Ruprich-Robert et Anthime de La Rocque[15]. La terrasse, responsable de nombreuses fuites, est recouverte d'un toit de tuiles. V. Ruprich-Robert fait démolir le parement de pierres du XVIIIe siècle qui masquait les baies du XIIe siècle encadrées de colonnettes de la coursière[16]. On rétablit les voûtes de bois des deux dernières travées de la nef, en revanche on rajoute un clocheton de style néo-roman à l'angle de la façade occidentale et A. De La Roque reconstruit des voûtes sexpartites au lieu des fausses sexpartites d'origine que Ruprich-Robert prévoyait de restituer[3]. Au XXIe siècle des travaux de réfection et de nettoyage sont entrepris, la façade occidentale retrouve sa splendeur d'origine en 2018[17]. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1840[1].

Architecture

L'église est orientée, c'est-à-dire que le chœur est tourné vers l'est comme celui de la plupart des églises. L'entrée principale est située à l'ouest. Dans son architecture et son décor elle présente des analogies avec l'église de la Trinité de Caen qui s'expliquent aisément par les liens entre l'abbaye et Ouistreham.

L'extérieur

Le bâtiment est de plan allongé très simple. Il se présente sous la forme d'une nef accostée de bas-côtés suivie d'une tour posée sur l’avant-chœur et d'un chevet terminé en forme de demi-cercle.

  • La façade de la nef est sĂ©parĂ©e de ses bas-cĂ´tĂ©s par des gros contreforts plats dont l'un au sud-est est surmontĂ© du clocheton rajoutĂ© en 1872 par l'architecte Victor Ruprich-Robert[18]. Ce clocheton rappelle par sa forme gĂ©nĂ©rale et son emplacement sur un contrefort, ceux qui sont juchĂ©s aux extrĂ©mitĂ©s des bras du transept de l'Ă©glise Saint-Nicolas de Caen[N 3]. Mais Ă  Ouistreham, les petites baies gĂ©minĂ©es sont plus sophistiquĂ©es avec leurs colonnettes centrales coiffĂ©es par un chapiteau et des sculptures animalières sont disposĂ©es aux quatre coins du toit.
  • Plan de l'Ă©glise avant 1846 avec les deux petits escaliers dans l'Ă©paisseur des murs
    Plan de l'Ă©glise avant 1846 avec les deux petits escaliers dans l'Ă©paisseur des murs
  • Façade occidentale et clocheton Ă  l'angle
    Façade occidentale et clocheton à l'angle
  • Quatre colonnettes et leurs chapiteaux et au-dessus 4 rouleaux plus un rouleau d'archivolte
    Quatre colonnettes et leurs chapiteaux et au-dessus 4 rouleaux plus un rouleau d'archivolte
  • Imbrications dans les arcatures très dĂ©corĂ©es au-dessus du portail
    Imbrications dans les arcatures très décorées au-dessus du portail

Entre les contreforts centraux la façade est richement[19] décorée de trois niveaux d'arcatures entre la porte et le pignon triangulaire. Toutes les ouvertures et arcatures sont en plein-cintre.

La porte en arc surbaissé est encadrée par des colonnettes qui supportent quatre rouleaux par l'intermédiaire de chapiteaux. Les rouleaux sont ornés de têtes plates aussi nommées beakheads , de tores, de bâtons brisés en losange, la dernière rangée de bâtons brisés formant une chaîne. Un rouleau d'archivolte terminé de chaque côté par une petite tête sculptée couronne le tout. Le tympan n'est décoré que d'une rangée de claveaux sculptés d'étoiles[20].

Le premier étage est décoré d'une arcature constituée d'une suite de sept petites baies aveugles aux archivoltes décorées de bâtons brisés et d'un rouleau d'archivolte orné en son milieu, et à chacune de ses extrémités, d'une petite tête. Toute l'arcature est remplie d'imbrications[N 4]en forme de tapis de triangles semblables à celles du mur goutterot sud de la Trinité de Caen [21] - [22] Au deuxième étage une large baie vitrée est entourée de chaque côté par deux baies aveugles plus étroites mais de même hauteur[23]. Les chapiteaux sont sculptés, les archivoltes, comme celles du premier étage, sont décorées de bâtons brisés. Le troisième niveau est très sobrement garni de six baies aveugles sans décoration sous le pignon, lui aussi à nu.

  • Les murs gouttereaux de la nef sont Ă©paulĂ©s par des arcs-boutants rajoutĂ©s après-coup sur les contreforts romans. Seul le mur nord a conservĂ© les arcatures qui couraient Ă  l'origine tout autour du monument[24].
  • Arcs-boutants de la nef
    Arcs-boutants de la nef
  • Tour-clocher et chevet
    Tour-clocher et chevet
  • La tour massive, Ă©paulĂ©e au sud par deux Ă©normes contreforts surmontĂ©s d'une flèche de pierre, repose sur deux travĂ©es d’avant-chĹ“ur aux baies en plein-cintre de tradition romane sauf celles du troisième niveau. Les deux lancettes et les arcatures du clocher au-dessus sont en arc brisĂ©. Le toit est soulignĂ© par une frise de trèfles.
  • Le chevet en abside est un peu plus Ă©troit que la nef[25]. Il comprend trois Ă©tages. Le premier niveau est un soubassement garni de baies aveugles très Ă©troites aux arcs brisĂ©s très prononcĂ©s. Aux deux autres niveaux, les fenĂŞtres sont de la mĂŞme forme très Ă©troite et allongĂ©e et surmontĂ©es d'un mince cordon moulurĂ©, mais seules celles du troisième niveau sont en arc brisĂ©.

L'intérieur

  • La nef

Elle a été entièrement refaite au XIXe siècle dans le style roman par remise en état ou reconstruction[26]. Il ne reste que très peu d'éléments rescapés du XIIe : la partie inférieure des piliers du mur de la façade occidentale, une petite porte dont le seuil a été surélevé ouverte sur un petit escalier menant au clocheton rétabli par Ruprich-Robert à l'angle de la façade occidentale[27]. La nef comporte six travées. Les voûtes que Ruprich-Robert voulait restituer telles qu'elles avaient été imaginées et réalisées au XIIe siècle étaient faussement sexpartites comme celles de la Trinité de Caen et des églises de Bernières et de St Gabriel- Brécy[3]. Chaque voûte aurait dû être soutenue par une croisée de deux ogives et par deux arcs-diaphragme. Mais l'architecte P. de la Roque qui a terminé le travail a jugé ces voûtes archaïques et trop lourdes et les a remplacées par deux voûtes sexpartites c'est-à-dire soutenues par deux ogives et deux simples doubleaux. Les deux travées proches du chœur sont couvertes d'une fausse voûte d'ogives en bois. L'alternance de piles fortes et faibles est observée sur toute la longueur de la nef[3]. Les piles fortes sont cruciformes . Elles reçoivent les ogives et les doubleaux des voûtes. Les piles faibles sont circulaires et les demi-colonnes qui leur sont accolées ne soutiennent qu'un doubleau. Ces piliers soutiennent des arcades qui ouvrent sur les bas-côtés[28]. Au-dessus de chaque arcade une haute fenêtre en plein-cintre ornée de frettes crénelées éclaire la nef. Ces fenêtres sont encadrées par les petites baies romanes découvertes par V. Ruprich-Robert[29]. Derrière ces petites baies une coursière semblable à celle de la Trinité permet de circuler en hauteur tout autour de la nef[21]. L'arc triomphal , assez discret, est orné de tores, de plusieurs rangées de chevrons et d'un rang de billettes. Tous ces décors géométriques de tores, frettes crénelées, bâtons brisés, godrons, cordons perlés restaurés ou recréés au XIXe siècle se retrouvent dans les églises romanes de la région[30]. On remarque surtout une abondance de tores sous les arcs et de godrons[31] - [32] sur les chapiteaux des piliers.

  • Parties hautes de la nef
    Parties hautes de la nef
  • arc triomphal, avant-chĹ“ur et chĹ“ur
    arc triomphal, avant-chœur et chœur
  • Mur sud du chĹ“ur avec ses crĂ©dences gĂ©minĂ©es et la porte d'accès Ă  la coursière
    Mur sud du chœur avec ses crédences géminées et la porte d'accès à la coursière
  • Le ChĹ“ur

Il a été construit entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle. Il présente sur ses trois étages un mélange d'arcatures et de fenêtres en arc brisé ou en plein-cintre, des chapiteaux à crochets, quelques tailloirs et socles ronds qui annoncent le début du style gothique normand[33] - [34]. Seules les fenêtres du premier étage sont toutes en plein-cintre . Mais un cordon simplement mouluré d'un tore court entre chaque étage tout autour du chœur en baguant même les colonnes pour assurer la continuité de l'ensemble. La coursière du deuxième étage de la nef est prolongée au même niveau sous les fenêtres hautes sur tout le pourtour du chœur. On accède à cette galerie de circulation par un escalier caché dans un pilier côté sud entre l’avant-chœur et le chœur. L’avant-chœur porte la tour où sont installées les cloches que l'on pouvait actionner autrefois grâce aux trous visibles autour de l'anneau central qui sert de clef pour la voûte sexpartite qui couvre les deux travées . Le chœur couvert d'une voûte quadripartite est terminé par une abside en demi-cercle percée de deux rangées de trois baies au-dessus de trois arcs surbaissés trilobés.

Notes et références

Notes

  1. Le patronage d'une église permet de percevoir des revenus mais impose aussi la charge de l'entretien des lieux, il pouvait appartenir à un laïc ou à une institution ecclésiastique
  2. Oistrehan, une des orthographes de Ouistreham, on trouve aussi Ostrehan et Hoistrehan dans d'autres actes normands médiévaux consultables sur Scripta
  3. Dans son abécédaire, p.239, A. de Caumont dit que les clochetons apparaissent dans la seconde moitié du XIIe siècle aux angles des transepts et des façades
  4. Dictionnaire raisonné de l'architecture de Viollet-le-Duc : « appareil délicat de parements, formant des dessins variés par la disposition de petites pierres taillées ou de briques fréquentes pendant les XIe siècle et XIIe siècle »

Références

  1. « Église », notice no PA00111593, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. En chemin avec Guillaume le Conquérant, Rennes, Éditions Ouest-France, , 128 p. (ISBN 2-7373-3142-0), p. 66
  3. Baylé 2001, p. 78.
  4. Michel Zimmerman, « Les actes de consĂ©cration d’églises. Construction d’un espace et d’un temps chrĂ©tiens dans la Catalogne mĂ©diĂ©vale (IXe-XIIe siècle) », cahiers d'Ă©tudes hispaniques mĂ©diĂ©vales, sur PersĂ©e, (consultĂ© le ) : « La dĂ©dicace du bâtiment permet son identification, et la consĂ©cration y introduit la prĂ©sence divine », p. 34-35.
  5. Provot 1976, p. 104.
  6. Devailly Guy, « Les patronats d'église en Normandie aux XIIIe et XIVe siècles. », Cahier des Annales de Normandie,n°23, sur Persée, (consulté le ).
  7. (la) Guillaume roi d'Angleterre et son Ă©pouse Mathilde, « confirmation de donations », acte 6472, sur Scripta,Base des actes normands mĂ©diĂ©vaux, dir. Pierre Bauduin, Caen, CRAHAM-MRSH, (consultĂ© le ) : « Dedimus etiam Oistrehan cum cunctis appenditiis suis, hoc excepto quod Robertus ibidem tenet de comite Moritonensi, ».
  8. Eugène Liot, OUISTREHAM-LES-BAINS. RIVA-BELLA, Paris/02-Autremencourt, le Livre d'histoire / Impr. GIE Lorisse numérique, coll. « Monographie des villes et villages de France », 1893-ré-édition:2016, 148 p. (ISBN 978-2-7586-0963-6).
  9. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 1, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 420
  10. Provot 1976, p. 106.
  11. Michel Béziers et Gaston Le Hardy, Mémoires pour servir à l'état historique et géographique du diocèse de Bayeux (Rouen, vol. 3, Rouen, Société de l'histoire de Normandie, 1894, (lire en ligne), p. 310.
  12. « Historique des sémaphores », sur patrimoine-maritime-normand.org (consulté le ).
  13. « Le phare de Ouistreham », sur patrimoine-maritime-normand.org (consulté le ).
  14. École nationale des chartes, « Répertoire des Architectes diocésains du XIXe siècle, Paul Verolles », sur elec.enc.sorbonne.fr (consulté le )
  15. Institut national d'histoire de l'art, « Anthime Delaroque », sur agorha.inha.fr (consulté le ).
  16. Paul Léon, « Les principes de la conservation des monuments historiques, évolution des doctrines », Congrès archéologique de France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Restauration de l'Église Saint Samson - Ouistreham Riva-Bella », sur Ouistreham Riva-Bella (consulté le ).
  18. Provot 1976, p. 98.
  19. Pierre Héliot, « Les arcatures décoratives sur les murs des églises romanes en Normandie et leur influence », Annales de Normandie,‎ , p. 193 (lire en ligne, consulté le ).
  20. Serbat 1908, p. 191.
  21. Eugène de Beaurepaire, « L'église d'Oistreham », La Normandie monumentale et pittoresque, sur Gallica, (consulté le ), p. 136.
  22. Maylis Baylé, La Trinité de Caen, Genève, Droz, (ISBN 2-600-04611-9 et 9782600046114), p. 70.
  23. Camille Enlart, « Manuel d'archéologie française depuis les temps mérovingiens jusqu'à la renaissance », A. Picard, (consulté le ), p. 292 et 293.
  24. Serbat 1908, p. 192.
  25. Provot 1976, p. 102.
  26. Serbat 1908, p. 187.
  27. Serbat 1908, p. 188.
  28. « bulletin de la société des antiquaires de Normandie », sur Gallica, (consulté le ), p. 44.
  29. Provot 1976, p. 109.
  30. renépage 1910, p. 3 à 21.
  31. renépage 1910, p. 14 à 19.
  32. Marcel durliat, « Maylis Baylé, Les origines et les premiers développements de la sculpture romane en Normandie », Art de Basse-Normandie, no n° 100 bis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Baylé 2001, p. 81.
  34. Victor Ruprich-Robert, L'architecture normande aux XIe et XIIe siècles en Normandie et en Angleterre, vol. 2, Librairie des imprimeurs réunis, Paris, (lire en ligne), p. 7.

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

  • Jean Provot, Histoire de Ouistreham : des origines Ă  1939, Caen, , 160 p., p. 97 Ă  111.
  • Louis Serbat, « Les monuments du Calvados, chapitre Ouistreham », Congrès archĂ©ologique de France,75è session, sur Gallica, A.Picard et H. Delesque, (consultĂ© le ), p. 187 Ă  193.
  • Jean-Yves Marin, HĂ©lĂ©na Thybert, Françoise Leboucher, AndrĂ© Ledran, Ouistreham, Riva Bella, OMAC, 1994 (ISBN 2-9508447-0-7)
  • Maylis BaylĂ©, L'architecture normande au Moyen-Ă‚ge, vol. 2, CondĂ©-sur-Noireau, Charles Corlet, (ISBN 2-84133-134-2), p. 78 et 79
  • RenĂ© page, « La dĂ©coration gĂ©omĂ©trique dans l'Ă©cole romane de Normandie », sur Bibliothèque numĂ©rique de la Sorbonne, H. Delesques, (consultĂ© le )
  • Lucien Musset, Normandie romane, vol. 1, abbaye Ste Marie de la Pierre qui vire, coll. « Zodiaque », , p. 37.
  • « Douvres-la-DĂ©livrande et le canton », Art de Basse-Normandie, no 14,‎ , p. 27 et 28.
  • Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 1, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 417-422
  • Victor Ruprich-Robert, L'architecture normande aux XIe et XIIe siècles en Normandie et en Angleterre, vol. 2, Librairie des imprimeurs rĂ©unis, Paris, (lire en ligne), p. LVI n°2 (plan), LXXIX (coupe, dĂ©tails), CIX (façade, dĂ©tails)
  • Victor Ruprich-Robert, « Piscine dans l'Ă©glise d'OuistrĂ©ham (texte page : 182, Ă©lĂ©vation, plan, coupe, planche : 23) », La revue gĂ©nĂ©rale de l'architecture, no 04,‎ , p. 23/28 (lire en ligne).
  • (en) John Sell Cotman, Antiquities of Normandy : Church at Oyestraham (description page : 123 et gravure), J and A Arch, London, (lire en ligne), p. 122.
  • SĂ©raphin-MĂ©dĂ©ric Mieusement, « Photographie de l'Ă©glise Saint-Samson d'OuistrĂ©ham », sur Bibliothèque numĂ©rique de l'Inra, xixe siècle (consultĂ© le ).


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